mercredi 31 octobre 2012

Marie Antoinette.

Jean-Philippe de Villembreuse Marie Antoinette par Anne Vallayer Coster pastel 1780 )

Les méthodes de justice et médicales des Francs.

Paulo Cattani Diaceto Un chroniqueur arabe qui observe les méthodes de justice et médicales des Francs écrit : "On avait installé une grande barrique remplie d’eau. Le jeune homme qui était l’objet des suspicions fut garrotté, suspendu par ses omoplates à une corde et précipité dans la barrique. S’il était innocent, disaient-ils, il s’enfoncerait dans l’eau, et on l’en retirerait au moyen de cette corde. S’il était coupable, il lui serait impossible de plonger dans l’eau. Le malheureux, quand on le jeta dans la barrique, fit des efforts pour aller jusqu’au fond, mais il n’y réussit pas, et dut se soumettre aux rigueurs de leur loi, que Dieu les maudisse ! On lui passa alors sur les yeux un poinçon d’argent rougi au feu et on l’aveugla (…). Un jour, le gouverneur franc de Mouneitra, dans le mont Liban, écrivit à mon oncle Soultan, émir de Chayzar, pour le prier de lui envoyer un médecin pour soigner quelques cas urgents. Mon oncle choisit un médecin de chez nous nommé Thabet. Celui-ci ne s’absenta que quelques jours, puis il revint vers nous. Nous étions tous très curieux de savoir comment il avait pu obtenir aussi vite la guérison des malades, et nous le pressâmes de questions. Thabet répondit : « On a fait venir devant moi un chevalier qui avait un abcès à la jambe et une femme atteinte de consomption [Tuberculose pulmonaire ou amaigrissement]. Je mis un emplâtre au chevalier ; la tumeur s’ouvrit et s’améliora. A la femme, je prescrivis une diète pour lui rafraîchir le tempérament ». Mais un médecin franc arriva alors et dit : « Cet homme ne sait pas les soigner ! ». Et s’adressant au chevalier, il lui demanda : « Que préfères-tu, vivre avec une seule jambe ou mourir avec les deux ? ». Le patient ayant répondu qu’il aimait mieux vivre avec une seule jambe, le médecin ordonna : « Amenez-moi un chevalier solide avec une hache bien aiguisée. » Je vis bientôt arriver le chevalier et la hache. Le médecin franc plaça la jambe sur un billot de bois en disant au nouveau venu : « Donne un bon coup de hache pour la couper net ! ». Sous mes yeux, l’homme assena à la jambe un premier coup, puis comme elle était toujours attachée, il la frappa une seconde fois. La moelle de la jambe gicla et le blessé mourut à l’instant même. Quant à la femme, le médecin franc l’examina et dit : « Elle a dans la tête un démon qui est amoureux d’elle. Coupez-lui les cheveux ! ». On les lui coupa. La femme recommença alors à manger leur nourriture avec de l’ail et de la moutarde, ce qui aggrava la consomption. « C’est donc que le diable est entré dans la tête » affirma leur médecin. Et, saisissant un rasoir, il lui fit une incision en forme de croix, fit apparaître l’os de la tête et le frotta avec du sel. La femme mourut sur le champ. Je demandai alors : « Vous n’avez plus besoin de moi ? » Ils me dirent que non, et je m’en revins après avoir appris sur la médecine des Franj bien des choses que j’ignorais." Extrait de: Usama Ibn Munqidh (1095-1188), Kitab al-Itibar [Le livre de l’enseignement par l’exemple], 97-98, texte cité par Amin Maalouf, Les croisades vues par les Arabes, Livre de poche, 1988, p. 156-157.

Amusez-vous.

Thomas-Georg Poehlmann

Teutonic order.

