mercredi 24 octobre 2012

Le château de Puisserquier.

Danielle Chaix Photo le château de Puisserguier (partie 1) en
2011 le Château de Puisserguier. A.R.E.S.P. par "Eric Cathare Phoenix" · Château de Puisserguier Giraud de Pépieux, un des seigneurs qui venaient de prêter serment à Montfort, assiège et investit le château de Puisserguier. Les défenseurs, deux chevaliers et cinquante sergents, se rendent contre la promesse d'avoir la vie sauve. Comme Montfort appr...Afficher la suite Par : A.R.E.S.P. par "Eric Cathare Phoenix"

Se marier dans un château.

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Le château de Bézu.

Templier III, Eric Cathare.
Le Château de Bézu (Aude) LE BÉZU France, département de l'Aude(11), à 7 km à l'est de Quillan A 823 mètres d'altitude, le château du Bézu, appelé aussi Albezu, Albezus ou d'Albedun, dresse ses ruines parmi lesquelles on peut encore distinguer une grande enceinte polygonale et le donjon. Les Seigneurs d'Albedun occupèrent le château entre le 11ème et le 13ème siècle. Cette seigneurie faisait partie du Comté du Razes, appartenant aux puissants Comtes de Carcassonne. Vers 1060, ses premiers seigneurs étaient Pierre 1er et Bernard 1er d'Albedun. Pendant les 12ème et 13ème siècles, quelques autres noms ont été enregistrés dans les chartes de la région : Pierre II, Bernard Sermon 1er, Bernard II, Bertrand et Bernard Sermon II. Tous ces personnages ont été seigneurs d'Albedun. Ce qui rend leur histoire intéressante, c'est que plusieurs d'entre eux ont été en relation avec les Templiers voisins de Campagne-sur-Aude et de Rennes-le-Château. En 1151, Bernard Sermon 1er d'Albedun donne son âme et son corps aux Templiers, faisant en même temps une belle donation d'argent à l'Ordre. Au cours des cinquante années suivantes, sa famille continuera à faire plusieurs donantions importantes à l'Ordre. Bernard Sermon 1er gagnera tellement bien la confiance de ses frères chevaliers que l'Ordre lui donnera le village entier d'Esperaza et ses environs à administrer. C'était un privilège rare et presque inouï. En 1209, toute la région fut témoin des tourments de la croisade albigeoise. La famille des seigneurs d'Albedun adoptèrent la foi cathare et, en 1210, Bernard Sermon II abandonna son château à Simon de Montfort. Pour un motif bien intriguant, il fut cependant autorisé à rester dans son château. A partir de cet instant, le seigneur d'Aldebun adopta une position plus forte. En 1229, il décida de cacher un important évêque cathare, Guilhabert de Castres, ainsi qu'un Parfait, Guillaume Bernard Hunaud, sur ses terres. En conséquence en 1231, le Roi de France donna le château d'Albedun à Pierre de Voisins, un croisé français. Toutefois Bernard Sermon ne fut jamais accusé ouvertement d'hérésie. Il fut même autorisé à garder quelques terres dans la région et continua à y vivre avec sa famille. Ce fait est très surprenant, sachant que tous les autres seigneurs cathares de la région furent persécutés ou durent quitter le pays. En 1244, Bernard Sermon vint même à Montségur pour recevoir la bénédiction de l'évêque cathare Guilhabert. Un autre élément surprenant concernant les seigneurs d'Aldebun était leur fortune. Ils n'ont jamais du emprunter de l'argent et ils avaient d'immenses réserves financières. Plusieurs fois même, ils prêtèrent de l'argent aux Comtes de Carcassonne et firent des dons aux Templiers. Pour terminer, quelques informations supplémentaires : Entre 1292 et 1307, le chateau aurait momentanément été la propriété des Templiers. En 1307, Othon d'Aure, vassal du Comte, vivait dans le château d'Aldebun et fut accusé de fabrication de fausse monnaie. En 1344, la famille de Voisins est de retour dans le château, mais Brunissende, la femme de Jacques de Vosins, Guillaume de Cathala (Beau-fils de Brunissende et neveu du pape Benoit XII) et un couple d'autres nobles furent aussi accusés des même faits. Vraiment beaucoup d'évènements intriguants se sont déroulés dans ce château d'Aldebun : La grande fortune de ses seigneurs, leur immunité au cours de la croisade albigeoise, les nombreux changement de propriétaire du château et pour finir les histoires de fausse monnaie... Le château du Bézu a fait couler beaucoup d'encre car il a été présenté comme une commanderie templière par l'abbé Mazières, qui consacra un livre à cette hypothèse controversée. Il aurait été transformé vers 1290 par des Templiers venus du Mas-Deu, commanderie catalane, suite à une donnation de Pierre de Voisins, seigneur de Rennes-le-Château. Jean Markale, dans son livre «Rennes-le-Château et l'énigme de l'or maudit» (éditions Pygmalion, 1989), indique que les Templiers du Bézu n'auraient pas été arrêtés le 13 Octobre 1307, à la différence de tous les Templiers du royaume de France . Ils auraient alors été sous l'autorité du comte de Barcelone. La carte I.G.N. (série bleue, 1:25 000, Quillan, 2347 ouest) indique bien le château comme étant le château des Templiers. Selon une légende, le puits situé dans les ruines de la métairie des Baruteaux habriterait une cloche d'argent. Elle sonnerait le glas chaque nuit du 12 au 13 Octobre (les Templiers furent arrêtés dans le royaume de France le Vendredi 13 Octobre 1307 ...). Une file de fantômes quitterait alors le cimetière pour se diriger vers le château ...

