vendredi 5 avril 2013

The templars.

I sigilli medievali furono di argento, di forma circolare e con un diametro di circa tre centimetri. Più raramente furono usati sigilli ovali (“a mandorla”) come derivazione di sigilli usati in epoca romana o proto medievale. La cura riservata a questi oggetti fu quasi maniacale: i sigilli erano conservati in borse di cuoio rigido con serrature a due o tre chiavi. Il contenitore seguiva il proprietario del sigillo in ogni suo spostamento, il quale per farne uso spesso doveva ricorrere all'uso di controchiavi per aprire la borsa. Inoltre era contemplato l'uso di contro-sigilli, di norma incastonati in anelli e con dimensioni inferiori, i quali secondo gli obiettivi avrebbero dovuto preservare le bollature dalle eventuali contraffazioni.
Al sigillo era legato l'uso della cera per l'impronta che, di regola, era fabbricata o miscelata dallo stesso proprietario con differenti colorazioni, secondo la natura dell'atto stilato da marcare. Era usato il colore verde per gli atti scritti in originale, ed il marrone per le copie. La cera rossa riguardava gli atti amministrativi o giudiziari, quella nera per dichiarazioni di ostilità e per i litigi, la cera gialla infine era impiegata nella corrispondenza ordinaria.
I sigilli dell'Ordine Templare furono spesso differenti dagli altri in uso nel Medioevo. Essi presentano una duplice simbologia: una era connessa alla carica del dignitario proprietario del sigillo, l'altra era riferita al significato iniziatico connesso alla carica stessa. Questa, a sua volta era indicata nel relativo contro-sigillo il quale, se usato, avrebbe dovuto conferire all'atto stilato anche virtù apotropaiche all'estensore dello scritto.
Sul sigillo dell'Ordine compaiono vari i simboli che erano importanti per i fratelli, come per esempio due cavalieri in sella allo stesso cavallo, un edificio con una cupola e un agnello. Nei medioevo, quando la maggior parte della popolazione era analfabeta, ai documenti ufficiali veniva apposto un sigillo al posto della firma, come prova visiva e concreta della loro validità. La simbologia dell'Ordine ricordava ai membri i suoi obiettivi e, al tempo stesso, pubblicizzava la sua opera tra quanti, da esterni, facevano affari con i Templari o che, semplicemente, vedevano ii sigillo durante il loro lavoro. Il problema di questi simboli é che andavano interpretati e gli estranei non erano sempre sicuri del loro significato. L'agnello era, ovviamente, "l'Agnello di Dio", Gesù Cristo al cui servizio era votato l'Ordine. La cupola poteva rappresentare quella della Basilica del Santo Sepolcro, il tempio più importante della cristianità, che era stato primo luogo d'incontro del Templari e che l'Ordine proteggeva. Ma il significato dei due cavalieri in sella allo stesso cavallo era oscuro per gli estranei: un contemporaneo scrisse che serviva a ricordare che, agli inizi, l'Ordine era cosi povero che i fratelli non potevano permettersi un cavallo ciascuno; un altro scrisse invece che rappresentava la carità dell'Ordine: un cavaliere aveva salvato un confratello, ii cui cavallo era stato ucciso in battaglia. La prima interpretazione sembra la più attendibile.

jeudi 4 avril 2013

Le Mystère de la Vie et de la Mort

Le Mystère de la Vie et de la Mort
"Les mystères de l'ici-bas et de l'au-delà à la lumière des révélations sur la structure du prodigieux champ magnétique du microcosme qui englobe les corps subtils et l'aura humaine.
C'est dans les pouvoirs de la mystérieuse rose septuple du coeur, l'atome originel, que se trouve la clé de la renaissance et de la reconstruction du microcosme.
Une vision toute nouvelle de la réincarnation et du rôle du corps : libérer le champ magnétique de l'homme sous l'emprise des «éons», gigantesques puissances occultes, et le relier au royaume des cieux de l'origine; c'est la voie gnostique qui libère de la mort."
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Sources Roses Croix d'Or
 

Le Nycthéméron d'Apollonius de Tyane
"Apollonius de Tyane, ce Grand Initié aux mystères pythagoriciens, marqua l'époque christique par sa sagesse, ses miracles et son enseignement au point d'être comparé à Jésus. Jan van Rijckenborgh, éclaire ici, en tant qu'initié gnostique, le sens profond du processus libérateur en douze étapes, les «douze heures» du Nycthéméron, qui faisait des disciples d'Apollonius de Tyane des porteurs du caducée - le feu cérébro-spinal renouvelé - et des éveillés ouverts à la Conscience universelle."
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Sources Roses-Croix d'Or

La transfiguration.



