dimanche 29 juillet 2012

Extrait de la gardienne de la 9e porte

- Nous devrions peut-être poursuivre le chemin, l’orage semble se rapprocher de nous, suggéra-t-elle. - Vous avez raison Sabrina. Nous allons faire un bout de chemin en voiture, à pied c’est trop harassant. Cinq minutes plus tard, le 4X4 noir s’arrêtait une nouvelle fois. Le camp du temple Le camp, champ en Picard. Temple, vierge en Picard. Pourquoi vestale, parce que ce terme signifie abbaye cistercienne de Saint-Bernard. Symbolisé au Moyen Age avec une flamme sur la tête. De la gardienne de la flamme. C’est un nom éloigné. Mont de Mainvault. Athène, Athentis, la nouvelle Athènes. Noms éloignés. Ce qui n’a pas de sens, fait le sens. Mont de Renaix, Pyrénées. Le grand conduit est caché dans la malle sauvegarde. La malle au Moyen Age c’est une terre de sable mouvant. Près de Quintin de l’église de Wodecq. (Sources Rudy Cambier). le Traversé hameau del Buis. Dans abbaye seront Flamands. En 1303, des Flamands y ont été enfermés. Défriché forêt Guis. Dans un ermitage sera posé temple. Près de la fin du Rhône à Wodecq et le début du principe. A un kilomètre et demi de sa fin et de sa source Champ du nuage Champ du Marli. Terre au Moyen Age que l’on ne se payait pas et qu’on exploitait en commun Au nord. Juste devant chez Marc, champ de la Vigne. Chemin d’Armi-Mont. Montera haut sur le lieu plus haut. Le baston tordu signifie le maître du temple. Noir et blanc contenu du temple. Dissimulé dans la terre d’Inde. (Sources Rudy Cambier). Le divin verbe serra du verbe frappé. (Sources Rudy Cambier). Après être remonté en voiture, redescendu. Après avoir de nouveau marché. Marc et Sabrina se trouvaient maintenant devant chez Marc.

Extrait de la gardienne de la 9e porte.

... - Nous devrions peut-être poursuivre le chemin, l’orage semble se rapprocher de nous, suggéra-t-elle. - Vous avez raison Sabrina. Nous allons faire un bout de chemin en voiture, à pied c’est trop harassant. Cinq minutes plus tard, le 4X4 noir s’arrêtait une nouvelle fois. Le camp du temple Le camp, champ en Picard. Temple, vierge en Picard. Pourquoi vestale, parce que ce terme signifie abbaye cistercienne de Saint-Bernard. Symbolisé au Moyen Age avec une flamme sur la tête. De la gardienne de la flamme. C’est un nom éloigné. Mont de Mainvault. Athène, Athentis, la nouvelle Athènes. Noms éloignés. Ce qui n’a pas de sens, fait le sens. Mont de Renaix, Pyrénées. Le grand conduit est caché dans la malle sauvegarde. La malle au Moyen Age c’est une terre de sable mouvant. Près de Quintin de l’église de Wodecq. (Sources Rudy Cambier). le Traversé hameau del Buis. Dans abbaye seront Flamands. En 1303, des Flamands y ont été enfermés. Défriché forêt Guis. Dans un ermitage sera posé temple. Près de la fin du Rhône à Wodecq et le début du principe. A un kilomètre et demi de sa fin et de sa source Champ du nuage Champ du Marli. Terre au Moyen Age que l’on ne se payait pas et qu’on exploitait en commun Au nord. Juste devant chez Marc, champ de la Vigne. Chemin d’Armi-Mont. Montera haut sur le lieu plus haut. Le baston tordu signifie le maître du temple. Noir et blanc contenu du temple. Dissimulé dans la terre d’Inde. (Sources Rudy Cambier). Le divin verbe serra du verbe frappé. (Sources Rudy Cambier). Après être remonté en voiture, redescendu. Après avoir de nouveau marché. Marc et Sabrina se trouvaient maintenant devant chez Marc. ...