La lance de Longinus.

Daniel Lavoie. - LA LANCE DE LONGINUS - LE SOMBRE PASSÉ D'UNE ARME À DOUBLE TRANCHANT L'histoire de la lance de Longinus Selon la bible, alors que Jésus et les deux voleurs étaient crucifiés sur leurs croix, les chefs juifs demandèrent à Pilate de casser les jambes des condamnés pour accélérer leur décès. Les soldats romains cassèrent les jambes des deux voleurs, mais Jésus, semble t'il, lui semblait mort. Voulant s'en assurer, un centurion romain nommé Gaius Cassius, transperça le flanc de Jésus avec sa lance. Que le soldat en ait été conscient ou pas, il venait de réalisé une prophétie. Dans l'ancien testament, il était écrit que le messie n'aurait pas d'os cassé, mais que son sang coulerait. Cet acte fut connu comme étant une preuve de plus que Jésus de Nazareth était réellement le messie annoncé par l'ancien testament, le fils de Dieu. La crucifixion On estime que la crucifixion a commencée à être utilisée environ un siècle avant la naissance de Jésus. C'était une méthode d'exécution perçue comme étant des plus humiliante, à un point tel qu'un citoyen romain, quelque soit son crime, ne pouvait être crucifier. Ce supplice n'était réservé qu'aux esclaves et pour les castes inférieurs. Cette méthode de mise à mort est très lente, et très souffrante. Les accusés pouvaient agonir plusieurs jours si ils n'avaient pas les jambes cassées. Car en effet, ils devaient garder une certaine pression, en soutenant leur poids avec leurs jambes, pour arriver à respirer correctement. Ayant été torturé toute la nuit, il est probable que Jésus, plus faible que les deux voleurs à ses cotés, ait succombé en premier. La lance de Longinus, qui lui perfora le flanc, devint une relique religieuse et fut considérée comme le symbole de la mort de Jésus. La lance aurait été conservée par Hélène, ainsi que les clous et la croix ayant qui servirent à la crucifixion. Elle fut plus tard enterrée à Antioche pour évitée sa capture par la Saracens. Ainsi se termine la première partie de l'histoire. Lance de longinus La lance sainte présenté dans une église d'Antioche Sur les traces de la lance de Longinus Nous perdons totalement la trace de la lance jusqu'en l'an 570, date à laquelle un pèlerin du nom de Antoninus de Piancenza, visite les endroits saints de Jérusalem et affirme avoir vu, dans une basilique, « la couronne d'épine avec laquelle Jésus fut couronné ainsi que la lance avec laquelle il a été frappé dans le coté ». Un autre fragment de preuve se trouve dans une bibliothèque de Florence, dans laquelle un manuscrit, un fragment du célèbre manuscrit de Syriac, rapporte une image d'un centurion perçant le flanc de Jésus avec une lance. Le document date de l'an 586 et on trouve écrit, en caractères grecs, « Loginos » au dessus de la tête du soldat qui assena un coup fatal au messie. En 615, Jérusalem a été capturé par un lieutenant du Roi persan Chosroes. Les reliques sacrées sont tombées entre les mains des païens, et, selon le « Chronicon Paschale », la pointe de la lance a été donnée par même année à Nicetas, qui l'a pris à Constantinople et l'a déposé dans l'église de la rue Sophia. À ce point, la lance de longinus a été maintenant placée dans un coffret spécial ( Nous sommes en 1244) et été présentée par Baldwin à St Louis, France, la pointe de la lance ainsi que la sainte couronne d'épine furent placé dans le Sainte Chapelle. Pendant la révolution française, ces reliques ont été enlevées et, bien que la couronne ait été retrouvée, la pointe de la lance de Longinus a maintenant