vendredi 31 mai 2013

Comment ouvrir l'aura.

 
Le Nouveau Signe
"Comment ouvrir l'aura à la Lumière solaire originelle ? Il faut qu'elle se dégage des images liées à la peur, au passé, à l'égocentrisme. ll faut oser se perdre soi-même en se tournant vers la Rose des Mystères, I'étincelle de Lumière du coeur. Par l'aura apaisée, les forces éthériques du Monde originel pénètrent dans la moelle épinière et le cerveau, et transforment la respiration et le sang. L'image de l'Homme parfait originel remplace alors celle de l'homme-moi terrestre, et la Lumière originelle peut transmettre au sang l'or alchimique, cette vibration divine qui renouvelle l'aura et assure la transfiguration du candidat aux Mystères gnostiques."
Voir ce livre sur le site de l'éditeur


La vie de Confusius.


PRIERE DES TEMPLIERS EN PRISON .

PRIERE DES TEMPLIERS EN PRISON .
« Que la grâce du Saint-Esprit nous assiste. Que Marie, Etoile de la mer, nous conduise au port
Du salut. Amen.
Seigneur Jésus, Christ saint, Père éternel et Dieu tout-puissant, sage Créateur, Dispensateur bienveillant et Ami révéré, humble et pieux Rédempteur, Sauveur clément et miséricordieux, je Te prie humblement et Te requiers de m’éclairer, de me délivrer et de me protéger , avec tous les frères de Temple et tout Ton peuple chrétien qui est dans la confusion et dans l’angoisse de l’avenir. Accorde-nous, Seigneur, en qui sont et de qui viennent toutes les vertus, bienfaits, dons et grâces du Saint-Esprit, accorde nous de connaitre la vérité et la justice, la faiblesse et l’infirmité de notre chair, d’accepter la véritable humilité, afin que nous puissions mépriser ce triste monde et ses souillures, les vains plaisirs, l’orgueil et toutes les misères, de n’aspirer qu’aux biens célestes, de travailler humblement au maintien de nos vœux et de Tes commandements.
Très Saint Seigneur Jésus-Christ, par le mérite de Tes vertus, que Ta grâce nous accorde, puissions-nous échapper au diable rugissant, à tous nos ennemis, à leurs embûches et à leurs œuvres. Ô notre Rédempteur et défenseur, ceux que par Ta passion et Ton humilité tu enchaînes au bois de la croix, les rachetant par Ta miséricorde, protège-les, protège-nous. Par Ta sainte croix et par son signe, puissions-nous triompher de l’ennemi et de ses embûches. Protège Ta sainte Eglise, éclaire ses prélats, ses docteurs et ses recteurs, avec tout Ton peuple chrétien ; qu’ils proclament et accomplissent Ton service et Ta volonté d’un cœur pur, humble et pieux ; que leur piété soit pure et exigeante ! Qu’ils enseignent le peuple et l’éclairent par le bon exemple. Puissions-nous, pour notre part, accomplir humblement les œuvres d’humilité, à Ton exemple et à celui des saints apôtres et des élus. Puissions-nous considérer de quoi nous sommes faits, ce que nous sommes et ce que nous serons, ce que nous faisons et devons faire pour avoir la vie conduisant aux joies du paradis. Daigne éclairer et convertir ceux qui n’ont pas été revivifiés par l’eau et l’Esprit-Saint, afin qu’ils obéissent à Ta sainte loi et reçoivent les sacrements de la sainte Eglise, et qu’ils gardent ensuite Ta sainte foi . Seigneur, donne à Ton peuple chrétien la soif et la possession de cette Terre sainte où Tu es né dans le dénuement, où Ta sainte miséricorde nous a rachetés, où Tes exemples et Tes miracles nous ont instruits… Daigne faire en sorte que nous la libérions par Ta Grâce et la possédions ! Que nous remplissions Tes saints services et volonté !
Dieu miséricordieux, T religion, qui est celle du Temple du Christ, a été fondée en concile général et en l’honneur de la sainte et glorieuse Vierge Marie Ta mère, par le bienheureux Bernard, Ton saint confesseur, élu à cette fin par la sainte Eglise romaine. C’est lui qui, avec d’autres prud’hommes, l’enseigna et lui confia sa mission. Or, la voici prisonnière et captive du Roi de France pour une injuste cause. Veuille la délivrer et la protéger, par la prière de la sainte et glorieuse Vierge Marie Ta mère et de la cour céleste . Seigneur, Toi qui es la vérité, qui sais que nous sommes innocents, fais-nous libérer, afin que nous tenions humblement nos vœux et Tes commandements, dans l’accomplissement de Ton saint service et de Ta volonté. Ces mensonges iniques lancés contre nous par pressions et tribulation (exauce nos prières !), tout ce que nous avons souffert, la condamnation pour nos corps, les propos qui nous ont été rapportés de la part de Monseigneur le pape, la prison perpétuelle que nous vaut l’infirmité de notre chair, puissions –nous n’avoir plus à endurer cela, malgré les calomnies qui pèsent si douloureusement sur nos consciences ! Protège-nous, Seigneur, avec tout Ton peuple chrétien ; apprends-nous à T’obeir. Donne à Philippe, notre roi, qui est petit-fils de Saint Louis, Ton saint confesseur, de mériter comme lui, par sa vie parfaite et ses mérites, la paix en son royaume et la concorde entre les siens, les rois, princes, barons et chevaliers. Que tous ceux qui ont été désignés pour faire garder la justice y veillent selon Tes commandements, l’accomplissent, souffrent et conservent entre eux et pour tout le peuple chrétien la paix et la lumière. Donne-leur de reconquérir avec nous la Terre-Sainte, et d’accomplir Ton saint service et Tes saints ouvrages ; accorde à tous nos parents, bienfaiteurs et prédécesseurs, à nos frères vivants et défunts la vie et le repos éternels.
Toi qui vis et règnes, étant Dieu, par tous les siècles des siècles. Amen.
De moi-même je ne suis pas digne de prier : mais que Ta miséricorde et Ton abaissement, que la bienheureuse et glorieuse Vierge Marie, Ta mère et notre avocate, que toute la Cour céleste intercèdent pour nous et nous obtiennent cette grâce. Amen.
Sainte Marie, Mère de Dieu, Mère très pieuse, pleine de gloire, sainte Mère de Dieu, Mère toujours vierge et précieuse….. Ô Marie, salut des infirmes, consolatrice de ceux qui espèrent en Vous, triomphatrice du mal et refuge des pécheurs repentants, conseillez-nous, défendez-nous. Défendez Votre religion, qui a été fondée par Votre saint et cher confesseur le bienheureux Bernard avec d’autres prud’hommes institués par la sainte Eglise romaine ; c’est en votre honneur, ö très sainte et glorieuse, qu’elle s’est répandue. Nous vous en prions humblement, obtenez-nous la libération de Votre religion et de ses biens, avec l’intercession des anges, des archanges, des prophètes, des évangélistes, des apôtres, des martyrs, des confesseurs, des vierges elles-mêmes – en dépit des calomnies qui, Vous le savez, nous sont jetées à la face - ; que nos adversaires reviennent à la vérité et à la charité ! Puissions-nous, nous-mêmes, observer Vos vœux et les commandements de Notre-Seigneur Jésus-Christ, Votre fils, qui est notre défenseur, créateur, rédempteur, sauveur miséricordieux et très aimé.
Lui qui vit et règne, étant Dieu, par tous les siècles des siècles. Amen.
Prions. Dieu tout-puissant et éternel, qui nous as donné au bienheureux Louis, Roi de France et Ton saint confesseur, la grâce, les mérites, l’humilité, la chasteté, la justice et la charité, selon l’intercession de la bienheureuse et glorieuse Vierge Marie Ta Mère, que tant il aimait ; Toi qui as donné la paix à son règne, accorde-nous, Seigneur, par son intercession, la paix et le conseil ; délivre et conserve dans la vérité, malgré les calomnies, notre religion fondée en l’honneur de la sainte et glorieuse Vierge Marie Ta mère, afin qu’en cette Terre-Sainte où Ta miséricorde et Ton amour nous ont rachetés, nous accomplissions Ton saint service et Ta volonté, et qu’ensemble, avec notre Roi et les siens unis dans les mêmes mérites, nous accédions enfin aux félicités du paradis.
Toi qui, étant Dieu, vis et règnes par les siècles des siècles. Amen.
Dieu tout-puissant et éternel, qui tant aimas le bienheureux Jean l’Evangéliste, Ton apôtre, et le laissas reposer sur Ton cœur à la Cène ; qui lui révélas les célestes secrets, et, de la croix où Tu gisais pour le salut du monde, le recommandas à ta Sainte Mère et Vierge, en l’honneur de qui notre religion a été fondée, délivre et conserve celle-ci par Ta sainte miséricorde ; et de même que Tu nous sais innocents des crimes qu’on nous impute, de même accorde-nous d’observer nos vœux et Tes commandements dans l’humilité et dans l’amour, afin qu’au terme d’une vie méritoire, nous parvenions aux félicités du Paradis.
Par Jésus-Christ Notre Seigneur. Amen.
Dieu Tout-Puissant et éternel qui as illuminé le bienheureux Georges, ton preux chevalier et saint martyr, par son amour et par la glorieuse et bienheureuse Vierge Marie, Ta très sainte Mère, en l’honneur de qui fut fondée notre religion, daigne la délivrer et préserver avec nous, afin que nous observions humblement nos vœux et Tes commandements, et possédions la vie par laquelle nous mériterons d’accéder aux félicités du Paradis. Toi qui, étant Dieu, vis et règnes par les siècles des siècles. Amen. »
Traduit par R. Oursel.

mardi 28 mai 2013

La chapelle seigneuriale

La chapelle seigneuriale : Cette chapelle, pendant de la chapelle basse, fut érigée en 1480 pour offrir aux Seigneurs de Belcastel un lieu de culte privé.

