mercredi 26 décembre 2012

A DIFFUSER. MERCI.

JE SERAI AU SALON DU LIVRE DE BRUXELLES, LE 9 MARS DE 13H30 A 16H30(Tour et Taxis Avenue du Port, 86C à 1000 Bruxelles)

oliver shanti -senzei kentaka's katsura garden

Un très beau poème de Charlie Chaplin.

Sources : Etoiles célestes. Voici un très beau Poème de Charlie Chaplin Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai compris qu’en toutes circonstances J'étais à la bonne place, au bon moment. Et alors j’ai pu me relaxer. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle … l’Estime de soi. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J'’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle N’étaient rien d’autre qu’un signal Lorsque je vais à l’encontre de mes convictions. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle … l’Authenticité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai cessé de vouloir une vie différente, j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive Contribue à ma croissance personnelle. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle … la Maturité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai commencé à percevoir Dans le fait de forcer une situation ou une personne Dans le seul but d’obtenir ce que je veux, Sachant très bien que ni la personne ni moi-même Ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment Aujourd’hui je sais que cela s’appelle … le Respect. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai commencé à me libérer de tout ce qui n’était pas salutaire, Personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait cela de l’égoïsme ; Aujourd’hui je sais que cela s’appelle … l’Amour propre. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire de grands plans. J’ai abandonné les méga projets du futur. Aujourd’hui ; je fais ce qui est correct, ce que j’aime, Quand cela me plait et à mon rythme. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle … la Simplicité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai cessé de rechercher à avoir toujours raison, Et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé. ujourd’hui, j’ai découvert …. L’Humilité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. ujourd’hui, je vis une seule journée à la fois Et cela s’appelle … la Plénitude. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir ; Mais si je la mets au service de mon cœur, Elle devient une alliée très précieuse ! out ceci, c’est … le Savoir vivre. Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter : Du chaos naissent les étoiles. Voici un poème de Charlie Chaplin, et oui, n'est-ce pas merveilleux, quelle grande sagesse. aujourd'hui étant sans voix alors je vous écrits t à tous et vous adresse mes meilleurs voeux, passez un très joyeux Noël... Juste moi Chris...

Un tableau de Poussin inversé.

Plus d’infos dans le Mercure de Gaillon N°14 http://www.lemercuredegaillon.net/M2G/mercure_de_gaillon_14.htm Et puisque jadis, il était d'usage d'inverser un paysage peint, retournons la situation et revenons au paysage Normand à l'endroit et au tableau de Poussin inversé.

Mythologie pyréneenne, opus Aranae.