disparue. Hitler et la lance de Longinus C'est en 1909, dans le musée Hofburg de Vienne, un jeune homme maigre, pâle, aux vêtements râpés, examine les trésors de la maison des Habsbourg. Partout alentour de lui, des couronnes de diamants étincellent sur leur support. Mais un objet particulier hypnotise le visiteur: un bout de lance émoussé, rendu noir par le temps. Le visiteur peu avenant, c'est Adolf Hitler. L'objet qu'il vénère: la lance de Longinus. La lance de longinus est censée être celle qui perça la poitrine du Christ crucifié. Hitler découvre qu'il existe trois autres lances « sacrées » en Europe à l'époque. L'une est au Vatican. Une deuxième fut rapportée à Paris, à l'époque des croisades. Une troisième se trouve dans une église de Cracovie, en Pologne. Mais la lance de Longinus, appelée ainsi du nom du centurion romain qui la possédait, a une particuliarité: à sa poignée est attaché un clou qui aurait été utilisé pour la crucifixion. Lance de longinus Comme le saint Graal, une intéressante légende est rattachée à la lance de Longinus (en bas à droite) La lance passe pour avoir servi de talisman puissant pour Constantin le Grand, le premier empereur chrétien de Rome, pour Charles Martel qui repoussa les Arabes en France au VIIIe siècle, pour Charlemagne et pour le saint empereur romain Frédéric Barberousse. Selon la tradition, tous ceux qui l'ont possédée ont connu la victoire. Ces qualités mystiques de la lance de Longinus fascinent Hitler. Hitler et son obsession pour l'occulte L'homme qui révéla l'obsession d'Hitler pour la lance de Longinus est un savant autrichien, le Dr Walter Stein. Il devient son ami avant 1914, et le connaît intimement. Selon Stein, la croyance d'Hitler dans les pouvoirs surnaturels de la lance le mène dans les régions obscures de la magie et de l'occulte. Il croit être une réincarnation de Landuf II de Capoue, un tyran sicilien terrifiant du IXe siècle, qui passait pour avoir possédé la lance. Stein croit que la monté d'Hitler au pouvoir fut aidé par la magie noire et la lance de Longinus. « Le führer pénétra dans la salle du trésor avec Himmler tandis que Kaltenbrunner, Von Sievers et Walter Buch attendaient à l'extérieur. Peu de temps après, Himmler les rejoignit laissant Hitler seul en face du talisman qui était devenu maintenant sa propriété. On ignore ce qui se passa alors dans la tête du führer. Mais cet instant là peut être considéré comme l'un des plus décisifs du XXè siècle. » RAVENSCROFT Trévor , La lance du Destin - Albin Michel 1973 Quand Hitler annexera l'Autriche au troisième Reich en 1938, une des premières choses qu'il fera c'est d'aller chercher la « lance du destin ». Il la fait transporter à Nuremberg par un train spécial, sous la surveillance d'une garde armée. Là, il la fait placer dans une église, transformée sous son ordre en temple nazi. Quand les alliés bombardent la ville, Hitler ordonne que la lance soit cachée dans un coffre-fort spécial dissimulé dans les fondations. Finalement, le 30 avril 1945, des troupes américaines, qui ont réussis à atteindre Nuremberg malgré une résistance farouche, pénètrent dans son coffre-fort et trouvent la lance. Hitler, qui est alors isolé dans son bunker de Berlin, ne sait pas ce qui s'est passé. Mais il se suicidera seulement quelques heures plus tard. Aujourd'hui cette lance, relique au triste passé, a retrouvée sa place au musée Hofburg. Des commentaires, envi de discuter de ce texte ? Venez discuter sur le forum Extrait du livre: Facts and fallacies, Reader's Digest, 1988 Texte ajouté par Sehrus

