vendredi 17 mai 2013

la glande pinéale.


le conte de fée de Charles Perrault "La belle au bois dormant" ?

Un petit Quizz avant le weekend : Saurez-vous nommer ce célèbre Château, qui a inspiré le conte de fée de Charles Perrault "La belle au bois dormant" ?
Un petit Quizz avant le weekend : Saurez-vous nommer ce célèbre Château, qui a inspiré le conte de fée de Charles Perrault "La belle au bois dormant" ?

A méditer.


www.fabiennedepauw.be /// lamaisondubienetre.be ////www.lamaisondubienetre.be - Un professeur tend un billet de 20 € et demande à ses élèves :« Qui aimerait avoir ce billet ? » Les mains se lèvent.
Il chiffonne ce billet et demande : « Vous le voulez toujours ? » Les mains se lèvent encore.
Il jette le billet froissé par terre, saute dessus à pieds joints et dit : « Vous le voulez toujours ? » Et encore, les étudiants lèvent leurs mains.
Il leur dit alors : "Mes amis, vous venez d'apprendre une leçon ! Peu importe ce que je fais avec ce billet, vous le voulez toujours, car sa valeur n'a pas changé. Il vaut toujours 20 €.
Plusieurs fois dans votre vie, vous serez froissés, rejetés par les gens et les événements. Vous aurez l'impression que vous ne valez plus rien, mais votre valeur n'aura pas changé aux yeux des personnes qui vous aiment vraiment. Même les jours où nous sommes moins à notre meilleur, notre valeur reste la même.
www.fabiennedepauw.be /// @[214121091993071:274:lamaisondubienetre.be] ////www.lamaisondubienetre.be - Un professeur tend un billet de 20 € et demande à ses élèves :« Qui aimerait avoir ce billet ? » Les mains se lèvent.
Il chiffonne ce billet et demande : « Vous le voulez toujours ? » Les mains se lèvent encore.
Il jette le billet froissé par terre, saute dessus à pieds joints et dit : « Vous le voulez toujours ? » Et encore, les étudiants lèvent leurs mains.
Il leur dit alors : "Mes amis, vous venez d'apprendre une leçon ! Peu importe ce que je fais avec ce billet, vous le voulez toujours, car sa valeur n'a pas changé. Il vaut toujours 20 €.
Plusieurs fois dans votre vie, vous serez froissés, rejetés par les gens et les événements. Vous aurez l'impression que vous ne valez plus rien, mais votre valeur n'aura pas changé aux yeux des personnes qui vous aiment vraiment. Même les jours où nous sommes moins à notre meilleur, notre valeur reste la même.

le château de Chamerolles dans le Loiret.

En France, le château de Chamerolles dans le Loiret.
Le château a été bâti pendant la première moitié du XVIème par Lancelot Ier du Lac, chambellan de Louis XII puis bailli d'Orléans sous François Ier, sur l'emplacement d'une ancienne maison forte. Il a conservé la forme traditionnelle des forteresses médiévales mais a été conçu comme un château d'habitation. Au XVIèmè, sous Lancelot II (petit-fils de Lancelot Ier) qui se rallie au protestantisme en 1562, Chamerolles se distingue en abritant un temple protestant dans une de ses pièces. En 1672, Chamerolles appartient à Jacques Saumery, beau-frère de Colbert. En 1774, il devient la propriété des Lambert, puis celle de Gaston Jessé-Curély en 1924. Occupé, saccagé et dépouillé pendant la Seconde Guerre mondiale, il est mis en vente en 1970. En 1976, la Ville de Paris se retrouve avec la charge de Chamerolles. Délaissé, le château tombait en ruines. En trés mauvais état il est racheté par le Conseil général du Loiret en 1987. Après cinq années de travaux, le château et ses jardins sont ouverts à la visite en 1992. Un musée des parfums est installé dans l'aile sud.
Le plan est très classique : le château forme un quadrilatère avec une grosse tour cylindrique à chaque angle. Il comporte quatre niveaux et un imposant châtelet d'entrée sur le côté est, flanqué de deux tourelles percées de canonnières. Le tout est entouré de douves. La construction est en calcaire de Beauce enduit à la chaux. L'aile ouest abritait le logis seigneurial à la Renaissance. La cour d'honneur est fermée sur trois côtés et on y trouve un puits avec une coupole et une galerie renaissance.
En France, le château de Chamerolles dans le Loiret.
Le château a été bâti pendant la première moitié du XVIème par Lancelot Ier du Lac, chambellan de Louis XII puis bailli d'Orléans sous François Ier, sur l'emplacement d'une ancienne maison forte. Il a conservé la forme traditionnelle des forteresses médiévales mais a été conçu comme un château d'habitation. Au XVIèmè, sous Lancelot II (petit-fils de Lancelot Ier) qui se rallie au protestantisme en 1562, Chamerolles se distingue en abritant un temple protestant dans une de ses pièces. En 1672, Chamerolles appartient à Jacques Saumery, beau-frère de Colbert. En 1774, il devient la propriété des Lambert, puis celle de Gaston Jessé-Curély en 1924. Occupé, saccagé et dépouillé pendant la Seconde Guerre mondiale, il est mis en vente en 1970. En 1976, la Ville de Paris se retrouve avec la charge de Chamerolles. Délaissé, le château tombait en ruines. En trés mauvais état il est racheté par le Conseil général du Loiret en 1987. Après cinq années de travaux, le château et ses jardins sont ouverts à la visite en 1992. Un musée des parfums est installé dans l'aile sud. 
Le plan est très classique : le château forme un quadrilatère avec une grosse tour cylindrique à chaque angle. Il comporte quatre niveaux et un imposant châtelet d'entrée sur le côté est, flanqué de deux tourelles percées de canonnières. Le tout est entouré de douves. La construction est en calcaire de Beauce enduit à la chaux. L'aile ouest abritait le logis seigneurial à la Renaissance. La cour d'honneur est fermée sur trois côtés et on y trouve un puits avec une coupole et une galerie renaissance.

