samedi 22 septembre 2012

Animals and nature.

photo Animals and nature.

La guerre de 100 ans.

Les causes La cause première, en apparence médiocre, de cette guerre ruineuse et dramatique, est la querelle de type féodal qui oppose les rois de France et d’Angleterre à propos de la Guyenne depuis que, par le mariage d’Henri II, premier souverain Plantagenêt, d’Angleterre, avec Aliénor d’Aquitaine, les rois d’Angleterre sont devenus en même temps ducs d’Aquitaine ou de Guyenne. Les possessions anglaises sur le continent ont même été longtemps bien plus vastes, mais le premier des grands rois capétiens, Phi­lippe Auguste, en a reconquis la plus grande partie. Cependant, les Anglais n’ont pas il renoncé aux provinces perdues et les Français espèrent les chasser un jour totalement du royaume. Pour tenter d’établir une paix durable, saint Louis négocie en 1259 le traité de Paris par lequel il cède quelques terri­toires à l’Angleterre et lui abandonne la jouissance de la Guyenne. Mais, en contre­ partie, cette principauté redevient un fief dont le possesseur doit prêter hommage au le roi de France. Ce traité, qui met un terme provisoire à plus d’un siècle de luttes (la première guerre de Cent Ans) est pendant la quatre-vingts ans l’instrument diplomatique de base auquel on se réfère lorsque des conflits opposent le nouveau vassal à son suzerain. Mais les rois d’Angleterre finissent par vou­loir transformer leur fief continental en un alleu, détenu en toute indépendance, pour échapper aux pressions du roi de France qui prétend au contraire ramener à des litiges d’ordre féodal tous les différends qui l’opposent à l’Angleterre et multiplie ses interventions, n’hésitant pas à prononcer la confiscation du fief pour la moindre offense. C’est ce que font Philippe le Bel en 1294 et Charles IV en 1323. En 1327, un accord est conclu selon lequel le roi de France devra renoncer à toute annexion. L’année suivante, à la mort de Charles IV, le nouveau roi de France, Philippe de Valois, obtient non sans difficultés, l’hommage d’Édouard III. Daniel Lavoie. La guerre de Cent Ans de Jean Favier (Relié - 3 septembre 1980) Acheter neuf: EUR 30,50 EUR 28,98 5 neufs à partir de EUR 28,98 2 d'occasion à partir de EUR 28,00

La troisième croisade.