Extrait de la gardienne de la 9e porte.

...Au lieu de la pierre, il y avait à cette époque un menhir et une énorme chaine, OK. De nuit viendra par le … Le moine, mais… En picard dedans et deceus sont le même mot. Varene parc. A droite le parc à gibier. Le long de la chaussée Romaine, il ya avait des relais, des chevaux et des attelages. Devaut Varene. Le symbole de Wodecq représenté sous forme de dessin est deux moines. Un moine gris et un moine noir. (Sources Rudy Cambier). Le moine noir représente les bénédictins et le moine gris les cisterciens. ...

Extrait de la gardienne de la 9e porte

- Nous allons poursuivre un peu à pied, vous verrez mieux et, cela vous donnera une idée plus réelle de ce que les templiers ont vécus. - Oh ! Regardez, un aigle ! Un aigle splendide tournoyait au-dessus d’eux. Les ailes déployées, il poussait des cris stridents. Il décrivait de grands cercles au-dessus d’eux en les observant. Le ciel était limpide, d’un bleu très pur. - Oui, il y a toujours un aigle au-dessus de ce chemin. Une sentinelle, peut-être ? Répondit Marc. Sabrina ne put s’empêcher de penser à la nébuleuse de l’Aigle dont lui parlait si souvent Simon ces derniers temps. - Moins cartésien que je ne le pensais, lui lança Sabrina d’un air amusé. - Non, pas du tout. Dit-il laconiquement, mais en reprenant son air sérieux, il ajouta :

Extrait de la gardienne de la 9e porte.

- Au Moyen Age, une carte cela n’existe pas. Les gens de cette époque fonctionnaient par itinéraire, curieusement, je dirais que cela ressemble à nos GPS actuels. Ils fonctionnaient par repères, tels grands chemins de France, ils décrivaient les lieux dits, ils décrivaient les chemins de lieux en lieux. Ils étaient à présent entré dans la plus grande église, celle qui se trouve à la gauche de la place. Dans l’entrée Sabrina remarqua le bénitier besson. Ils franchirent la porte menant au chœur de l’église et là, comme indiqué dans les écrits de Marc se trouvaient côte à côte séparée par le chœur de cette curieuse église les deux tables. - Voilà les deux fameuses tables. De là sous les arbres, on voit le Mont Gauthier. Moustier Blanc Scourset, le chemin le plus court. (Sources Rudy Cambier). Les tables bien que jumelles présentaient des écrits différents, des écrits fait de signes ou dans une langue inconnue. Marc n’avait pas réussi à les déchiffrer lui-même, mais un spécialiste en langue ancienne, lui avait fourni quelques explications crédibles. Il se borna à lui expliquer vaguement les faits, lui proposant de rencontrer ultérieurement ce spécialiste qui mieux que lui répondrait à ses questions. Marc proposa à Sabrina de reprendre le 4X4 et de poursuivre le chemin. Le 4X4 vrombit nerveusement laissant derrière lui une fumée bleutée, la place et les deux églises. Le paysage était jaune parce que les moissons sont effectuées en septembre. Sabrina écoutait Marc, elle était fascinée. - Votre spécialiste a-t-il pu traduire les tables, s’enquit Sabrina une nouvelle fois. - Non, en partie seulement. - Elles sont différentes, vous l’avez vu, c’est déjà une énigme en soi !