  Transfiguration
 
"Nombreux sont ceux qui croient pouvoir entrer dans le Royaume de la paix éternelle en modifiant simplement un aspect ou un autre de leur personnalité. Une foule de systèmes anciens et nouveaux, venus d'orient ou d'occident, se réfèrent aux promesses et instructions de la Langue Sacrée de tous les temps. Comment parvenir effectivement à la libération tant désirée, comment comprendre ces promesses et instructions et obtenir des résultats tangibles ? L'auteur nous l'explique de telle sorte que ce petit livre devient selon sa propre expression: «une lampe aux côtés de chaque véritable candidat»."

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Sources Roses-Croix d'Or.

Rennes-le-Château : la tour Magdalena.

  Les documents d'archives
                                           plan-tour-3.jpg           tour-magdala-en-construction1-1-1.jpg   
    img004.jpg  img006-1.jpg  gp-bibliotheque-tour-2.jpg
   Deux factures de la Maison Noubel et un extrait du mobiler de la tour, adressées l'une à l'abbé Saunière et l'autre à Marie Denarnaud.
   travaux-tours-et-terrasses-1-1.jpg    travux-tours-et-terrasses-2.jpg    travaux-tours-et-terrasses-4.jpg     travaux-tours-et-terrasses-5.jpg     travaux-tours-et-terrasses-6.jpg   Quelques pages du carnet de notes de Bérenger Saunière qui nous décrivent les travaux de la tour et les personnes employées sur le chantier en 1903.
                                                                                                                             
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         lettre-tour-2.jpg Limoux le 1 er octobre 1903       Monsieur le curé,J’ai laissé samedi en partant du travail à M. Bousquet pour plus de quatre jours. Il lui restait à faire 10 appareils de couronnement des créneaux en pierre blanche et il devait continuer ceux en pierre de grés commencés par M. Authier.Ces derniers sont tirés du cordon taillé et il en faut 36. Je lui avait dit de couper ce cordon à 0,54 de longueur et d’appareiller les bouts restant, aussi à 0,54, moins le joint. Il serait bon que le retour des 18 appareils soit bouchardé comme le devant si possible. Il y a aussi les 3 angles du couronnement des créneaux qui restent à faire, mais pour cela il faudrait qu’il y ait quelqu’un pour lui aider à terminer le sciage du bloc qu’ils avaient commencé samedi et qu’ils n’ont pas pu terminer.S’il trouve encore parmi les moellons de grés restant sur le chantier quelque chose qui puisse faire quelqu’appareil de tourelle à 0,20 d’épaisseur qu’il le taille. Le bonjour à tout le monde au Presbytère et pour vous mes plus respectueuses salutations.   
      T.Caminade

  lettre-camiade-23-recto.jpg  lettre-camiade-23-verso.jpg
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              En Mai 2009       Albert AGIOLI  confirmait la présence d'un petit coffret en bois dans l'angle Nord de la tour Magdala.
                 mai-2009-4-1.jpg        croquis-plan-de-la-tour-magada-2009.jpg
         Albert Fagioli  et la pierre angulaire ou "Pierre de coin" de la tour
      Que nous disent les Ecritures:
   Jésus annonce à Pierre, qu'Il va construire son Église. Jésus dit qu'un homme prudent bâti sa maison sur le roc ; et si les pluies viennent à tomber, que les torrents viennent, que les vents soufflent et se jettent contre sa maison, elle ne tombera pas; parce qu'elle est fondé sur le roc, - Matthieu 7, 24.
Jésus, montre à Pierre, que l'Église de Dieu, doit être bâti sur le roc ; que ce roc, c'est le Christ, le Fils de Dieu ! Pierre venait de démontrer sa foi, en confessant de sa bouche, que Jésus était le Christ, le Fils de Dieu.
ePierre déclara : "Jésus est la pierre rejetée par vous qui bâtissez, et qui est devenue la principale de l'angle." - Actes 4, 11.

"Voici, je mets en Sion, une pierre angulaire, choisie, précieuse ; et celui qui croit en elle, ne sera pas confus." - 1 Pierre 2, 6.

    "La pierre angulaire d'un édifice, est la pierre de coin. C'est la pierre qui réunie ensemble dans un coin, les deux murs qui se rencontrent, et les maintient ensembles. Cette pierre est la plus importante des pierres d'un édifice ; et toute pierre qui occupe cette place de coin ; depuis la base jusqu'au haut de l'édifice, est une pierre angulaire. C'est pour cela que Jésus fut présenté comme la pierre de l'angle ; étant celui sur qui repose l'édification de l'Église de Dieu ! Et c'est sur Lui que doivent s'appuyer tous ceux qui ont la foi. L'Église de Dieu est construite avec des pierres précieuses ; des pierres vivantes ; Le fondement c'est Jésus, et les pierres précieuses (tous les croyants) doivent s'appuyer sur Lui parce qu'Il est la pierre angulaire".