Exercice de décryptage de ce condensé de symboles à valeurs universelles.

Templier Veritas ABRAXAS: aussi appelé Abracax ou encore Abraxas. (Exercice de décryptage de ce condensé de symboles à valeurs universelles) Définition : mot magique fréquemment gravé sur des amulettes du II ème s. EC provenant de l'entourage du philosophe gnostique et égyptien Basilide (un nom à consonance bien atlantido-boréenne) ce mot serait à l'origine du terme abracadabra. (dictionnaire étymologique Laffont ) Commençons par le bas, avec l'orouboros cercle de l'année contenant les constellations du Cancer, Grand Chien, Corbeau et Petit Chien, qui sont des constellations équatoriales ; leur choix n'est donc pas une question de climat, mais de signification. Le 4.Soleil entre dans la constellation du Cancer au solstice d'été c'est donc un élément signifiant de saison. Le Grand Chien et le Petit Chien sont des constellations visibles à partir de la fin de l'été. Les Égyptiens vouaient un culte particulier à Siriu(sl’ étoile du Grand Chien ayant une luminosité 40 fois celle de notre soleil) car elle annonçait la période de l'inondation de la vallée du Nil et donc les bonnes moissons. Le Petit Chien contient aussi une étoile fort lumineuse appelée Procyon. Quant à la constellation du Corbeau, aussi appelée la Voile de par sa forme (quatre étoiles formant pratiquement une voile de navire), elle pourrait signifier le symbole de la transition été-hiver dans le cadre du cercle de l'année. Attaquons maintenant notre Sage par les pieds avec ses talonnières d'Hermès-Mercure symbole des échanges et du commerce. A sa main droite un caducée (ou bâton?) fait corps avec un scorpion, la queue tenue fermement pour éviter qu'il ne pique : le Scorpion est la huitième constellation du Zodiaque (8 le chiffre sacré) avec son étoile rouge Antarés, anti...Arès (dieu de la guerre chez les Grecs) donc contre la guerre. Je pense que cette figuration de la maîtrise du scorpion représente le symbole* de la paix. La tige pénétrant dans ses cuisses est un rostre de licorne-narval (la spirale senestre est bien visible en agrandissant) : elle symbolise la lumière, la justice ; à son extrémité droite, ce que je pense être une corne de bélier, représentant la corne d'abondance* prolongée sur la gauche par des épis de blé et de mil symboles de l'âge d'or. Remarquons que notre sage est immobilisé de deux façons :1) pour marcher, par la corne de licorne ; 2) pour voler par le caducée du scorpion pris entre les plumes de ses ailes. Quelle peut être la signification de cet ensemble? Je pense que nous sommes devant une figuration de lois universelles s'adressant non pas à l'homme individuellement comme le fait la table de Moïse, mais à l'homme élément d'une société et d'un monde environnemental. Ainsi ,je crois que l'immobilisation représentée sur les deux symboles de la justice et de la paix signifient que ceux-ci sont des lois fondamentales et immuables pour l'avènement du cycle de l'age d'or, le commerce et les échanges (culturels) favorisant le tout. Dernier aspect significatif : notre sage est immobilisé sur la roue de l'univers, c'est donc l'univers qui l'entraîne mais, pas lui qui le fait tourner : l'Abraxas remet les choses à l'endroit !!! Belle leçon de sagesse pour énarques, dirigeants, politiciens de tout poil et obédience !!!

