lundi 22 octobre 2012

Un peu de rêve pour commencer cette journée qui s'annonce très ensoleillée. Bisous à tous.

Photo Dreaming.

La France pittoresque.

La France pittoresque Expression : Il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué On ne doit pas compter sur le résultat d’une affaire avant que celle-ci ne soit terminée. Il y a un proverbe turc qui dit à peu près la même chose : On ne vend pas le poisson qui est encore dans la mer...

La légende de la fée Morgane

Photo Dreaming. Dernière des trois filles de la duchesse Ygraine et de Gorlois de Tintagel, demi-sœur d'Arthur qu'elle jalouse, Morgane la fée (ou Morgain) est une magicienne redoutable disciple de Merlin, et maîtresse de l'île d'Avalon. Morgane la fée (1864) par Anthony Frédérick Sandys Elle aurait volé Excalibur pour la donner à Accolon, qui provoqua alors Arthur en combat singulier. Lorsque Accolon lâcha l'épée, Arthur la reconnut et le chevalier admit sa faute et se rendit. Bien qu'élevée dans un couvent, elle fut une magicienne redoutée. Elle est aussi Rhiannon, ou l'Impératrice, ou Orgueluse, prenant souvent l'aspect d'une corneille. Mais elle apparaît dans les chansons de Merlin et d'Ogier le Danois comme une fée bienveillante et guérisseuse. La nature de Morgane la fée apparaît dans sa double nature : la guérison et la magie. Elle est l'instigatrice de la venue du chevalier vert pour ennuyer Arthur mais surtout pour effrayer Guenièvre qu'elle déteste le plus. Cependant, après la bataille sanglante entre Arthur et son neveu rebelle Mordred, Morgane la fée fut l'une des trois femmes qui emmenèrent le souverain mortellement blessé à Avalon à bord d'un bateau noir pour le mettre "en dormition". Les deux autres femmes étaient "la reine de Northgales et la reine de Wastelands" Morgane Dans la version du cycle d'Avalon de Marion Zimmer Bradley , elle aurait été élevée sur l'île d'Avalon par la grande prêtresse Viviane et elle ne tient plus le rôle de la méchante de l'histoire. FILIATION. Ygraine Gorlois de Tintagel MORGANE Epoux* / amant Enfants Urien * Yvain Accolon Sources : Copyright © Mythologica.fr 2001 - 2009

Louis XV

Hervé Bertrand de Bretagne

dimanche 21 octobre 2012

La dépravation hérétique.

Templier Veritas. La dépravation hérétique La France du XIIIe siècle compte sur sont territoire de nombreux hérétiques. Il est donc facile de profiter de l'impopularité des Templiers pour les accuser de "dépravation hérétique". Dès 1305, des bruits courent sur leurs mœurs dissolues. Jacques de Molay, humilié, demande au pape Clément V de mener l'enquête pour mettre fin à ces calomnies et justifier de sa bonne foi. Mais le pape ne prête guère d'attention à sa requête, pas plus qu'à celle de Philippe le Bel qui veut faire arrêter les renégats. Impatient, le roi se passe finalement de son autorisation pour lancer les hostilités.

Gestionnaires et financiers.

Templier Veritas Gestionnaires et financiers : Les Templiers exercent une activité économique et financière pour subvenir aux besoins de l'Ordre et faire fructifier leur fortune par une série de mesures lucratives. Ils mettent par exemple en place un système de changement de monnaie qui leur permet de récupérer plus d'argent qu'ils n'en ont prêté. Ils inventent la lettre de change, origine du chèque, pour facilit er le transport des fonds : les Croisés partant pour la Terre Sainte pouvaient laisser leur or dans un comptoir occidental, voyager avec une lettre ne craignant par le vol et récupérer leur dû dans un comptoir oriental. Les Templiers stockent enfin les biens des rois de France et d'Angleterre. Une fortune qu'il faut gérer. Aussi, au milieu du XIIe siècle, les combattant sont déjà moins nombreux que les employés, gestionnaires ou baillis.Ce n'étaient pas des banquiers ...

La bure et l'épée.

Templier Veritas La bure et l'épée "Tu ne tueras point", ordonne Dieu dans ses 10 commandements. Prescription d'autant plus incontournable pour ceux qui ont fait le vœu de consacrer leur vie au Christ. Pourtant, lorsque Bernard de Clairvaux, qui a soutenu l'ordre auprès du pape Honorius II, rédige la règle de l'ordre des Templiers en 1128, il bouleverse les codes de la société médiévale, traditionnellement divisée en trois ordres (noblesse, clergé et tiers-état). Les Templiers franchissent les frontières habituelles : religieux par leurs vœux de chasteté, pauvreté et obéissance, ils sont également soldats, maniant l'épée et faisant couler le sang.