Créé pour vous présenter mon dernier livre,je vous présente 4500 articles sur le thème de mon livre :les Templiers,des sujets ésotériques,des textes rosicrusiens,les mérovingiens, saint-Graal,Nostradamus,Mary Magdalene.Le Baphomet et le Tau, Château de Saumur,la femme dans l'histoire templière. Trésor templier.Histoires, légendes de Belgique,de France et d'Europe et Celtiques. La spiritualité. Développement personnel.
samedi 8 décembre 2012
Une bien sinistre invention.
Gauthier Van Damme Aoc Monsieur Guillotin n'a jamais inventé la guillotine. Il a cependant défendu une utilisation systématique de celle-ci.
On attribue généralement au Dr. Antoine Louis l'invention de la guillotine telle que nous la connaissons aujourd'hui. (lame oblique, etc)
vendredi 7 décembre 2012
Lieux sacrés : abbaye Saint-André-le-Bas
Abbaye Saint-André-le-Bas, historique
Vienne_Saint_Andr__le_Bas_2Les origines de l'abbaye Saint-André-le-Bas remontent au milieu du VIème siècle. Elles mettent au premier plan un notable viennois, le duc Ansemond, qui a déjà fait des donations en faveur de l'église Saint-Pierre. Il demanda qu'un nouveau monastère consacré à saint André soit élevé auprès de sa sépulture. De cette époque ne reste que peu de vestiges, quelques parties intérieures du mur nord de l'église.
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Vienne_Saint_Andr__le_Bas_1Ce nouveau lieu de culte fut construit dans un quartier urbanisé depuis les temps romains, ce qui explique que l'on trouve dans le sous-sol des vestiges de murs de l'époque antique sur lesquels on a bâti le monastère.
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Vienne_Saint_Andr__le_Bas_14Mentionnée au VIIème siècle comme monastère de femmes, l'abbaye fut délaissée aux VIIIème et IXème siècles jusqu'au jour où Boson, roi de Bourgogne et de Provence, qui avait fait de Vienne sa capitale, restaura la vie religieuse, créant à Saint-André un chapitre de chanoines. L'église devint la chapelle du palais.
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Vienne_Saint_Andr__le_Bas_3Au Xème siècle, les souverains du royaume de Bourgogne continuèrent à honorer et protéger leur église palatiale qui reçut un second patron, saint Maxime. Le roi Conrad prit l'initiative d'y recréer un monastère sous la règle de saint Benoît. Selon la tradition, Conrad aurait été inhumé dans l'église.
Vienne_Saint_Andr__le_Bas_24Au cours des XIème et XIIème siècles, acquisitions et donations ne cessèrent d'accroître le domaine. L'église fut agrandie et surélevée. Puis commença un chantier qui transforma l'abbaye : le clocher fut élevé, le cloître reconstruit, l'église agrandie et voûtée.
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Vienne_Saint_Andr__le_Bas_59C'est de cette époque que date l'ornementation sculptée, particulièrement dans l'église, où maître Guillaume, fils de Martin, a laissé sur une inscription la date de ses réalisations : 1132. Son atelier et celui de Saint-Maurice sont en contact, s'influençant mutuellement. Les modèles bourguignons ne leur sont pas étrangers.
Vienne_Saint_Andr__le_Bas_11Au XIIIème siècle l'abbé obtient du pape le droit de porter la mitre. Le quartier dans laquelle elle est implantée, appelé la Grande Paroisse, joue un rôle particulier dans la ville, en particulier à cause de la population juive qui y est nombreuse (elle apparaît à ce titre fréquemment dans les archives de l'abbaye).
Vienne_Saint_Andr__le_Bas_5Au delà du XIIIème siècle, l'histoire de l'abbaye n'offrit plus guère d'évènements majeurs. Dans ses locaux se tinrent parfois les réunions des consuls. A partir du XVIème siècle, le nombre de religieux diminua. Son existence fut remise en cause dès le début du XVIIIème siècle, et finalement, elle fut supprimée en 1772.
Vienne_Saint_Andr__le_Bas_29Suite à la vente de l'abbaye à la révolution et à des transformations effectuées au XIXème siècle, les arcades du cloître furent murées. Des locaux privatifs et publics, comme la chambre de commerce, occupaient l'espace des galeries.
