Créé pour vous présenter mon dernier livre,je vous présente 4500 articles sur le thème de mon livre :les Templiers,des sujets ésotériques,des textes rosicrusiens,les mérovingiens, saint-Graal,Nostradamus,Mary Magdalene.Le Baphomet et le Tau, Château de Saumur,la femme dans l'histoire templière. Trésor templier.Histoires, légendes de Belgique,de France et d'Europe et Celtiques. La spiritualité. Développement personnel.
dimanche 30 septembre 2012
Jean de Jérusalem : la prophétie.
La prophétie de Jean de Jérusalem.
La prophétie de Jean de Jérusalem Templier Veritas. Cette prophétie visionnaire décrit les temps présents avec une fascinante acuité... Elle aurait été écrite en 1099 par Jean de Jérusalem (ou Jean de Vezelay), l'un des 8 fondateurs de l'Ordre des Templiers. La première partie de la prophétie est une sombre prédiction pour la période de l'an 2000, "l'An Mille qui vient après l'An Mille". A l'inverse, la deuxième partie de la prophétie annonce une ère nouvelle et pleine d'espoir, "lorsque ce sera le plein de l'An Mille qui vient après l'An Mille"... "Protocole secret des prophéties" Jean de Jérusalem - 1099 Je vois et je sais. Mes yeux découvrent dans le Ciel ce qui sera et je franchis le temps d'un seul pas. Une main me guide vers ce que vous ne voyez ni ne savez. Mille ans auront passé et Jérusalem ne sera plus la ville des Croisés du Christ. Le sable aura enfoui sous ses grains les murailles de nos châteaux, nos armures et nos os. Il aura étouffé nos voix et nos prières. Les Chrétiens venus de loin en pèlerins là où étaient leur Droit et leur Foi, n'oseront s'approcher du Tombeau et des Reliques qu'escortés par des Chevaliers Juifs qui auront ici (...) leur Royaume et leur Temple. Les Infidèles seront une foule innombrable qui se répandra partout et leur foi résonnera comme le tambour d'un bout à l'autre de la Terre. Je vois la Terre immense. Des continents qu'Hérodote ne nommait que dans ses rêves se seront ajoutés au-delà des grandes forêts dont parle Tacite, et loin au bout de mers illimitées qui commencent après les Colonnes d'Hercule. Mille ans auront passé depuis le temps que nous vivons et les fiefs se seront partout rassemblés en de grands royaumes et de vastes empires. Des guerres aussi nombreuses que les mailles de la cotte que portent les Chevaliers de l'Ordre se seront entrecroisées, défaisant les royaumes et les empires, en tissant d'autres. Et les serfs, les manants, les pauvres sans feu se seront mille fois révoltés, brûlant les récoltes, les châteaux et les villes, jusqu'à ce qu'on les écorche vifs et qu'on force les survivants à rentrer dans leurs tanières. Ils se seront crus Rois. Mille ans auront passé et l'homme aura gagné le fond des mers et des cieux et il sera comme une étoile au firmament. Il aura acquis la puissance du soleil et il se sera pris pour Dieu, bâtissant sur l'immense terre mille tours de Babel. Il aura construit des murs sur les ruines de ceux qu'avaient élevés les Empereurs de Rome, et ils sépareront une nouvelle fois des Légions et des Tribus Barbares. Au-delà des grandes forêts sera un Empire. Quand les murs s'effondreront l'Empire ne sera plus qu'une eau boueuse. Les peuples seront une nouvelle fois mêlés. Alors commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille. Je vois et je sais ce qu'il sera. Je suis le scribe. Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille l'homme sera devant la bouche d'ombre d'un labyrinthe obscur. Et je vois au fond de cette nuit dans laquelle il va s'enfoncer les yeux rouges du Minotaure. Prends garde à sa fureur cruelle, toi qui vivras l'An Mille qui vient après l'an mille. 1 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille L'Or sera dans le Sang Qui regardera les étoiles y comptera des deniers Qui entrera dans le Temple y rencontrera les marchands Les Souverains seront changeurs et usuriers Le Glaive défendra le Serpent Mais le feu couvera Chaque ville sera Sodome et Gomorrhe Et les enfants des enfants deviendront la nuée ardente Ils lèveront les vieux étendards 2 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille L'Homme aura peuplé les Cieux et la Terre et les Mers de ses Créatures Il ordonnera Il voudra les pouvoirs de Dieu Il ne connaîtra aucune limite Mais chaque chose se retournera Il titubera comme un roi ivre Il galopera comme un chevalier aveugle Et à coup d'éperon il poussera sa monture dans la forêt Au bout du chemin sera l'abîme 3 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Se dresseront en tous points de la Terre des Tours de Babel Ce sera Rome et ce sera Byzance Les champs se videront Il n'y aura de loi que de soi et de sa bande Mais les Barbares seront dans la ville Il n'y aura plus de pain pour tous Et les jeux ne suffiront plus Alors les gens sans avenir Allumeront les grands incendies 4 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille La faim serrera le ventre de tant d'hommes Et le froid bleuira tant de mains Que ceux-là voudront voir un autre monde Et des marchands d'illusions viendront qui proposeront le poison Mais il détruira les corps et pourrira les âmes Et ceux-là qui auront mêlé le poison à leur sang Seront comme bête sauvage prise au piège Et tueront et violeront et rançonneront et voleront Et la vie deviendra une apocalypse de chaque jour 5 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Chacun cherchera à jouir tout ce qu'il peut L'Homme répudiera son épouse autant de fois qu'il se mariera Et la femme ira par les chemins perdus (creux) prenant celui qui lui plaira Enfantant sans donner le nom du Père Mais aucun Maître ne guidera l'Enfant Et chacun parmi les autres sera seul La tradition sera perdue La loi sera oubliée Comme si l'Annonce n'avait pas été faite et l'homme redeviendra sauvage. 6 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Le père prendra son plaisir avec sa fille L'homme avec l'homme la femme avec la femme Le vieux avec l'enfant impubère Et cela sera aux yeux de tous Mais le sang deviendra impur Le mal se répandra de lit en lit Le corps accueillera toutes les putréfactions de la terre Les visages seront rongés les membres décharnés L'amour sera haute menace pour ceux qui ne se connaissent que par la chair 7 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Celui qui parlera de Serment et de Loi Ne sera pas entendu Celui qui prêchera la Foi du Christ Perdra sa voix dans le désert Mais partout se répandra les eaux puissantes des religions infidèles De faux messies rassembleront les hommes aveuglés Et l'infidèle armé sera comme jamais il ne fut Il parlera de justice et de droit et sa foi sera brûlante et tranchante Il se vengera de la Croisade 8 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Le bruit de la mort donnée roulera comme l'orage sur la terre Les barbares seront mêlés aux soldats des dernières légions Les Infidèles vivront dans le cœur des Villes Saintes Chacun sera tour à tour barbare, infidèle et sauvage Il n'y aura plus d'ordre ni de règle La haine se répandra comme la flamme dans la forêt sèche Les barbares massacreront les soldats Les infidèles égorgeront les croyants La sauvagerie sera de chacun et de tous et les villes périront 9 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Les hommes se jugeront entre eux selon leur sang et leur foi Nul n'écoutera le cœur souffrant des enfants On les dénichera comme des oisillons Et personne ne saura les protéger de la main raidie par le gantelet La haine inondera les terres qui se croyaient pacifiées Et nul ne sera épargné ni les vieux ni les