jeudi 17 janvier 2013

Rome et la grande dépression.

Rome et la grande depression
Nous devrions nous inquiéter du retour d’une éventuelle Grande Dépression. Celle qui suivit la chute de l’État providence romain est connue sous le nom d’«Age sombre » et dura plusieurs centaines d’années.
Par Lawrence W. Reed.
Les commentateurs ont soulevé quelques points communs intéressants entre la crise actuelle et la Grande Dépression des années 1930. Même si nous survivons aux folies dépensières de Washington, le Congrès et l’administration Obama pourraient nous conduire à la catastrophe s’ils augmentaient fortement les impôts ou les droits de douane, comme le Congrès le fit en 1930 et 1932. Mais d’autres parallèles devraient attirer notre attention.
Des sommes monumentales pour le sauvetage des banques. Des augmentations vertigineuses de la dette publique. Une concentration du pouvoir entre les mains du gouvernement central. D’incessantes revendications financières de la part des groupes d’intérêt. La rhétorique démagogique de la lutte des classes. Si ces éléments sont familiers à l’Américain du XXIe siècle, ils l’étaient tout autant au Romain de l’Antiquité, citoyen d’un État condamné à un destin funeste.
Durant les dernières années de la République Romaine, un voyou du nom de Clodius fut candidat au poste de tribun de la Plèbe. Il soudoya l’électorat en promettant de distribuer gratuitement des céréales (en vérité aux frais du contribuable), et gagna. Par la suite, les Romains adoptèrent l’idée qu’il était plus avantageux d’obtenir un revenu par des moyens politiques plutôt que par le travail. Cela a conduit l’économiste Howard E. Kershner à énoncer la loi qui porte son nom :

Quand un peuple autonome confère à son gouvernement le pouvoir de prendre aux uns pour donner aux autres, le processus de redistribution ne cesse qu’à partir du moment où le dernier contribuable est dépouillé de tous ses biens.

À Rome, les candidats au pouvoir dépensaient d’importantes sommes d’argent pour gagner les faveurs du public. Ils pillaient ensuite la population pour satisfaire les groupes d’intérêt qui les avaient fait élire. Après que la République eut été remplacée par la dictature, les Empereurs se succédèrent, et tous bâtirent leur puissance en accordant des subventions et en versant des allocations publiques. À l’époque de la naissance du Christ, presque un tiers de la ville de Rome recevait des aides publiques.
En réaction à une violente crise monétaire et financière en 33 après J.C., le gouvernement décida d’étendre largement l’accord de prêts à taux nul. Dans le sillage de cette crise, les dépenses gouvernementales montèrent en flèche.
En 91, le gouvernement décida d’intervenir dans le secteur agricole. L’Empereur Domitien ordonna la destruction de la moitié des vignobles provinciaux dans le but de restreindre la production de vin et d’en augmenter les prix.
Emboîtant le pas à Rome, de nombreuses villes de l’Empire s’endettèrent. À partir du règne d’Hadrien au début du IIe siècle, les villes en difficulté financière reçurent des aides de Rome et perdirent ainsi une portion considérable de leur indépendance politique.
Le gouvernement central prit également la responsabilité de fournir des loisirs à la population. Des jeux et des combats de gladiateurs étaient organisés pour distraire les masses. Les historiens contemporains estiment que l’équivalent de cent millions de dollars par an furent dépensés pour la tenue de ces jeux.
Sous le règne de l’empereur Antonin le Pieux (de 138 à 161), la bureaucratie romaine atteignit des proportions gigantesques. Selon l’historien Albert Trever, « l’implacable système fiscal, chargé d’organiser la spoliation et le travail forcé, finit par être administré par une armée de soldats bureaucrates. Partout, les bureaucrates à la solde des empereurs » s’employaient à écraser les fraudeurs fiscaux.
Et les raisons de frauder le fisc étaient légions. Selon l’historien romain Suétone, dans la Vie des douze Césars, l’Empereur Néron aurait déclaré en se frottant les mains : « Imposons, imposons encore ! Dépouillons les tous !» Les impôts finirent par détruire d’abord les familles fortunées, puis ils détruisirent les classes moyennes et laborieuses. « Ce que les soldats et les barbares épargnaient, les empereurs le prenaient par l’impôt », selon l’historien W. G. Hardy.
À la fin du IIIe siècle, l’Empereur Aurélien érigea l’accès aux aides publiques en droit héréditaire. Aux bénéficiaires, il offrit, en complément du pain (plutôt que de leur donner du blé et les laisser faire leur propre pain), du porc, du sel et de l’huile d’olive.
Rome souffrit du mal qui afflige tous les États providence : l’inflation. Les pressions exercées sur le gouvernement, pour qu’il dépense et subventionne, se traduisirent en création monétaire. Les uns après les autres, les Empereurs diminuèrent la qualité des pièces romaines pour financer leurs dépenses. Autrefois composé d’argent pur, le denier, en l’an 300, n’était guère plus qu’un jeton dont la teneur en argent n’était que de cinq pourcents.
Les prix montèrent en flèche et l’épargne disparut. Les marchands étaient montrés du doigt alors que les gouvernements continuaient leurs folles dépenses. À cela s’ajouta le contrôle des prix, dont les effets néfastes ravageaient une économie privée affaiblie et déclinante. En 476, quand les Barbares rayèrent l’Empire de la carte, Rome avait commis un suicide moral et économique.
Nous devrions en effet nous inquiéter du retour d’une éventuelle Grande Dépression. Celle qui suivit la chute de l’État providence romain est connue sous le nom d’«Age sombre » et dura plusieurs centaines d’années.
http://www.contrepoints.org/2012/10/05/99514-rome-et-la-grande-depression

Astro.