Posté par madame_dulac à 14:07 - Abbaye Saint-André-le-Bas (38-Isère)
Bulletin de la Commission royale d'histoire BXL 1901
LA MAISON DU TEMPLE A BITRONSART
(Comté de Namur)
Baron de Chestret de Haneffe
"L'Ordre du Temple dans l'ancien diocèse de Liège"
Bulletin de la Commission royale d'histoire, Tome XI, Bruxelles. (1901)
On ne saurait que peu de chose des Templiers de Bitronsart, sans les démêlées qu'ils eurent successivement avec les propriétaires des biens avoisinants. Le 24 juin 1240, on les voit entrer en arrangement avec Marguerite, abbesse de Moustier-sur-Sambre au sujet de quelques alleux situés à Gerpinnes, et faire sceller cette transaction par frère Renaud, « leur précepteur en Hainaut et en Brabant ».
Trois ans après, en 1243, un jugement arbitral de Jean Colon, bailli de Namur, termina le différend qu'ils avaient avec Otton de Morialmé, seigneur de Loverval, au sujet de la forêt de Ruzomont. La propriété en litige fut partagée par moitié, et hors de la part qui leur était attribuée, les Templiers cédèrent à Otton douze bonniers, en échange du bois de Sechombur attenant à leur Maison.
Une charte, datée de Bitronsart le 5 mai 1267, nous montre un sire de Henripot nommé Jean, donnant à Notre-Dame du Temple de Bitronsart son serf Colart Bornart de Bouffioulx, corps et biens, moyennant une capitation annuelle de 12 deniers blancs et le « meilleur catel » exigible à sa mort. Parmi les témoins figurent Frère Adam, commandeur, Frère Jean Briges et Frère Guillaume Chamas. D'où l'on doit conclure qu'il existait alors une Maison du Temple particulière avec chapelle à Bitronsart.
De plus, suivant l'état de 1313, les 80 bonniers de terres qui appartenaient à cette Maison, ne pouvaient rien porter sans être fumés tous les deux ans; l'un dans l'autre, ils valaient annuellement trois setiers d'épeautre. Il y avait aussi 50 bonniers de mauvaises terres, 60 bonniers de grands bois tout dévastés, et 80 bonniers de petits bois dans le même état.
A Florennes, la Maison du Temple de Bitronsart, possédait 30 boniers de pâturages. La dîme de Samart, près de Philippeville, rapportait à cette dite Maison de Bitronsart environ 10 livres, et la cure de ce village était à sa collation.
Il y avait dans les principales maisons de l'Ordre du Temple en Belgique des précepteurs ou des commandeurs particuliers, chargés de les régir et d'en administrer les biens. Très peu d'entre eux nous sont connus et l'on ne trouve à citer que frère Aubert, à Hargimont (1248), Frère Adam, à Bitronsart (1267), Frère Georges, à Vaillampont (1248, 1286), et Frère Gérard, à Haneffe.
*
La Maison du Temple de Bitronsart (Bertransart) était située sur le territoire de Gerpinnes, dans l'ancien comté de Namur, actuellement en province du Hainaut. Elle dépendait de la Commanderie de Vaillampont, dans la région de Nivelles. Bâtie vers 1200 et reconstruite en 1849, elle est actuellement connue sous le nom de "Ferme de Bertransart", située à environ 3 kms du centre de Gerpinnes, au hameau des Flaches, dans la rue de la Ferme de Bertransart. La chapelle qui la jouxte, autrefois nommée "Chapelle à Temple" ou "Chapelle des Templiers" ou encore "Notre-Dame des Templiers", a été placée ensuite sous la protection de saint Jean-Baptiste, patron de "l'Ordre des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, de Rhodes et de Malte", puis enfin, a été dédiée à sainte Rolende (sic), en l'honneur de laquelle est organisée une procession et marche folklorique le lundi de Pentecôte. Sur les poutres de cette chapelle est sculptée la croix de l'Ordre de Malte.
Charles Saint-André
Celtic mythology.
La sorcière de trois têtes semblent Finn dans la nuit sur la colline de Bairnech dans le Kerry. C'est peut-être une référence bardique à une crête de trois pics. La hauteur des collines hivernales a été conçue comme une sorcière en Ecosse et en Irlande.
Cela s'est passé un 7 décembre 1740.
La France pittoresque
7 décembre 1740 : débordement de la Seine
La Seine commença à croître considérablement à Paris, le 7 décembre 1740 ; elle entra dans la place de Grève jusqu’au milieu de l’arcade de l’Hôtel de Ville. Toute l’île Louviers fut inondée...
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