         Albert Fagioli est affirmatif: "On a cherché dans tous les coins de la tour Magdala , que ce soit en 1970-198O et même en 2001, mais pas au bon endroit. La présence d'un coffret, ce n'est pas une légende, mais la réalité".

                                                                                                                                                ______________________________________ 
      renneslechateau1967-recadre-1-1.jpg      renneslechateau1967-recadre-2-2.jpg       renneslechateau1967-recadre-3-2.jpg 
     Journal L'Indépendant de Perpignan du 3 décembre 1967... Pierre Sourbiés
       Que peut-on retenir de l'article de Pïerre Sourbés  :
     " Les ouvriers parlent aussi. Lorsqu'ils creusaient les fondations de la Tour Magdala, disent-ils, l'abbé Saunière est venu les rejoindre, emportant dans son manteau, une caisse de bois de la "dimension d'un bébé". De ses propres mains, il a enfoui la caisse dans une  excavation, et il a attendu que le ciment coulé par-dessus soit "pris".

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   LFigaro Magazine, du 7 juillet 2001 .....Léopold Sanchez .
    Rennes-le-Château.
    Vrai ou faux ?
   Le Trésor du Curé. Des scientifiques canadiens et américains ont débarqué dans ce village de l'Aude à la recherche du mystérieux trésor qui attire chaque année 100 000 curieux.
 L'histoire commence comme un film d'aventures dont le scénario aurait été imaginé par Jacques Tati. Voilà un peu plus d'un an, Jean-François Lhuilier, maire de Rennes-le-Château, un petit village de l'Aude où l'on recherche depuis un siècle le trésor qui aurait permis à son pauvre curé de vivre sur un grand pied, reçoit une lettre d'un certain Jean-Louis Genibrel, citoyen américain résidant à Long Beach en Californie dont voici l'essentiel:
  « Je sais qu'au début de la construction de la tour Magdala, à Rennes-le-Château) (... le grand-père d'un cousin, (du côté de sa tante) était le chef de chantier, et avait aidé l'abbé Bérenger Saunière à enterrer au moins une boîte et d'autres objets sous la fondation de la tour, exactement sous la pierre de coin. »
        M. Génibrel joint par téléphone a confirmé les dires de son cousin, et  le nom de son grand père Louis BOUSQUET. 
  L'acte de décés  de l'abbé SAUNIERE,  apporte un complément d'information sur les activités de M.Louis Bousquet:
    "Le vingt-troisième jour de Janvier mil neuf cent dix-sept, à onze heures du matin, sur la déclaration de Pierre Captier, cinquante-neuf ans, agriculteur, domicilié dans cette commune, voisin de la victime, et de Louis Bousquet, quarante-cinq ans, tailleur de pierre, résidant dans cette commune, ami du défunt,  le certificat de décès ayant été lu au cours, puis tous les deux signé avec moi, Victor Rivière, maire de Rennes-le-Château"                                                     Signé: Rivière, Captier, Bousquet
    Nous pouvons dés lors reconstituer l'équipe ayant participé aux construction du domaine de l'abbé Saunière: Tiburce Caminade, architecte, Louis Bousquet , chef de chantier, Elie Bot entrepreneur de maçonnerie. 
  M   Pour monsieur Fagioli, aucun doute possible, Monsieur Génibrel  a bien répété ce que le grand père de son cousin, avait écrit sur un document qui fut transmis aux descendants après sa mort. Il y a tout lieu à penser que Saunière lui avait demandé de garder le secret, mais une fois décédé, celui-ci pouvait être transmis sans qu'il ne craigne la foudre de Dieu, ou la malédiction de Saunière. M. Génibrel n'a pas tout dit à messieurs Eisenman, Baratolo, et Lhuillier, maire. Peut-être n'a-t-il pas réussi à interpréter tous ses documents! Il demeure toujours quelques zones d'ombre. Par contre, la profession de M. Louis Bousquet, tailleur de pierre, ne peut qu'apporter un élément d'importance aux déclarations d'Albert Fagioli.
                                                                                                            _________________________________
           bibliotheque-1.jpg        carrelage-1.jpg
       Le seul carreau des 64 que compte le carrelage de la tour Magdala, qui possède un point rouge.
       Un point qui n'a pas été peint, mais teinté dans la masse. 
          Photos et archives Copyright André Galaup
Sources La Gazette de Rennes-le-Château.