blessés Les maisons seront détruites ou volées Les uns prendront la place des autres Chacun fermera les yeux pour ne pas voir les femmes violées 10 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Chacun saura ce qui est en tous les lieux de la terre On verra l'enfant dont les os percent la peau Et celui dont les yeux sont couverts de mouches Et celui qu'on pourchasse comme un rat Mais l'homme qui verra détournera la tête Car il ne se souciera que de lui Celui-là donnera une poignée de grains comme aumône Alors qu'il dort sur des sacs pleins Et ce qu'il donnera d'une main il le reprendra de l'autre 11 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille L'homme fera marchandise de tout Chaque chose aura son prix L'arbre l'eau et l'animal Plus rien ne sera vraiment donné et tout sera vendu Mais l'homme alors ne sera plus que poids de chair On troquera son corps comme un quartier de viande On prendra son œil et son cœur Rien ne sera sacré ni sa vie ni son âme On se disputera sa dépouille et son sang comme une charogne à dépecer 12 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille L'homme aura changé le visage de la terre Il se voudra le Maître et le Souverain des forêts et des troupeaux Il aura creusé le sol et le ciel Et tracé son sillon dans les fleuves et les mers Mais la terre sera nue et stérile L'Air deviendra brûlant et l'eau sera fétide La vie se fanera car l'homme épuisera la richesse du monde Et l'homme sera seul comme un loup Dans la haine de lui 13 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille L'enfant sera lui aussi vendu Certains se serviront de lui comme d'une quintaine Pour jouir de sa neuve peau D'autres le traiteront comme un animal servile On oubliera la faiblesse sacrée de l'enfant Et son mystère Il sera comme un poulain qu'on dresse Comme un agneau qu'on saigne qu'on abat Et l'homme ne sera plus rien que barbarie 14 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Le regard et l'esprit des hommes seront prisonniers Ils seront ivres et l'ignoreront Ils prendront les images et les reflets pour la vérité du monde On fera d'eux ce que l'on fait d'un mouton Alors les carnassiers viendront Les rapaces les mettront en troupeau pour mieux les guider vers l'abîme Et les dresser les uns contre les autres On les écorchera pour prendre leur laine et leur peau Et l'homme s'il survit sera dépouillé de son âme 15 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Régnerons des Souverains sans croyance Ils ordonneront aux foules humaines innocentes et passives Ils cacheront leurs visages et garderont leurs noms secrets Et leurs châteaux forts seront perdus dans les forêts Mais ils décideront du sort de tout et de tous Personne ne participera aux assemblées de leur ordre Chacun sera vrai serf et se croira homme libre et chevalier Seuls se dresseront ceux des villes sauvages et des fois hérétiques Mais ils seront d'abord vaincus et brûlés vifs 16 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Les hommes seront si nombreux sur les terres Qu'ils ressembleront à une fourmilière dans laquelle on enfonce le bâton Ils grouilleront et la mort les écrasera du talon Comme des insectes affolés De grands mouvements les pousseront d'une contrée à l'autre Les peaux brunes se mêleront aux peaux blanches La Foi du Christ à celle de l'Infidèle Certains prêcheront la paix jurée Mais partout ce sera la guerre des tribus ennemies 17 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Les hommes voudront franchir toutes les enceintes La mère aura les cheveux gris d'une vieille Le chemin de la nature sera abandonné Et les familles seront comme des grains séparés que rien ne peut unir Ce sera donc un autre monde Chacun errera sans lien comme un cheval emballé Allant en tout sens sans guide Malheur au chevalier qui chevauchera cette monture Il sera sans étrier et chutera dans le fossé 18 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Les hommes ne s'en remettront plus à la loi de Dieu Mais voudront guider leur vie comme une monture Ils voudront choisir leurs enfants dans le ventre de leurs femmes Et tueront ceux qu'ils n'aimeront pas Mais que sera l'homme qui se prendra ainsi pour Dieu ? Les Puissants se saisiront des meilleures terres et des plus belles femmes Les pauvres et les faibles seront du bétail Chaque masure deviendra donjon La peur sera en chaque cœur comme un poison 19 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Un ordre noir et secret aura surgi Sa loi sera de haine et son arme le poison Il voudra toujours plus d'or et étendra son règne sur toute la terre Et ses servants seront liés entre eux par un baiser de sang Les hommes justes et les faibles subiront sa règle Les Puissants se mettront à son service La seule loi sera celle qu'il dictera dans l'ombre Il vendra le poison jusque dans les églises Et le monde marchera avec ce scorpion sous son talon 20 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Bien des hommes resteront assis les bras croisés Ou bien iront sans savoir où les yeux vides Car ils n'auront plus de forge où battre le métal Et plus de champ à cultiver Ils seront comme une graine qui ne peut prendre racine Errants et démunis humiliés et désespérés Les plus jeunes et les plus vieux souvent sans lieux Ils n'auront que la guerre pour salut Et ils se combattront d'abord eux-mêmes et ils haïront leur vie 21 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Les maladies de l'eau du ciel et de la Terre Frapperont l'homme et le menaceront Il voudra faire renaître ce qu'il a détruit et protéger ce qui demeure Il aura peur des jours qui viennent Mais il sera bien tard Le désert rongera la terre et l'eau sera de plus en plus profonde Elle ruissellera certains jours en emportant tout comme un déluge Et elle manquera le lendemain à la terre Et l'air rongera le corps des plus faibles 22 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille La terre tremblera en plusieurs lieux et les villes s'effondreront Tout ce que l'on aura construit sans écouter les sages Sera menacé et détruit La boue submergera les villages et le sol s'ouvrira sous les Palais L'homme s'obstinera car l'orgueil est sa folie Il n'entendra pas l'avertissement répété de la terre Mais l'incendie détruira les nouvelles Rome Et dans les décombres accumulés Les pauvres et les barbares pilleront malgré les Légions les richesses abandonnées 23 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Le soleil brûlera la terre L'Air ne sera plus le voile qui protège du feu Il ne sera qu'un rideau troué Et la lumière brûlante rongera les peaux et les yeux La mer s'élèvera comme une eau qui bout Les villes et les rivages seront ensevelies Et des continents entiers disparaîtront Les hommes se réfugieront sur les hauteurs Et ils reconstruiront oubliant déjà ce qui est survenu 24 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Les hommes sauront faire vivre des mirages Les sens seront trompés et ils croiront toucher ce qui n'est pas Ils suivront des chemins que seuls les yeux verront Et le rêve pourra ainsi devenir vivant Mais l'homme ne saura plus séparer ce qui est de ce qui n'est pas Il se perdra dans de faux labyrinthes Ceux qui sauront faire naître des mirages Se joueront de l'homme naïf en le trompant Et beaucoup d'hommes deviendront des chiens rampants 25 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Les animaux que Noé avait embarqués sur son Arche Ne seront plus entre les mains de l'Homme Que bêtes transformées selon sa volonté Et qui se souciera de leur souffrance vivante? L'homme aura fait de chaque espèce ce qu'il aura voulu Et il en aura détruit d'innombrables Que sera devenu l'homme qui aura changé les lois de la vie Qui aura fait de l'animal vivant une motte de glaise Sera-t-il l'égal de Dieu ou l'enfant du Diable? 