Troisième croisade La troisième croisade, qui débuta en 1189 et s’acheva en 1194, fut menée par les rois de France, d’Angleterre et l’empereur d’Allemagne, dans le but de reprendre la Terre Sainte à Saladin. Capture de Jérusalem par Saladin Saladin régnait sur l’Égypte depuis 1169 et avait fait de l’éviction des chrétiens hors de Palestine le but de sa vie. Contrôlant l’Égypte et la Syrie, Saladin encerclait le royaume des croisés ; le 4 juillet 1187, Saladin remporta la bataille de Hattin, et obtint la reddition de Jérusalem le 2 octobre. Les forces chrétiennes étaient limitées à Antioche, Tripoli, Tyr et Margat. Le pape Grégoire VIII voulait reconquérir des territoires perdus et pour ce faire, sollicita l’aide des rois d’Angleterre et de France. Henry II d’Angleterre et Philippe Auguste cessèrent leur guerre l’un contre l’autre, et imposèrent la « dîme saladine » à leurs sujets pour financer une nouvelle croisade. Néanmoins, la France et l’Angleterre recommencèrent bientôt leur guerre. Le fils d’Henry II, Richard Cœur de Lion se rebella contre son père. Prise d’Acre par les croisés Frédéric Barberousse répondit également à l’appel du pape ; il prit la croix à la cathédrale de Mayence le 27 mars 1188 et fut le premier à partir en 1189. Il dut faire face à l’opposition de l’Empereur byzantin Isaac II Ange, qui avait conclu un traité secret avec Saladin. Frédéric traversa les terres byzantines aussi vite qu’il put et prit la ville de Iconium le 18 mai 1189. Malheureusement pour sa croisade, l’Empereur Frédéric se noya le 10 juin 1190. Bien que son armée fût plus nombreuse que celle de Saladin, ses troupes se dispersèrent immédiatement après sa mort, et ceux qui restèrent furent rapidement vaincus dès leur arrivée en Syrie. Richard et Phillipe arrivèrent par la mer séparément en 1191. Sur le chemin, Richard fit halte à Chypre, où il prit ombrage du traitement qui lui fut réservé par le souverain de l’île, Isaac Doukas Comnène. À la fin du mois de mai, Richard avait conquis toute l’île, qu’il vendit plus tard à Guy de Lusignan, le roi de Jérusalem. Pendant ce temps, Philippe était arrivé à Tyr et s’était allié avec Conrad de Montferrat, qui souhaitait également être le souverain de la ville sainte. Avec l’aide des restes de l’armée de Frédéric, ils firent le siège de Saint-Jean-d’Acre et Richard arriva en juin pour prendre le commandement du siège. L’armée de Saladin tenta une percée, mais fut vaincue et la ville fut prise le 12 juillet. Les trois commandants chrétiens luttèrent alors pour le pouvoir entre eux : le commandant allemand Léopold V d’Autriche souhaitait être reconnu de la même manière que Richard et Philippe, mais Richard enleva la bannière de Léopold de la ville. Philippe, lui aussi lassé de l’attitude de Richard, quitta la Terre Sainte en août. Traité de paix entre Richard et Saladin Le 22 août, Richard exécuta les 3 000 prisonniers musulmans qu’il avait capturés à Saint-Jean d’Acre, lorsqu’il sentit que Saladin n’honorait pas les termes de la reddition de la ville. Richard décida alors de prendre le port de Jaffa dans le but de lancer une attaque contre Jérusalem ; Saladin tenta de l’en empêcher en l’attaquant lors de la bataille d’Arsouf que Richard gagna de manière éclatante. En janvier 1192, Richard était prêt à marcher sur Jérusalem, mais Saladin avait obtenu des renforts et fortifié la ville. Richard arriva en vue de Jérusalem deux fois, mais dut reculer devant l’armée plus nombreuse de Saladin. Saladin tenta alors de reprendre Jaffa en juillet, mais fut vaincu par les forces de Richard le 31 juillet. Le 2 septembre 1192, Richard et Saladin conclurent un traité selon lequel Jérusalem resterait sous contrôle musulman, mais resterait permise aux pélerins chrétiens sans arme. Toutefois une bande le long de la mer Méditerranée allant de Jaffa jusqu’à Haïfa revint finalement aux chrétiens. Richard quitta la Terre Sainte pour revenir en Occident à la fin septembre, terminant la troisième croisade. Fondation de l’ordre Teutonique et luttes intereuropéennes La croisade eut plus de répercussions sur l’Europe que sur le Proche-Orient : les Germaniques qui restèrent en Terre Sainte après la croisade formèrent la base des Chevaliers teutoniques, qui se lancèrent dans les croisades baltes. L’échec de la troisième croisade engendrera l’appel à la quatrième croisade six ans plus tard. Léopold tint rancœur à Richard de son comportement à Saint-Jean d’Acre et le fit prisonnier en 1192, lorsque Richard traversa l’Allemagne pour l’Angleterre. Richard ne vit jamais la ville de Jérusalem, même en tant que pélerin, convaincu que Dieu avait ordonné qu’il ne la conquît pas. S’il revint précipitamment en Occident, c’est sans doute pour limiter les avancées de son frère Jean Sans Terre et de Philippe II, qui s’emparaient de ses terres pendant son absence. sources wikipedia Les Templiers du 3e cercle : Le Complot de Jacques Rolland (Broché - 26 février 1999) 2 neufs à partir de EUR 10,90 5 d'occasion à partir de EUR 9,91

vendredi 21 septembre 2012

Le gardien du temple.

Photo Marifé Miguel. Les Mysteres de l'Ordre du Temple de Marie Delclos et Jean Luc Caradeau (Broché - 1 septembre 2011) Acheter neuf: EUR 25,00 EUR 23,75 5 neufs à partir de EUR 23,70 1 d'occasion à partir de EUR 15,90

Maquette du temple en 1783

Maquette enclos du temple en 1783.
Photo Templier Veritas.

Vestiges du temple de Villeneuve.

Jésus revient, tome 1 de Tronchet (Poche - 1 novembre 1998) 2 d'occasion à partir de EUR 39,84
Photo Templier Veritas les vestiges de la villeneuve du temple.

Le site du projet Beaucéant.