jeudi 6 décembre 2012

Saint-Nicolas : la légende.

La France pittoresque
Saint Nicolas : vie, miracles, légendes Saint Nicolas naquit vers 250 à Patare, ville de Lycie, qui est une province de l’Asie Mineure. Euphémius, homme riche, mais extrêmement pieux et charitable, fut son père, et Anne, sœur de Nicolas l’ancien, archevêque de Myre, fut sa mère. Il ne vint au monde que quelques années après leur mariage et lorsqu’ils n’espéraient plus avoir d’enfants...

Le buz médiatique qui inquiète la population autour de Rennes-le-Bains.

Ph : Source du Pontet à Rennes-les-Bains - Excursions autour de Rennes-les-Bains : livre paru en 1908 - Le buzz médiatique qui inquiète la population ou les mesures de la préfecture pour le 21 décembre 2012

Cela n'arrive qu'une fois tous les 824 ans.

Décembre 2012 ... RARISSIME ... lis ci-dessous et tu verras! On ne sait jamais! Mieux vaut partager avec qui en a besoin! Et les chinois le savent… Cette année, décembre aura 5 lundis, 5 samedis et 5 dimanches !!! Decembre 2012 LUNDI MARDI MERCREDI JEUDI VENDREDI SAMEDI DIMANCHE 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 31 25 26 27 28 29 30 Ceci n’arrive qu’une fois tous les 824 ans!!! Les chinois appellent cet évènement “le sac d’argent” Si tu envoies cette information à tes amis, selon la légende, tu recevras de l’argent dans un délai de 4 jours. Si tu ne la partages pas avec tes amis, selon les chinois pratiquant le Feng Shui……tu seras pauvre !? Ce n’est pas au Feng Shui à être attentif..... C’est à toi... avec qui je partage ce message !

mercredi 5 décembre 2012

Lieux sacrés : l'abbaye de Montmajour.