EXTRAIT DE LA GARDIENNE DE LA 9e PORTE

... - Alors en route. Nous allons à Moustier. Ce sera notre première étape. Pendant qu’ils faisaient la route avec un air amusé, Marc raconta à Sabrina sa mésaventure, lorsqu’il fit ce chemin la première fois. - J’étais encore jeune, la première fois que je suis allé à Moustier c’était bien avant de suivre la carte que j’ai décryptée. A cette époque, il y avait énormément d’associations de coureurs à pieds, à vélo, des joueurs de jeux de balles. Il y avait une équipe de division 3 provinciale qui était à égalité avec celle de Moustier. J’avais profité de mon passage à Moustier pour aller voir le jeu de balles, l’équipe adverse et, à égalité était celle de Wodecq. J’avais avec moi ma trompette. Je me suis mis à jouer, cela a distrait les joueurs de Moustier et Wodecq à gagner. Je n’étais pas trop fier de ce que j’avais fait, mais je l’avais fait. Je ne suis retourné à Moustier que des années plus tard, cette fois pour y suivre le chemin du vieux moine et vérifier mes traductions. Ma première visite, bien que controversée m’avait apporté une chose, je savais qu’il y avait deux églises sur cette place qui ne compte que très peu d’habitants. Ce fait ne m’avait pas interpellé enfant, mais plus tard ! Oui. Deux églises côte à côte, dans un endroit si peu peuplé, ce n’est pas banal. Deux églises, deux bénitiers et deux tables. C’est beaucoup, pour un tout petit village. ...

EXTRAIT DE LA GARDIENNE DE LA 9e PORTE

(Sources Rudy Cambier). La terre d’Inde est souvent appelée le terrment d’Inde c’est pourquoi elle est aussi connue sous le nom d’abbaye d’Inde ou d’Ende. Elle est appelée le terrement d’Inde et dans un des sept villages qui forment la terre des Débats appelé Wodecq existe toujours l’Endemaine prononcé jadis Indermaine c’est-à-dire l’Inde (do) maine. (Sources Rudy Cambier). Wodecq était lui-même une terre de débats dans la terre des Débats. Dizeau, Cambronchaux, Renaix, Chinon avec son message sous forme de gravure, Wodecq et son message et les tables de Moustier. Le dernier templier qui s’était joint aux deux autres comparses de l’abbaye de Cambron est mort en 1329. Yves de Lessines pensait que son message resterait enfermé à la bibliothèque de son abbaye jusqu’au jour où l’attendu au terme de la première partie du chemin arriverait à Cambron. Les centuries seraient là pour lui révéler la fin de la route. Tout cela est très médiéval.

Extrait de la gardienne de la 9e porte.

... - C’est une abbaye Cistercienne A la Croix philosophe. Le vieux saule s’appelle le champ de la Mère-Dieu, c’est le seul endroit du monde où, il soit possible d’être à la fois, près d’Athènes et, des Monts Pyrénées. Le champ des nuages situé au sud de la terre des Débats. Quintin l’église de Wodecq. Place de Wodecq et Cambron chaux. De la Croix Philosophe, il faut regardez en direction de l’église de Wodecq. On y voit le grand champ. Cours d’eau le Ronsart. Le Ronsart, le Saule pleureur, les fleurs des champs. Un sart est un endroit défriché. Le lieu défriché près du Röne. S’asseoir sur la pierre carrée à midi et regarder vers l’ouest. On voit le petit abri blanc, le banc scourset. ...

Extrait de la gardienne de la 9e porte.

Le vieux moine a construit son œuvre de telle manière qu’une lecture au premier degré permet de reconnaître des faits historiques dont la source se trouve dans les manuscrits tels que le speculum historiale de Vincent de beauvais, présent à Cambron au moment où Yves de Lessines y était moine. Une seconde lecture désigne les ennemis de l’ordre du temple ou rapporte des faits auxquels furent mêlés des templiers en semant des allusions à des événements cette fois contemporain de l’auteur. Et masqué derrière ces deux écrans qui pourtant le génèrent se dissimule un troisième niveau de lecture, celle qui raconte l’épopée du temple, surtout les circonstances de sa destruction et qui indique les moyens qui ont été ménagés pour la faire renaître. Ce qui n’arriva pas. (Sources Rudy Cambier).

Extrait de La gardienne de la 9e porte.