26 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Il faudra avoir peur pour l'enfant de l'homme Le poison et le désespoir le guetteront On ne l'aura désiré que pour soi et non pour lui ou pour le monde Il sera traqué pour le plaisir et parfois on vendra son corps Mais même celui qui sera protégé par les siens Sera menacé d'avoir l'esprit mort Il vivra dans le jeu et le mirage Qui le guidera puisqu'il n'y aura plus maître Personne ne lui aura enseigné à espérer et à agir 27 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille L'homme se croira Dieu alors qu'il ne sera rien de plus qu'à sa naissance Il frappera toujours vaincu par la colère et la jalousie Mais son bras sera armé de la puissance dont il se sera emparé Et Prométhée aveuglé il pourra tout détruire autour de lui Il restera un nain de l'âme et il aura la force d'un géant Il avancera d'un pas immense mais il ignorera quel chemin prendre Sa tête sera lourde de savoir Mais il ne saura pas pourquoi il vit et il meurt Il sera comme toujours le fou qui gesticule ou l'enfant qui geint 28 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Des contrées entières seront la proie de la guerre Au-delà du limès romain et même sur l'ancien territoire de l'Empire Les hommes des mêmes cités s'égorgeront Ici sera la guerre entre tribus et là entre croyants Les Juifs et les enfants d'Allah n'en finiront pas de s'opposer Et la terre du Christ sera leur champ de bataille Mais les infidèles voudront partout défendre la pureté de leur foi Et il n'y aura en face d'eux que doute et puissance Alors la mort s'avancera partout comme l'étendard des temps nouveaux 29 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Des hommes en multitude seront exclus de la vie humaine Ils n'auront ni droits ni toit ni pain Ils seront nus et n'auront que leurs corps à vendre On les rejettera loin des tours de Babel de l'opulence Ils grouilleront comme un remords et une menace Ils occuperont des contrées entières et prolifèreront Ils écouteront les prédications de la vengeance Et ils se lanceront à l'assaut des tours orgueilleuses Le temps sera revenu des invasions barbares 30 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille L'homme sera entré dans le labyrinthe obscur Il aura peur et il fermera les yeux car il ne saura plus voir Il se défiera de tout et il craindra à chaque pas Mais il sera poussé en avant car aucune halte ne sera permise La voix de Cassandre sera pourtant haute et forte Il ne l'entendra pas Car il voudra toujours plus posséder et sa tête sera perdue dans les mirages Ceux qui seront ses Maîtres le tromperont Et il n'y aura que des mauvais berger 31 Lorsque ce sera le plein de l'An Mille qui vient après l'An Mille Les hommes auront enfin ouvert les yeux Ils ne seront plus enfermés dans leurs têtes et dans leurs cités Ils se verront et s'entendront d'un point à l'autre de la terre Ils sauront que ce qui frappe l'un blesse l'autre Les hommes formeront comme un grand corps unique Dont chacun d'eux sera une part infime Et ils constitueront ensemble le cœur Et il y aura enfin une langue qui sera parlée par tous Et il naîtra ainsi enfin le grand humain 32 Lorsque ce sera le plein de l'An Mille qui vient après l'An Mille L'homme aura conquis le ciel Il créera des étoiles dans la grande mer bleu sombre Et il naviguera sur cette nef brillante Nouvel Ulysse compagnon du Soleil pour l'Odyssée Céleste 33 Lorsque ce sera le plein de l'An Mille qui vient après l'An Mille Les hommes pourront s'enfoncer sous les eaux Leur corps sera nouveau et ils seront poissons Et certains voleront haut plus haut que les oiseaux Comme si la pierre ne tombait pas Ils communiqueront entre eux Car leur esprit sera si grand ouvert qu'il recueillera tous les messages Et les rêves seront partagés Et ils vivront aussi longtemps que le plus vieux des hommes Celui dont parle les Livres Saints 34 Lorsque ce sera le plein de l'An Mille qui vient après l'An Mille L'homme saura quel est l'esprit de toute chose La pierre ou l'eau le corps de l'animal ou le regard de l'autre Il aura percé les secrets que les Dieux anciens possédaient Et il poussera porte après porte dans le labyrinthe de la vie nouvelle Il créera avec la puissance et le jaillissement d'une source Il enseignera le savoir à la multitude des hommes Et les enfants connaîtront la terre et le ciel plus qu'aucun avant eux Et le corps de l'homme sera agrandi et habile Et son esprit aura enveloppé toutes choses et les aura possédées 35 Lorsque ce sera le plein de l'An Mille qui vient après l'An Mille L'homme ne sera plus le seul souverain car la femme viendra saisir le sceptre Elle sera la grande maîtresse des temps futurs Et ce qu'elle pensera elle l'imposera aux hommes Elle sera la mère de cet An Mille qui vient après l'An Mille Elle répandra la douceur tiède de la mère après les jours du Diable Elles sera la beauté après la laideur des temps barbares L'An Mille qui vient après l'An Mille se changera en temps léger On aimera et on partagera On rêvera et on enfantera les rêves 36 Lorsque ce sera le plein de l'An Mille qui vient après l'An Mille L'homme connaîtra une seconde naissance L'Esprit saisira la foule des hommes Qui communieront dans la fraternité Alors s'annoncera la fin des temps barbares Ce sera le temps d'une nouvelle vigueur de la Foi Après les jours noirs du commencement de l'An Mille qui vient après l'An Mille S'ouvriront des jours heureux L'homme retrouvera le chemin des hommes Et la terre sera ordonnée 37 Lorsque ce sera le plein de l'An Mille qui vient après l'An Mille Des voies iront d'un bout à l'autre de la terre et du ciel à l'autre bout Les forêts seront à nouveau denses Et les déserts auront été irrigués Les eaux seront redevenues pures La terre sera comme un jardin L'Homme veillera sur tout ce qui vit Il purifiera ce qu'il a souillé Il sentira toute la terre comme sa demeure Et il sera sage pensant aux lendemains 38 Lorsque ce sera le plein de l'An Mille qui vient après l'An Mille Chacun sera comme un pas réglé On saura tout du monde et de son corps On soignera la maladie avant qu'elle n'apparaisse Chacun sera guérisseur de soi et des autres On aura compris qu'il faut aider pour maintenir Et l'homme après des temps de fermeture et d'avarice Ouvrira son cœur et sa bourse aux plus démunis Il se sentira chevalier de l'ordre humain Et ainsi ce sera un temps nouveau qui commencera 39 Lorsque ce sera le plein de l'An Mille qui vient après l'An Mille L'homme aura appris à donner et à partager Les jours amers de solitude seront enfouis Il croira à nouveau à l'Esprit Et les barbares auront acquis droit de cité Mais cela viendra après les guerres et les incendies Cela surgira des décombres noircies des tours de Babel Et il aura fallu la poigne ferrée Pour que s'ordonne le désordre Et que l'homme retrouve le bon chemin 40 Lorsque ce sera le plein de l'An Mille qui vient après l'An Mille L'homme saura que tous les vivants sont porteurs de lumière Et qu'ils sont créatures à respecter Il aura construit les nouvelles cités Dans le ciel sur la terre et sur la mer Il aura la mémoire de ce qui fut Et il saura lire ce qui sera Il n'aura plus peur de sa propre mort Car il aura dans sa vie vécu plusieurs vies Et la Lumière il le saura ne sera jamais éteinte ...