Sommaire * Mythologie Pyrénéenne, Opus Arenae, par J-L Nozière - part. II Souvent, dans les Pyrénées, c’est une fée ou un diable qui garde le trésor. En Bigorre, un berger trouve un jour, dans une grotte, de la magnifique vaisselle d’argent qu’il s’empresse d’entasser dans sa besace. Lorsqu’il ressort, un coq rouge effrayant, véritable suppôt de Satan, apparaît et dans une attitude agressive tente de lui barrer la route. Pour le chasser, il doit se servir de la vaisselle comme projectile, puis le berger prend les jambes à son cou et s’enfuit.... Lire la suite… Les archives du Hiéron du Val d’Or, par Th. Garnier Les traces de cette société discrète retrouvées à Rennes-le-Château laissent entendre un lien direct avec Béranger Saunière. La trame du voile couvrant cette affaire se tisse de jour en jour. Au fur et à mesure de notre enquête, chaque document découvert et analysé nous permet de lever ce voile de mystère. De la Société du Très Saint Sacrement, d’où est issu le Séminaire des Missions Etrangères, le bon curé de Rennes-le-Château a su parfaitement taire la relation qu’il entretenait avec le Hiéron de Paray-le-Monial. Qu’importe ! Puisque tous ces ordres ou sociétés étaient unis par la même ferveur : le triomphe du Christ-Roi. Lire la suite… Excursion au “Temple” de Gisors, par F. Balmary En ce beau samedi de mi-octobre (on a eu du bol !), Thierry Garnier nous a conviés dans la charmante bourgade de Gisors, dans l’Eure, pour une promenade à la poursuite des Templiers qui occupèrent le château de Gisors en séquestre entre 1158 et 1162. L’Histoire officielle a tendance à minimiser le passage des chevaliers de l’Ordre du Temple dans ce château du fait qu’il n’y ait pas eu de commanderie dans les environs, pourtant ils y sont restés quelque temps même si ce ne fut pas long. Lire la suite… Les Cités Obscures, Bruxelles secrète, par Marcus. Sortons de l’univers parfois surréaliste hexagonal et hâtons le pas vers un royaume voisin et ami. La Belgique recèle des énigmes inattendues ouvrant des perspectives intéressantes dans la recherche de diverses problématiques ésotériques, alimentant du même coup des rumeurs plus ou moins fondées sur le mirifique palais de justice de Bruxelles et une mondialisation forcée orchestrée. Lire la suite… Mégalithes de Normandie, du pays de Madrie au Vexin, par Th. Garnier. Le phénomène mégalithique, en Europe occidentale, naquit au Néolithique, il y a environ 6 000 ans, pour se terminer plus ou moins 2 500 années plus tard, au début de l’âge des métaux. Les civilisations de l’Antiquité les ont employés ou réemployés pour leur culte idolâtre. Beaucoup de ces monuments ont résisté aux ravages du temps. Lire la suite… Revue trimestrielle de 32 à 44 pages couleurs ou N&B au prix de :8,00€ / numéro (+ 1.80€ de frais de port, 3.00€ France D.O.M,T.O.M. et U.E)

Lieux sacrés :Londres, l'église de l'ordre.

Sources : Marifé Miguel L'église du Temple. Londres. Comme son nom l’indique, elle fut construite par les Templiers au 12ème siècle pour en faire leur siège devant le numéro croissant de chevaliers. Au milieu du XIIe siècle, avant la construction de l'église, les chevaliers du Temple se réunissaient à High Holborn, une rue située aux limites ouest de la Cité de Londres, dans un bâtiment établi à l'origine par Hugues de Payens. En raison de la croissance de l'Ordre, le site est devenu trop étroit et, vers 1160, l'ordre a acheté le terrain où se situe actuellement l'Église, afin d'y implanter leur siège en Angleterre dans un grand complexe monastique, le Temple de Londres . En plus de l'église, la nouvelle enceinte comportait à l'origine des résidences, des équipements pour la formation militaire ainsi que des aires de repos pour les frères novices et les militaires, qui n'avaient pas l'autorisation d'entrer dans la ville sans la permission du maître du Temple. On trouve dans l’église plusieurs gisants en pierre, parmi les plus valeureux chevaliers. La particularité de cette église de grès est sa rotonde entourée de colonnes paraissant de marbre et assortie de têtes faisant de curieuses grimaces. Un choeur monumental fut construit composé de trois bas-côtés. Il est probable que la crypte, conservée mais qui ne se visite pas, ait été le lieu de bien des cérémonies secrètes. Après la destruction et l'abolition des chevaliers du Temple en 1307, Edouard II prit les commandes de l'église devenue possession de la couronne. Par la suite, elle a été donnée à l'Ordre de Malte Le temple fut restauré par Wren puis décoré dans un style néogothique. Les bombardements de la seconde guerre mondiale firent des ravages qui imposèrent une nouvelle restauration. L’acoustique exceptionnelle du lieu a rendu célèbre le choeur qui se produit régulièrement.

L'église du temple à Londres.

Temple Church, l'église du Temple à Londres Temple_Church_27Le complexe de Temple Church fut bâti par les Templiers au XIIème siècle, en remplacement des anciens bâtiments construits par Hugues de Payens dans l'ouest de Londres (High Holborn), devenus trop petits pour le nombre constamment en augmentation des chevaliers. Ils en firent leur siège principal en Grande-Bretagne.