( 1) Le poème composé de dix centuries et connu sous le nom de prophéties de Nostradamus n’aurait pas pu être écrit dans les années 1550 par le provençal Michel Nostredame, mais de 1323 à 1328 par un moine Cistercien dont la langue maternelle était le picard, parlé entre la Dendre et l’Escaut. L’histoire même du texte écoulé de la plume d’Yves de Lessines, prieur, de l’abbaye cistercienne de Cambron en Hainaut, en début, du 14e siècle est plus extraordinaire que les plus extraordinaires prophéties que les disciples et traducteurs de Nostredame ont cru y lire. Le premier correspondrait aux 220 premières années de 1330 à 1550 pendant lesquelles l’ouvrage reposa Nous pourrions nous représenter l’aventure des centuries, comme une sorte de diptyque qui accordait comme un panneau cur quasiment inconnu et certainement incompris dans la bible abbatiale. (Sources Rudy Cambier). Le deuxième panneau pourrait symboliser le coup de fortune qui a commencé avec Nostradamus au milieu du 16e siècle. Trompé par la graphie, la syntaxe et le style du vieux prieuré, croyant avoir découvert des prophéties inconnues, parce que le vieux moine avait déguisé les faits du passé en conjuguant les verbes au futur, le médecin provençal profita des troubles du temps et de la guerre qui ravageait la Flandre et le Hainaut et il s’empara de l’œuvre. Il l’emporta au loin, il prétendit en être l’auteur, le publia en son nom et saisi par des concours de circonstances rares, se retrouva élevé sur le pavais des plus grands prophètes. Yves de Lessines a toujours écrit ses vers en trois sens. Par le jeu de l’intelligence du texte et des niveaux de lecture successifs, Yves de Lessines parvenait avec les mêmes mots et dans le même quatrain à évoquer une histoire de son passé à lui, une histoire de son présent à lui et à donner en outre une indication utile à celui qu’il appelait l’attendu. (Sources Rudy Cambier).

samedi 28 juillet 2012

LA GARDIENNE DE LA 9e PORTE: Préface de Rudy Cambier.

LA GARDIENNE DE LA 9e PORTE: Préface de Rudy Cambier.: Rudy Cambier, philologue écrivain, spécialiste du Moyen Age. Auteur des Centuries d'Yves de Lessines. Éloge de la simplicité Dans son ...

Préface de Rudy Cambier.