Couverture livre : Nostradamus l'usurpateur démasqué paru aux éditions septera et dont je suis l'auteur
Les templiers de Belgique
L'ordre du Temple en Belgique.
Photo Antonio Climent. 'Ordre du Temple en Belgique Source : Jan HOSTEN - www.tempeliers.be Un début marquant en Flandre L'histoire des Templiers en Belgique commence à Ypres (Ieper) dès 1128. Peu de temps après l'approbation de la Règle de l'Ordre lors du concile de Troyes, Hugues de Payens et Geoffroy de Saint-Omer y fondent une maison le 13 janvier 1128. Une partie du faubourg de la ville, nommé "Upstal", appartenait à Geoffroy par héritage. Les Annales d'Ypres parlent de quinze religieux pour l'année 1128, treize frères, un supérieur et un chapelain[1]. Cette note dans l'histoire de la ville d'Ypres démontre qu'une des premières commanderies templières en occident se situait très probablement dans le comté de Flandre. De plus, la présence de quinze Templiers dans la maison d'Ypres dès 1128 prouve à nouveau que les Templiers ne sont pas restés à neuf pendant neuf années. Peu après la fondation de la maison d'Ypres, les fondateurs de l'Ordre reçoivent en donation le fief de Bas-Warneton le 15 septembre 1128[2]. La commanderie de Bas-Warneton dépendait directement de la commanderie majeure d'Ypres. Après Bas-Warneton en Hainaut, les fondateurs de l'Ordre reçoivent les commanderies de Cassel et Saint-Omer qui se trouvent actuellement en France[3]. En 1131, Slijpe (Slype), deuxième commanderie du bailliage templier de Flandre, voit le jour. Située au milieu de nouvelles terres gagnées sur la mer, cette commanderie devient vite une implantation templière de grande importance. Au même moment, la commanderie voisine de Leffinge est fondée[4]. Une troisième commanderie date de la même année, celle de La Haie lez Lille, dont le territoire se trouve actuellement en France. Trois ans après le concile de Troyes, la Flandre comptait déjà sept commanderies. Il faut préciser aussi qu'en 1128, après le meurtre du comte Charles le Bon[5], la Flandre brûle. Le roi de France désigne Guillaume de Normandie (ou Guillaume Cliton[6]) comme nouveau comte pour remettre de l'ordre dans ce fief. Mais Philippe d'Alsace revendique aussi le titre de comte. Dans ces temps d'incertitude, le comte Guillaume fait un don considérable aux Templiers, notamment le relief de ses fiefs[7]. Après la mort de Guillaume de Normandie[8] lors de siège d'Aalst (Alost), le 11 juillet 1128, son adversaire Thierry de l'Alsace devient comte et confirme immédiatement le don du relief des fiefs fait aux Templiers. Il est donc certain que les comtes de Flandre pouvaient compter sur la puissance militaire des moines-chevaliers[9]. Peu après la fondation des commanderies de Slijpe et de Leffinge, on trouve une maison dépendante de cette commanderie avec une chapelle à Steene[10]. Malgré son importance, Slijpe n'était pas la commanderie cheftaine de l'Ordre en Flandre ; celle-ci se trouvait toujours à Ypres. Néanmoins, Slijpe devenait au cours des XIIème et XIIIème siècles, la plus puissante implantation templière en Flandre, possédant des commanderies et des maisons de Duinkerke en France (Dunkerque), vers Brugge (Bruges) et Gent (Gand) jusqu'à Sint-Niklaas (Saint-Nicolas), plus de 150 km à vol d'oiseau séparent la première de la dernière. La commanderie de Gent (Gand) a été fondée aux environs de l'année 1180[11]. Cette maison avec une chapelle n'avait pas de grande importance, elle servait surtout comme lieu de réunion. La présence templière à Bruges (Brugge) se concentre à Scheepsdale et à Sint-Pieter-op-den-Dijk. Ces biens se situaient au nord de la ville. Ainsi, les Templiers "contrôlaient" plus ou moins le trafic fluvial venant et partant de Brugge. Ils percevaient entre autre les droits de péage sur le transport de bois entre Zeebrugge et Brugge. Il faut bien réaliser l'ampleur d'un tel droit, car Brugge était à l'époque des Templiers la plus grande ville commerciale du Nord de l'Europe[12]. La suite en Wallonie En 1257, nous retrouvons des traces des Templiers en Hainaut avec la commanderie de Saint-Léger[13]. De cette commanderie importante dépendaient directement des maisons et granges à Anzegem et Audenaarde pour la Flandre à Templeuve, Tournai et Rumes (1213) pour le Hainaut ainsi que la commanderie de Fliémet, près de Mons. Les activités templières au Fliémet (Hainaut) commencent dès 1142 avec une donation de biens à Frameries faite par le comte de Hainaut, Baudouin IV[14]. En 1163, un acte fait mention d'une maison à Piéton-Vernoit. Ce n'est qu'après les Templiers, à l'époque des Hospitaliers, que cette maison deviendra une vraie commanderie. A Wavre (brabant wallon), la commanderie de Neuve Court date probablement de 1183[15]. Le bâtiment impressionnant subsiste jusqu'à nos jours, mais il a subi de nombreuses restaurations dues aux Hospitaliers. Moins de dix ans plus tard, en 1191, la commanderie d'Hargimont fut fondée, grâce à une donation des ducs de Lorraine-Luxembourg. Le domaine templier d'Hargimont formait tout un village, avec certains droits pour les paysans. La présence templière à Villers-le-Temple est l'évidence même. Cette commanderie est une des plus importantes au point de vue historique. Elle avait sous ses ailes, entre autre les commanderies et maisons de Strée, d'Hargimont, de Huy et de Liège. Le personnage clef qui a donné la renommée à ce lieu est Gérard de Villers, fondateur et commandeur de Villers-le-Temple. La pierre tombale de Gérard de Villers est la seule représentant un templier en habit de maison à l'occasion de la mort[16]. L'image mortuaire de Gérard de Villers est devenue le modèle de beaucoup de reproductions de l'habit templier. La commanderie de Visé dépendait de celle de Villers-le-Temple et date probablement du début du XIIIème siècle[17]. La commanderie de Vaillampont