dimanche 9 décembre 2012

Le secret d'Eal-ir-Bad.

Le secret d’Eal-ir-bad ou sur les traces d'Henri Boudet http://www.portail-rennes-le-chateau.com/carte-boudet.html - Ph : Carte d'un livre original de la VLC En découvrant le nom du dernier chef des Druides armoricains dans une oeuvre littéraire improbable, le curé Henri Boudet saisit l’occasion de pointer du doigt celui qui, d’après ses informations et découvertes, personnifiait la Source sacrée non pas d’une tradition druidique mais plutôt d’un courant religieux à naître, s’ignorant d’ailleurs plus ou moins, implanté dans le Midi de la Gaule par des exilés juifs au Ier siècle de notre ère. En renfort de diverses techniques cryptographiques, l’abbé oscillerait donc en l’espèce entre une description aux apparences historiques, la civilisation celtique et un niveau différent, consistant à dissimuler derrière les mots une autre réalité. Les « Druides », par exemple, ne désigneraient pas exactement de vrais druides ; leur « chef » pareillement. La langue celtique elle-même... mais ce n’est pas ici mon propos." (Jean Lucain)

samedi 8 décembre 2012

Les templiers de Bruges.

LES TEMPLIERS DE BRUGES (Comté de Flandre) Le 23 janvier 1120, un chevalier champenois, Hugues de Payns, et le chevalier flamand Godefroy (ou Geoffroi) de Saint-Omer constituent une milice appelée les Pauvres Chevaliers du Christ et du Temple de Salomon, dont la mission devait être d'assurer la protection des pèlerins d'Occident se rendant en Terre Sainte depuis la reconquête de Jérusalem, ainsi que de défendre les états latins d'Orient. Le 13 janvier 1129, au cours du concile de Troyes, cette milice se voit appuyée et confortée dans sa mission et, dotée d'une règle propre issue de la règle de saint Benoît, fondée en ordre monastique et militaire, devient enfin l'Ordre du Temple. Très rapidement, cet Ordre installe des Maisons et Commanderies à travers le monde chrétien. Dans ce qui s'appellera plus tard la Belgique, c'est à Ypres, en 1127, dans le comté de Flandre, qu'Hugues de Payns et Godefroy de Saint-Omer, ainsi que sept autres chevaliers templiers, créent l'une des toutes premières commanderies de leur Ordre... Le comté de Flandre au moyen-âge s'étendait sur les deux actuelles provinces belges de Flandre-Occidentale (Bruges) et Flandre-Orientale (Gand), sur une partie ouest de la province belge du Hainaut (Tournai, Mouscron), sur la partie nord-ouest du département français du Nord (Gravelines, Dunkerque, Hazebrouck, Cassel, Armentières, Lille, Douai), ainsi que sur le sud de l'actuelle province hollandaise de Zélande (Aardenburg, Sluis, Hulst). Fief du roi de France, le comté de Flandre manifeste constamment au cours du moyen-âge des tendances indépendantistes qui lui valent de nombreuses incursions de troupes françaises dont on peut dire, par euphémisme, qu'elles se montrèrent sans scrupules. Et à Bruges... A l'époque du grand réchauffement planétaire que les climatologues contemporains nomment l'Optimum médiéval, et plus précisément en 1134, un raz-de-marée ouvre un large chenal dans la terre de Flandre, qui permet à Bruges d'avoir un accès direct à la Mer du Nord. Dès cette époque, la Venise du Nord devient un port international de première importance : le commerce maritime s'organise, des navires en provenance d'Angleterre, de Gascogne, des villes de la Hanse, de Suède, de Gênes, de Venise, de Florence, de Castille, du Portugal, de l'Ecosse, accosteront à Bruges, qui deviendra le plus important port commercial du Nord de l'Europe. On exportera entre autres depuis Bruges les vins de Liège, de Namur, de Huy, de Tournai, de Seilles, d'Amay, de Louvain, etc, dont la production abondante avait été rendue possible grâce aux températures beaucoup plus élevée que celles que nous connaissons de nos jours... Lorsque les Templiers s'installent à Bruges, au lieu nommé Tempelhof, près de Schipsdael-lez-Bruges (Scheepsdale), mais également à la rue des Teinturiers, au Marché aux Poissons, à l'Hôpital des Pauvres (nommé ensuite "Hôpital de