mardi 16 octobre 2012

Rudy Cambier À diffuser svp. Merci. Les chemins du trésor des Templiers – asbl Ivo de Lessinis Au sein de notre asbl, un groupe de recherche et d'études s'occupe de retrouver et de baliser le tracé des 7 itinéraires qu'au 14ème siècle le 15ème abbé de l'abbaye cistercienne de Cambron, Yves de Lessines, imagina pour mener au lieu du dépôt des reliques et documents templiers son "attendu" qui, croyait-il, allait ressusciter l'Ordre Sacré du Temple. Ce dimanche 21 octobre, le groupe projette un voyage d'un jour en Thiérache pour la visite des plus belles églises fortifiées de la région. Le départ est fixé à 7h du matin au N° 6 Blanc Scourchet à 7890 Wodecq chez Rudy Cambier - Retour approximativement vers 21h. Le voyage s'effectue en car. Nous visiterons au cours de ce voyage, outre une très belle région, une douzaine d'églises fortifiées sélectionnées parmi les plus belles, les plus intéressantes et les plus variées. Un document vous sera remis qui vous expliquera bien des choses sur ces églises et vous serez guidés sur place. Il est prévu un premier arrêt à Avesnes sur Helpe au cours duquel nous prendrons un petit déjeuner café croissant. Un repas de midi est prévu à Vervins et une collation sandwichs dans le car au retour. L'ensemble: voyage en car + les différents repas vous coûtera la modique somme de 50 euros. Ce prix comprend tout hors les boissons. La somme devra être remise le matin du départ. (Pour le repas de midi: Hors-d'œuvre de charcuteries et crudités - Poulet pommes sautées et haricots ou spaghettis bolognaise - Maroilles ou mousse au chocolat. Veuillez indiquer le plat consistant et le dessert choisis en vous inscrivant) Si le Moyen- Inscription si possible avant ce samedi 13 octobre à l'adresse mail suivante (corteville.claurayli@edpnet.be) ou par l'entremise d'un des membres actifs de notre groupe (Rudy, Denise, Jean-Marie Flamand, Jacqueline Lenssens-Claessens, Bruno...ou toute autre personne, membre de notre groupe, qui se chargera de les contacter endéans la semaine) Nous serions très heureux de vous retrouver à cette occasion. Et voyager ensemble nous donnera l'occasion de faire connaissance ou d'échanger les dernières nouvelles. Nous espérons donc que le plus grand nombre d'entre vous et des vôtres se joindra à nous. Bien à vous, Claude Corteville

La Samain.

Hervé Bertrand de Bretagne SAMAIN. Le Samain était une fête celtique encore appelée Saman et Samhain, ou Samonios chez les gaulois. Elle marque le début et la fin de l'année celtique, et annonce le début du Temps Noir. En effet Samain n’appartient ni à l’année qui se termine ni à celle qui commence : c’est un jour en dehors du temps qui permet aux vivants de rencontrer les défunts. Et elle permet aussi aux défunts, non réincarnés, de passer dans le monde des vivants pour y retrouver les lieux et les personnes qui leur étaient chers. On situe ce jour au premier Novembre de notre calendrier. Mais comme toutes les principales fêtes celtiques, Samain compte trois jours de solennités : le premier est consacré à la mémoire des héros, le deuxième à celle de tous les défunts, et le troisième est livré aux réjouissances populaires et familiales marquées par des réunions, des banquets, des festins de toutes sortes qui pouvaient se prolonger pendant une semaine. La veille de la nuit de Samain, avait lieu la cérémonie de la renaissance du feu. Les propriétaires des maisons éteignaient les feux de l’âtre avant de se rassembler à la nuit tombante sur la place où les druides procédaient à l’allumage d’un nouveau feu sacré en frottant quelques bois secs du chêne sacré. Ils allaient ensuite allumer de grands feux de joie sur les collines environnantes pour éloigner les esprits malfaisants. Puis chaque maître de maison repartait avec quelques braises tirées du nouveau feu sacré pour rallumer un nouveau feu dans l’âtre de sa maison qui devait durer jusqu’à la prochaine fête de Samain et protéger ainsi le foyer tout au long de l’année. Dans la nuit du 31 octobre – les fêtes celtes commencent à la tombée de la nuit -, on croyait que le monde des morts, des fées et des sorcières entrait en contact avec celui des vivants. On croyait ainsi que les âmes des défunts revenaient errer autour des maisons des vivants c' est pourquoi on laissait la porte entre ouverte et une place à table et on plaçait des lanternes sur les chemins pour les guider. La tradition de Samain n’a pas complètement disparu ni avec la romanisation de la Gaule, ni avec le développement du catholicisme. Et c’est sans doute par référence à cette fête celte que le pape Grégoire IV décida, en 840, de faire du 1 er novembre, le jour de tous les saints. La référence à Samain devenait encore plus claire lorsque, trois siècles plus tard, à la fête des saints et des martyrs, on adjoignit la fête de tous les morts. Avec la fête américaine d’Halloween largement entretenue par les médias et la publicité, est apparu Jack O’ Lantern, un personnage tiré d’un conte irlandais. Ivrogne invétéré et avare, Jack réussit à tromper le diable à deux reprises.