Rudy Cambier, philologue écrivain, spécialiste du Moyen Age. Auteur des Centuries d'Yves de Lessines. Éloge de la simplicité Dans son discours de réception à l’Académie Française, Buffon énonça cette phrase étonnante : Le style est l'homme même. Vérité surprenante de paradoxe : l'art n'est-il pas toujours et partout artifice, convention, déguisement ? Bien sûr que oui ! Mais combien de fois – des centaines, des milliers ? – n'ai-je pas constaté que Buffon avait vu juste... Car le paradoxe n'est pas là où on l'attend, pas dans l'art mais dans l'homme : le petit homme ordinaire est un petit menteur et l'homme public est un grand, un immense menteur. Telles gens qui ne parlent que de défendre ou prononcer la justice sont seulement avides et iniques ; tels politiciens ou syndicalistes qui se clament les défenseurs des petits travailleurs s'acharnent à faire grosse fortune, et vite ; telle vedette qui se construit une renommée de charmante gentillesse est, hors caméras et micros, une fort méchante rosse ; et tel don juan susurre "De toute ma vie je n'ai jamais croisé une femme comme toi" à celle qui vient de lui faire savoir en se plaignant de son homme qu'elle a envie de passer, dévêtue, une couple d'heures en présence de ce semi-professionnel de la baise subreptice. Les artistes aussi font tout cela. Mais l'art de l'écriture est différent en ceci que Buffon avait bien perçu : lue attentivement – vraiment attentivement – toute œuvre d'écriture livre l'être intime de l'écriveur. Je vais vous donner un exemple qui est à l'exact opposé d'Annik : si vous lisez attentivement les romans de Mauriac, vous comprenez que l'auteur, qui affecte et affiche la sainteté formelle, est un sinistre faux-cul infecté de presque tous les vices que Satan, en sa malignité, créa. Il y a un sacré bout de temps que je connais Annik. Deux images pour vous la montrer : Annik, dans la mer à Cuba, apprivoisant des dauphins jusqu'au point de les amener à venir la caresser, et Annik, quelque part en Afrique, parvenant à prendre et papouiller un lionceau à côté de la lionne qui surveille, et à portée d'un coup de griffe mortel ! Voilà donc qui est cette femme d'une force de caractère hors du commun. Par des moyens simplissimes – pas de mots, peu de gestes – elle conquiert l'âme des êtres sensibles en leur parlant avec le langage de son cœur seulement : bonté, gentillesse, générosité et simplicité. Le style d'Annik, c'est ça : pas d'effets gratuits, pas de "m'as-tu vu écrire", pas non plus de ces collections de ficelles et de trucs qu'on enseigne dans les écoles d'écriture américaines et autres, non, rien que la simplicité. Les cuistres, je le sais d'avance, dénigreront cette manière de faire les phrases. Je vais donc répondre par avance aux méchancetés dédaigneuses qu'ils n'ont pas encore dites. Moi, je suis un vieil homme de la terre et mon style est à l'image de la terre, parfois sec comme un désert, parfois gai comme un pinson, parfois acéré et attentif comme les loups en chasse, parfois complexe comme une molécule d'ADN, parfois calme comme un bord de mare. Mon style est terrien, celui d'Annik, lui, est stellaire en ce sens que ses livres sont composés uniquement d'une accumulation d'atomes légers, et puis tout d'un coup, on s'aperçoit que ça brille, comme une étoile. Mais seul le sage voit les étoiles... Il me reste à remercier Annik d'avoir puisé dans mes travaux une partie de la trame de son roman car cette histoire que j'ai découverte, l'histoire vraie de sauvetage de l'Ordre du Temple manigancé par le prieur de l'abbaye cistercienne de Cambron, est tellement surprenante et tellement belle qu'elle mérite de devenir une légende.

LA GARDIENNE DE LA 9e PORTE Bon week-end à tous. Have a nice weekend.

LA GARDIENNE DE LA 9e PORTE:

dimanche 22 juillet 2012

LA GARDIENNE DE LA 9e PORTE: Commentaires de Pierre Z. A lire également l'exce...

LA GARDIENNE DE LA 9e PORTE: Commentaires de Pierre Z. A lire également l'exce...: Encore un ouvrage sur les Templiers… ‘’C'est une véritable obsession’’, diront certains… Certes… Mais c'est toujours sur le chemin de ma quê...

Commentaires de Pierre Z. A lire également l'excellent ouvrage de mes amis André Douzet et MaryAnge Tilbot.

Encore un ouvrage sur les Templiers… ‘’C'est une véritable obsession’’, diront certains… Certes… Mais c'est toujours sur le chemin de ma quête concernant le 'Blanc Scourchet’ à Ellezelles… Tout indice, toute clé, sont toujours les bienvenus quels qu'ils soient… Même si ils ne servent pas immédiatement, ils peuvent être une petite pièce d'un immense puzzle… Une pierre à l'édifice… Cistercien ou Templier… Bien entendu… J Voici donc un passage qui pourrait nous servir. Il concerne la désobstruction d'un puits, probablement comblé à l'approche de la fin de l'Ordre du Temple : «… À ceci, on ajoute que le système d'étanchéité a parfaitement bien fonctionné… Ceci, à l'évidence, nous montre d'abord toute l'ingéniosité des techniciens du Temple, et ensuite, permet d'exclure, de ce phénomène, la moindre idée de hasard en la matière… On constate que le puits, avec sa cache, est resté sec sept cents ans, jusqu'au moment où il est violé sans ménagement, ou plutôt devrions-nous dire à l'instant où les précautions d'usage ne sont pas respectées, car inconnues. Pour nous, et quelques autres observateurs, il est impossible de supposer une simple coïncidence remettant le puisard en eau juste après que soient enlevés les madriers du faux plancher bloquant les gravats sur la cache. Cette soudaine arrivée d'air, ou tout système mis en place par les ‘pionniers’ templiers pour inonder la place en cas d'intrusion, de déplacement de madriers par exemple, n'est-il pas là pour rendre la cache, et son contenu inaccessible ? C'est une question à laquelle seuls les sapeurs du Temple disposaient des éléments nécessaires pour y répondre. Nous nous demandons si, aujourd'hui, avec nos moyens et notre technique prétendue avancée, nous serions capables d'une telle prouesse hydraulique… »