The Lords' Chapel: In order to provide the Lords of Belcastel with an elite place of worship, the Lords’ Chapel was built in 1480 as a counterpart to the Lower Chapel directly below it.
La chapelle seigneuriale : Cette chapelle, pendant de la chapelle basse, fut érigée en 1480 pour offrir aux Seigneurs de Belcastel un lieu de culte privé. 

The Lords' Chapel: In order to provide the Lords of Belcastel with an elite place of worship, the Lords’ Chapel was built in 1480 as a counterpart to the Lower Chapel directly below it.

le château de Hohenzollern.

En Allemagne le château de Hohenzollern.
Il est situé au sommet du mont Hohenzollern à une altitude de 855 mètres. Il a été construit dans la première partie du XIème. Lorsque la famille se scinda en deux branches, le château est resté la propriété de la branche souabe. Il a été complètement détruit après un siège de 10 mois en 1423 par les villes impériales de Souabe. Un deuxième, plus grand et plus robuste, a été construit de 1454 à 1461 et a servi de refuge pour les Hohenzollern souabes catholiques en temps de guerre, y compris pendant la guerre de Trente Ans. À la fin du XVIIIème, cependant, le château a perdu son importance stratégique et est peu à peu tombé en ruine. On dut démolir plusieurs bâtiments délabrés. Aujourd'hui, seule la chapelle subsiste du château médiéval. La troisième version du château, qu'on peut voir aujourd'hui, a été construite pour Frédéric-Guillaume IV de Prusse entre 1846 et 1867, sous la direction de Friedrich August Stüler, dont le style avait été inspiré par le néo-gothique anglais et les châteaux de la Loire.
En Allemagne le château de Hohenzollern.
Il est situé au sommet du mont Hohenzollern à une altitude de 855 mètres. Il a été construit dans la première partie du XIème. Lorsque la famille se scinda en deux branches, le château est resté la propriété de la branche souabe. Il a été complètement détruit après un siège de 10 mois en 1423 par les villes impériales de Souabe. Un deuxième, plus grand et plus robuste, a été construit de 1454 à 1461 et a servi de refuge pour les Hohenzollern souabes catholiques en temps de guerre, y compris pendant la guerre de Trente Ans. À la fin du XVIIIème, cependant, le château a perdu son importance stratégique et est peu à peu tombé en ruine. On dut démolir plusieurs bâtiments délabrés. Aujourd'hui, seule la chapelle subsiste du château médiéval. La troisième version du château, qu'on peut voir aujourd'hui, a été construite pour Frédéric-Guillaume IV de Prusse entre 1846 et 1867, sous la direction de Friedrich August Stüler, dont le style avait été inspiré par le néo-gothique anglais et les châteaux de la Loire.

lundi 27 mai 2013

Symbolisme de la vraie Croix

Symbolisme de la vraie Croix à branches égales, dite CELTIQUE, suivi de celle de l'être vivant aux chakras actifs comparée à la version négativisée de la croix du supplicié solaire.

Les Atlantes précédèrent notre actuelle humanité.

AETHIOPIA, nom donné jusqu'au Moyen-Âge à l'Ancienne Égypte, ainsi qu'une grande portion de l'Afrique Noire.

TEMPLE D'AMUN de Méroé d'où découlera le culte solaire égyptien de Sol Om On à ON renommée Héliopolis par les grecs. La façade aux deux colonnes bien distinctives de ce temple n'est pas sans immédiatement évoquer le Temple du prétendu roi Salomon, Jedydiah le Solymite : cherchez l'erreur historique !

http://fr.wikipedia.org/wiki/Théorie_de_l'invasion_aryenne : comment "on" tend à nous faire oublier que :

1) Les Atlantes précédèrent notre actuelle humanité.

2) Qu'ils avaient établi des comptoirs commerciaux au Portugal, en l'actuelle Gallicie hispanique, et le long des côtes ATLANTiques françaises, notamment de St Jean de Luz jusqu'en Bretagne.

3) Les Atlantes peuplèrent le pays basque et les Pyrénées AVANT d'aller fonder les bases de l'Ancienne Égypte.

4) La destruction cataclysmique cyclique anéantit lentement mais sûrement la civilisation Altante dont les rescapés de l'engloutissement final de l'Île résiduelle sous l'Océan ATLANTique se séparèrent en 4 groupes aux quatre coins du monde.

5) L'un des quatre groupes n'eut d'autre choix du fait des intempéries glaciaires que d'émigrer dans les pays nordiques, pour descendre par les steppes de Russie jusqu'en Anatolie (actuelle Turquie) puis aux Indes, re réfugier d'un second Déluge sur les hauts plateux himalayiens.

6) Ce n'est qu'une fois les plaines Mésopotamiennes redevenues fertiles après le retrait des eaux diluviennes, que ce groupe de rescapées BORÉENS menés par leur Archidruide (arch= chef -> archevêque = chef des évêques) RÂMA, RAM, REEM, divinisé aux Indes du nom de BRAHMA, connu bibliquement du nom d'ABRAHAM, de la Lignée Royale de UR (information occultée).

7) Ces ÉBROS généreront en Mésopotamie une Lignée Royale, celle de KUSH (déformé en KISH), que l'on retrouvera en Ancienne Égypte : les Rois Koushites du Nubie (ce photos-montage).

8. L'historiographe de France, CLAUDE FAUCHET, pour détenir encore les archives généalogiques royales avant de s'en faire déposséder par traîtrise, savait, et écrivit que la Lignée Royale des GOTHS, et plus particulièrement des WISIGOTHS Baltes, provenait des Rois Koushites, les Goths apparaissant en réalité en PERSE, l'actuel Iran, immédiatement après la prétendue disparition des Koushites !

la lignée royale française descendait de Marie Madeleine.

Philippe Jean Christian Pigot
« Il est intéressant de noter que le roi de France Louis XI, qui règna de 1461 à 1483, insistait sur le fait que la lignée royale française descendait de Marie Madeleine. » Robert Ambelain

La vraie Sainte Famille stratégiquement évincée des écrits religieux de l'Église des katholikos judéo-romano-babyloniens : Maria de Magdala l'Égyptienne, surnommée l'Étoile, mariée à Yohan de Goth l'Ancien, dit Zébédée, le Gaulonie, le Caput/Capet = la Tête de Lignée, alias Jean le Baptiste.

De leur union naquit trois enfants : une fille nommée Talmah (corrompu en Tamar ou Tomar, puis "Sarah" Damaris, "sarah" n'étant pas un prénom mais le terme "Princesse"), et deux jumeaux, Yacob de Goth (Jacques le Mineur) et Yohan "le Jeune" alias l'Apôtre ou l'Évangéliste, lequel son Initiation accomplie fut renommé par les siens pour un temps Yahushua le Tzadik (ou Zaddik), c'est-à-dire Josué/Jésus le Juste.

Précisons que les faits historiques nous amènent d'Aethiopia (nom donné anciennement à l'Égypte) au sud de la Celtide (ou Gaule), précisément en l'ex-Occitanie ! Il serait bon de s'intéresser de près à St Bertand de Comminges, l'antique Lugdunum Convenae...

Ainsi, Maria et Jean furent les géniteurs de la lignée des Rois Goths (Wisigoths ET Ostrogoths), eux-mêmes à l'origine de la vraie lignée des Rois de FRANCIE, qui n'était en rien ce que devint la France des François (Francs) : des Germains venus de Hollande conquérir la Francie par la Belgique !

(suite) La fin des templiers par Rudy Cambier.