Saint-Jean"), et au lieu-dit Westmeersch près du béguinage, ils participent à cette expansion commerciale et à cet enrichissement de la ville de diverses manières, notamment par le contrôle qu'ils auront eu - par droits de péage - d'une grande partie du trafic maritime. L'Ordre du Temple étant rattaché à la règle de saint Benoît, les Maisons et Commanderies étaient généralement "jumelées" avec une abbaye bénédictine proche. Les Templiers de Bruges seront de ce fait en rapport étroit avec l'abbaye cistercienne de Ter Doest à Lissewege, village proche situé sur l'une des routes du pèlerinage de Saint-Jacques de Compostelle (L'église de Lissewege, monumentale pour le lieu - trois cents habitants à l'époque -, fut d'ailleurs érigée par les Templiers). En 1148, Thierry d'Alsace, comte de Flandre, - qui fondera la Maison du Temple de Douai en 1155 -, fait transporter, de Jérusalem à Bruges, quelques gouttes du Saint-Sang du Christ. Ce sont les Templiers de Bruges qui escorteront cette relique, toujours présente à la Basilique du Saint-Sang de cette ville. Une légende dit que ce sont d'ailleurs des Chevaliers de l'Ordre du Temple qui découvrirent ce précieux sang, dans un récipient de pierre de la Sainte-Tombe, à proximité du temple de Salomon, en présence même de Thierry d'Alsace et de Sybille, sa femme, qui, à ce moment précis, aurait eu une vision de la Jérusalem céleste sous la forme d'une "nouvelle Jérusalem de l'Occident"... qui n'était autre que Bruges. La légende chrétienne du Saint-Sang se réfère à deux évènements, sans que l'on sache trop lequel prédomine sur l'autre : 1° il s'agirait du breuvage que le Christ offre à ses disciples lors de la Dernière Cène; 2° il s'agirait du sang recueilli par Joseph d'Arimathie sur le corps même du Christ, après la Crucifixion. Quoiqu'il en soit, ce précieux sang sera à l'origine du mythe du Graal et du cycle des Chevaliers de la Table Ronde, dont Chrétien de Troyes tirera son Perceval ou l'histoire du Graal, à la demande de son patron, Philippe d'Alsace, comte de Flandre, et fils de Thierry. Charles Saint-André * LE TEMPLE-LEZ-BRUGES OU TEMPELHOF Extrait de "Les commanderies du Grand-Prieuré de France" Par Eugène Mannier Paris, Aubry et Dumoulin, 1872 (Nota bene : On rappellera ici que l'Ordre du Temple fut détruit en 1307 par Philippe le Bel, et que ses possessions passèrent sous la maîtrise de l'Ordre des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, appelé plus tard Ordre de Malte - Charles Saint-André) Cette maison était située dans la banlieue de la ville de Bruges, sur le bord du canal d'Ostende, près de Schipsdael, au lieu nommé « Tempelhof », sur les anciennes cartes géographiques. Elle a été appelée aussi « le Temple de Schipsdael ». Lorsque les Hospitaliers entrèrent en possession de cette maison, ce domaine comprenait 75 mesures de terre, toujours à la mesure de 300 verges, comme nous l'avons expliqué. Ils n'en cultivaient que seize, dont le rapport en 1370 équivalait à 60 sols chacune. Quant aux autres, dont une partie était située au-dessus du canal, et une autre à Vlesseghem et Dulgele, ils les affermaient à diverses personnes, 144 livres. Une chapelle, qui dépendait du Temple de Schipsdael-lez-Bruges, fut détruite au XVe siècle pendant les guerres de religion. Le revenu de la maison de Schipsdael était, en 1370, de 196 livres ; en 1661, de 340 florins, de vingt pâtards chacun ; et en 1757, de 1,068 florins. Plusieurs maisons dans la ville de Bruges dépendaient du Temple de Schipsdael : Une dans la rue des Teinturiers ; Une autre au marché aux Poissons ; Et une troisième, appelée l'hôtellerie de Saint-Jean, qui était tenue en fief, en 1370, par un homme de l'Hôpital. Mais ces maisons ne firent jamais partie de la commanderie de Caestre, et continuèrent toujours d'appartenir à celle de Slype. * Une brève description historique de l'Ordre du Temple ainsi que de ses hauts faits d'armes en Belgique peut être lue sur Willem van Bonem et la Bataille des Eperons d'Or

Un rapport sur les Ebersteins.