apparaît pour la première fois en 1209, lors de la confirmation d'un don par le comte Henri Ier de Lorraine[18]. Laurent Dailliez prétend que les Templiers ne sont pas apparus plus tard dans la région de Nivelles qu'en Flandre ou en Champagne. Au début du XIIIème siècle, les Templiers de Vaillampont recevaient beaucoup de dons de la part des seigneurs locaux. Les possessions de Vaillampont s'étendaient de Fliémet et de Piéton vers Louvain (Leuven) et Hargimont. Vers le milieu du XIIIème siècle, les vagues de donations se sont calmées. La commanderie de Gistel (Ghistel) en Flandre, date probablement de la cette période[19]. Le chapitre provincial de 1257 parle d'une commanderie avec une chapelle. Le début de la fin Pendant presque deux siècles, les comtes de Flandre et les flamands en général, entretenaient des relations très amicales avec les Templiers. Le premier mai 1302 par exemple, les habitants de Bruges se soulèvent contre le roi de France au cours des "Mâtines de Bruges". Laurent Dailliez prétend qu'un certain frère de Boinem ou Boyenem[20], commandeur du Temple à Slijpe, était le chef de cette révolte. Deux mois plus tard, une armée flamande non professionnelle, composée de membres des milices communales, écrasait l'armée des chevaliers du Roi de France à Courtrai (Kortrijk). De nouveau d'après Laurent Dailliez, un certain Gossuin de Bruges[21] menait les troupes flamandes. Ce Gossuin de Bruges était le dernier commandeur du Temple en Flandre. La présence des Templiers en 1302 sur ce champ de bataille, cette fameuse "Bataille des Éperons d'Or", est le sujet de nombreuses discussions. Pour l'instant, les preuves nous manquent pour confirmer ou infirmer cette hypothèse[22]. Ce que je peux affirmer avec plus de certitude, c'est que le "godendac", cette arme qui a mené les flamands à la victoire, a été introduite dans la région par les croisés et très probablement par les Templiers. L'arrestation des Templiers en 1307 ne s'est pas effectuée sans problèmes. Le Comte de Flandre, Godefroy de Béthune, refusait carrément d'arrêter les Templiers. A Ypres, un texte d'origine maçonnique (et donc peu fiable) parle d'une féroce bataille entre les Templiers et les soldats du roi[23]. La plupart des Templiers de Flandre et des autres provinces ont été libérés après les investigations. Beaucoup de Templiers, venant de Flandre et de Hainaut se sont rendus en février et mars 1310 à Paris, afin de défendre leur Ordre. Le meilleur exemple est Bernard de Caestre, qui refusait de renier l'Ordre du Temple et qui s'est également présenté à Paris en 1310 pour défendre le Temple. Après la dissolution de l'Ordre, il a rejoint les Hospitaliers et vers 1322, on le retrouve comme commandeur de l'Ordre de Saint-Jean à Caestre. L'héritage Si les Templiers ont laissé des traces en Belgique, il s'agit surtout de traces étymologiques et toponymiques. Quelques gens portent encore le nom "Tempelaere" ou "Tempels" (le Templier ou du Temple) et presque chaque ville à sa propre "Tempelstraat" ou "Tempeliersstraat" (Rue du Temple ou des Templiers). Mais si on parle des bâtiments, vers 1307, la Flandre comptait plus de dix commanderies[24], des dizaines de maisons et encore beaucoup plus de granges. Une mauvaise coïncidence voudrait que la première guerre mondiale frappe le plus fort là où les Templiers étaient le plus implantés en Belgique. Le beffroi des halles de la ville de Ypres a brûlé sous les bombardements allemands de la première guerre mondiale. Un véritable trésor d'archives sur les Templiers à Ypres était perdu pour toujours lors de cet incendie. Durant la première guerre mondiale, énormément de commanderies ont été détruites. En Wallonie, plusieurs belles commanderies sont restées presque intactes comme celles de Saint-Léger, Wavre et Hargimont. En Flandre, il faut se contenter de la commanderie de West-Vleteren. Notes : [1] Les Annales de la ville d'Ypres parlent du "(…)Temple d'Ypres ou le temple des chevaliers (templum militum) fut, d'après une chronique de Saint-Bertin citée par Sanderus, érigé vers 1127 par le chevalier Geoffroy de St-Omer (…)" dans VANDENPEEREBOOM A., "YPRIANA - Notices, Études, Notes et Documents sur Ypres, Origines", Bruxelles: Éditions Culture et Civilisation, 1976, pp. 92-93 (TOME 3 - Reproduction de l'édition de 1880) [2] Cartulaire de Flandre, fol. 82v.-83v., n. 136 [3] A l'époque des Templiers, une grande partie du Nord de la France faisait partie du Comté de Flandre. [4] Dans les Archives, Slijpe et Leffinghe apparaissent souvent l'une à côté de l'autre. Certains historiens prétendent que la commanderie de Leffinghe n'était rien plus qu'un prolongement de celle de Slijpe. [5] Charles de Danemark, dit " le Bon " a été tué dans l'église de St-Donat à Bruges le 2 mars 1127 par des membres du clan du chancelier de Flandre Bertulphe (fils d'un certain Erembald). Ce meurtre provoquera presque une guerre civile en Flandre. VAN CAENEGEM R., DEMYTTENAERE A., "De Moord op Karel de Goede", Leuven: Davidsfonds, 1999, 280 p ; Frans van KALKEN, "Histoire de Belgique" 1944, p 83 [6] Guillaume "Cliton" (1101-1128) était le fils de Robert II Courteheuse, duc de Normandie et le petit-fils de Guillaume le Conquérant. Après l'emprisonnement de son père par son oncle, le roi Henri I d'Angleterre, Guillaume est devenu comte de Flandre et du Vexin. Durant toute sa vie, il espérait regagner la Normandie aux dépens de son oncle. [7] Le relief des fiefs (relevium, relief) est un certain montant qui était payé au souverain, quand le fief passait d'un vassal à son héritier. Le relief était payé quand le nouveau vassal payait l'hommage à son souverain [8] Guillaume de Normandie (1101-1128) était le petit-fils de Guillaume le Conquérant et donc le neveu du roi d'Angleterre, Henri Ier. [9] CUMPS Lieven, "De Tempeliers in Vlaanderen", Tielt : Uitgeverij