Abbaye de Montmajour, historique
Montmajour_hypog_eDepuis la nuit des temps, Montmajour semble bien avoir été considéré comme un lieu sacré. Sa butte fut occupée par les populations préhistoriques, puis par les Celtes, enfin par les Romains, avant de devenir le séjour des moines, envoyés par Louis le Gros pour défricher les marécages des alentours. La présence d'habitants dans le secteur apparaît aux environs de 5.000 ans avant Jésus Christ. Elle est attestée par la découverte des hypogées du Néolithique situées sur la montagne des Cordes et le plateau du Castelet. Montmajour_hypog_e__3 Montmajour_hypog_e__4La grotte des Fées de Cordes est le plus impressionnant des hypogées provençaux, mais il en existe quatre autres, dissimulés dans les environs immédiats : ceux de Coutignargues, de Bounias, de la Source et du Castellet. On les trouvera, après avoir franchi, au sud, les vestiges de l'enceinte préhistorique qui isolait la colline. Parmi ces pierres, parfois énormes, s'allonge un menhir renversé. Long de près de 3 m, il est fort bien taillé. La chronique nous apprend qu'il fut christianisé et devint saint Coutignardes. Montmajour_hypog_e_2 (voir le site sur les dolmens de Provence ici) Montmajour_Fontvieille_3aLa route qui longe les ruines du château du Mont Paon mène à un très curieux vestige: l'autel de la Coquille. Les Romains taillèrent cet autel dans la pierre tendre d'une carrière de la route des Baux, et l'ornèrent d'une coquille de Pecten, ou « Saint Jacques ». Plus tard, les pèlerins en route vers Compostelle, passant près de l'autel du mont Paon, y virent le reflet de leur quête spirituelle. Mais, avant d'être l'insigne des croisés de Galice, la coquille Saint-Jacques avait été iden­tifiée au berceau nacré de Vénus. La mythologie provençale lui avait, du reste, attribué une troi­sième fonction symbolique : celle de la fécondité, liée au culte des eaux de toutes les Alpilles. (photo Bruno Tassan) Montmajour__154_aAccueillir les morts semble avoir été la vocation immémoriale de ces rochers du Castellet et de la montagne des Cordes. A 5 km d'Arles, le mons major des chartes médiévales n'était qu'une modeste butte calcaire de 43 m d'altitude, qui formait une véritable île cernée par des eaux mortes, et dont l'accès ne se faisait qu'en barque. A partir du Vème siècle, quelques hommes pieux avaient choisi la solitude du rocher, alors occupé par un cimetière. Pour s'affirmer face à l'éclat du siège épiscopal d'Arles, Montmajour se devait de trouver un patronnage insigne aux origines de l'abbaye. Les moines parlèrent donc de Saint Trophime et de Saint Césaire. Montmajour_Trophime_a"Trophime était un grec d'Ephèse converti par saint Paul, qui parle de lui avec tant d'affection dans ses épîtres ; bravant le martyre, il accourut à travers mille dangers, porter l'Evangile, la bonne nouvelle, à la Rome des Gaules (Arles), idolâtre, orgueilleuse de sa puissance et de sa splendeur, « rendez-vous de tous les peuples qui habitaient sur les bords du Rhône et de la Méditerranée », suivant les termes même d'un édit impérial. Bien souvent, après sa prédication, le saint Missionnaire se retirait dans sa cellule de Montmajour. Les disciples vinrent en foule, et grâce à lui le christianisme conquit à Arles le droit de cité. Saint Trophime devint ainsi le premier évêque d'Arles. En 502, saint Césaire quitta le monastère de Lérins pour accepter l'évêché d'Arles. Il résista aux menaces des rois Alaric et Théodoric, maintint dans sa province l'intégrité de la foi. Ses travaux, ses luttes, les pénibles fonctions de son ministère ne lui faisaient pas oublier sa chère retraite de Montmajour, où son éloquence et sa réputation de sainteté attirèrent autour de lui de nombreux disciples. C'est lui qui posa la première pierre du monastère. Bientôt, le lieu devint une colonie de pieux cénobites vivant là en commun, s'appelant du nom de frères, et obéissant à une règle, expression sévère de la loi nouvelle qui avait fait de la vie de chrétien une continuelle préparation à la mort. La piété et la science fleurirent longtemps dans ce sanctuaire jusqu'à l'époque de l'invasion sarrasine." Montmajour_ermitage_005bAinsi l'origine de l'abbaye est-elle liée à la présence d'anachorètes retirés "au désert" dans cette île, propriété du chapitre d'Arles. Le 7 Octobre 949, une pieuse femme, Teucinde, (voir sa pierre tombale ci-contre) appartenant à l'aristocratie franque, soeur du prévôt du chapitre, Gontard, en fit l'acquisition par un échange avec l'archevêque d'Arles, Manassès. Puis par son testament de 977, elle en fit donation aux religieux qui s'étaient constitués en une communauté monastique régulière, obéissant à la règle de Saint Benoit. L'abbaye prend alors le patronnage de Saint-Pierre. En quelques décennies, elle devient une puissante abbaye bénédictine, propriétaire d'un domaine foncier important, grâce aux dons du roi de Bourgogne-Provence, Conrad le magnifique (937-993), aux comtes d'Arles, à la maison de Barcelone, et aux riches familles de l'aristocratie provencale. L'abbaye devint aussi un sanctuaire dynastique pour les comtes de Provence. A la fin du XIIIème siècle, Montmajour étendait son autorité sur 56 prieurés. Montmajour_ermitage_004aC'est en 1016 que fut fondée la basilique. A cette date l'oeuvre n'était que commencée. Elle avança avec lenteur et il est facile de voir aux différents genres de style qui se mêlent dans cette construction que, pendant plus de deux cents ans, du XIème au XIIIème siècle, des ouvriers, des artistes, la plupart inconnus les uns aux autres, y ont successivement déposé le fruit de leur talent. Quant à l'église qui sert de support à la basilique, elle a été faite d'un seul jet. Montmajour_ermitage_006aMontmajour avait aussi l'immense privilège de posseder une relique de la Vraie Croix, vénérée le 3 Mai lors d'un pélerinage dit "pardon de Montmajour", institué en 1030. C'est pour mieux accueillir les pélerins que les moines firent construire au XIIème siècle, la chapelle de la Sainte-Croix. L'abbatiale est construite au XIIème siècle. Au XIVème siècle, le monastère est fortifié pour se protéger de bandes de pillards. Durant les guerres de religions, il sert de caserne. La congrégation de Saint Maur réforme l'abbaye à partir du XVIIème siècle. Les mauristes édifient de nouveaux bâtiments, avec l'architecte avignonnais Pierre Mignard. Un incendie en 1726 occasionne une reconstruction dirigée par l'architecte Jean Baptiste Franque. Montmajour_ermitage_001aVendus en 1791, les bâtiments sont en partie achetés par la ville d'Arles. Prosper Mérimée fait classer l'édifice comme monument historique en 1840. De premières restaurations sont effectuées en 1872 par l'architecte Henri Revoil. En 1943, l'état fait l'acquisition de l'abbaye qui figure depuis 1968 au patrimoine mondial de l'humanité de l'UNESCO. http://alpilles.online.free.fr/communes/abbaye_montmajour_%20insolite.htm http://www.art-roman.net/montmajour/montmajour.htm http://architecture.relig.free.fr/montmajour.htm http://dolmen2.free.fr/oc2/Hypogees_de_Pr.html http://rupestre.free.fr/Montmajour/ http://www.fontvieille-provence.com/decouverte/histoire.htm http://alpilles.online.free.fr/communes/fontvieille_%20insolite.htm#cordes http://via-aurelia.net/Site%20aurelia/trajet.htm L'abbaye de Montmajour, éditions du patrimoine. Posté par madame_dulac à 17:06 - Abbaye de Montmajour (13-Bouches-du-Rhône

Les Templiers d'Acosse.

LES TEMPLIERS D'ACOSSE Située dans la province de Liège, Acosse (variantes anciennes : Achose, Coche), autrefois sise dans le comté de Namur et dépendant du baillage de Wasseiges, puis sous le Ier Empire commune du département de l'Ourthe, Acosse donc, en frontière du Pays Burdinale-Méhaigne et ses riches traditions wallonnes, est connue de nos jours pour son annuel Rock & Blues Festival. Sa Ferme du Château, construction de la fin du XVIIIème siècle, est également remarquable. L'Ordre du Temple y possédait une Maison, citée dès 1253, et qui dépendait de la Commanderie de Strée. Le baron Chestret de Haneffe, dans son Ordre du Temple dans l'ancien diocèse de Liège ou la Belgique orientale, nous en dit ceci : Acosse, aujourd'hui canton d'Avennes, province de Liége. — Maison baillée à trescens pour 82 muids d'épeautre compris dans les fermages qui allaient à Huy. Peu de chose en somme, mais la présence templière, aussi modeste fut-elle, laisse toujours rêveur. On imagine encore ces paysans d'autrefois, serfs libérés par le Temple, traversant la belle vallée de la Burdinale toute proche... Charles Saint-André Une brève description historique de l'Ordre du Temple ainsi que de ses hauts faits d'armes en Belgique peut être lue sur Willem van Bonem et la Bataille des Eperons d'Or

J'adore la sagesse des Indiens.

Tellement vrai !