Teutonic Order If you would like to become an Marian Associate Knight of the Teutonic Order of Saint Marys Hospital In Jerusalem - Deutscher Orden - A candidate may apply for membership of the Teutonic Order - Deutscher Orden by forwarding a Petition which should include documentation of their curriculum vitae, whereas a candidates possible eligibility for nomination as a Marian Associate Knight - Ritter of the German Brother Order - Deutscher Bruderorden, will be submitted to the Council of Induction of the Hochmeister of the Teutonic Order, who will then advise the candidate of the Orders decision concerning the candidates admission request thereon, all correspondence should be sent to Hochmeisters Private Office by emailing all enquires and requests to: hoch-und-deutschmeister@deutscherorden.info or amt-des-hochmeisters@deutscherorden.info whereas indivduals may also become a Friend of the Teutonic Order.

Nichols II et sa mère.

Kate De Zarne Pernod. Nicholas II & his mother Maria ♥

Le 31 octobre 1855 Victor Hugo était expulsé de l'Ile de Jersey.

La France pittoresque 31 octobre 1855 : Victor Hugo est expulsé de l’île anglaise de Jersey Il doit s’embarquer pour Guernesey, autre île britannique, pour y chercher refuge. De son lieu d’exil, le poète attaquait tant Badinguet qui trônait aux Tuileries, que sir Robert Peel s’était dressé, en 1854... > La suite sur http://bit.ly/TM1Fmc

Un peu de chaleur.

Lerouge Jean-pierre a partagé une photo de L'incanto d'amore dei poeti estinti. Un peu de chaleur. Il l’a attendue mais elle n’est pas venue. Dans le froid et la brume il l’espérait, la devinait. Frêle silhouette elle se serait près de lui assise et se serait tue. Ému aux larmes il n’aurait pu lui tendre son modeste b...ouquet. C’est qu’elle était si belle son inconnue. Comment l’aborder, lui parler, d’elle il était tellement différent. Lui aurait-elle au moins répondu ? Les bancs étaient près l’un de l’autre mais leur chemin n’étaient pas frères pour autant. Toutefois il en savait des choses, il aurait pu en raconter… Bien sûr qu’au-dessus de sa tête un jour il eut un toit. N’en déplaise à certains lui aussi avait eu l’estime de soi. Mais les erreurs, les dérapages sans rattrapage l’avaient dépassé. Et dans la rue depuis il errait… Oh combien il aurait aimé de manteau changer ! Oh combien il aurait voulu sentir bon le frais ! Les choses auraient été si belles si sa vie ne s’était pas compliquée. Il avait pourtant bien prié, aide demandée… Mais rien n’avait bougé, pauvre et esseulé était resté. Peut-être n’avait-il pas fait ce qu’il fallait ? C’est que l’on perd la notion lorsqu’on est en dehors de tout ou en retrait. La famille n’est plus, les amis disparaissent, Les heures s’égrènent mais plus rien ne presse. Pas de travail, pas de maison, les regards se détournent. Il faut dire que la différence gêne quoi qu’en pensent les personnes . Alors depuis il s’asseyait et regardait les gens vivre. Il était de froid rouge et non ivre. Les enfants du doigt le montraient. Les parents soucieux d’éviter cette scène le pas pressaient. C’est dérangeant la misère, il faut qu’elle reste de l’autre côté de la terre… Hélas, le vide n’est pas que dans l’assiette. Certains dans le cœur, la chaleur n’ont pas une miette. Et ils passent éternellement leur chemin sans tendre la main. Sait-on jamais dès fois que ce soit contagieux… Il ne faudrait pas se réveiller pauvre le lendemain. L’indifférence tue en vérité bien plus qu’un ventre creux. Changeons de regard faute de pouvoir changer le monde. …Il attendait sur le banc et elle est venue… Leurs mots ont dansé comme une folle ronde. Certaines consciences sont bonté et ça il l’avait toujours su. FDA. Tu non credere se qualcuno ti dirà che non sono più lo stesso ormai Pioggia e sole abbaiano e mordono ma lasciano, lasciano il tempo che trovano E il vero amore può nascondersi, confondersi ma non può perdersi mai Sempre e per sempre dalla stessa parte mi troverai — Francesco De Gregori - Sempre e per sempre... Tu non credere se qualcuno ti dirà che non sono più lo stesso ormai Pioggia e sole abbaiano e mordono ma lasciano, ...