lundi 15 octobre 2012

Louis XIV de France.

Susanne Tadic-Bialucha Louis XIV of France

La dernière lettre de Marie-Antoinette.

Texte et photo Louis XX Dernière lettre de la Reine Marie-Antoinette Ce 16 octobre 1793 à 4h1/2 du matin C’est à vous, ma sœur que j’écris pour la dernière fois. Je viens d’être condamnée non pas à une mort honteuse – elle ne l’est que pour les criminels – mais à aller rejoindre votre frère. Comme lui innocente, j’espère montrer la même fermeté que lui dans ses derniers moments. Je suis calme comme on l’est quand la conscience ne reproche rien ; j’ai un profond regret d’abandonner mes pauvres enfants. Vous savez que je n’existais que pour eux et vous, ma bonne et tendre sœur. Vous qui avez par votre amitié tout sacrifié pour être avec nous, dans quelle position je vous laisse ! J’ai appris par le plaidoyer même du procès que ma fille était séparée de vous. Hélas ! La pauvre enfant, je n’ose pas lui écrire, elle ne recevrait pas ma lettre. Je ne sais pas même si celle-ci vous parviendra. Recevez pour eux deux ici ma bénédiction. J’espère qu’un jour, lorsqu’ils seront plus grands, ils pourront se réunir avec vous et jouir en entier de vos tendres soins. Qu’ils pensent tous deux à ce que je n’ai cessé de leur inspirer, que les principes et l’exécution exacte de ses devoirs, sont la première base de la vie, que leur amitié et leur confiance mutuelles en feront le bonheur ; que ma fille sente qu’à l’âge qu’elle a, elle doit toujours aider son frère, par les conseils que l’expérience qu’elle aura de plus que lui et son amitié pourront lui inspirer ; que mon fils à son tour, rende à sa sœur tous les soins, tous les services que l’amitié peut inspirer ; qu’ils sentent enfin tous deux que dans quelque position qu’ils pourront se trouver, ils ne seront vraiment heureux que par leur union ; qu’ils prennent exemple de nous. Combien dans nos malheurs, notre amitié nous a donné de consolation, et dans le bonheur on jouit doublement quand on peut le partager avec un ami, et où en trouver de plus tendre, de plus cher que dans sa propre famille ? Que mon fils n’oublie jamais les derniers mots de son père que je lui répète expressément : qu’il ne cherche jamais à venger notre mort. (…) Il me reste à vous confier encore mes dernières pensées. J’aurais voulu les écrire dès le commencement du procès, mais, outre qu’on ne me laissait pas écrire, la marche a été si rapide que je n’en aurais réellement pas eu le temps. Je meurs dans la religion catholique, apostolique et romaine, dans celle de mes pères, dans celle où j’ai été élevée, et que j’ai toujours professée. N’ayant aucune consolation spirituelle à attendre, ne sachant pas s’il existe encore ici des prêtres de cette religion, et même le lieu où je suis les exposerait trop s’ils y entraient une fois. Je demande sincèrement pardon à Dieu de toutes les fautes que j’ai pu commettre depuis que j’existe. J’espère que, dans Sa bonté, Il voudra bien recevoir mes derniers vœux, ainsi que ceux que je fais depuis longtemps, pour qu’Il veuille bien recevoir mon âme dans Sa miséricorde et Sa bonté. Je demande pardon à tous ceux que je connais et à vous ma sœur, en particulier, de toutes les peines que, sans le vouloir, j’aurais pu leur causer. Je pardonne à tous mes ennemis le mal qu’ils m’ont fait. Je dis ici adieu à mes tantes et à tous mes frères et sœurs. J’avais des amis ; l’idée d’en être séparée pour jamais et leurs peines sont un des plus grands regrets que j’emporte en mourant. Qu’ils sachent du moins que jusqu’à mon dernier moment, j’ai pensé à eux. Adieu, ma bonne et tendre sœur. Puisse cette lettre vous arriver. Pensez toujours à moi ; je vous embrasse de tout mon cœur, ainsi que ces pauvres et chers enfants. Mon Dieu ! qu’il est déchirant de les quitter pour toujours ! Adieu, adieu, je ne vais plus que m’occuper de mes devoirs spirituels. Comme je ne suis pas libre dans mes actions, on m’amènera peut-être un prêtre, mais je proteste ici que je ne lui dirai pas un mot et que je le traiterai comme un être absolument étranger.

