mardi 25 décembre 2012

Cloches - Abbaye de St Maurice (VS) cloches 2 à 8

Vérités secrètes.

Collection : Vérités Secrètes - Arcana Codex LIvre III, 400p, dont 79 pl. hors texte. 2e EDITION. Aux portes de la Normandie, Gisors ! Terre de prédilection des rois de France, au Moyen Age, l’antique cité d’origine celte a toujours accueilli les grandes assemblées prévenant à la conduite du Royaume. Rendez-vous des diplomates et des guerriers de tout poil, sa légende templière en fit sa renommée, ses mythes ont évolué au fil des siècles. Un homme, Roger Lhomoy, en tira une grande notoriété et fit l’unanimité contre lui. Basé sur l’extraordinaire aventure de ce dernier, le livre de Gérard de Sède « les Templiers sont parmi nous » en 1962, jeta le feu des projecteurs sur la capitale du Vexin normand. L’ouvrage fit grand bruit. Le fabuleux trésor de l’Ordre du Temple était caché à Gisors ! Son retentissement fut tel que le ministère de la Culture dut intervenir. Malgré de multiples campagnes de fouilles rien ne filtra. Officiellement il n’y avait aucun mystère à Gisors. Et pourtant ! Aujourd’hui encore la version officielle ne convainc personne. Aucune étude sérieuse n’a été menée sur cette affaire depuis la publication de G. de Sède. Ce livre a donc une triple ambition. Tout d’abord, effectuer une contre enquête rigoureuse, puis de valider ou démystifier les données majeures et enfin de connaître le but des vrais commanditaires de G. de Sède. Nous disséquerons, dans les moindres détails chaque pièce du dossier. Sur la foi de centaines de documents officiels rendus publics, d’archives manuscrites inédites - dont certaines sont tirées des Archives Secrètes du Vatican - et des témoignages crédibles, nous sommes à même d’apporter des réponses sur un des plus grands mystères de l’Histoire de France. Le sous-sol de Gisors fut-il le réceptacle du trésor des Templiers ? Quel était son contenu ? Et si ce trésor était une réalité qu’est-il devenu ? LE FIL CONDUCTEUR D’UN DOSSIER HISTORIQUE Le trésor des Templiers, R. Lhomoy, A. Malraux, les fouilles dans le château, le rapport des militaires, l'église St-Gervais St-Protais, la tour de Neaufles, les souterrains, le Prieuré de Sion, Rennes-le-Château, Rennes-les-Bains, Nicolas Poussin, Nicolas Foucquet, Nostradamus, Rabelais, Cagliostro, le Hiéron du Val d'Or, les confréries de Gisors, les A.A., la Société Angélique, S&B, la franc-maçonnerie, la secte des Assassins, le groupe Bilderberg, les Illuminati, la chapelle de Rosslyn, la cité d'Asgard, Troie, Dagobert II, Sigebert IV, la première Eglise chrétienne, les manuscrits de Manès, les Cathares, Montségur, Bugarach, les manuscrits de l'abbé Denyau, d'A. Bourdet, d'A. Dorival, le Codex Bezae, le soufisme, l'Arche d'Alliance, le Graal, le Baphomet, la pierre philosophale, le temple de Jérusalem, l'église St-Sulpice, la reine de Sabba, les archives des Templiers et les filiations de l’Ordre, les archives secrètes du Vatican, etc. - CHAPITRE I - DE LA MEMOIRE DU VEXIN La troisième continuation L’histoire est écrite par les vainqueurs Les manuscrits des historiens de Gisors Le manuscrit Denyau Les fils de Dagobert II Le Hiéron du Val d’Or Le manuscrit Bourdet De l’antiquité de Gisors Gisors et ses premiers seigneurs L’ombre de Nicolas Poussin à Rennes-les-Bains Le secret du Poussin et l’abbé Denyau Les souterrains de Gisors - CHAPITRE II - LES TEMPLIERS SONT TOUJOURS PARMI NOUS Ordos ab chaos De l’empreinte du Temple à Gisors Les prisonniers de Gisors Les Chevaliers de l’Etoile De l’Ordre du Saint-Sépulcre ou de Sion Le cartulaire de l’Ordre de Sion De Saint-Samson aux Filles de Sion Les choix du Prieuré de Sion La Colline Inspirée Le manuscrit secret de l’Ordre ancien - CHAPITRE III - DES SOCIETES SECRETES A GISORS De l’antiquité des sociétés secrètes Des confréries et des loges à Gisors Le Manuscrit Dorival La voie de l’Illuminisme Manès, ou l’enfant de la Veuve Le Testament de la Veuve du Scythien De l’initiation de Cagliostro aux coffres d’airain Les Héritiers de Manichée à Gisors - CHAPITRE IV - DES ARCHIVES SECRETES DE L’ORDRE DU TEMPLE Les trois clefs secrètes du Temple De la Pierre Philosophale Trois clefs pour une serrure L’Arche perdue est retrouvée Les manuscrits hérétiques des Templiers Du Prince du Liban, Maître des Assassins D’une filiation templière Le dépôt d’archives de Gisors