Les cryptogrammes templiers.

http://www.histoiresecretedestempliers.com/pages/origine-et-aboutissement-1/c-les-cryptogrammes-ou-messages-codes-templiers-laisses-a-la-posterite.html Daniel Lavoie.

Le plateau de Gizeh.

Daniel Lavoie. PREUVES VISUELLES DE LA CONFIGURATION DU SOUS-SOL DU PLATEAU DE GIZEH LAISSEES A LA POSTERITE PAR LES TEMPLIERS. Le plateau de Gizeh. Monument partiellement dégagé par des égyptologues montrant que des salles souterraines existent. Lorsque les templiers récupérèrent les archives du roi Salomon à Jérusalem, ils eurent également, en leur possession, une espèce de protocole qui leur permit d’accéder, en toute sécurité, aux archives de l’Atlantide, entreposées par les Anciens sous le plateau de Gizeh. Ayant vu de leurs propres yeux des preuves incontestables et, noté certaines configurations du sous-sol du plateau de Gizeh, ils laissèrent à la postérité des archives secrètes qui furent mises en sécurité jusqu’à ce que, un jour, certaines personnes mettent la main dessus. LE PERE KIRCHER ( 1601 - 1680 ) Le père Kircher fut un des personnages à mettre la main dessus mais, sachant que la postérité ne comprendrait pas forcément le Latin, l’Arabe, l’Hébreu de son livre OEDIPI aegyptiaci, il illustra celui-ci en nous faisant remarquer qu’un bon schéma vaut mieux qu’un long discours. Ce schéma sera également repris et transmis à la postérité par le biais du livre intitulé : Vetera Monimenta, publié à Rome en 1690, du Père Joannes Ciampinus. Les pyramides terminées en pointe ainsi que celle terminée en plate-forme carrée, fortement mise en évidence, symbolisent le plateau de Gizeh. Configuration du sous-sol du plateau de Gizeh. La partie inférieure du dessin qui est dessinée en coupe nous donne un avant goût de la configuration du sous-sol du plateau de Gizeh. Observons cette partie en coupe. Nous voyons en partant de la gauche vers la droite : Un escalier Un puits Un tunnel à deux entrées Un sarcophage sur lequel est positionnée une plaque gravée ou sculptée. Un labyrinthe, constitué de salles reliées entre elles, projeté sur le sol. Enfin sur la gauche, un grand sarcophage sur lequel un faucon, symbolisant le dieu Horus, écarte les ailes. Cette configuration du sous-sol du plateau de Gizeh sera confirmée par l’égyptologue M.r. Emile Baraize dont nous avons déjà mentionné le nom à l’occasion du couloir obstrué dans la face nord du Sphinx et par le rapport du Docteur Sélim Hassan, Directeur de l’équipe de recherches scientifiques de l’Université du Caire. TEMOIN GENANT D’UNE CIVILISATION TRES AVANCEE. Par Tony BUSHBY " 2003 d’après le Chapitre 8 de son livre The Secret in the Bible publié par Stanford Publishing Group et Joshua Books, PO Box 5149, Maroochydore BC, Qld 4558, Australia. UNE CITEE ENFOUIE SOUS LE PLATEAU DE GIZEH. En 1935, au moment de l’aboutissement de très importants travaux de déblaiement de sable et de coquillages dirigés par Emile Baraize, qui durèrent onze ans, des histoires remarquables commencèrent à naître au sujet des découvertes réalisées. Un article de presse, écrit et publié alors par Hamilton M. Wright, traita d’une découverte extraordinaire sous les sables de Gizeh, que l’on refuse aujourd’hui d’admettre. h5-1.jpg L’article était accompagné de photographies d’origine venant du Dr Selim Hassan, le directeur de l’équipe de recherches scientifiques de l’Université du Caire qui fit la découverte. Il déclarait : Nous avons découvert un passage souterrain utilisé il y a 5.000 ans par les anciens Egyptiens. Il passe en dessous de la chaussée menant entre la deuxième Pyramide et le Sphinx. Il permet de traverser la chaussée qui mène de la Pyramide de Khéops à celle de Khéphren. A partir de ce souterrain, nous avons déterré une série de puits donnant accès, 125 pieds en contrebas, et de petites pièces et salles latérales. Le Dr Selim Hassan et