Scène 3 *** Albert d'Athensis et Arsène arrivent en devisant, comme si la conversation avait déjà commencé. Arsène Dans cette affaire, Monsieur, ma position est délicate. Albert Faites trêve de délicatesses et de petites manières. Arsène Croyez bien, Monsieur, que si je n’étais travaillé par mon devoir d’ami, si je n’étais tourmenté par ma conscience … Albert Vous allez continuer longtemps comme ça, à tourner autour du pot ? Arsène Eh bien, puisque vous exigez que je vous le dise tout net, je vous assène le fait : votre fils Julien, mon ami Julien, mon meilleur, mon seul ami est en danger. Albert Hein ! En danger ? Mon gamin en danger ! On le menace ! Qui le menace ? Dites-moi qui et je vais m’en occuper de ce pas. Menacer mon gamin ! Je vais lui en foutre, moi ! Arsène Je crains que nous ne soyons en plein dans le quiproquo, Monsieur, … Albert Dans le quiproquo ? Si vous disiez les choses et nommiez les gens, on saurait de quoi vous parlez. Arsène Celle qui menace mon ami est une femme. Albert totalement éberlué Qu’est-ce que vous me chantez là ? Puis il éclate de rire : Une femme qui menace mon fils ! Arsène Oui, Monsieur. Albert Une bonne femme ! Arsène Oui, Monsieur Albert Vous êtes sûr ? Arsène Absolument, Monsieur. Albert À mon idée, on s’est fichu de vous. Arsène Certainement pas, Monsieur. J’en ai été le témoin. Albert Vous en avez été témoin ! Arsène Oui, Monsieur. À plusieurs reprises. Albert À plusieurs reprises ! Arsène Oui, Monsieur ! Albert Et il ne lui a pas fichu une trempe pour lui remettre la tête en place ? Arsène Oh, il n’allait certes pas … Albert Vous avez raison. Il n’allait pas … Pauvre gamin, va … il sera toujours aussi nouille. Arsène C’est que … Albert Oh, n’essayez pas de le défendre. C’est une mauviette. Au fait, c'est quoi, cette menace ? Et vu que vous étiez là quand il a été menacé, qu’avez-vous fait, vous, pour défendre votre meilleur ami ? Arsène Euuuhhh. C’est-à-dire queuuu … La situation n’était paaas … Albert Ouais ! … Ouais ! … Ouais ! Arsène En fait, le danger n’était pas immédiat, Monsieur. Albert Que le danger soit immédiat ou reporté, une menace, il faut la traiter et la contrer. Arsène Le mot menace est ici plutôt une figure. Albert La menace, une figure ? Qu’est-ce que c’est de cette histoire ? Où voulez-vous en venir à la fin avec vos menaces qui sont des figures ? Et qu’est-ce que c’est que ce langage qui a peur de l’ombre des mots ? Je vous engage à être clair. Arsène Une femme a mis la main sur Julien. Albert incrédule et hilare Une femme a mis la main sur Julien ! Non ! Et dites-moi, cette femme … Arsène Oui, Monsieur Albert Sa main … elle l'a posée à un endroit … intéressant ? Confusion d’Arsène. Et Julien, ça lui a plu ? La manifestation chez lui était … évidente ? L’avez-vous vu faire montre de … son honneur ? Diriez-vous que votre ami était … en gloire ? La dame a-t-elle été heureusement surprise ? N’eut-elle pas l’air affligé ? Son regard fut-il moqueur ? Poussa-t-elle une moue dubitative ? Non ? Haha ! Quoique les femmes soient fort menteuses, nous croirons donc que celle-là ne fut pas déçue. Vous pouvez répondre, puisque vous y étiez. Arsène Vous prenez tout cela à la plaisanterie, et c’est bien naturel, Monsieur, mais il n’empêche que Julien est amoureux. Albert Amoureux ? La belle affaire ! Ça lui passera. Et est-ce que je connais l’heureuse éveilleuse des sens ? Arsène Je le pense, Monsieur. Albert Pensez moins et dites-moi son nom. Arsène Éliabel Labrique. Albert La fille du Philosophe ? Haha ! Admiratif : Hahaaa ! Une pas facile, celle-là ! Dites, mais c’est un exploit ! Je n’aurais jamais cru ça du gamin. Et où se sont-ils cachés pour entreprendre le double dépucelage ? Arsène Je ne crois pas, Monsieur, qu'ils en soient à ce … Albert Il ne la baise pas ? Arsène Non, Monsieur. Albert Et elle non plus ? Arsène Forcément ! Monsieur. Albert Mmmouais … forcément comme vous dites. Alors, s'ils tardent tant, c'est qu'il se pourrait bien que ces deux-là soient vraiment pris d’amour. Ça risque … Arsène Vous avez mille fois raison, Monsieur. Une mésalliance est toujours une triste fin. Albert Mésalliance ? Triste fin ! De quoi parlez-vous ? Arsène Mais Monsieur, assotti comme il l’est, Julien voudra l’épouser. Albert S’il veut l’épouser, eh bien, je dirai oui ! Arsène Comment ! Monsieur … Albert Je dirai oui parce que ce sera une très bonne affaire. Je ne vous apprends pas, jeune homme, que Julien n’est que le cadet d’un nobliau sans grande fortune, en l’occurrence moi. La fille du Philosophe est un excellent parti, héritière et dotée. Si la fille a de la bonté, Julien sera heureux. Et si la fille l’aime, Julien aura gagné le Paradis. Arsène Vous voulez donner votre accord à ce … à cette … Albert Et même ma bénédiction ! Arsène Mais que dira Madame d’Athensis ? Albert Les mêmes bêtises que vous, bien entendu ! Écoutez-moi, jeune Arsène si serviable et si soucieux de son meilleur ami, on va laisser Julien devenir un homme et on va surtout lui ficher la paix. Allez, à la prochaine et merci de votre service ! Albert s'en retourne à sa place et grommelle en aparté bien audible Ce type est tellement faux-cul qu'il l'est même trop pour en faire un diplomate. ° ° ° ° ° (à suivre).

le château de La Palice dans l'Allier.

En France, le château de La Palice dans l'Allier.
La partie féodale du château a été bâtie entre le XIème et le XIIIème. Le château et la seigneurie de la Palice appartenaient en 1230 à Roger de la Palice. En 1429, la seigneurie passe à Charles de Bourbon qui gérait le duché en l'absence de son père fait prisonnier à la bataille d'Azincourt. Il vendit, le 18 mars 1430, le château et la châtellenie de la Palice à Jacques de Chabannes, conseiller et chambellan du roi Charles VII. C'est probablement Jacques Ier de Chabannes qui entreprit la construction de la chapelle Saint-Léger avant sa mort intervenue quelques mois après avoir été blessé à la bataille de Castillon, en 1453. Son petit-fils, Jacques II, maréchal de France, marié en seconde noce à Marie de Melun, fit construire au début du XVIème l'aile renaissance en briques roses. Elle remplaçait ainsi la muraille qui reliait le château fort à la chapelle de style gothique. C'est du château de la Palice que le connétable de Bourbon va prendre la fuite, en 1523...
Le logis primitif, trois des tours et les courtines datent approximativement du XIIIème, tout comme les remparts complétés au XIVème. La chapelle de style gothique a été construite en 1461, puis le logis Renaissance à parements de briques fin XVème début XVIème. Les salons entièrement meublés abritent de nombreux souvenirs historiques. Les plafonds sont à caissons rehaussés d'or et de couleurs. Les communs et les anciennes écuries sont éloignés du château. Le château a fait l'objet d'une restauration par l'architecte René Moreau en 1885-1886. L'architecte et inspecteur des travaux diocésains de Moulins, Jean-Bélisaire Moreau restaura la chapelle Saint-Léger en 1875 et fit ajouter une flèche en charpente.
En France, le château de La Palice dans l'Allier. 
La partie féodale du château a été bâtie entre le XIème et le XIIIème. Le château et la seigneurie de la Palice appartenaient en 1230 à Roger de la Palice. En 1429, la seigneurie passe à Charles de Bourbon qui gérait le duché en l'absence de son père fait prisonnier à la bataille d'Azincourt. Il vendit, le 18 mars 1430, le château et la châtellenie de la Palice à Jacques de Chabannes, conseiller et chambellan du roi Charles VII. C'est probablement Jacques Ier de Chabannes qui entreprit la construction de la chapelle Saint-Léger avant sa mort intervenue quelques mois après avoir été blessé à la bataille de Castillon, en 1453. Son petit-fils, Jacques II, maréchal de France, marié en seconde noce à Marie de Melun, fit construire au début du XVIème l'aile renaissance en briques roses. Elle remplaçait ainsi la muraille qui reliait le château fort à la chapelle de style gothique. C'est du château de la Palice que le connétable de Bourbon va prendre la fuite, en 1523...
Le logis primitif, trois des tours et les courtines datent approximativement du XIIIème, tout comme les remparts complétés au XIVème. La chapelle de style gothique a été construite en 1461, puis le logis Renaissance à parements de briques fin XVème début XVIème. Les salons entièrement meublés abritent de nombreux souvenirs historiques. Les plafonds sont à caissons rehaussés d'or et de couleurs. Les communs et les anciennes écuries sont éloignés du château. Le château a fait l'objet d'une restauration par l'architecte René Moreau en 1885-1886. L'architecte et inspecteur des travaux diocésains de Moulins, Jean-Bélisaire Moreau restaura la chapelle Saint-Léger en 1875 et fit ajouter une flèche en charpente.

samedi 25 mai 2013

Qui aurait cru que le défenseur des opprimés, l’écrivain de Nana et de Germinal, célèbre la victoire de l’armée et le rétablissement de l’ordre ?