Rêve de Noël.

Rêve de Noël : film de Georges Méliès en 1900 La scène s’ouvre sur un grand boudoir dont nous devinons qu’il appartient à un homme très aisé. Ses enfants, assistés par leur gouvernante, sont sur le point de se coucher. Changement de scène : répétition générale du spectacle qui doit être donné plus tard... > La suite sur http://bit.ly/tZ081t

Lieux sacrés : combat d'un chevalier contre l'aigle.

07 juillet 2010 La Rochepot, église Notre-Dame-de-la-Nativité La_Rochepot_croix_1Le site de La Rochepot, au croisement des deux grandes routes de l'Europe occidentale (la "voie de l'étain" et la "voie du sel"), fut habité depuis fort longtemps, dès le Néolithique. La_Rochepot_croix_4Il existe de nombreux dolmens, allées couvertes et autres menhirs alentours, comme ceux dits du "Cul-Blanc", l'ancien "Tonton Martel" aujourd'hui disparu, "La Pierre qui Vire", la "Pierre-Brûlée", la "Pierre Chaume", l'allée de "Chateillon" ou la "Pierrefite". La_Rochepot_croix_5 La_Rochepot_2L'église Notre-Dame-de-la-Nativité, autrefois prieurale Saint-Georges, fut édifiée dans le deuxième quart du XIIème siècle par les bénédictins de l'abbaye de Flavigny. La_Rochepot__glise_5 La_Rochepot__glise_6De cette époque elle a conservé la nef, des parties du transept, son abside et ses absidioles, ainsi que des décorations du portail ouest, et des chapiteaux. La_Rochepot__glise_2L'archivolte du portail possède une caractéristique bien étonnante... La_Rochepot__glise_4Les moulures du côté gauche représentent des signes particuliers, comme une sorte d'alphabet composé de signes lapidaires compagnoniques... La_Rochepot__glise_3La nef possède 4 travées flanquées de bas-cotés. La_Rochepot__glise_12 La_Rochepot__glise_1Le clocher, datant du XVème siècle, est surmonté d'une flèche construite en 1822, l'édifice fut remanié au XIXème siècle. La_Rochepot__glise_13
La_Rochepot__glise_8Les chapiteaux historiés (ânesse de Balaam, annonciation, combat d'un chevalier contre un aigle) La_Rochepot__glise_10 La_Rochepot__glise_9sont inspirés de ceux de Saint-Lazare d'Autun et de Saint-Andoche de Saulieu. La_Rochepot__glise_11

Le talisman celtique d'Hyerborée.

