jeudi 15 novembre 2012

Language of the Berber.

Georgiana Elizabeth Spencer ‎~ LANGUAGE OF THE BERBER ~ The Berber dialects belong to the Hamitic subfamily of the Hamito-Semitic language group. They include: in Morocco, Shilha (Tashilhait) spoken by the Shluh, Tamazight by the Berrabers and Tarifit (Zenatiyeh) spoken by the Rif. In Algeria, Kabyle (Tamazirt, Zwawah) spoken by the Kabyles, Shawia spoken by the Shawias and Tamashek spoken by the Tuaregs in central Sahara and north of the Niger river. The sound systems of the various dialects are quite different from one another, but vocabulary and grammar are quite similar. The Arabic script is used for writing all dialects, except for the Tuareg dialect which still uses an ancient Libyan writing system (Tifinagh). Berber dialects borrowed many words from Arabic and contain some words borrowed from Phoenician and Latin. They are spoken languages transmitted orally from generation to generation, as Berber writers wrote in the languages of their conquerors: Punic, Latin, Arabic and French. There are some inscriptions in ancient Libyan, no Berber documents from the early Islamic period, and only a few from the 12th century onward, mainly religious works in Arabic script intended for teaching Islam and for religious edification. Most writing in the Maghreb was done in Arabic. In the 19th century Europeans started collecting texts orally from Berbers and writing them down. Later, translations of the Old and New Testaments were made by Catholic and Protestant missionaries. Secular works are rare. There are Arabic-Berber dictionaries and books on popular medicine. There are a few compilations of customary Berber law and some adaptations in Berber of Arabic stories. Since the eighties, new Berber publications are appearing especially in France, designed to preserve and strengthen the specific Berber heritage. Similar to Semitic languages, Berber words are made up of roots inflected according to a schema, the root containing two or three consonants. There are two genders, masculine and feminine, and two numbers, single and plural. The vocabulary is quite large and includes many Arabic loan words for religious and intellectual terms. Berber folklore is rich and has been transmitted mainly orally. There are many proverbs, fables, humorous tales, animal stories, religious and historical legends. Berbers are also fond of riddles and of songs and poems about love and war that are recited at festivals and gatherings.

Les Fresques de la Chapelle de Cressac.

Templier Veritas Les Fresques De La Chapelle De Cressac : Dominant la vallée du Né,en Charente,la chapelle de la commanderie du Dognon renferme les plus belles fresques attribuées aux frères du Temple.Si d'autre lieux templiers furent sans doute décorés,les peintures de Cressac sont les seules en France à avoir résisté à l'usure du temps. Exécutées vers la fin du XIIe, siècle,elles mettent en scène un roi sur sa monture, vraisemblablement Philippe Auguste partant pour la terre Sainte ,ainsi que des scènes de croisade. On y voit des charges de cavalerie et peut-être une représentation de la victoire des croisés devant le Krak des Chevaliers Hospitaliers,en 1163.Geoffroy Martel, frère du comte d’Angoulême,et Hugues de Lusignan y avait vaincu Nur al-Din,seigneur de Mossoul...

The templars.

Templier Veritas.

Les châteaux médiévaux en Sicile.

Don Giampaolo Di Raimondi j'ai beaucoup aimé cette vidéo sur l'époque et principalements les châteaux médiévaux en Sicile. fraternelles salutations Castelli della Sicilia www.youtube.com

Les Anges de Mons.