Veys, 1976, 750 p. [10] Cartulaire de Flandre, fol 35-36. [11] Antiquitates Flandriae, n. 37. La fondation d'une commanderie et d'une chapelle à Gand n'est pas mentionnée dans le cartulaire de Flandre, ce qui nous démontre que ce cartulaire n'est pas du tout complet. [12] Cartulaire d'Eechout, fol. 72 ou DAILLIEZ L. ""Les Templiers en Flandre, Hainaut, Brabant, Liège et Luxembourg" Nice: Alpes-Méditerrannée Éditions - Impres'sud, 1978, 429 p. [13] Lors d'une donation par Maurice, seigneur de la Cabocherie aux frères du Temple. Paris, Archives Nationales, S5211, n. 11 [14] Duvivier, Recherches sur le Hainaut ancien, p. 556 [15] Le Bulle "Justis petentium desideriis" du 22 juin 1184 donne confirmation d'une donation de 1183. [16] DAILLIEZ L. ""Les Templiers en Flandre, Hainaut, Brabant, Liège et Luxembourg" Nice: Alpes-Méditerrannée Éditions - Impres'sud, 1978, 429 p. [17] Lors du Synode régional de Saint-Remacle, frère Inguerrand, commandeur de la maison du Temple de Visé, réclame le relief des terres tenues en fief du duc de Lorraine par l'abbaye du Val Saint-Lambert de l'Ordre de Cîteaux. [18] Miraeus, op. cit. t. IV, p. 719 ou DAILLIEZ L. ""Les Templiers en Flandre, Hainaut, Brabant, Liège et Luxembourg" Nice: Alpes-Méditerrannée Éditions - Impres'sud, 1978, p. 153. [19] Cartulaire de Flandre, fol 79v., n. 131. [20] Il s'agit (probablement) de Willem van Boenhem [21] Gozewijn van Brugge [22] L'auteur français, Laurent Dailliez, qui a publié plus de vingt livres sur les Templiers, est un homme très respecté qui se base toujours sur des sources de l'époque et des archives. Malheureusement, dans ce cas ils ne nous donne pas la clef. [23] DAILLIEZ L. ""Les Templiers en Flandre, Hainaut, Brabant, Liège et Luxembourg" Nice: Alpes-Méditerrannée Éditions - Impres'sud, 1978, 750 p. [24] Ypres comme première commanderie, puis les commanderies majeures de Slijpe, Cassel (Fr), La Haie les Lille (Fr), Cobrieux (Hainaut), Bas-Warneton (Hainaut), les commanderies de Gistel, Gent, Ruislede, Brugge et Sint-Niklaas, Pérenchie, Cassel (Fr), Saint-Omer (Fr) et Caëstre (Fr).
Le bleu : le symbolisme.
Photo Suzanne-Bialucha. Susanne Tadic-Bialucha La couleur bleue dans son symbolisme divin naturellement dérivée de notre ciel qui brille au soleil dans un beau bleu. Ont choisi cette couleur royale, pour se sentir plus proche de Dieu? À mon avis, ce symbolisme remonte à une époque où le pouvoir séculier et religieux n'étaient pas encore séparés. C'était ce prêtre-rois non seulement en Israël mais aussi dans l'Egypte ancienne et dans de nombreuses autres traditions. À ce jour, le Tenno, l'empereur du Japon, à la fois prêtre élevé de son pays. Alors, quand on parle des descendants de Jésus et Marie-Madeleine, ce n'est pas seulement un guide spirituel ou religieux, mais toujours il se réfère également à un pouvoir temporel. Et depuis plus de 1000 ans semble être une bataille entre l'Eglise de Rome, d'une part, et les gardiens de la ligne de sang de Jésus au lieu de l'autre. Mais il est ici ajouté, principalement à la spéculation, parce que la preuve est là, à ce jour (j'écris ceci en Juin 2006) pas. Peut-être qui contribue à plus de 50 millions de fois déjà seller "The Da Vinci Code" (dans la version allemande de "sacrilège") avec le film de cette vérité maintenant mettre en évidence de plus en plus. Mon sentiment est que le temps est maintenant venu pour cela. Considérons le Graal dans ce contexte, il nous apparaît comme un secret qui devait survivre à deux millénaires, jusqu'à ce qu'il soit à l'époque actuelle a de plus en plus au public. Les questions soulevées dans ce texte religieux ou organisations secrètes ont ainsi rempli leur devoir de garder la vérité, ou pour protéger la ligne de sainte noble. Pour moi, le Saint-Graal combine des niveaux très différents d'interprétation ensemble. La première est la lignée sainte du Christ, un autre est certainement dans son symbolisme mystique lié à la pierre philosophale ou l'arche juive de l'Alliance. Ce sont tous des «objets», ce qui devrait aider les gens à retrouver dans le cadre de Dieu, pour gagner la vie éternelle et de la santé. Tout ce que nous avons eu envie de le plusieurs millénaires de l'histoire occidentale de l'humanité tellement. Donc, il est dans ce contexte pour notre retour au paradis ou le chemin du retour à l'unité avec Dieu. Mais cela a été et est toujours un voyage intérieur, dans lequel ne pouvait donc jamais d'objets externes ou mondaine être décisif. Ainsi, nous sommes les pierres du chemin ou même le Saint-Graal ne peut jamais savoir de nous, mais ils ne sont que représentant de notre propre essence divine ou les Gottesfunkens dans nos cœurs. La recherche du Saint Graal est donc toujours nous retrouver dans notre divinité ou notre véritable destinée. De cette façon, nous retrouvons à la Gralsgeschichte deux légendaire de Chrétien de Troyes et Wolfram von Eschenbach, avec lequel nous avons commencé. Comme mentionné ci-dessus, ils parlent d'un chevalier jeune et inexpérimenté qui va passer ses expérientiels et de nombreux tests a. Mais le Saint-Graal peut nous donner, sous la forme d'un symbole de quelque chose d'autre: C'est moins autour de la cuve et plus sur son contenu. Si la coupe est représentatif de notre corps, donc cela symbolise notre âme, qui est connu pour être immortel, qui vit pour toujours. Et il en a exactement ces qualités qui devraient profiter les gens qui boivent du Saint-Graal. Ainsi, il peut nous enseigner à étendre la vue précédente de nous-mêmes, nous avons considéré non seulement comme un peuple avec un corps physique temporaire, mais comme l'essence divine infinie. Puis nous nous rendons à surmonter la mort physique et certainement le message le plus essentiel de Jésus sur la «résurrection à la vie éternelle."
Le château de Roquemaure.
Photo Valerio Rossi.