ASTRO : j'ai vu L’Étoile ...

Le Pater Noster.


Le PATER NOSTER en carré magique qui remonte aux temps des premiers chrétiens. Il contient toutes les lettres du début de cette prière. Il compose un palindrome qui peut aussi bien être lu horizontalement que verticalement.

mercredi 16 janvier 2013

Schatzkammer

Reichsinsignien

Jésus marié ?

Jésus marié? Karen King, historien à l'Université de Harvard, a examiné le texte dans lequel il est rapporté pour être un extrait d'un évangile, et le plaça sur mardi à Rome. L'origine de ce document, qui provient d'une collection privée, reste un mystère.


Dans la langue écrite dans 3,8 optique par les Etats centimètres de large 7,6 de documents dans un dialogue: «Jésus leur dit: ma femme ...". La femme, sur le thème de la citation, identifié comme le roi «Mary». Ainsi Jésus dit dans les lignes suivantes, dans lesquelles il a discuté avec ses disciples quant à savoir si Marie était digne Maria pourraient être ses disciples.


Depuis le début du christianisme, il ya un débat quant à savoir si Jésus était marié à Marie-Madeleine, et s'il avait un disciple femelle. King a dit que le document ne prouve que Jésus était marié, mais il ya eu des rapports sur la relation entre les premiers chrétiens à la famille, le mariage et la sexualité. Le débat sur la relation de Jésus avec le sexe opposé est toujours d'actualité quand il s'agit, par exemple, de savoir si les femmes devraient être ordonné.


Le document appartient à un collectionneur privé, qui avait été contacté par le roi. À propos de l'endroit où il a été trouvé à ce jour on ne sait rien.

Rois des études ont montré, cependant, que cela aurait pu venir d'Egypte. Lors d'un congrès de Koptologen à Rome avant elle a mis la découverte mardi.

Les critiques averti que l'origine incertaine de ce document était d'inciter à la prudence. Le texte n'est pas certain que les auteurs croyaient que Jésus était marié. Le roi et le savant Anne Marie Luijendijk de l'Université de Princeton dit, toutefois, le document peut provenir d'un Evangile nouvellement découverte de Jésus avec la femme. Le texte était probablement une copie d'un écrit à l'origine dans l'Evangile grec de la seconde moitié du deuxième siècle, par exemple, il présente des similitudes avec d'autres évangiles récemment découverts.
Jésus marié? Karen King, historien à l'Université de Harvard, a examiné le texte dans lequel il est rapporté pour être un extrait d'un évangile, et le plaça sur mardi à Rome. L'origine de ce document, qui provient d'une collection privée, reste un mystère.


Dans la langue écrite dans 3,8 optique par les Etats centimètres de large 7,6 de documents dans un dialogue: «Jésus leur dit: ma femme ...". La femme, sur le thème de la citation, identifié comme le roi «Mary». Ainsi Jésus dit dans les lignes suivantes, dans lesquelles il a discuté avec ses disciples quant à savoir si Marie était digne Maria pourraient être ses disciples.


Depuis le début du christianisme, il ya un débat quant à savoir si Jésus était marié à Marie-Madeleine, et s'il avait un disciple femelle. King a dit que le document ne prouve que Jésus était marié, mais il ya eu des rapports sur la relation entre les premiers chrétiens à la famille, le mariage et la sexualité. Le débat sur la relation de Jésus avec le sexe opposé est toujours d'actualité quand il s'agit, par exemple, de savoir si les femmes devraient être ordonné.


Le document appartient à un collectionneur privé, qui avait été contacté par le roi. À propos de l'endroit où il a été trouvé à ce jour on ne sait rien.

Rois des études ont montré, cependant, que cela aurait pu venir d'Egypte. Lors d'un congrès de Koptologen à Rome avant elle a mis la découverte mardi.

Les critiques averti que l'origine incertaine de ce document était d'inciter à la prudence. Le texte n'est pas certain que les auteurs croyaient que Jésus était marié. Le roi et le savant Anne Marie Luijendijk de l'Université de Princeton dit, toutefois, le document peut provenir d'un Evangile nouvellement découverte de Jésus avec la femme. Le texte était probablement une copie d'un écrit à l'origine dans l'Evangile grec de la seconde moitié du deuxième siècle, par exemple, il présente des similitudes avec d'autres évangiles récemment découverts.

NON NOBIS DOMINE, SED NOMINI TUO DA GLORIAM