dimanche 14 octobre 2012

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http://www.edilivre.com/la-gardienne-de-la-9e-porte-annik-couppez-veronese-d-olrac.html

Hugo de Payns.

Texte et photo Suzanne Tadic-Bialucha. Après la première croisade en Juillet 1099, dans laquelle se trouvaient les «chrétiens» armées de 70,000 hommes, femmes et enfants abattus à Jérusalem, et les dévotions chrétiennes nobles après l'occupation d'une manière très répréhensible de la vie, l'église a été de plus en plus conscients, qu'il avait besoin d'hommes disciplinés et loyaux services, à laquelle ils pouvaient compter sur dans toutes les situations. Hugo de Payns, un noble de Champagne, qui était alors à peine 19 ans, a été témoin du massacre. Horrifié, il rentre en France, où il est entré dans le service de son oncle Hugo de Champagne. Ils ont voyagé d'environ 1104 à Jérusalem, il cherche curieusement autour de cinq ans à partir de textes anciens. Documents découverts, ils donnèrent à la France l'ordre cistercien pour l'évaluation et l'interprétation. Ces textes étaient apparemment d'une grande importance, car en 1114 ils ont voyagé de nouveau à la Terre Sainte à d'autres traditions hébraïques rentrer en France. Hugo de Champagne était très reconnaissant de l'aide de l'Ordre, de sorte que non seulement il lui a donné un grand morceau de terre, mais aussi le chargé de la fondation de l'abbaye de Clairvaux. Ce devait conduire un jeune moine, Bernard de Fontaine, qui sont entrés plus tard comme «Saint-Bernard» dans l'histoire. Anno 1119 fondée Hugo de Payns, André de Montbard, Godefroi de Saint-Omer, Payen de Montdidier, Archambald de Saint-Amand, Godefroi Bisol et deux moines cisterciens, et Konrad Gundemar, les Templiers. Leur tâche était de protéger les pèlerins contre les bandits de grand chemin et autres attaques. Gratuit de la poursuite de la richesse et de l'abandon total à Dieu, ils se sont trouvés liés par les règles de leur ordre. Le nom est donné selon la tradition, le Temple de Salomon à Jérusalem. Sur ses ruines était alors - dans l'est du palais du Roi Baudouin I, les quartiers des Templiers. Le titre complet de l'ordre était: "Pauperes COMMILITONES CHRISTI TEMPLIQUE Salomon" Camarades pauvres du Christ et du Temple de Salomon La Croix des Templiers ou pattes croisées était rouge sur fond blanc. La couleur rouge est pour le sang du sacrifice chevalier dans la guerre sainte étaient prêts. Weiss a souligné son esprit pur et sans tache. La croix symbolise la puissance de la croix chrétienne. Les spéculations suggèrent que l'objectif premier des Templiers pour protéger les chrétiens de Jérusalem, n'aurait été qu'un prétexte pour leur véritable programme: la découverte des manuscrits secrets de l'époque de Moïse et la reconstruction du Temple de Salomon selon les plans des prophéties d'Ezéchiel. Ou ils peuvent avoir été (avec succès) à la recherche de l'arche de l'alliance? Étrange, c'est que ils ont promis lors de sa création à inclure dans les neuf premières années de l'Ordre a pas de nouveaux membres. En outre, ils étaient à cette époque dans toute bataille. Au lieu de cela, ils ont entrepris des fouilles archéologiques ... Pour l'adoption des fouilles archéologiques parlent trouve soldats britanniques qui voulaient créer une carte 1894 de galeries souterraines qui se trouvent sous le Temple d'Hérode. Ils ont trouvé de nombreuses traces et les vestiges des Templiers. Ce que les Templiers étaient à la recherche, à ce moment sans doute? Hugo de Payns, qui était au synode de Troyes en 1127 le Master officiel du Grand des