Iles d'Aran, Dun Aengus
Selon une ancienne légende irlandaise, la baie de Galway formait autrefois un lac, séparé de l’Océan par une barre de terre, jusqu’au jour où, par une tempête plus violente que les autres, les flots ont tout balayé: les trois îles d’Inis Oirr, Inis Meain et Arainn ( plus connues sous leurs noms anglais d’Inisheer, Inishmaan et Inishmore ) sont tout ce qui reste de ce bras de terre. aran3 Géologiquement, les trois îles prolongent les escarpements des Burren, dans le comté Clare, à quelques kilomètres de l’autre côté de la baie de Galway. La surface du sol, du calcaire ou du schiste, fracturée par des milliers de fissures parallèles plus ou moins larges, a été sculptée par l’érosion. 05_08_57__801x1200_ Le Gaélique est encore la première langue parlée sur l'île, et il y règne une ambiance spéciale de "vieille Irlande". Sur ces îles vous trouverez partout des vestiges de monastères Chrétiens, de fortifications et d'églises. Les vestiges de The House of Saint Edna, édifice religieux d'époque Médiévale le plus important sur Inishmore, peut être encore visité. On y trouve plusieurs forts de l’âge du fer : Dun Aengus (Dún Aonghasa), le fort noir (Dún Dúchathair) et Dún Eoghanachta tous les trois en bon état de conservation. Le site se compose d'une triple enceinte(voir plus bas la symbolique de la croix celtique) dont le mur interne entoure un espace de quatre hectares. En avant du mur extérieur, de très nombreuses pierres dressées forment des chevaux de frise dont le rôle défensif est d’empêcher les attaques d’assaillants. De forme semi-circulaire, il est délimité, à l’autre extrémité par une falaise d’une centaine de mètres de hauteur. Dans la partie centrale le mur s’élève par endroits à 4 mètres, et a 5 mètres d'épaisseur. aran5 Le début de la construction remonterait à la fin de l’âge du bronze (début du dernier millénaire avant JC) et le site aurait été occupé jusqu’au IVème siècle après JC. 05_08_58__1600x1086_ Selon la mythologie celtique, cette forteresse aurait été édifiée par le peuple légendaire des Fir Bolg réfugiés dans l'île après leur défaite, dans la guerre qui les opposa aux Tuatha Dé Danann. Le nom viendrait de leur chef qui se nommait Aengus ou Aonghus (à ne pas confondre avec le dieu Oengus) et le mot dun signifie « forteresse » en Gaélique.(Wikipédia) 05_08_56__1600x1078_ "Dun Aengus was named after the mythical hero Aonghas. Dun Aonghasa is thought to have been built around the time of the birth of Christ during the Celtic Iron Age. Although Dun Aonghasa has the appearance of a military fort, experts say it was used as a ceremonial theatre." We heard many other stories about what the fort could have been used for. Seeing that the fort is prehistoric, they really don't have record of what it was exactly used for." Comme ils disent.... Moi je reste persuadée que ce site est bien plus ancien, orienté vers l'océan Atlantique. Une vision m'a montré l'endroit comme un comptoir, relié à un peuple de navigateurs. Je n'oserai pas mettre le nom de l'Atlantide en avant (en plus je me ralie à l'hypothèse de l'Atlantide en Antartique), mais ça y ressemblait fort. Le ressenti que j'ai eu, allongée sur la pierre regardant la mer, reste unique. 