3ème lettre d’Émile Zola sur la « Semaine sanglante » de la Commune :
« Que l’œuvre de purification s’accomplisse ! »

Qui aurait cru que le défenseur des opprimés, l’écrivain de Nana et de Germinal, célèbre la victoire de l’armée et le rétablissement de l’ordre ? Émile Zola : 3ème lettre sur la « Semaine sanglante » de la Commune.
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Le 24 mai 1871
Quelle affreuse guerre ! Il est temps que cet horrible cauchemar finisse. La folie finirait par monter aux cerveaux de Paris entier. Jamais plus épouvantable crise n'a éclaté dans une grande ville.
On commence à saisir dans son ensemble le plan d'attaque qui a présidé à la prise de Paris. Les nouvelles qui circulent sont toujours aussi confuses, aussi fausses. Mais il est permis de trier les vérités des mensonges et d'arriver logiquement aux choses possibles et réelles. […]
Avant de s'emparer du centre de Paris, il fallait être maître de Montmartre ; sans quoi on laissait à la Commune une retraite naturelle, une forteresse très forte qui aurait été défendue par des hommes désespérés et acculés. Aussi, hier matin, l'effort des troupes a-t-il porté avant tout sur les Buttes. Une lutte acharnée de huit heures les a enfin fait tomber entre les mains de l'armée ; trois colonnes avaient réussi à les cerner ; mais que de morts, quel épouvantable vacarme ! Les Batignolles ont été pris rue par rue ; heureusement que le canon ne pouvait tirer dans ce dédale de petites voies ; les maisons ont eu peu à souffrir. Quand le drapeau tricolore, vers trois heures, a été arboré sur le Moulin de la Galette, le quartier a poussé un soupir de soulagement.
Voilà donc ce terrible berceau de l'émeute au pouvoir de nos soldats. C'est là un résultat excellent, qui coupe la guerre civile dans ses racines mêmes. Je vous avoue que j'ai été ravi quand j'ai vu le mouvement se prononcer ainsi sur la gauche. On isolait les farouches, on les enfermait dans une souricière, dont pas un maintenant ne sortira que mort ou prisonnier.
À la gare du Nord se livrait aussi un combat acharné, qui s'est terminé naturellement par l'occupation de la gare. Un combat violent d'artillerie avait également lieu près de la Madeleine, sur le boulevard Malesherbes. Les insurgés, refoulés jusqu'à la mairie de la rue Drouot, s'y sont battus avec la rage du désespoir.[…]
Pendant ce temps, sur la rive gauche la lutte continuait avec une égale violence. il n'y a eu que deux points défendus sérieusement par les insurgés, la gare de l'Ouest et le carrefour de la Croix-Rouge. À la gare de l'Ouest, l'affaire a été horriblement sanglante. C'est là que les cadavres sont les plus nombreux ; des hauteurs du Trocadéro, on distingue autour de la gare ces points noirs qui sont autant de victimes couchées dans la poussière blanche des grandes voies. […]
Maintenant, il est aisé de se rendre compte du plan général. La journée d'hier a été décisive. L'armée, se séparant en deux immenses colonnes, a ouvert une sorte de pince formidable sur le centre de Paris ; les deux branches de cette pince se sont avancées, l'une vers le nord, où elle s'emparait de Montmartre et de la Chapelle, l'autre vers le sud, où elle arrivait jusqu'au pont Saint-Michel. La pince n'a plus, à présent, qu'à se refermer pour écraser les débris de l'insurrection. Comme je l'ai dit, pas un émeutier ne peut échapper à cette étreinte terrible.
L'émeute est enfermée dans cette bande de Paris comprise entre les boulevards et les quais, la place de la Concorde et l'Hôtel de Ville. Il ne faut pas se dissimuler qu'ils sont là dans une forteresse, s'appuyant sur les deux places d'armes de l'Hôtel de Ville et des Tuileries. Personne ne doute du succès, et on espère même que ce soir, demain au plus tard, tout sera fini ; mais on tremble en pensant que le noyau des farouches est là, au centre de Paris, pouvant commettre toutes les folies. Depuis ce matin, la fusillade ne cesse pas. Le temps est superbe. La fumée monte toute droite, comme un panache superbe. Le canon tonne du côté des Tuileries. Les Champs-Élysées, absolument déserts, sont sillonnés par une grêle de boulets. Une batterie versaillaise, établie à la place de l'Étoile, bat les Tuileries, qui répondent furieusement et qui endommagent les bas-reliefs de l'Arc de Triomphe. À l'autre extrémité, devant l'Hôtel de Ville, la canonnade est aussi très bruyante. Le Trocadéro bombarde le palais communal, que des batteries, placées sur la rive gauche, prennent en écharpe. La ville tremble, fris[s]onne jusque dans ses fondements. Si j'osais hasarder cette comparaison, je dirais qu'on la frappe au cœur en ce moment, et que toutes ses entrailles en frémissent. Le râle de cette Commune maudite est horrible.
L'aspect de Paris ne peut se raconter. La ville est dans le rêve. Des courants de panique traversent des quartiers entiers qui se vident en un instant. On a fêté les soldats avec frénésie : des dames apportent dans les rues des bouteilles de vin, des pains, des saucissons, qu'elles distribuent aux libérateurs. C'est une véritable entrée triomphale. Sur d'autres points, le spectacle est absolument différent. Aux endroits où la lutte s'est engagée, il a fallu déployer une grande sévérité. On me raconte que les habitants de certaines rues ont été faits prisonniers en masse et envoyés à Versailles, non pas qu'on songe à sévir contre eux, mais parce qu'il a paru nécessaire de faire le vide dans certains coins. C'est la part du feu. Les abords de Montmartre, tout le haut des Batignolles ont été ainsi dépeuplés, pour permettre au canon de tirer en plein dans le tas des insurgés. Vous pensez bien que ces quartiers ne sont guère animés aujourd'hui. On dirait de petites villes mortes. Le soleil s'y abat lourdement comme dans des cimetières abandonnés. Les maison dorment ; de loin en loin, une persienne trouée de balles pend sur ses gonds, une porte grande ouverte laisse voir une maison affreusement bouleversée. Pas un promeneur. Des cadavres qui rêvent, aplatis, le nez sur le trottoir.
On aurait fusillé, séance tenante, quelques membres de la Commune pris dans le bataille. Ces exécutions immédiates seraient le fait de soldats exaspérés.
Il faut attendre pour savoir l'exacte vérité. Mais une des grandes craintes, c'est le sort des otages. Depuis l'entrée des troupes dans Paris, le Comité de salut public n'a pas donné signe de vie. Ce silence épouvante, on craint que les misérables aient agi. Ce matin, j'ai même entendu dire que la Préfecture de police brûlait. Le feu y aurait été mis par une bande de scélérats, pour y étouffer vifs les nombreux prisonniers arrêtés depuis deux mois. Je crois les fanatiques capables de tout. S'ils ont commis un tel crime, l'armée, qui est déjà furieuse contre eux, les massacrera jusqu'au dernier sur la place de l'Hôtel de Ville. À ce moment de justice suprême les chefs ne seront plus maîtres des soldats.
Que l'œuvre de purification s'accomplisse !
( Source: ZOLA (Émile), Œuvres Complètes (Tome 4), Paris, Nouveau Monde, 2002. )

In 1187 Saladin recaptured Jerusalem and forced the Knights to resort Ptolemais ...

In 1187 Saladin recaptured Jerusalem and forced the Knights to resort Ptolemais (County of Tripoli, St. John of Acre, why except Order of the Knights of Malta are also called the Order of the Knights Hospitallers), where they remained there for about a century, before forced to abandon permanently the Holy Land and settle in Cyprus. Finally, on 15 August 1310 under the leadership of Grand Master Fulk de Villaret and with the consent of Pope Clement, the Hospital (the other name) moved its headquarters to Rhodes (Knights of Rhodes), holding also Halicarnassus and Kastelorizo where he undertook reorganization guild and having inherited the fortune of their competitors Templars after their dissolution as blasphemous heresy, with several members to join the Knights.
When was definitively conquered Rhodes Castle Masters Muslims, allowing the safe withdrawal of the battalion with all their belongings, settled in Malta who had granted the Charles E Spain, hence the renaming them.
The battalion lost many of his possessions to the spread of Protestantism and other sects, but survived in Malta.
The Maltese Cross is the emblem of the Knights and represents the four great gods of Assyria: Ra, Anu, and Ea Vilos.

Who of us can imagine, without seeing a specific charter, the size of the EEZ and the FIR of Malta; Who among us can not recognize the geostrategic position of Malta in the center of the Mediterranean; Who can ignore the role of Malta as shield of Christendom; All these questions are not rhetorical. Belong exclusively to the field of obstetrics, under the famous terminology of Socrates.

Here I will make a point. The date of termination of the first crusade: 11/11/1100. Not much has been written about the number 11 11 11.
Now why should be more important to end and not the beginning, maybe there were difficulties regarding the timing of the existence of numerous different guilds.
For their economic survival had indulged in piracy and the slave trade against Islamists, releasing Christian captives. In 1577 German Annex guild embraces Lutheranism without even deprived of financial assistance the core. Gradually, the knights are losing ground so indulge again in slavery strengthening their finances and continuing to put against the Ottomans. Sent their fleet where there was need. Every battle and every battle happened assistance guild. In 1607 magistros anointed "Prince of the Holy Roman Empire" and in 1630 the privileges given equivalent Cardinal.
In 1798 the knights agree to use Malta as a refueling station for the troops of Napoleon. A year after Bonaparte gets hold of the sovereignty of the island and the guild is back without seat. Paul the Great offered accommodation in order to return the position of Grand Master. Paul did not take the office with the papal bull nor and needed. Created the great Russian commune and managed to assimilate the guild changing the organization chart, checking finances and placing Russians as military commanders. At this point I want to make some correlations with the October revolution against the Tsars, the rise of Bolshevism and the causes for subsequent geostrategic policies!
In 1187 Saladin recaptured Jerusalem and forced the Knights to resort Ptolemais (County of Tripoli, St. John of Acre, why except Order of the Knights of Malta are also called the Order of the Knights Hospitallers), where they remained there for about a century, before forced to abandon permanently the Holy Land and settle in Cyprus. Finally, on 15 August 1310 under the leadership of Grand Master Fulk de Villaret and with the consent of Pope Clement, the Hospital (the other name) moved its headquarters to Rhodes (Knights of Rhodes), holding also Halicarnassus and Kastelorizo where he undertook reorganization guild and having inherited the fortune of their competitors Templars after their dissolution as blasphemous heresy, with several members to join the Knights.
When was definitively conquered Rhodes Castle Masters Muslims, allowing the safe withdrawal of the battalion with all their belongings, settled in Malta who had granted the Charles E Spain, hence the renaming them.
The battalion lost many of his possessions to the spread of Protestantism and other sects, but survived in Malta.
The Maltese Cross is the emblem of the Knights and represents the four great gods of Assyria: Ra, Anu, and Ea Vilos.