Templiers, était le chef d'un royaume indépendant et international, dans ses actions et de compétences pourrait se mêler aucun pouvoir temporel. Le pape Innocent II a accordé des Templiers 1139 à la liberté d'être seulement soumis à ses instructions, à lever leurs propres impôts pour être autorisés à construire leurs propres églises, ainsi que le droit de déroger à la foi de l'Église! Le nombre d'adhésions religieuses augmenté de façon constante et à la richesse de l'Ordre a grandi. Il a gagné non seulement en taille mais aussi en influence. Le pouvoir religieux a augmenté en particulier dans l'utilisation de l'argent a été prêté pour l'intérêt. En particulier, le rôle de médiateur entre l'Europe et le monde islamique est devenu de plus en plus important. En tant que fondateur de l'architecture gothique, la connaissance des Templiers étaient de l'architecture de la période à venir. Partout en Europe, en fonction de ses principes architecturaux des cathédrales, églises et châteaux ont été construits. Saint Bernard a maîtrisé cette connaissance, parce qu'il était engagé dans la construction de la cathédrale de Chartres beaucoup. La construction de la cathédrale n'a alors que 26 ans, une merveille pour son époque et de la technologie. Aujourd'hui, nous donnons aux tableaux de mystère Chartres, parce que leurs architectes avaient une connaissance très avancée. Outre les œuvres de la sculpture génie a été trouvé également le dicton: "HIC AMICITUR ARCA DERIS" (Arca est le mot latin pour l'arche). Bien que l'impact économique de la commande sont en croissance, de plus en plus, mais les chevaliers quitté le succès constant dans les batailles - peut-être qu'ils étaient devenus grâce à leur succès, trop téméraire. Quand enfin le 17 Mai 1291, la forteresse d'Acre tomba entre les mains des musulmans et les villes de Sidon, Tyr et Beyrouth ont été perdues, a pris la disparition de l'Ordre a commencé. C'était une retraite à Chypre, où, en 1293, Jacques de Molay fut élu Grand Maître. Sous le commandement Molay fait même des attaques contre Alexandrie et la côte syrienne. Tout cela mais a échoué. En raison de l'extraordinaire richesse de l'Ordre du Temple ont été accueillis par une grande envie. En particulier, la noblesse appauvrie et le roi Philippe IV de France (appelée «la Belle») devait beaucoup d'argent à l'ordre. La création récente du pape Clément V était le roi de dette envers la France, mais cela n'a pas contribué à sa nomination en tant que pape hors de propos. L'étape suivante consistait à trouver un moyen et une charge de détruire les chevaliers du Temple. Ils ont construit et ce fut une accusation d'hérésie. A l'aube du 13 Octobre 1307 a commencé la poursuite de tous les membres de l'Ordre, dans le but d'arrêter tous les Templiers en France, et de confisquer leurs biens. Le nombre de tous les Templiers en France à cette époque était estimé à environ 15.000. Parmi ceux qui ont été arrêtés, dont beaucoup a fini sur le bûcher ou sont morts sous la torture. 1312, l'Ordre a été officiellement dissous par le pape, sans jamais été prouvé que passif. En Mars de 1314 a été le grand maître Jacques de Molay et le Grosspräzeptor de Normandie, Geoffroy de Charnay, condamné à mort par le feu. Mais, heureusement, n'était pas sur le plan du roi Philippe. L'immense richesse de l'ordre, donc oui sa destruction a été principalement avait disparu sans laisser de trace, ainsi que de nombreux livres et registres. - Les Templiers furent certainement prévenu

En hommage aux fraters tombés hier.

Gino Cligñett
remember our fallen brothers!