LES ANGES DE MONS "The Angels of Mons"
Tout un chacun, à un moment ou l’autre de sa vie, a levé les yeux au ciel, et, dans le déroulement continu des nuages poussés par le vent, dans ce kaléidoscope céleste qui laisse libre cours à tous les imaginaires, tout un chacun donc a « vu » quelque chose… Un visage d’homme ou de femme, un animal fabuleux, un paysage de l’au-delà… Cela ne veut rien dire sans doute… Mais les « formes » que l’on aperçoit sont incontestablement réelles. Les Chaldéens et les Grecs, puis aussi les Chinois, et d’autres encore, en firent une science divinatoire, la néphomancie. Pour prédire l’avenir bien sûr, mais aussi pour évaluer la « qualité d’un terrain », comme cela a lieu dans le Feng-Shui… Vous voyez un visage de femme… Et quelques secondes plus tard, ce visage se transforme et devient un museau de loup, puis une île sur l’océan… Nous sommes entourés de signes, qui ne sont sans doute tels qu’à la mesure de nos attentes, de nos espoirs… Mais le soir du 23 août 1914, lors de la Bataille de Mons, quand, venus prêter main-forte aux Belges quelques jours après l’invasion de leur pays par les troupes du Kaiser Guillaume II, les soldats de la British Expeditionary Force (BEF) font face à une force allemande qui leur est largement supérieure en nombre, le ciel commence à montrer des choses assez étonnantes.
En Belgique, cette « curieuse affaire » est peu connue. Mais dans les pays anglo-saxons, de nos jours encore, elle donne toujours lieu à commentaires et souvenirs… Le 4 août 1914, en application du plan Schlieffen, les troupes allemandes envahissent la Belgique, avec pour objectif de prendre l'armée française à revers, la bousculer, puis foncer sur Paris. Les Belges résistent mais, face au rouleau compresseur germanique, doivent se replier. Les Français et les Britanniques, qui ont réagi rapidement, vont alors tenter à leur tour de contrer l'attaque allemande en Belgique. Les hommes du Corps expéditionnaire britannique prennent position aux environs de Mons, et le 23 août, sont attaqués par les armées du Kaiser, largement supérieures en nombre. Au plus fort de la bataille, les Britanniques sont submergés. Les troupes du général von Kluck les obligent à la retraite, le massacre est imminent. Alors, les nuages qui couvrent le champ de bataille prennent des formes bizarres… Ce sont des anges ! Ce sont des archers ! C’est saint Georges lui-même… Et l’on sait ce que saint Georges est pour la ville de Mons ! Les nuages deviennent anges, archers, et saint Georges les mène au combat, contre les Allemands ! Cette « vision » exalte les soldats. Les Britanniques, pris au piège, se reprennent, se reforment, et leur résistance inattendue bloque l'avance allemande, ce qui permettra à l'armée française, leur alliée, de prendre le temps nécessaire à la préparation de la bataille de la Marne (septembre 1914), où sera stoppée pour longtemps la percée des troupes du Kaiser sur le territoire français. Les Britanniques échappent donc au massacre. Et dans le mois qui suit, la presse anglo-saxonne, The Guardian, le New York Times même, épingle cet événement, en rapporte le relief, évoquant l'apparition miraculeuse… Dans la foulée, un auteur anglais, Arthur Machen, écrit une nouvelle qui répand l’affaire… Propagande ou réalité ? On ne le saura peut-être plus jamais. Winston Churchill évoque l’évènement dans son autobiographie, et les cours d’histoire, de nos jours, dans les écoles anglaises, irlandaises et écossaises ne sont pas en reste… Et si vous participez à l'une ou l'autre cérémonie commémorative organisée en Belgique par nos amis d'outre Channel, en souvenir de leur participation aux combats de la Première Guerre Mondiale sur notre territoire, vous en entendrez certainement parler...La "légende des anges" leur est encore chère. En 1934, le peintre montois Marcel Gillis en fera le sujet de l'une de ses toiles. Et en 2011 encore, un groupe anglais heavy metal, Agincourt, commet un disque intitulé "Angels of Mons"... que l'on aime ou non, mais qui manifeste la persistance du mythe. Il faudrait aussi préciser, au risque d'affadir la légende, que les soldats britanniques qui furent engagés dans cette bataille, étaient des soldats de métier - contrairement à leurs adversaires allemands -, ayant participé notamment à la Seconde Guerre des Boers, et dotés d'armes très performantes, artillerie, mitrailleuses ou fusils... Il est donc fort possible que le seul "miracle" qui ait eu lieu, soit simplement le courage, la détermination, le professionnalisme, et l'armement de nos alliés britanniques... L'affaire a peut-être été montée de toutes pièces, et répandue à des fins de propagande, de soutien moral aux troupes britanniques. On a cru que Machen, s'inspirant d'un cas similaire survenu à la bataille d'Azincourt et l'appliquant à une bataille de la Première Guerre Mondiale, était la source d'un "canular de la propagande". Or, la nouvelle de Machen, "The Bowmen", paraît en septembre 1914, alors que deux semaines avant cette parution, le brigadier-général John Charteris, attaché au Grand Quartier Général de la BEF et proche du général Douglas Haig (qui deviendra le Commandant en chef des forces britanniques en France) envoie à sa femme une lettre évoquant le phénomène. En tout cas, cette histoire, vraie ou fausse, légende urbaine ou non, est fascinante. Et je la voulais exprimée dans ce blog. Charles Saint-André

Dorer la pillule.

Photo De Brocéliande à Avalon. La France Pittoresque. Dorer la pilule Ces mots s’emploient le plus souvent au figuré, quoiqu’au sens propre ils indiquent la préparation préliminaire que les pharmaciens font subir aux pilules, non pour leurôter leur goût amer, mais pour leur donner une apparence plus agréable à la vue ; de cette façon l’or ou l’argent dont ils les recouvrent les met à l’abri des impressions de l’air et de plus évite au malade d’en sentir le goût en les avalant. Dans le sens figuré, on se sert de ces mots pour chercher, à l’aide de belles paroles, à rendre moins désagréable, au moins en apparence, une chose difficile à faire et pour laquelle quelqu’un a de la répugnance ou bien encore pour amener une personne, par des paroles flatteuses, à faire une chose qui lui déplaît. Les Italiens ont un proverbe qui répond parfaitement à celui-ci : Si la pilule n’était pas amère on n’aurait pas besoin de la dorer. Et les Espagnols disent à peu près de la même façon : Si la pilule avait bon goût, on ne le dorerait pas.

Que la magie vous accompagne tout au long de cette belle journée.

Photo De Brocéliande à Avalon.