mardi 30 octobre 2012

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Le changement climatique serait-il une bénédiction déguisée ?

Le changement climatique, une « bénédiction déguisée » ? Une révolution métaphysique est un processus douloureux, difficile et extrêmement lent. Dans ce contexte, une petite pression externe destinée à vaincre la résistance sociale est donc des plus opportunes. Le changement climatique avec toutes les menaces qu’il fait peser - le drame de notre temps - peut jouer ici un rôle clé et se révéler une bénédiction déguisée. Son caractère omniprésent et inéluctable nécessite un revirement radical des idées et des comportements. Manifestement, nous apprenons avec beaucoup de difficultés à respecter la nature, ainsi d’ailleurs que tous les domaines extérieurs et intérieurs qui ont été mis à notre disposition. Gageons que le changement climatique donnera « un coup de main » brutal à l’histoire, et propulsera l’humanité plus avant dans le processus complexe mais intéressant qui consiste à devenir adulte, à s’épanouir totalement ! Déjà, en 1992, Al Gore écrit dans Earth in the Balance : « Plus je cherche profondément les racines de la crise globale de l’environnement, plus je suis convaincu qu’il s’agit de la manifestation extérieure d’une crise intérieure qui, à défaut d’un mot meilleur, est spirituelle » μ Annick de Witt agit dans le cadre de la fondation wAarde, une cellule de réflexion sur la nature et l’environnement. Elle a fait de vastes recherches sur les relations entre l’orientation spirituelle et la responsabilité de l’environnement. Sources Roses Croix d'Or.

Superbe.

Photo Brocéliande à Avalon.

Toutes les réponses sont en soi.

Les Éditions Ariane TOUTES LES RÉPONSES SONT EN SOI « Un enseignant ne peut pas vous donner la vérité. La vérité est déjà en vous. Il vous suffit de vous ouvrir – le corps, l'esprit et le cœur – de sorte que ses enseignements puissent fertiliser vos propres semences de compréhension et d'illumination. Si vous laissez ses paroles entrer en vous, le sol et les semences feront le reste du travail. »

Les mystères de l'Egypte.

Franck A. Maximoff. Each planet has its own breathing tempo, its distinctive frequency which determines the bio-energy rhythms of all that exists on its surface. This tempo depends on the planet’s orbit and its period of evolution around its sun. The present-day figure for the Earth’s “breathing rate”, worked out empirically by geophysicists, is around 40 minutes according to some sources, while others have it fluctu ating as high as 58 minutes. The true figure for the planet’s respiration is different and is calculated using a formula based on the main 12-year cosmo-social cycle. Don’t be put off: you don’t need to remember it, but it may come in handy for someone. Where Σmin - is the number of minutes in the 12-year cycle; and 365 – is the number of days in a year, and π id pi, - the ratio of the diameter of a circle (orbit) to its circumference. So, a simple calculation gives us a low-frequency “breathing rate” for the planet of once in 54 minutes. Incidentally, NaMiEst and their partners recording the sounds of the Earth at the Showa Antarctic base discovered stable oscillations with a period of 54 minutes. Now look! It turns out that for our beautiful blue planet there are ONLY TWO ORBITS in the Solar System that keep its “breathing rate” within limits beyond which catastrophic changes for all things living on the planet would take place! They are orbits with a 360- and 365-day length of year.

Les millions de verrous du monde.

Marianic Parra Painting 2012 "Entered" Mixed media 50-50 cm Entré face aux milliers de verrous du monde dans la vie sans bords rester rempli de stupeur éperdue devant la demeure des cœurs par Jean-Pierre Parra (Polyptyques VI en préparation)

Henri VII

Henri VII : "le "moi-je" sans limites peut entraîner la destruction identitaire d'un pays" Par la-couronne- Dans Paroles de princes destruction-identitaire.jpgNous ne dirons jamais assez combien les mythologies, les textes sacrés, les contes de fées nous enseignent sur l'évolution ou l'involution des mentalités au fil des siècles. Que ce soit Prométhée, celui qui vola le feu des dieux, ou Pandore qui ouvre le coffret permettant aux catastrophes de se répandre sur terre, tous en payent les conséquences. Plus proche de nous, dans les contes de Perrault, Barbe Bleu épouse successivement plusieurs femmes, il leur accorde toutes libertés, à condition de ne pas chercher à ouvrir une unique porte dans ce magnifique château. Sous peine de mort. Tous nous parlent de transgression d'un ordre que leur orgueil, épris d'impunité, pensent pouvoir, de nos jours, enfreindre. Alors cela devient sans discernement une habitude, une nécessité galopante, comme l'addiction à une drogue. L' évolution nécessaire se transforme en involution, car l'écoute des autres, cette politesse nécessaire au maintien des liens -comme le respect de soi-même- n'existe plus. Certes si l'on veut être accompagné par une société qui doit être en constante évolution, il faut savoir pouvoir enfreindre les codes. Le Dalaï-Lama disait :"Il faut apprendre minutieusement les codes pour pouvoir consciemment les transgresser". Un bernard-l'hermite en grandissant change de coquille. Mais dans toute transgression, dans toute mutation il faut savoir "raison garder". Lorsque vous êtes sur une échelle, vous pouvez vous accrocher à votre échelon et n'y plus bouger, vous ne mécontenterez personne et vous vous scléroserez. Ou alors enfreindre l'inertie et progresser au risque de déplaire ou même de ne pas réussir à monter plus haut. Pour notre humanité l'évolution est écrite en lettres d'or au fond de son coeur et de sa responsabilité. Tout naît dans la rigueur de la Loi et dans l'exigence que l'on s'impose à soi-même. La mission du Pouvoir devrait être de comprendre, de savoir contrôler cette formidable "faim" qui pousse les peuples à vouloir accéder à toujours plus. Les Révolutions se sont inscrites dans l'Histoire lorsque le Pouvoir en place n'a pas su transgresser les codes du moment, ni su contraindre, obliger les privilèges devenus archaïques à s'effacer. Tous nous continuons de le payer très cher. Aujourd'hui cette "faim" insatiable d'obtenir toujours plus et toujours plus loin a fait perdre à certains le sens même de la réussite de leur propre existence. On ne décrète pas le bonheur en l'achetant par quelque moyen que ce soit. Un vieil adage français dit: "Gouverner c'est prévoir". La gouvernance de chacun sur lui même et ses prévisions sur l'avenir devraient faire comprendre qu'il y a des transgressions potentiellement lourdes de terrifiants malheurs. A tous j'aimerai rappeler que le "moi-je" sans réflexion en profondeur, sans repères ni limites pourrait entraîner une destruction identitaire d'un pays qui ne vivrait que dans le libertaire sous toutes ses formes. 523px-coat-of-arms-of-the-bourbon-restoration-1815-30-svg.png Paroles d'Henri VII, Comte de Paris et Duc de France. www.maisonroyaledefrance.fr