Who of us can imagine, without seeing a specific charter, the size of the EEZ and the FIR of Malta; Who among us can not recognize the geostrategic position of Malta in the center of the Mediterranean; Who can ignore the role of Malta as shield of Christendom; All these questions are not rhetorical. Belong exclusively to the field of obstetrics, under the famous terminology of Socrates.

Here I will make a point. The date of termination of the first crusade: 11/11/1100. Not much has been written about the number 11 11 11.
Now why should be more important to end and not the beginning, maybe there were difficulties regarding the timing of the existence of numerous different guilds.
For their economic survival had indulged in piracy and the slave trade against Islamists, releasing Christian captives. In 1577 German Annex guild embraces Lutheranism without even deprived of financial assistance the core. Gradually, the knights are losing ground so indulge again in slavery strengthening their finances and continuing to put against the Ottomans. Sent their fleet where there was need. Every battle and every battle happened assistance guild. In 1607 magistros anointed "Prince of the Holy Roman Empire" and in 1630 the privileges given equivalent Cardinal.
In 1798 the knights agree to use Malta as a refueling station for the troops of Napoleon. A year after Bonaparte gets hold of the sovereignty of the island and the guild is back without seat. Paul the Great offered accommodation in order to return the position of Grand Master. Paul did not take the office with the papal bull nor and needed. Created the great Russian commune and managed to assimilate the guild changing the organization chart, checking finances and placing Russians as military commanders. At this point I want to make some correlations with the October revolution against the Tsars, the rise of Bolshevism and the causes for subsequent geostrategic policies!

*Church Of The Knights Templars Of Balantrodach!

*Church Of The Knights Templars Of Balantrodach!
*Church Of The Knights Templars Of Balantrodach!

The real face of Jésus.


black face of Jésus.


Enigma.


Caerlaverock Castle is a moated triangular castle

Coucou à toutes et à tous!!! je trouve la vue et la forme triangulaire du château très sympathique. Château de Caerlaverock au sud de Dumfries dans le sud-ouest de l'Ecosse. A+.
Photo

Caerlaverock Castle is a moated triangular castle, first built in the 13th century. It is located 11 kilometres (6.8 mi) south of Dumfries in south-west Scotland.
Par : TRAVELERS

le château de Bamburgh.

En Angleterre, le château de Bamburgh.
Au Vème, l'emplacement de l'actuel château est occupé par un fort breton nommé Din Guarie, qui constitue peut-être la capitale du royaume de Brynaich. Les fortifications d'origine ont été détruites par les Vikings en 993. L'actuel château est construit autour d'une reconstruction des débuts de l'époque normande. Guillaume II d'Angleterre l'a assiégé sans succès en 1095 pendant une révolte soutenue par son propriétaire, Robert de Montbray, le Comte de Northumbrie. Après que Robert a été capturé, sa femme a continué la défense jusqu'à ce qu'elle ne soit contrainte de se rendre sous la menace du roi d'aveugler son mari. Bamburgh est alors devenu la propriété du monarque anglais. Henri II a probablement construit le donjon. Comme avant-poste anglais important, le château était la cible de raids occasionnels des Écossais. En 1464, pendant la guerre des Deux-Roses, il est devenu le premier château en Angleterre à être défait par l'artillerie, à la fin d'un siège de neuf mois par Richard Neville. Le château fut ensuite détérioré sous plusieurs propriétaires puis restauré au cours des XVIIIème et XIX ème siècles. Il est finalement acheté par l'industriel William George Armstrong qui termine sa restauration. Il appartient toujours à cette famille qui l'a ouvert au public. De nombreux films y ont été tournés, comme Ivanhoé, Le Cid, Marie Stuart, reine d'Écosse, Elizabeth et Robin des Bois.
En Angleterre, le château de Bamburgh.
Au Vème, l'emplacement de l'actuel château est occupé par un fort breton nommé Din Guarie, qui constitue peut-être la capitale du royaume de Brynaich. Les fortifications d'origine ont été détruites par les Vikings en 993. L'actuel château est construit autour d'une reconstruction des débuts de l'époque normande. Guillaume II d'Angleterre l'a assiégé sans succès en 1095 pendant une révolte soutenue par son propriétaire, Robert de Montbray, le Comte de Northumbrie. Après que Robert a été capturé, sa femme a continué la défense jusqu'à ce qu'elle ne soit contrainte de se rendre sous la menace du roi d'aveugler son mari. Bamburgh est alors devenu la propriété du monarque anglais. Henri II a probablement construit le donjon. Comme avant-poste anglais important, le château était la cible de raids occasionnels des Écossais. En 1464, pendant la guerre des Deux-Roses, il est devenu le premier château en Angleterre à être défait par l'artillerie, à la fin d'un siège de neuf mois par Richard Neville. Le château fut ensuite détérioré sous plusieurs propriétaires puis restauré au cours des XVIIIème et XIX ème siècles. Il est finalement acheté par l'industriel William George Armstrong qui termine sa restauration. Il appartient toujours à cette famille qui l'a ouvert au public. De nombreux films y ont été tournés, comme Ivanhoé, Le Cid, Marie Stuart, reine d'Écosse, Elizabeth et Robin des Bois.

le château de la Clayette en Saône et Loire.

En France, le château de la Clayette en Saône et Loire.
Le château de La Clayette fut, du XIVème à la Révolution, le centre de l’une des seigneuries les plus importantes de la région. En 1380, Philibert de Lespinasse transforme une maison forte, dont l'origine paraît liée à l'existence d'un péage, en un château cantonné de grosses tours rondes. En 1420, le château échoit à Louis de Chantemerle, dont la famille fait partie de l'entourage des ducs de Bourgogne. Le 2 août 1524, le roi François Ier, en route pour Lyon, passe la nuit au château. En 1722, après une succession de ventes, le château est acheté au président Larcher par Bernard de Noblet, époux de Jeanne Donguy d'Origny, puis d'Antoinette Martin de Punetis dont la famille gardera la propriété jusqu'à nos jours. Pendant le XVIIIème, on note l'ajout de bâtiments au donjon, la construction d'une orangerie et d'une tour de guet dans le parc. Au XIXème la partie Nord est fortement remanié dans...Afficher la suite
En France, le château de la Clayette en Saône et Loire. 
Le château de La Clayette fut, du XIVème à la Révolution, le centre de l’une des seigneuries les plus importantes de la région. En 1380, Philibert de Lespinasse transforme une maison forte, dont l'origine paraît liée à l'existence d'un péage, en un château cantonné de grosses tours rondes. En 1420, le château échoit à Louis de Chantemerle, dont la famille fait partie de l'entourage des ducs de Bourgogne. Le 2 août 1524, le roi François Ier, en route pour Lyon, passe la nuit au château. En 1722, après une succession de ventes, le château est acheté au président Larcher par Bernard de Noblet, époux de Jeanne Donguy d'Origny, puis d'Antoinette Martin de Punetis dont la famille gardera la propriété jusqu'à nos jours. Pendant le XVIIIème, on note l'ajout de bâtiments au donjon, la construction d'une orangerie et d'une tour de guet dans le parc. Au XIXème la partie Nord est fortement remanié dans le style Néogothique. Environné d'eau, le château occupe une plate-forme de plan rectangulaire irrégulier. Les communs consistent en deux bâtiments parallèles de plan rectangulaire dotés chacun d'une tourelle d'angle en surplomb. Au centre du bâtiment nord, s'élève une tour carrée, à laquelle est adossée une tourelle d'escalier. Le bâtiment sud est flanqué d'une tour ronde à laquelle s'appuie une tourelle d'escalier circulaire. Le château proprement dit occupe la partie orientale de l'enceinte. Il est formé d'un corps de logis rectangulaire accoté à une grosse tour carrée. Au sud du corps de logis, le chemin de ronde a été aménagé en galerie. En retour d'équerre, subsistent des bâtiments du XVIIIème : un autre corps de logis et dans le même alignement, un pavillon. À l'est, une chaussée qui longe les façades, relie le château à une porte fortifiée, formée d'une tour carrée percée d'une porte charretière.

vendredi 24 mai 2013

La chapelle basse

La chapelle basse : C’est au IXe siècle, posée sur le rocher dominant le village, que fut construite cette petite chapelle. Elle comptait parmi toutes ces modestes églises de pierre qui fleurirent lors de l’essor du Christianisme en Languedoc. Des générations de villageois furent baptisées dans les eaux claires du Riou Nègre coulant tout à côté. Le village situé en contrebas ne s’appelait pas encore Belcastel puisqu’aucun puissant château ne le couronnait encore. Sans Fernand Pouillon, l’histoire et l’existence de cette ancienne chapelle auraient sans doute disparu à jamais. Après des semaines de fouilles, il découvrit en effet la chapelle et la citerne que des siècles avaient comblées.