05_08_55__1600x1070_05_08_54__1600x1059_ Il existe aussi les ruines d'un monastère datant du V ème siècle. Il abrita 7 ermites qui, selon la tradition, se construisirent chacun une chapelle. Tiens, 7, d'habitude c'est 12... aran7 Le cimetière, de pure tradition Celte, est vraiment d'une beauté surprenante. Non loin de là, sur le continent, beaucoup de mégalithes. P.S.: Je ne sais pas si vous avez remarqué, sur plusieurs de mes photos, il y a dans le ciel un truc bizarre... 05_08_59__806x1200_05_08_60__806x1200_ aran12 aran11 aran14 Rappel du symbolisme de la croix celtique, tiré du site Lux Sanctuary: La croix Celtique : croixceltique Le cercle central, le gwenved représente la lumière (le monde des Dieux)… le second cercle (à la jonction des Quatre branches) le premier le plus au centre est le cercle d’annoum, l’abysse le néant (Le monde souterrain) le second le plus à l’extérieur est le cercle d’abred le cercle de l’expérience humaine ( le monde terrestre) et enfin le tout derniers cercle qui entour la croix est le Keugant le cercle de l’Incréé de l’Univers, représentant la Source. La croix celtique est un symbole majeur car il représente ainsi l’expérience humaine et son évolution. La croix en elle-même est un symbole puissant. Elle rappelle la quadripolarité et la concrétisation physique de l’Un au travers la matière, la Quintessence. C’est ainsi l’expression des forces de l’univers primaires, élémentales. Le talisman d’Hyperborée : talisman_hyperboreeCe talisman très puissant est similaire à la croix celtique sauf que la branche du bas (nommée le socle ) est plus longue tout simplement … sinon pour plus de détail sur ce talisman il y d’autres éléments sur la croix : la croix en elle-même est souvent en argent et les cercle autour du centre en argent mais beaucoup plus brillant beaucoup plus clair. Au centre exacte de la croix il y a un petit cercle (le Gwenved) dans lequel se trouve un cristal de roche ou une améthyste en haut de la croix sur la branche « nord » se trouve un tribann doré et en bas sur la base du socle se trouve un triskèle bleu marine ou or. Ce talisman nous vient des hyperboréens et plus loin encore des atlantes dont les druides en sont des héritiers d’après la légende. Pour entrer plus en détail dans la symbolique les cercles représentent divers niveau du monde et de l’expérience humaine comme sur la croix celtique, ils représentent des liens vers la source une connections entre nous même et ce qu’il y a part delà, dans l’astral et ses plus hautes sphères. Le cristal central agis comme un condensateur projetant un fin rayon énergique qui nous connecte avec l’au-delà nous met en résonance avec les forces d’autres mondes, diffusant l’antiques sagesse et la mémoire des atlantes. Qui le porte dispose en outre d’une protection idéale et puissante. Plus encore pour qui médite dessus… http://time.mystiek.net/croix%20celtique.htm