Texte Templier Veritas. LE CHATEAU DE ROQUEMAURE " royaume de Clément V ".... La plus ancienne mention que nous en ayons date de 1209. Or à cette époque, le Comte de Toulouse, Raymond VI était accusé par l’église de Rome de complaisance à l’égard de l’hérésie cathare qui se développait sur ses terres. En signe de soumission, il céda 9 châteaux à l’église, dont ceux de Morans, Oppède, Fourques, Montferran, Beaume et Roq uemaure. Mécontents, les habitants embrassèrent la religion cathare ce qui aura des conséquences pour l’histoire de la communauté. Ce château a été un des plus grands du Languedoc. Aujourd’hui, seule la tour, dite des carthaginois, se dresse sur son piédestal de roche, ainsi qu’une tour ronde (dite de la reine). Autrefois, le château de Roquemaure était entouré de 7 tours, les murailles avaient plus de 4.5 mètres d’épaisseur. St Louis fit construire une 3ème enceinte et une chapelle sur le modèle de la Ste Chapelle à Paris. Elu Pape français sous le nom de Clément V, Bertrand de Goth, originaire de Guyenne fut le 1er Pape français et le 1er Pape d’Avignon couronné à Lyon, il vint à Roquemaure accompagné du roi de France. St Louis séjourna au château avant de s’embarquer à Aigues-Mortes pour la Croisade. Il fit du château un magasin réserve pour les croisades. Clément V qui séjournait le plus souvent près de Carpentras se sentant bien malade décida de retourner dans sa Guyenne natale. Il arriva au château le 9 Avril 1314 et ajouta un codocycle à son testament léguant le plus clair de sa fortune à son neveu qui s’appelait comme lui Bertrand de Goth. Le 20 Avril, il décédera dans ce château. Ses serviteurs occupés à fouiller les bagages pour s’emparer de tout ce qu’ils pouvaient, ne prêtèrent aucune attention au catafalque sur lequel un cierge s’était renversé, et le corps du Pape se consuma de moitié. Cette anecdote servit de prétexte à Jean XXII pour contester l’héritage à Bertrand de Goth. Le droit canon de l’époque précisait que l’héritage devait aller à celui qui avait la dépouille mortelle. Ce qui donna lieu à de nombreux procès.
Le Baphomet
LE BAPHOMET ET LE TAU CHEZ LES TEMPLIERS Note de M. Uaynouard sur l'ouvrage de M. Hammer Intitulé Myslertum Bafomcll revelatum i, etc., etc. Depuis la proscription des chevaliers du Temple et l'abolition de l'Ordre 1 Cette dissertation remplit les cent pag- lu-fol. du premier cahier du tom. vi de l'oul'ordre, cinq cents ans étaient écoulés, lorsque les accusations,les témoignages, les jugements ont été soumis h la révision de l'histoire; la renommée de l'ordre et la mémoire des chevaliers sont aujourd'hui réhabilitées dans l'opinion des personnes impartiales. Un nouvel adversaire des templiers s'est présenté, et, laissant à l'écart les accusations que les persécuteurs contemporains avaient imaginées, il a supposé d'autres crimes. Malgré l'intervalle des temps, il s'est vanté de pouvoir produire des preuves matérielles : « Il n'est pas besoin de paroles, a dit M. Hammer, quand les pierres servent de témoins. » Quels sont ces monuments ignorés ou négligés par les personnes qui préparèrent et achevèrent l'infortune de l'ordre du Temple? Comment avaient-ils échappé aux perquisitions industrieuses de l'envie et de la haine, à la sagacité des inquisiteurs ? Pourquoi les divers apostats qui, par ambition ou par crainte, déposèrent contre l'ordre, n'indiquèrent-ils pas des monuments, qui alors auraient été et plus nombreux et plus frappants et dont l'existence aurait justifié leur honteuse désertion? Et quand les églises et les maisons des templiers furent occupées par des successeurs qui avaient tant d'intérêt à faire pardonner la rigueur de la spoliation, comment aucun de ces successeurs ne s'aperçut-il de ces preuves matérielles qui, selon M. Hammer, proclament encore aujourd'hui l'apostasie des templiers? L'ouvrage de ce savant est intitulé Le Mystèbe Du Bapomet Bévélé , ou les frères de la milice du Temple convaincus, par leurs propres monuments de partager l'apostasie, l'idolâtrie, l'impiété des gnostiques, et même des ophian\tes. Voici l'exposition, l'analyse et le résumé du système de M. Hammer i « On lit dans la procédure prise contre l'ordre du Temple que les chevaliers adoraient une idole en forme de Bafomet l, in figurant ba vrage périodique: Fcndgbxben Des Obients, etc. Mines de l'Orient, exploitées par une société d'amateurs, etc. Vienne, 1818. Dans cette note, l'extrais et j'analyse les deux articles du Journal des Savants (mars et avril 1819), où j'ai rendu compte de la dissertation de M. Hammer, et je me sers aussi des deux articles Insérés dans la Bibliothèque unlversellé, tom. x, pag. 327, et tom. pas. 3. 1 II s'en faut de beaucoup que les informations prises contre les templiers aient fourni la preuve ni morale ni légale de l'existence des figures bafométiques. L'arte d'accusation n'en parle point. Il n'en est pas question dans la grande procédure faite à Paris, ni dans les nombreuses dépositions des témoins que l'inquisiteur et les commissaires du pape interrogerent Seulement de six témoins entendus à Carcassonne qui declarerent qu'on leur présenta une Idole, deux la désignerent In Figubam Bafometi. L'un, Gaucerand de Montpesat, amené à Paris, rétracta tout aveu précédent; il ne resterait donc qu'un seul témoin. fometi. La décomposition de ce dernier mot fournit Bafo et MCTi; pctfri en grec signifie teinture, et, par extension, baptême, p-n-rso; signifie de l'esprit. Le Bafomet des templiers était donc le baptême de l'esprit, le baptême gnoslique, qui ne se faisait point par l'eau de la rédemption, mais qui était une luslration spirituelle par le feu. BaFomet signifie donc l'illumination de l'esprit. » Comme les gnostiques avaient fourni aux templiers les idées et les images bafométiques \ le mot Mete (métis) a dû être vénéré chez les templiers;aussi, ajoute M. Hammer, je fournirai des preuves de cette circonstance décisive. » Les gnostiques étaient accusés de vices infâmes. Le Métis était représenté sous des formes symboliques, principalement celles de serpent et d'une croix tronquée en forme de Tau J T, » Les gnostiques, continue M. Hammer, n'employaient pas toujours le mot MEte dans leurs monuments; ils se servaient aussi du mot Gnosis, qui est synonyme, et on le retrouve chez les templiers. » Développant son système d'accusation, M. Hammer soutient toujours qu'il est prouvé par la procédure faite contre les templiers qu'ils adoraient des figures bafométiques; il produit des médailles qni offrent ces prétendues figures bafométiques, et surtout quelques médailles où on lit : Mete avec une croix tronquée 1, et d'autres qui représentent un temple avec la légende : Sanctissima Quinosis, c'està-dire 6nosis. Il indique aussi des vases et des calices gnostiques, et, les attribuant aux templiers, il avance que le roman du Saint Gbaal, on sainte coupe, est un roman symbolique qui cache et prouve à la fois l'apostasie des chevaliers. Enfin il croit reconnaître dans les églisesqui ont jadis appartenuaux templiers ou qu'il prétend leur avoir appartenu, des figures bafométiques, des symboles gnostiques et ophitiques. . • - . , '• M. Hammer fait de très-grandes dépenses d'érudition pour indiquer les divers et nombreux systèmes qui ont précédé et ont amené la secte des gnostiques; il arrive enfin aux figures bafométiques; il en produit vingt-quatre qui lui ont paru réunir les caractères du bafomet. dont on ignore la conduite ultérieure et la fin. Il est prouvé que des quatre autres interrogés à Carcassonnc, Jean Cassaubas et Pierre de Mossl rétracterent leur premiere déposition, et que Jean Cassaubas fut brûlé dans cette ville. 