Lower Chapel: In the 9th century, this small chapel was built upon a rock above the village below. It was one of the many stone chapels built as Christianity spread throughout the region of Languedoc. Generations of villagers were baptized in the clear waters of the Riou Nègre flowing nearby. The village below the Chapel was not called Belcastel at the time, since the castle had not yet been built. The history of this ancient chapel would have been lost entirely, had it not been for Fernand Pouillon. Through weeks of digging, Pouillon and his team discovered the Chapel and Cistern, which had both been completely filled in with earth.
La chapelle basse : C’est au IXe siècle, posée sur le rocher dominant le village, que fut construite cette petite chapelle. Elle comptait parmi toutes ces modestes églises de pierre qui fleurirent lors de l’essor du Christianisme en Languedoc. Des générations de villageois furent baptisées dans les eaux claires du Riou Nègre coulant tout à côté. Le village situé en contrebas ne s’appelait pas encore Belcastel puisqu’aucun puissant château ne le couronnait encore. Sans Fernand Pouillon, l’histoire et l’existence de cette ancienne chapelle auraient sans doute disparu à jamais. Après des semaines de fouilles, il découvrit en effet la chapelle et la citerne que des siècles avaient comblées.

Lower Chapel: In the 9th century, this small chapel was built upon a rock above the village below.  It was one of the many stone chapels built as Christianity spread throughout the region of Languedoc.  Generations of villagers were baptized in the clear waters of the Riou Nègre flowing nearby.  The village below the Chapel was not called Belcastel at the time, since the castle had not yet been built.  The history of this ancient chapel would have been lost entirely, had it not been for Fernand Pouillon.  Through weeks of digging, Pouillon and his team discovered the Chapel and Cistern, which had both been completely filled in with earth.

Les 4 paroles qui guérissent.


jeudi 23 mai 2013

Jadis notre nature n'était pas ce qu'elle est à présent, elle était bien différente.


Le Mythe de l'Androgyne :

Jadis notre nature n'était pas ce qu'elle est à présent, elle était bien différente.

D'abord il y avait trois espèces d'hommes, et non deux, comme aujourd'hui : le mâle, la femelle et. outre ces deux-là. une troisième composée des deux autres ; le nom seul en reste aujourd'hui, l'espèce a disparu. C'était l'espèce androgyne qui avait la forme et le nom des deux autres, mâle et femelle, dont elle était formée : aujourd'hui elle n'existe plus et c'est un nom décrié. De plus chaque homme était dans son ensemble de forme ronde, avec un dos et des flancs arrondis, quatre mains, autant de jambes, deux visages tout à fait pareils sur un cou rond, et sur ces deux visages opposés une seule tète, quatre oreilles, deux organes de la génération et tout le reste à l'avenant. Il marchait droit, comme à présent, dans le sens qu'il voulait, et, quand il se mettait à courir vite, il faisait comme les saltimbanques qui tournent en cercle en lançant leurs jambes en l'air : s'appuyant sur leurs membres qui étaient au nombre de huit, ils tournaient rapidement sur eux-mêmes. Et ces trois espèces étaient ainsi conformées parce que le mâle tirait son origine du soleil, la femelle de la terre, l'espèce mixte de la lune, qui participe de l'un et de l'autre. Ils étaient sphériques et leur démarche aussi, parce qu'ils ressemblaient à leurs parents ; ils étaient aussi d'une force et d'une vigueur extraordinaires, et comme ils avaient de grands courages, ils attaquèrent les dieux, et ce qu'Homère dit d'Ephialte et d'Otos, on le dit d'eux, à savoir qu'ils tentèrent d'escalader le ciel pour combattre les dieux.

Alors Zeus délibéra avec les autres dieux sur le parti à prendre. Le cas était embarrassant : ils ne pouvaient se décider à tuer les hommes et à détruire- la race humaine à coups de tonnerre, comme ils avaient tué les géants ; car c'était anéantir les hommages et le culte que les hommes rendent aux dieux : d'un autre côté, ils ne pouvaient non plus tolérer leur insolence. Enfin, Jupiter, ayant trouvé, non sans peine, un expédient, prit la parole : « Je crois, dit-il, tenir le moyen de conserver les hommes tout en mettant un terme à leur licence ; c'est de les rendre plus faibles. Je vais immédiatement les couper en deux l'un après l'autre ; nous obtiendrons ainsi le double résultat de les affaiblir et de tirer d'eux davantage, puisqu'ils seront plus nombreux. Ils marcheront droit sur leurs deux jambes. S'ils continuent à se montrer insolents et ne veulent pas se tenir en repos, je les couperai encore une fois en deux, et les réduirai à marcher sur une jambe à cloche-pied ».

Ayant ainsi parlé, il coupa les hommes en deux, comme on coupe les alizés pour les sécher ou comme on coupe un œuf avec un cheveu : et chaque fois qu'il en avait coupé un, il ordonnait à Apollon de retourner le visage et la moitié du cou du côté de la coupure, afin qu'en voyant sa coupure l'homme devînt plus modeste, et il lui commandait de guérir le reste. Apollon retournait donc le visage et, ramassant de partout la peau sur ce qu'on appelle à présent le ventre, comme on fait des bourses à courroie, il ne laissait qu'un orifice et liait la peau au milieu du ventre ; c'est ce qu'on appelle le nombril. Puis il polissait la plupart des plis et façonnait la poitrine avec un instrument pareil à celui dont les cordonniers se savent pour polir sur la forme les plis du cuir : mais il laissait quelques plis, ceux qui sont au ventre même et au nombril, pour être un souvenir de l'antique châtiment.

Or quand le corps eut été ainsi divisé, chacun, regrettant sa moitié; allait à elle : et. s'embrassant et s'enlaçant les uns les autres avec le désir de se fondre ensemble, les hommes mouraient de faim et d'inaction, parce qu'ils ne voulaient rien faire les uns sans les autres : et quand une moitié était morte et que l'autre survivait, celle-ci en cherchait une autre et s'enlaçait à elle, soit que ce fut une moitié de femme entière -ce qu'on appelle une femme aujourd'hui -soit que ce fut une moitié d'homme, et la race s'éteignait.

Alors Zeus, touché de pitié, imagine un autre expédient ; il transpose les organes de la génération sur le devant : jusqu'alors ils les portaient derrière, et ils engendraient et enfantaient non point les uns dans les autres, mais sur la terre, comme les cigales. Il plaça donc les organes sur le devant et par là fit que les hommes engendrèrent les uns dans les autres, c'est-à-dire le mâle dans la femelle. Cette disposition était à deux fins : si l'étreinte avait lieu entre un homme et une femme, ils enfanteraient pour perpétuer la race, et, si elle avait lieu entre un mâle et un mâle, la satiété les séparerait pour un temps, ils se mettraient au travail et pourvoiraient à tous les besoins de l'existence. C'est de ce moment que date l'amour inné des hommes les uns pour les autres : l'amour recompose l'antique nature, s'efforce de fondre deux êtres en un seul, et de guérir la nature humaine.