d’autres continuent à croire et à affirmer publiquement, bien que l’âge du Sphinx ait fait partie des énigmes du passé, qu’il avait pu appartenir au grand projet architectural qui fut organisé et exécuté à dessein en même temps que l’érection de la Grande Pyramide. Des archéologues firent au même moment une autre découverte majeure. A peu près à mi-chemin entre le Sphinx et la Pyramide de Khéphren on découvrit quatre énormes puits verticaux, chacun d’environ 3 m2 conduisant tout droit au fond du calcaire massif. Ces puits portent le nom de "Tombeau de Campbell", sur les cartes maçonniques et rosicruciennes, et "ce complexe", dit le Dr Selim Hassan, "se terminait par une cour close, au centre de laquelle une autre cheminée descendait vers une salle flanquée de sept chambres." Certaines d’entre elles contenaient d’immenses sarcophages de basalte et granit, scellés, de 6 mètres de haut. La découverte avançait et, dans l’une des sept chambres, une troisième cheminée verticale menait profondément à une chambre beaucoup plus basse. Au moment de cette révélation, elle était inondée, l’eau recouvrant en partie un unique sarcophage blanc. Elle fut appelée ’’Tombeau d’Osiris’’ et présentée par un montage documentaire télévisé de mars 1999 comme étant "ouverte pour la première fois". Explorant ce site en 1935, le Dr Selim Hassan déclara : Nous espérons trouver quelques monuments importants après avoir évacué cette eau. La profondeur totale de cette série de puits est de plus de 40 mètres soit plus de 125 pieds... Ces détails ne représentent qu’une petite partie du rapport complet du Dr Selim Hassan qui fut publié en 1944 par la Presse Gouvernementale, au Caire, sous le titre Fouilles à Gizeh (en 10 volumes.) On fit un court métrage de l’expédition, et un documentaire appelé Chambers of the Deep (Salles des Profondeurs) qui fut par la suite visionné de façon confidentielle. CHRISTOPHE COLOMB Le Catalan Christophe Colomb et non le Génois, récupéra des cartes marines très anciennes lui indiquant des îles à l’ouest. Comme le rappelle l’abbé catalan Jacint Verdaguer dans son poème au titre très évocateur intitulé ATLANTIDA, avant de partir, Christophe Colomb savait où il allait. Muni de ces cartes ancestrales, les voiles de ses caravelles sur lesquelles arboraient les croix templières le poussèrent vers l’ouest où il redécouvrit l’Amérique en 1492. La carte de Zeno montre une configuration de l’Atlantique Nord, avec des montagnes et des îles inconnues qui n’existaient ni à l’époque de Christophe Colomb et de Zéno. Les Cartes de Piri REIS Dans ses notes, l’amiral Piri REIS révèle l’origine de ces cartes. Au cours d’une bataille navale livrée en 1501 contre les Espagnols, un officier turc du nom de Kemal fit un prisonnier qui avait participé aux trois voyages historiques de Christophe Colomb. Ce prisonnier espagnol possédait tout un lot de cartes fort curieuses. Le commandant Larsen a fait là-dessus la déclaration suivante : "L’Office Hydrographique de la Marine a vérifié une ancienne carte (dite carte de Piri Reis) établie, il y a plus de cinq mille ans. Elle est tellement précise que seul un survol mondial pourrait l’expliquer. A première vue, l’Office Hydrographique s’est refusé d’y croire, mais il a fini par constater l’authenticité de la carte et il s’en est même servi pour corriger des erreurs dans certaines cartes contemporaines" LE TEMPLE D’ABYDOS OU LE TEMPLE DE LA TECHNOLOGIE AVANCEE Liens : Témoin gênant d'une civilisation très avancée. Par Tony Bushby ” 2003 d’après le Chapitre 8 de son livre The Secret in the Bible publié par Stanford Publishing Group et Joshua Books, PO Box 5149, Maroochydore BC, Qld 4558, Australia. Ancient Cities Under The Sands of Giza Carte de Piri Reis - Wikipédia 2012 les énergies inversées les calendriers mayas 2012 Les énergies inversées - Les ... - Les messagers du Temps