samedi 5 janvier 2013

La croix templière.

La croix templière :

Elle porte différents noms : croix pattée, croix de gueule, croix de vermeille, croix de l’ordre du Temple…



Un symbole tardif :

Connue pour être, entre autre, un symbole des templiers, la croix pattée ne leur est pas immédiatement associée : C’est le pape Eugène III qui, en 1147 (soit une 30ene d’années plus tard) leur attribue cette croix. Notons que la croix des Templiers est cependant mentionnée dans la bulle pontificale de 1139, Omne datum optimum.

Une forme inconnue :

Même si la croix est connue de tous, à l’époque, sa forme exacte n’en reste pas moins inconnue de nos jours. Voici les différentes hypothèses :

Selon certains historiens, il s’agirait d’une simple croix grecque (croix n°1), pour d’autre, une croix pattée (n°7), croix plus élaborée, résultant d’une meilleure maîtrise de la géométrie.



La couleur rouge envisagée :

Il semblerait que beaucoup d’historiens aient adopté la couleur rouge pour la croix templière. Rarement mentionné, le rouge symboliserait le sang. En effet, l’ordre de moines-soldats aurait le sang en symbole commun : le sang versé par le christ, agonisant sur la croix; et le sang versé par les infidèles & hérétiques lors des croisades. Ainsi, en la portant sur leur cape blanche, la croix symbolisait le martyre sur l’innocence.

Ce qui est sur, c’est que cette fameuse croix des Templiers était reconnue par tous au Moyen-Age : les chrétiens la chérissaient, les infidèles la redoutaient, Philippe le Bel l’a détesté…

vendredi 4 janvier 2013

Beira, la sorcière. Celtic Mythology.

BEIRA, la vieille sorcière glacée a obtenu plus jeune comme l'hiver écossais décongelé jusqu'au printemps. Dès que Beira goûté l'eau magique, dans le silence et elle seule, elle a commencé à grandir jeune à nouveau. Elle a quitté l'île et son retour en Écosse, est tombé dans un sommeil magique. Lorsque, à la longue, elle se réveilla, en plein soleil, elle se leva comme une belle fille avec des cheveux longs jaune comme les bourgeons du balai, rouge joues comme les baies de sorbe et aux yeux bleus qui scintillait comme la mer de l'été au soleil. Puis, elle a traversé çà et là en Écosse, vêtu d'une robe verte et couronnée d'une guirlande de fleurs aux couleurs vives de nombreuses teintes. Aucune déesse plus équitable n'est disponibles dans tout le pays, sauf l'épouse, la Reine hors pair de l'été.

Expression : Etre chauvin.


Expression : Etre chauvin

Aimer son pays au détriment des autres nations, être un patriote ardent jusqu’à l’exagération. Mais d’où vient ce qualificatif ? Le 19 mars 1831, on joua pour la première fois à Paris, sur la scène des Folies Dramatiques, une pièce en trois actes intitulée la "Cocarde tricolore". Cette pièce...

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Celtic mythology.


Most ancient religions were sacrificial, requiring a gift of a living being to appease or oblige a worshipped spirit (god, goddess) to intercede or refrain. The dearer the victim, the more powerfully it was thought to gain the attention of the spirit. Sometimes this was a burnt offering or an child sacrifice (as with Isaac). Sometimes the altar was smeared with the blood of the sacrifice (blessing, sanctifying) and so the altar was then blooded (blessed, sacred). The Welsh word hagr (ugly) from *sacro- preserves the original gory sense.
Plus anciennes religions étaient sacrificielles, nécessitant un cadeau d'un être pour apaiser ou obliger un esprit sacralisée (Dieu, déesse) à intervenir ou non vivant. Le plus cher la victime, plus on pensait puissamment pour attirer l'attention de l'esprit. Parfois, c'était un sacrifice d'enfants ou de l'Holocauste (comme avec Isaac). Parfois l'autel a été souillé avec le sang du sacrifice (bénédiction, sanctifiant) et donc à l'autel était alors sang (béni, sacré). Les gallois de mots hagr (laid) de * sacro-préserve le sens original de Gore.
Sources Celtic mythology.

L'emblème de François 1er.

La salamandre, emblème de François Ier

Le saut du Sabot, siège d'une sinistre légende.


Le Saut du Sabot dans le Tarn, siège d’une sinistre légende

Sur les bords du Tarn, aux environs d’Albi, à l’endroit appelé le Saut du Sabot et où la rivière se trouve resserrée entre deux énormes barrières de rocher, les villageois et villageoises du XIXe siècle pleuraient encore en écoutant le récit de la mort du berger Saho : il allait voir sa mie qui bientôt accepta le mariage. Mais dans l’ombre, un certain Guillaume, guidé par la jalousie...

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