Susanne Tadic-Bialucha Un rapport sur les Ebersteins L'origine des Ebersteins réside dans les ténèbres de l'histoire. Ils n'étaient pas, par conséquent, le rôle de Lohengrin et le cygne, mais ils sont allés un jour à la gare du Zoo de Berlin du train et a appelé les uns aux autres: "On Let s go!". Ces possibilités ont été refusés. Pourtant! Ils avaient (malheureusement) avaient aussi commis aucun scribes, où ils disaient: "A partir de demain, vous écrivez tout ce que le beau, ce qui se passe si non, alors ... Off avec votre tête.". Pour cette raison également, les dossiers généalogiques actuellement disponibles sont différentes. Les célèbres Ebersteins début, l'une des plus anciennes familles de l'Allemagne, commence comme suit: Au bord du lac de Constance, où il ya maintenant Friedrichshafen, vivait vers l'an 900 V comte Ulrich, un descendant de Charlemagne. Il était marié à la comtesse Wendelgard Eberstein von, petite-fille d'Henri l'oiseleur. Qui était Henri l'Oiseleur, vous savez de l'école (au moins la pré-68). Il était l'empereur Henri I. Comment la vie ainsi, le comte Ulrich a été rédigé dans la guerre contre les Hongrois, qui avaient pénétré dans la Bavière. Wendelgard ne pouvait pas parce que les femmes étaient en service militaire actif n'est pas (encore) approuvé. Elle ne pouvait pas non intenter des poursuites pour discrimination. Depuis que son mari n'est pas revenu de la guerre, ils se rendirent au monastère en l'an 916 par Saint-Gall, dans la conviction que son mari - était tombé - par une information appropriée. Chose étonnante, cependant, il est apparu quelques années plus tard encore. Ils ont vécu ensemble à nouveau, la femme était enceinte, et l'homme mourut Wendelgard retourna au monastère de Saint-Gall. Elle a également donné naissance à la vie d'un garçon peu de temps après. Ce cousin, nommé Purchard de l'empereur Otton Ier était plus tard que je Purchard abbé du célèbre monastère de Saint-Gall. Après cette pause en ce qui concerne des nouvelles sur les Ebersteins. Mais, ils ont évolué dans le Bade aujourd'hui Rhénanie. Le début de cette église une fois influents dans la politique et la famille allemande remonte à plus de 1000 ans, et est tissé dans les contes et légendes d'autres. PAR EXEMPLE dans la célèbre ballade de Ludwig Uhland "Eberstein Count". Contenu: L'Empereur vous invite à un récalcitrant Fête frères Eberstein à Speyer. Pendant ce temps, devraient être pris d'assaut leur château à Baden-Baden. La fille de l'empereur, murmura-t-Wendelgard, le comte Eberhardt von Eberstein à la danse, qui était sur son père. Alors les frères pris l'avion pour son château et se tourna de l'empereur un long nez. Néanmoins Wendelgard plus tard a épousé son Eberhardt von Eberstein. Pour fournir une histoire cohérente de la famille de plus de 1000 ans, n'était pas possible auparavant. C'est précisément pour cette raison, les archives généalogiques de diverses sources sur les Ebersteins sont également différents, comme on pouvait s'y attendre. Les Ebersteins regarda autour de lui pour les travaux d'accroître l'influence et la possession. Ces possibilités offertes incursions. Ils s'entendaient juste de découvrir que la croisade était prévu. Les croisades, les nations chrétiennes de l'Occident ont été motivés par la religion et économiquement. Booty a été annoncé, et la recherche du Saint-Graal, ou tout ce qu'il a connu avant sa nomination début comme le pouvait.

L'alphabet templier.

Jype Allias Jype

Prédicateurs d'autrefois.

Prédicateurs d’autrefois : des sermons dispensés à un auditoire parfois dissipé On a calomnié la dureté des carêmes d’autrefois. Il est très vrai qu’ils faisaient perdre à la gourmandise quelques-uns de ses droits ; mais les délices qu’on refusait à la bouche, c’est à l’oreille qu’on les offrait. Les sermons, pour peu qu’ils fussent apprêtés avec délicatesse et servis avec art, étaient un régal envié... > La suite sur http://bit.ly/QNyaVo

"Lynx", "trimballer" en viel irlandais.

LYNX LYNX est aux yeux brillants et à queue touffue, intelligent, flexible et adaptable. Lissom, enjoué, omniprésent et aux cheveux d'or, il a une vision excellente par les deux jour et nuit et peut voir tout ce qui se trouve devant et derrière. Il a grandi rapidement, atteignant la maturité en seulement trois ans et est maintenant un champion et guerrier qui peut dompter le minuscule Troglodyte, "BOLD" sanglier, le renard rusé ou le cerf à tête haute. Il peut entendre tous les sons que du vent à ses oreilles n'importe comment faible et peut sauter dans les airs comme un éclair. Il est très discret et, parce que les sons qu'il fait sont très calme et rarement entendu parler, sa présence dans une région peut passer inaperçue pendant ans. En été, il est brillant et or, mais en hiver il est gris argenté. Il cherche une épouse entre blanc janvier et avril fleurie. Il est à l'aise dans les forêts, par le bord de l'eau, sur les rochers des montagnes. Lynx est un mot grec de * luko-[yeux brillants], similaire au mot gallois llygad [yeux] et irlandais lúachair [luminosité]. Le mot en vieil irlandais « Lynx » a été « trimballer ».

Paris en flamme.