1 M. Hammer regarde ce fait comme constant, mais il n'en fournit aucune preuve. 2 La prétendue croix tronquée que M/ Hammer a cru reconnaître sur des médailles qui d'ailleurs n'ont Jamais concerné les templiers, n'est que reflet de la superposition d'une main sur le haut d'une croix ordinaire; cette main, qui tient la croix par le baut, se trouve sur plusieurs médailles ou monnaies que M. Hammer lui-même n'oserait attribuer aux templiers. Elles sont chargées de signes astrologiques; plusieurs ont un serpent pour ceinture, et tiennent cette croix à anse qui fut appelée clef du Nil par lesÉgyptiens et qu'on a regardée comme le symbole de la fécondité ; elles portent des inscriptions dont les unes, en latin et en grec, ne désignent que des noms propres; et d'autres, en arabe, seraient inintelligibles, si on n'avait eu le moyen de les comparer à celles qui se trouvent sur des vases. Le principal de ces\ases offre une inscription arabe qui se rapporte au culte d'une divinité nommée M été ; en lui donne le titre de Teala, toute-puissante, et de Nasch, productrice. M. Hammer prétend que le Mete était le même que les Sophia, Achamot, des diverses sectes gnostiques. Mais rien n'offre de près ni de loin des rapports avec les templiers. C'est M.Kicolaï qui, dans un ouvage allemand intitulé: Essai sur le secret des templiers, avait le premier employé ce mot de Bafomet; il y avait attaché l'idée de l'image du Dieu suprême dans l'état de quiétude que lui attribuaient les gnostiques manichéens; c'est ce savant qui, le premier, a supposé que les templiers avaient une doctrine secrète et des initiations de plusieurs grades, et il prétendait que les Sarrasins leur avaient communiqué cette doctrine. Pour détruire tous ces systèmes, il suffirait de prouver qu'il est impossible que le mot Bafometi qui se trouve rapporté dans la procédure destempliers, signifie autre chose que Mahomet. M. le baron Silvestre de Sacy 1 avait déjà condamné cette explication de M. Hammer,et, quand ce dernier a persisté à ne pas reconnaître dansBafomet le nom de Mahomet, il a été facile de lui prouver que les auteurs du moyen âge ont souvent écrit Bafomet pour Mahomet; les autorités ne manquent pas2. Si le mot même de la secte bafométique ou gnostique n'existe pas, s'il n'a jamais existé, le système entier manque par la base. Mais, quand même on prouverait qu'il a existé une secte bafométique, quand on aurait des détails certains sur ses opinions, sur ses mystères, comment M. Hammer prouve-t-il que les templiers aient appartenu à cette secte? ^ M. Hammer a rassemblé et a fait graver jusqu'à cent médailles et divers autres monuments qu'il attribue aux templiers, parce qu'il croit y voir leMete , le Tau des gnostiques. Les médailles et les monuments qu'il cite ne sont pas même des 1 Voyez le Magasin encyclopédique, 1810, ton». vi. pag. 179. 2 Ralmundus de Agiles dit des mahométans: In ecclestls autan magnts Bafgmarias faciebanl Iiabebant monticulum ubl duceerant B\fum*ki«. ' -' Les troubadours emploient Bafomobia pour mosquie, et B*pom»t pour Mahomet. preuves de rexislence]d'ufle secte de gnostiques; et, quand cette existence serait démontrée, ces médailles et ces monuments étant entièrement étrangers aux templiers, pourquoi les leur appliquer? Pour donner une idée de la manière dont M. Hammer tâche de prouver par les médailles que les templiers étaient gnostiques, je citerai seulement celles où ce savant a cru lire le mot de Quinosis ou GNOSIS. Dans la monnaie'80e se-trouve, selon M. Hammer, le temple de Jérusalem avec quatre tours; l'inscription porte : f S. S". SimoonJùda; mais lisant à rebours, et commençant non par l'A final, mais par le D couché que M. Hammer a pris pour un Q, tandis que les autres savants qui ont cité cette médaille y ont vu un D, il lit Ssta QviNoomis, quoiqu'il n'y ait aucun T dans l'inscription; et, considérant l'M comme un sigma renversé, M. Hammer a trouvé Quinoosis ; ensuite , changeant Qui en G et ne faisant qu'un seul O des deux, il obtient Gnosis , ce qui, selon lui, révèle et prouve le secret destempliers gnostiques. M. Hammer non-seulement lit à rebours, maisencore commence laJectHre à la pénultième lettre, et il laisse l'A, après lequel est une + qui sépare le commencement dans l'inscription de sa fin ; il ajoute unT, et suppose une lettre grecque mêlée dans l'inscription latine; et enfin, après tous ces changements, il n'a pas encore le mot Gnosis. Et pourquoi a-t-il vu dans cette inscription ce qui n'y est pas, et n'a-t-il pas voulu voir ce qui y est, SS. Simon Juda? Dans la médaille 99e, on lit de même S. Simon Vel Juda; dans la 93e, S. Simon Juda, etc. Rien de plus commun dans le moyen âge que les monnaies qui d'un côté ont le nom d'un saint, tandis que de l'autre elles offrent le nom de la ville ou du prince. Deux des monnaies où, au lieu de saint Simon et de saint Jude , M. Hammer lit Sainte Gnostique, portent aussi le nom d'Orro ,d'OtTo Mabchio. Cette circonstance est embarrassante pour M. Hammer; il l'explique en disant que ce marquis Otton était un gnostique,! protecteur des templiers, initié à leur doctrine secrète. Seelander s n'a lu dans ces monnaies que saint Simon et saint Jnde; il a cru que cet Otton pouvait être Otton II, marquis de Brandebourg, qui a vécu vers l'an 1200. Si l'opinion de Seelander ne suffisait pas à M. Hammer pour adopter cette explication simple, naturelle, évidente, il aurait trouvé dans Otto Sperlingius%. 1 Nlcolaï SeelanderX Schriflen von Deutsplien jromzen Miltlerer Zeiten, etc. Hannover, I7«, ln-4°. , . 2 Oltonis Spcrllngii de Nummorum bracteaWrum et cavorum, etc. Lubeca?, iïto < ln-4°, paj.75.
Texte Griffon d'Argent.
L'histoire du château de Roquemaure.
Photo German Order.
enceinte du Château de Roquemaure.
En 1310, Clément V confia le bénéfice de l’église Ste Marie (Notre Dame de la purification, construite dans l’enceinte du château de Roquemaure) à Bertrand de Poujet. Après le décès de Clément V le second pape fut Jean XXII plus ou moins parent de Bertrand de Poujet. Clément V décéda dans la maison de gauche ...
Inscription à :
Articles (Atom)