lundi 16 juillet 2012

LA GARDIENNE DE LA 9e PORTE

Avis de lecteurs

Une amie me faisait remarquer que tous les livres traitants des Chevaliers de l'Ordre du Temple étaient écrits par des hommes et que j'étais la première femme qu'elle voyait dans ce registre. J'avouerai que je n'y avais jamais pensé, mais effectivement, je pense que son observation est tout à fait exacte. Avant de commencer la rédaction de ce livre, mon premier souci a été de préserver les soldats de Dieu et j'ai donc fait très attention à ce que je révélais. Désolée pour les amateurs de sensations fortes. Les centuries d'Yves de Lessine traduites par Rudy Cambier ont été écrites à 3 niveaux de compréhension, le vieux moine m'a donné l'idée d'écrire mon livre de la même façon. Le Quidam lira un roman, les passionnés de l'histoire pourront grâce au travail titanesque de Rudy se plonger dans l'histoire des Templiers, au pays des Collines, en Belgique et finalement mon message crosicrusien est compréhensible aux chercheurs de lumière.

Avis de lecteurs

Je dévore en ce moment même "La gardienne de la 9e porte" de mon amie Annik Couppez Véronèse d'Olrac, auteur local. A consommer, sans modération ! ;-)))

Avis de lecteurs.

Félicitations d'avoir osé ces pages d'écritures sur nos Chevaliers... Enfin une plume féminine ! Amitiés!

Avis de lecteurs.

Félicitations d'avoir osé ces pages d'écritures sur nos Chevaliers... Enfin une plume féminine ! Amitiés!

Avis de lecteurs

Coucou Annik, Je viens de terminer ton livre (Nostradamus...). J'ai adoré. J'ai surtout apprécié les passages dans lesquels tu situes ton histoire en Belgique (on se sent proche des personnages). Je viens de commander l'autre sur Edilivre. Toutes mes félicitations pour ton travail. A bientôt. Caro.

Avis de lecteurs

Avis des lecteurs Conte chevaleresque emprunt d'ésotérisme absolument captivant 26/06/12 ‘’La Gardienne de la 9e porte’’ est un ‘’roman à thème’’ absolument captivant, d'autant plus si l'on sait que la plupart des personnages existent réellement. Une lecture accessible à tous, même aux grands lecteurs qui en profiteront pour détendre leurs méninges. Toutefois, si ces derniers souhaitent passer outre la simplicité si bien décrite dans la préface de Rudy Cambier, il leur faudra s'armer de 2 clés livresques, pour comprendre la face cachée de ce conte chevaleresque emprunt d'ésotérisme : « Rex Deus » (1) et « L'oeuvre du Vieux Moine - Tome 1 - Le dernier chemin des Templiers » (2). Mais ne cherchez pas trop et laissez-vous bercer par la féerie des lieux…
Mes Amis, amoureux de la belle littérature, voici un extrait du livre d' Annik Couppez Véronèse d'Olrac, après quelques phrases de lecture déjà, on a vraiment envie de lire plus loin. Avec grand plaisir, je le partage avec Vous. :))) Photo : Mes Amis, amoureux de la belle littérature, voici un extrait du livre d' Annik Couppez Véronèse d'Olrac, après quelques phrases de lecture déjà, on a vraiment envie de lire plus loin. Avec grand plaisir, je le partage avec Vous. :))) LA GARDIENNE DE LA 9e PORTE, paru aux éditions Edilivre. par Annik Couppez Véronèse d'Olrac Photo : LA GARDIENNE DE LA 9e PORTE, paru aux éditions Edilivre. par Annik Couppez Véronèse d'Olrac
LA GARDIENNE DE LA 9e PORTE, paru aux éditions Edilivre. par Annik Couppez Véronèse d'Olrac Photo : LA GARDIENNE DE LA 9e PORTE, paru aux éditions Edilivre. par Annik Couppez Véronèse d'Olrac