Platon. Le Banquet

(suite) La fin des Templiers par Rudy Cambier

Scène 1 *** Arsène Les femmes, elles sont connes, ch'te dis. Connes comme t'as pas idée. Mets-toi bien ça dans ta p'tite tête ! Julien Sûr que j'voudrais bien baiser, mais ça ne marche jamais. Arsène Faut oser Julien Je ne sais jamais quoi leur dire. Arsène N'importe quoi est bon. Elles cherchent un mâle, pas un orateur. Julien Moi je ne sais pas. Arsène Tu r'gardes la bonne femme avec des yeux bien mouillants. Tu travailles ta voix, comme ça : « t’as d’beaux yeux, tu sais ». La grognasse s'imagine que tu la trouves la plus belle fille du monde et du coup tu d'viens le plus beau mec du monde. Julien Ça ne marche pas ! Arsène Mais si ! Julien T’as facile à dire, elles te courent toutes après, elles font tout ce que tu veux. Arsène Ch'suis doué et elles en demandent. Julien Y faut quand même faire attention aux conséquences. Arsène Me faire du mouron pour des pétasses ? Julien, choqué Et l'amour que … Arsène Sacré sot ! L'amour n'a rien à faire là d’dans. L'amour, c'est la fille qui te le donne. Toi, si t’es un vrai mâle, tu prends. Tu domines. D'ailleurs, tu remarqueras que les femmes n'aiment que ceux qui les écrasent. Julien Mais tu délires ! Les femmes ne sont pas comme ça. Arsène Mais siiii ! Julien Mais non ! Pas toutes les femmes quand même … Arsène Oh si ! Et la tienne aussi sera comme ça ! Julien Sûrement pas ! J'aimerais encore mieux … Arsène Elles font semblant de n'être pas comme ça, elles posent à la sainte Nitouche. Julien Tu es fou ! Arsène Elles sont vertueuses tant qu'un vrai mâle n'est pas disposé à les sauter. Julien T'es un salaud ! Arsène Pire est la bête et plus la femme en est folle. Julien Mais c'est pas vrai ! Et si la vie à deux c'est ça, elle ne vaut pas la peine d'être vécue. Arsène Pourquoi à deux ? À plusieurs c'est bien meilleur ! Julien Des partouzes ! Arsène Ouiiii ! Et les délicieux adultères ! Julien T'es un beau saligaud ! Et l'amour, pour toi, ça n'existe pas ? Arsène Décidément, tu ne comprendras jamais que l'amour est le pire ennemi de celui qui aime. Tu veux savoir la vérité ? Tu as l'esprit d'un benêt, l'âme d'un curé, l'avenir d'un moine et l'destin d'un cocu. Allez, on r' tourne aux ch’vaux et on va boire un pot chez la grosse Zulma… En partant, Arsène aperçoit Éliabel et Poupette avant que le public les voie. Arsène Oh nom de Dieu ! Qu'est qu' c'est qu'ça ? Tous deux regardent. Arsène Oh, nom de Dieu ! Avise un peu la pièce ! Oh le beau cul ! Tudieu ! Celle-là j'vais m' la farcir, j'vais m' la faire, j'vais la tringler, j'vais lui péter sa virginité. Allez Julien, du courage. Pour moi la blanche, à toi la bleue : c'est une bonne aussi. Julien Qu'en sais-tu ? Arsène J' m'y connais. Entrent les deux filles, Éliabel en blanc, Poupette en bleu, chacune porte un seau en bois. Arsène Salut les filles ! Poupette Bonjour Monsieur. Vous êtes Monsieur Arsène, n'est-ce pas ? Arsène Tu m’connais ? Poupette Tout le monde vous connaît. Mon nom c'est Poupette et j'habite là, tout près, à la rue du Poêlon. Arsène, montrant Julien à Poupette Mon pote Julien. Tu lui as tapé dans l'œil, ch'te jure. Poupette, ironique Ah ouais … Arsène Vise un peu la poupée bleue qu’y m’a dit, on dirait un ange. C'est l'fils du châtelain d'Ath. Poupette Ah, c'est un des fils d'Albert. Arsène Julien c'est le cadet. Arsène à Éliabel Et toi, qui tu es ? Poupette répond C'est ma meilleure copine. Comment se fait'y qu'on vous croise là ? Arsène On chassait le lapin. Et vous ? Ne me dis pas que vous chassiez …la pine ? Poupette rigolant Naaaaan ! Je viens à l'eau tous les jours à cette heure-ci. Mais vous, vous allez-ty venir chasser souvent ? Arsène HhHh. Ça s'pourrait. Poupette Ici ? Arsène Ça s’pourrait. Poupette Tous les jours ? Arsène Ça s'pourrait. Poupette À c't'heure-ci ? Éliabel tousse (mais ne pas exagérer, presque discret) En fait, elle doit tousser de temps en temps pour que la fin soit crédible. En quelque sorte, la toux téléphone discrètement la finale. Nous ne le répéterons plus. Arsène À c't' heure-ci. Puis s'adressant à Éliabel, Arsène Et toi aussi tu viens à l'eau. Éliabel Je viens pour elle. Nous, nous avons notre puits. Passe le Trimard ; il porte une besace bien gonflée. Trimard Un' p'tit' charité, m'sieursdames. N'auriez pas un'p't'it charité, un quignon-un croûton-une mîlette pou un pauv' trimard. 'L bon dieu vous l'rendra … Il continuera à parler populaire, mais nous nous dispenserons de le noter par des apostrophes. Éliabel Bonjour Trimard ! Passe à la ferme. J'ai caché trois œufs pour toi. Le Trimard vient vers Éliabel. Poupette affiche une mine dégoûtée et fait un pas en arrière Trimard Trois œufs ! Trois œufs ! Jésusmariejoseph, Trois œufs ! Vous êtes une sainte, ma petite dame. Trois œufs ! Doux Jésus ! Trois œufs ! Trois ! Je n'devrai même plus en voler cette semaine-ci ! Pour de vrai, vous êtes une sainte ! Mais faites attention, je vois que le diable n'est pas bien loin de vous ! Éliabel J'ai déjà senti l'odeur de la fumée mais c'est gentil de me mettre en garde. Merci Trimard, et à tout à l'heure. Le Trimard À tantôt, sans malheur. Il part en agitant la main Arsène à Éliabel T'habites où ? Éliabel À la ferme Labrique. Arsène T'es la fille du Philosophe ! Se tournant vers Poupette Tiens ch'te présente mon copain Julien. T'es son modèle de femme. … puis vers Julien Hein que Poupette est ton idéal, pas vrai ? Julien bafouille Oui Si Ah oui ouioui, Arsène Eh ben viens. Fais pas dans ton froc. Elle va pas te mordre. Julien s'avance Je … Tu … Vous … Euh … Peut-être queeee … Pendant ce temps, Poupette toise le gamin et rit méchamment. Éliabel jette un regard de mépris à Poupette Poupette à Arsène Ta robe elle est d'un chic ! Y a pas à dire, ça en jette. On dirait de la soie. Arsène C'est d' la soie. Éliabel tousse Poupette Ça s'voit tout d'suite que c'est d'la vraie. C'est chic mais c'est difficile à porter. Mais à toi, ça t'va très bien. T'as l'air d'un prince … Arsène à Éliabel Et toi, ma beauté, tu n'dis rien ? Éliabel J'écoute. Arsène Tu m'écoutes, beauté ? Éliabel Le moyen de faire autrement quand on n'entend que vous ? Arsène Moi je ne demanderais pas mieux que de t'écouter toi. Je t'écouterais pendant des semaines. Je t'écouterais toute ma vie. Je t'écouterais tout le temps. Il lui saisit la main qu'elle retire. Éliabel Le seul que vous écoutez parler, c’est vous. Arsène Mais non ! Éliabel Allons donc ! Arsène, se tournant vers Julien, à mi-voix Eh bien celle-ci, ce sera dur ! Un sacré morceau ! Vraiment pas un morceau pour toi ... (Du coup Éliabel décide que si ! ! ! On doit le voir à sa figure.) Heureusement que j'ai de l'expérience avec les femmes… Éliabel Ne vous faites pas un si gros cou. Arsène Et pourquoi donc ? Éliabel C'est que pour devenir l'amant d'une femme, il suffit d’être plus bête que le précédent ou qu'elle vous trouve de meilleur rapport. Poupette en riant Vous savez, Monsieur Arsène, je d'vrais p'têt pas vous dire ça, mais Éliabel, elle aime pas les hommes. Pas les vrais hommes en tous cas. Colère froide d'Éliabel. Les vrais dans son genre, certainement pas ! Arsène à Julien Hé, Julien ! T'oublie ta belle Poupette. Julien détourne la tête et montre un début de colère pendant que Poupette le toise ruisselante de mépris. Arsène à Éliabel Vous êtes vraiment quelqu’un qui sort de l’ordinaire. On ne peut pas s’empêcher d’avoir tout de suite du sentiment pour vous. Éliabel riant Vous avez du sentiment ! Ouh là lààà ! Si vite ! Cassante : Rien de plus étranger à vous que les sentiments. Retour à l'ironie : C’est la platée que vous servez à toutes les bergères que vous croisez ? Arsène Je confesse que ce fut peut-être vrai jusqu’à aujourd’hui. Éliabel C’est donc l’ordinaire entrée en matière de vos culbutages. Arsène en drague Mais tout ce que j’ai vécu avant n’a plus existé dès l’instant où vous êtes apparue. Éliabel Ah ? De gros oublis ? Je vous cause des problèmes de mémoire ? Vous êtes frappé d’une fragilité congénitale de la cervelle peut-être ? Madame votre mère est un peu faiblarde du sommet, à ce que j'ai entendu dire. Arsène totalement désemparé Vous me plaisez. Vous me plaisez même beaucoup. Éliabel Eh bien, ce n'est pas réciproque. Arsène (outrancièrement à la manière de Gabin à MM ) T'as d'beaux yeux, tu sais. Éliabel sèchement Les vôtres sont salaces. Arsène Hé là ! Tu sais à qui tu causes ? Éliabel À un monsieur sans galanterie et bien peu recommandable malgré son grand nom… Enfin ! un nom un tout petit peu grand dans un tout petit canton. Arsène Mmmmh. Une tigresse. J'aime bien les tigresses, moi. Ça m'plait quand ça résiste. Éliabel Avec moi, Meuhsieur Arsène, vous ne risquez rien. Les tigres, c’est bien connu, ne touchent jamais à la charogne. Arsène Nom de Dieu ! Tu vas retirer ça, oui… Éliabel le coupe Pourquoi ? Nous n'avons pas affaire à un monsieur mais à un espèce d'individu mal fini, à un barbare vil et sans manières. Arsène Je … moi … je … un barbare ! Éliabel Vil et sans manières Arsène Sans manières ? Sans manières ! Moi ! vil et …et … Éliabel Votre drague m’importune. Arsène Oh non de Dieu de salope ! Éliabel Votre personne me répugne et je méprise les gens aussi vides que vous. Arsène Oh non de Dieu de salope ! Éliabel Je continue à vous dire vos vérités ? Pendant tout ce temps, Poupette regarde Arsène avec des yeux de merlane. Arsène à Éliabel Et puis, si t'es si conne, va te faire foutre, prétentieuse grognasse. Des comme toi, on en trouve treize à la douzaine. Tu te prends pour qui ? Tu oublies que tu n'es qu'une fille de fermier. Non mais … pétasse ! Puis Arsène à Poupette, son expression changeant du tout au tout Tu viens faire un tour ? Poupette Naaan ! Arsène Siii ! Poupette Mais naan … Arsène Tu ne veux pas ? Poupette Naan… Arsène Pourquoi pas ? Poupette Pour ça. Arsène Allez, viens. Poupette Où çà ? Arsène Dans le grand pré des moines. Poupette Ah non, jamais ! Arsène Mais si, viens. Juste promener. Poupette Ouais, les garçons disent tous ça, et après … Arsène Les aut's, oui, mais moi, j'te jure qu'on n'fra rien. Juste promener et parler un peu. Poupette Ouais, ch'te crois pas. Arsène Pourquoi tu me crois pas ? Tu m'fais pas confiance ? T'as pas confiance en moi ? Tu crois qu'je mens ? Poupette Ch’sais pas. Arsène Tu crois que je mens ? Dis-le, je mens. Je suis un menteur ? Poupette J'ai pas dit ça ! Arsène Alors ? On y va ? Poupette J'oserais jamais. Arsène Pourquoi ? T'as peur de moi ? T'as pas confiance ? Poupette Si. Ch’te crois. Mais … Arsène Alors ? On y va ? Poupette Tu n'fras rien ? Arsène Ch'te jure. Poupette On va nous voir. Arsène Mais non ! On s'cachera bien. Poupette Naaan, j'veux pas. Arsène Mais enfin ! Pourquoi ? Poupette baisse les yeux et parle presque à mi-voix Pas dans le pré des moines. Arsène Où çà alors ? Poupette C'est mieux dans les roseaux … Arsène D'accord. On va dans les roseaux. Elle se dresse et part avec un regard de triomphe. Arsène fait un clin d'œil à Julien et lève le pouce. En marchant, Arsène à Poupette Et ton amie, qu'est-ce qu'elle va dire ? Poupette Rien du tout. C'est une pimbêche mais elle dira rien. Et ton copain ? Arsène Te fais pas de mouron. C'est qu'un p'tit con. ° ° ° ° ° (à suivre).