Lieux sacrés : L'abbaye de Noirlac.

L'abbaye de Noirlac, historique Noirlac_pr_histoireBien avant l'apparition des cisterciens, bien avant même la venue des romains, la région a vu s'installer l’homme d’Heidelberg (apparenté à la famille des homo erectus). Les nombreuses prospections dans le lit du Cher ont donné lieu à la découverte d’industries très anciennes, dont il nous reste des outils, taillés dans les galets. Noirlac_cherBien avant encore, au début du Jurassique, la région est recouverte d’une mer chaude peu profonde en bordure du Massif Central. Une importante sédimentation génère des dépôts, qualifiés d’Hettangien selon la détermination d’Eugène Rénevier. Mais je m'égare. (http://drevant.free.fr/index.php?lng=fr) noirlac_053aL'Abbaye de Noirlac était appelée l'Abbaye de Maison Dieu (Momus dei). Elle est située au nord de Saint-Amand Montrond, sur la rive droite du Cher dans la commune de Bruère-Allichamps : centre géométrique de la France selon les calculs du géographe français Adolphe-Laurent Joanne. Il y fut retrouvé une borne remontant au règne d'Alexandre Sévère (180-235). C'est la seule borne connue qui atteste d'un trivium (carrefour de trois routes). Elle avait été creusée en sarcophage. noirlac_075aMaison-Dieu ? Le site eut cette dénomination jusqu'en 1276. Il faudrait y voir une de ces nombreuses maisons-Dieu, modestes fondations charitables à l'intention des pauvres voyageurs, ou bien d'un petit ermitage, témoin du spiritualisme de ce temps. Nombre de communautés cisterciennes reçurent l'hospitalité d'ermites, quand ils ne furent pas appelés pour reprendre les ermitages. Noirlac_036aC'est donc en 1136, dans ce site sauvage et inculte, au fond d'une vallée marécageuse, conformément à la tradition, que 12 moines issus de Clairvaux s'installèrent. Ils étaient sous la conduite de leur abbé, Robert de Châtillon, proche parent de Bernard de Clairvaux : "Plante là où coulent les eaux, c'est là qu'abonde la grâce" a dit Saint Bernard... qui fut lui même obligé d'intervenir en 1149 auprès du roi afin que la petite communauté dénuée de tout puisse survivre. Une donation eut lieu l'année suivante. Elle marqua la fondation matérielle de l'abbaye. Le seigneur du lieu, Ebbe V de Charenton, leur assura les moyens de survivre et accorda aux moines, qui vivaient jusqu'alors de cueillette et d'aumône, en 1150 leur première charte d'établissement. Il abandonnait tout droits seigneuriaux en cet endroit, pour bâtir une abbaye en l'honneur de Notre-Dame. Noirlac_048L'abbaye est un lieu triplement clos (tiens ? triple enceinte ?) : la première clôture est assurée par la topographie même, le bord de la rivière d'un côté, le versant de la colline de l'autre, en avant et en arrière des bois touffus aux sentiers à peine tracés. La seconde clôture renferme ce que l'on appelle la basse-cour. C'est là que sont reçus les visiteurs et que sont regroupés les bâtiments utilitaires. Elle fut d'abord de pieux et d'épines, avant de devenir mur en pierre. A l'orient de la cour s'élèvent les bâtiments conventuels, dont le quadrilatère forme la troisième enceinte. Noirlac_007aA la fin du XIIème siècle apparaissent les premiers revenus indirects : dîme, rentes en argent, produits seigneuriaux. L'abbaye s'enrichit progressivement pour atteindre son apogée vers 1250. Les grandes donations cessèrent à la fin du XIIIème siècle. C'est à cette période que Maison-Dieu devint Noirlac (première mention en 1322). La tradition rapporte que c'est à cette époque que le fils d'un seigneur se noya dans le Cher non loin de l'abbaye, au cours d'une chasse et que l'abbaye prit ce nom à cause de cet incident. Mais on peut remarquer que la carrière de pierre portait déjà le nom de Noirlac en 1261... noirlac_054aEn 1423, les moines reçurent l'autorisation de fortifier l'abbaye, après l'épisode de l'occupation des lieux par les soudards du capitaine anglais Robert Knolles entre 1359 et 1360. Ils élevèrent un donjon, dont l'accès était défendu par un pont-levis placé sur un fossé plein d'eau qui courait tout le long de la façade de l'église. Noirlac_044A la fin du XVème siècle l'abbaye traverse une crise morale profonde. Puis vint le système de la commende qui n'arrangea rien à l'affaire. Au XVIIème siècle, il restait 4 moines en les murs... En 1650, les bâtiments sont gravement endommagés dans les combats opposants partisans du Prince de Condé et troupes royales. En 1724, des travaux de reconstruction sont entrepris. Terminés en 1730, après l'obligation de vendre les bois, ils transforment complètement l’aile des moines qui ressemble maintenant à une façade classique de château. Les restes de fortifications sont rasés, le bief des pêcheries comblé. Noirlac_052aA la révolution, l'abbaye est prête à être vendue comme maison de campagne au titre des biens nationnaux. Elle fut rachetée par Amable-Jean Desjobert, homme de loi parisien. En 1822, la demeure est rachetée par des manufacturiers, Merlin de Failly et Hull. Il transformèrent les bâtiments en fabrique de porcelaine, alors que l'aile sud était réservée au directeur, l'ancien dortoir aux ouvriers. Dans l'église, les fours de séchage et l'atelier à émail dans le choeur... Noirlac_050aEn 1894, l'abbé Jules Pailler, curé de Saint Amand rachète le tout. Pour installer son orphelinat, il entreprend une première remise en état. Noirlac_091aPuis en 1909, après son acquisition par le département du Cher, Noirlac sert de colonie de vacances aux premiers petits chanteurs à la croix de bois. Noirlac_093aEn 1950, restauration sous la conduite des architectes Ranjard et Lebouteux qui prendra fin en 1980.