La presse en parle

Paru dans le Petit Tram Juin-Juillet 2011 PORTRAIT D’AUTEUR : Annik Couppez Véronèse d’Orléac – « la gardienne de la 9e porte", paru chez Edilivre 2012 « La gardienne de la 9e porte » est un roman d’aventure historique dont l’intrigue se situe au 21ème siècle mais dont le cœur plonge ses racines dans le mystère du trésor des Templiers. A travers ce roman, vous suivrez la quête à travers plusieurs pays de personnages riches et attachants, un régal pour les novices comme pour les initiés. Ce matin, j’ai rencontré Annik dans sa maison de Virginal. Hennuyère de racines, elle est brabançonne de cœur depuis plus de 20 ans. Née d’une mère violoniste et d’un père « littéraire », elle baigne depuis l’enfance dans le milieu artistique. Comme elle le dit elle-même : « Mes parents étaient très ouverts d’esprit, ils m’ont offert un cadre dans lequel je pouvais expérimenter ma soif de découverte et de rencontre … Ma famille m’a permis d’être moi ». D’une enfance sauvageonne, à courir dans les champs, fureter dans les grottes, elle garde un appétit de vivre tout ce qui la fait vibrer. Après des études de journalisme, une carrière dans le mannequinat, dans le théâtre, le chant, la sculpture, elle se lance avec bonheur dans l’écriture. « Ce qui mène ma vie, c’est l’émotion, les rencontres, je ne peux vivre que dans ce qui me fait vibrer, la monotonie tue la créativité, dans la vie, il faut faire des choix et je fais ceux qui me nourrissent ». Lorsque je lui demande comment elle en est arrivée à l’écriture de ce roman, elle plonge dans son passé : « Ma grand-mère écrivait, elle a transmis cette passion à mon père qui, lui-même, me l’a ensuite transmise. Lorsque j’écris, je le fais à ma façon, sans chercher un sujet « porteur », sans chercher à ressembler à quelqu’un d’autre ». Comme elle le dit, toute sa vie est histoire de rencontre et de transmission. L’histoire de ce livre, c’est d’abord l’histoire d’une rencontre, celle de Rudy Cambier, philologue et spécialiste du moyen âge. « Je l’ai rencontré dans le cadre d’un article sur ses travaux. De là, est née une belle amitié, c’est lui qui m’a accompagnée dans ce travail de longue haleine. » Deux années seront nécessaires pour arriver au point final de cet ouvrage. Deux années consacrées à faire des recherches auprès de spécialistes pour « avoir une base solide », à cheminer sur son propre chemin, à rencontrer d’autres personnes, à laisser vivre et grandir les personnages de son histoire. « J’ai choisi la forme du roman pour rendre les travaux de Rudy accessibles au plus grand nombre. La lecture de ce roman je l’ai voulue construite sur trois niveaux : une lecture accessible au quidam, basée sur un roman d’aventures, un deuxième degré avec des références pour ceux qui s’intéressent à l’histoire des templiers et un troisième dont les références ne sont accessibles qu’aux initiés. » C’est sans doute ce qui rend cet ouvrage passionnant, on sent que derrière les mots, il y a de la chair, une véritable recherche et une envie de partager. Et après le point final … ? « J’ai voulu laisser la fin ouverte sur une possibilité de suite … on verra J »