Des aveux sous la torture

Des aveux sous la torture
Du 19 octobre au 24 novembre, cent trente-huit Templiers de Paris et des
environs sont remis entre les mains des officiers du roi, qui procèdent
aux interrogatoires: trente-six prisonniers meurent sous la torture.
L'Inquisiteur de France, Guillaume de Paris, confesseur du roi et son allié
contre Boniface VIII en 1303, interroge les prisonniers à Paris dans la
salle basse du Temple. Trois seulement nient les crimes qu'on leur reproche.
Hugues de Pairaud avoue que les frères reçus dans l'ordre du Temple
doivent renier par trois fois le Christ et cracher sur le crucifix; celui qui
les reçoit les baise ensuite par trois fois, une fois au nombril, une fois
sur la bouche en enfin au bas de l'épine dorsale. Il leur est enfin enjoint
de se livrer à la sodomie.
"Tous les frères de l'ordre sont-ils reçus de cette façon?"
Hugues de Pairaud répond d'abord "Oui", avant d'affirmer le contraire.
Pour Guillaume de Paris, il ne s'agissait par de connaître la vérité, mais
d'étayer l'acte d'accusation en obtenant les aveux nécessaires par
n'importe quel moyen. En premier lieu, la torture sous laquelle un grand
nombre de Templiers allaient mourir - la méthode est celle de l'inquisition.
Des aveux sous la torture 
Du 19 octobre au 24 novembre, cent trente-huit Templiers de Paris et des 
environs sont remis entre les mains des officiers du roi, qui procèdent
aux interrogatoires: trente-six prisonniers meurent sous la torture.
L'Inquisiteur de France, Guillaume de Paris, confesseur du roi et son allié
contre Boniface VIII en 1303, interroge les prisonniers à Paris dans la 
salle basse du Temple. Trois seulement nient les crimes qu'on leur reproche.
Hugues de Pairaud avoue que les frères reçus dans l'ordre du Temple
doivent renier par trois fois le Christ et cracher sur le crucifix; celui qui
les reçoit les baise ensuite par trois fois, une fois au nombril, une fois 
sur la bouche en enfin au bas de l'épine dorsale. Il leur est enfin enjoint 
de se livrer à la sodomie. 
"Tous les frères de l'ordre sont-ils reçus de cette façon?" 
Hugues de Pairaud répond d'abord "Oui", avant d'affirmer le contraire.
Pour Guillaume de Paris, il ne s'agissait par de connaître la vérité, mais 
d'étayer l'acte d'accusation en obtenant les aveux nécessaires par
n'importe quel moyen. En premier lieu, la torture sous laquelle un grand
nombre de Templiers allaient mourir - la méthode est celle de l'inquisition.

La ” Bible secrète ”

Part III ...
L’Évangile selon Barnabé est-il le rapport d’un témoin oculaire ?
La ” Bible secrète ” découverte en Turquie est supposée être une copie datant de 1.500 ans. Si c’est vrai, elle aurait été écrite 400 à 500 ans après la mort et la résurrection de Jésus, alors que les témoins oculaires étaient déjà morts. Mais puisqu’il s’agit d’une copie, l’original pourrait peut-être avoir été rédigé dès le premier siècle. Pour déterminer cela, nous devons vérifier les archives historiques tant chrétiennes que musulmanes.
Il n’existe que deux anciens manuscrits de l’Évangile selon Barnabé, autre que celui découvert en Turquie : un manuscrit italien qui date du quinzième ou seizième siècle, et une copie espagnole d’à peu près la même période, mais qui a été perdue. Le texte du manuscrit turc récemment découvert est en araméen. Aucune de ces copies n’est en grec, la langue de Barnabé et des apôtres.
Deux listes d’ouvrages apocryphes datant du début du christianisme, l’une du cinquième siècle et l’autre du septième siècle, mentionnent un “ Évangile selon Barnabé ”. Si celles-ci font référence au même Évangile, cela en situerait la rédaction 400 à 500 ans après Christ ou plus tôt, mais quand même plusieurs centaines d’années au-delà du premier siècle. Les Actes de Barnabé, un ouvrage apocryphe du cinquième siècle écrit sous la direction de l’Église de Chypre, est parfois confondu avec l’Évangile de Barnabé.
Le seul livre du premier siècle qui soit attribué à l’apôtre Barnabé est l’Épître de Barnabé, un écrit apocryphe ne figurant pas dans le Nouveau Testament. Cette lettre du premier siècle parle de Jésus en tant que Seigneur crucifié et ressuscité. Les experts pensent qu’elle fut écrite par Barnabé entre 70 et 90 A.D.
Mais si Barnabé parle de Jésus comme du Seigneur dans l’Épître de Barnabé, pourquoi parlerait-il de lui par la suite comme d’un simple prophète dans l’Évangile selon Barnabé ? Pourquoi écrirait-il deux récits contradictoires sur Jésus ?
L’Épître de Barnabé est considérée par les experts comme un récit authentique sur Jésus, datant du premier siècle et s’accordant avec le Nouveau Testament. Par contre, l’Évangile selon Barnabé est un livre totalement différent d’une période totalement différente.
L’évidence ci-après suggère que l’Évangile de Barnabé ne fut pas reconnu comme un évangile du premier siècle par les Musulmans ni les Chrétiens de l’époque :
*Aucun auteur musulman n’y fait référence jusqu’au quinzième ou seizième siècle.
*Aucun auteur chrétien n’y fait référence entre le premier et le quinzième siècle.
La première référence à cet évangile apparaît au cinquième siècle, mais elle est mise en doute.
Elle cite des faits historiques qui n’eurent lieu que des centaines d’années plus tard...
Part III ...
L’Évangile selon Barnabé est-il le rapport d’un témoin oculaire ?
La ” Bible secrète ” découverte en Turquie est supposée être une copie datant de 1.500 ans. Si c’est vrai, elle aurait été écrite 400 à 500 ans après la mort et la résurrection de Jésus, alors que les témoins oculaires étaient déjà morts. Mais puisqu’il s’agit d’une copie, l’original pourrait peut-être avoir été rédigé dès le premier siècle. Pour déterminer cela, nous devons vérifier les archives historiques tant chrétiennes que musulmanes.
Il n’existe que deux anciens manuscrits de l’Évangile selon Barnabé, autre que celui découvert en Turquie : un manuscrit italien qui date du quinzième ou seizième siècle, et une copie espagnole d’à peu près la même période, mais qui a été perdue. Le texte du manuscrit turc récemment découvert est en araméen. Aucune de ces copies n’est en grec, la langue de Barnabé et des apôtres.
Deux listes d’ouvrages apocryphes datant du début du christianisme, l’une du cinquième siècle et l’autre du septième siècle, mentionnent un “ Évangile selon Barnabé ”. Si celles-ci font référence au même Évangile, cela en situerait la rédaction 400 à 500 ans après Christ ou plus tôt, mais quand même plusieurs centaines d’années au-delà du premier siècle. Les Actes de Barnabé, un ouvrage apocryphe du cinquième siècle écrit sous la direction de l’Église de Chypre, est parfois confondu avec l’Évangile de Barnabé.
Le seul livre du premier siècle qui soit attribué à l’apôtre Barnabé est l’Épître de Barnabé, un écrit apocryphe ne figurant pas dans le Nouveau Testament. Cette lettre du premier siècle parle de Jésus en tant que Seigneur crucifié et ressuscité. Les experts pensent qu’elle fut écrite par Barnabé entre 70 et 90 A.D.
Mais si Barnabé parle de Jésus comme du Seigneur dans l’Épître de Barnabé, pourquoi parlerait-il de lui par la suite comme d’un simple prophète dans l’Évangile selon Barnabé ? Pourquoi écrirait-il deux récits contradictoires sur Jésus ?
L’Épître de Barnabé est considérée par les experts comme un récit authentique sur Jésus, datant du premier siècle et s’accordant avec le Nouveau Testament. Par contre, l’Évangile selon Barnabé est un livre totalement différent d’une période totalement différente.
L’évidence ci-après suggère que l’Évangile de Barnabé ne fut pas reconnu comme un évangile du premier siècle par les Musulmans ni les Chrétiens de l’époque :
*Aucun auteur musulman n’y fait référence jusqu’au quinzième ou seizième siècle.
*Aucun auteur chrétien n’y fait référence entre le premier et le quinzième siècle.
La première référence à cet évangile apparaît au cinquième siècle, mais elle est mise en doute.
Elle cite des faits historiques qui n’eurent lieu que des centaines d’années plus tard...