Préface de Rudy Cambier

Éloge de la simplicité Dans son discours de réception à l’Académie Française, Buffon énonça cette phrase étonnante : Le style est l'homme même. Vérité surprenante de paradoxe : l'art n'est-il pas toujours et partout artifice, convention, déguisement ? Bien sûr que oui ! Mais combien de fois – des centaines, des milliers ? – n'ai-je pas constaté que Buffon avait vu juste... Car le paradoxe n'est pas là où on l'attend, pas dans l'art mais dans l'homme : le petit homme ordinaire est un petit menteur et l'homme public est un grand, un immense menteur. Telles gens qui ne parlent que de défendre ou prononcer la justice sont seulement avides et iniques ; tels politiciens ou syndicalistes qui se clament les défenseurs des petits travailleurs s'acharnent à faire grosse fortune, et vite ; telle vedette qui se construit une renommée de charmante gentillesse est, hors caméras et micros, une fort méchante rosse ; et tel don juan susurre "De toute ma vie je n'ai jamais croisé une femme comme toi" à celle qui vient de lui faire savoir en se plaignant de son homme qu'elle a envie de passer, dévêtue, une couple d'heures en présence de ce semi-professionnel de la baise subreptice. Les artistes aussi font tout cela. Mais l'art de l'écriture est différent en ceci que Buffon avait bien perçu : lue attentivement – vraiment attentivement – toute œuvre d'écriture livre l'être intime de l'écriveur. Je vais vous donner un exemple qui est à l'exact opposé d'Annik : si vous lisez attentivement les romans de Mauriac, vous comprenez que l'auteur, qui affecte et affiche la sainteté formelle, est un sinistre faux-cul infecté de presque tous les vices que Satan, en sa malignité, créa. Il y a un sacré bout de temps que je connais Annik. Deux images pour vous la montrer : Annik, dans la mer à Cuba, apprivoisant des dauphins jusqu'au point de les amener à venir la caresser, et Annik, quelque part en Afrique, parvenant à prendre et papouiller un lionceau à côté de la lionne qui surveille, et à portée d'un coup de griffe mortel ! Voilà donc qui est cette femme d'une force de caractère hors du commun. Par des moyens simplissimes – pas de mots, peu de gestes – elle conquiert l'âme des êtres sensibles en leur parlant avec le langage de son cœur seulement : bonté, gentillesse, générosité et simplicité. Le style d'Annik, c'est ça : pas d'effets gratuits, pas de "m'as-tu vu écrire", pas non plus de ces collections de ficelles et de trucs qu'on enseigne dans les écoles d'écriture américaines et autres, non, rien que la simplicité. Les cuistres, je le sais d'avance, dénigreront cette manière de faire les phrases. Je vais donc répondre par avance aux méchancetés dédaigneuses qu'ils n'ont pas encore dites. Moi, je suis un vieil homme de la terre et mon style est à l'image de la terre, parfois sec comme un désert, parfois gai comme un pinson, parfois acéré et attentif comme les loups en chasse, parfois complexe comme une molécule d'ADN, parfois calme comme un bord de mare. Mon style est terrien, celui d'Annik, lui, est stellaire en ce sens que ses livres sont composés uniquement d'une accumulation d'atomes légers, et puis tout d'un coup, on s'aperçoit que ça brille, comme une étoile. Mais seul le sage voit les étoiles... Il me reste à remercier Annik d'avoir puisé dans mes travaux une partie de la trame de son roman car cette histoire que j'ai découverte, l'histoire vraie de sauvetage de l'Ordre du Temple manigancé par le prieur de l'abbaye cistercienne de Cambron, est tellement surprenante et tellement belle qu'elle mérite de devenir une légende.