jeudi 16 mai 2013

La fin des templiers par Rudy Cambier.




La fin des templiers.


(suite) La fin de s Templiers par Rudy Cambier.

Résumé : Arsène et Julien se promènent : ils chassent le jupon à remonter. Bien entendu, ils croisent le chemin de deux filles, sinon il n'y aurait pas de pièce. Arsène veut sauter Éliabel. Elle l'envoie paître. Il se rabat sur Poupette. La colle commence à prendre entre Éliabel et Julien. Au début, la figure dominatrice est Arsène. Il impose le ton du discours. Il entre en rivalité avec Éliabel et il perd la partie ; ce fait se marque dans son langage qui se met dans le registre du discours d'Éliabel. Nous verrons dans les scènes 3 et 4 qu'Arsène est un faux fort dont le ton du discours s'adapte trop à l'interlocuteur. Remarque à l'usage de ceux que les mots justes choquent : on est dans du vrai langage ado, entendu par l'auteur et confirmé par moultes ados. Deuxième scène : Un duo parfois duel de moins en moins duel de plus en plus duo : c'est la naissance de l'amour vrai. Personnages : Julien d'Athensis Éliabel Labrique Résumé : Il n'y a pas d'histoire, tout est sentiment. On ouvre son cœur, d'abord très prudemment, et de moins en moins prudemment à mesure qu'on commence à deviner l'autre. Les caractères : l'amoureux est un barjot qui n'a pas compris que la plébéienne, ça se saute, ça s'engrosse, mais ça ne s'épouse pas. Une pareille bêtise choque la population socialement intelligente et berce de songes la population rêveuse. Les gens se trahissent, s'entraident, s'engueulent, s'insultent, se réconfortent, craignent, osent, se dévouent, se méprisent, bref : se montrent, et les deux (bons) jeunes gens en viennent obligatoirement à s'aimer puisque les mauvais veulent les en empêcher. Julien d'Athensis est une sorte de Roméo de Stambruges ou d'Ormeignies qui croise le chemin d'une Juliette intelligente pour deux. Troisième scène : L'affrontement d'un homme rude et d'un jeune cauteleux. Personnages : Arsène de Celles-Bas Albert d'Athensis Résumé : Parce que ça marche entre les deux bons, le faux ami, Arsène-le-Mauvais, en devient vert. Il tente de monter Albert d'Athensis, le père de Julien, contre son fils : "Monsieur d'Athensis, pour le bien de mon ami, vous devriez lui interdire de voir encore cette fille de peu." Réponse : "Je t'ai vu venir de loin, petit salopard." Quatrième scène : Un marivaudage qui nous mène dans le bas-fond de deux culottes. Personnages : Arsène de Celles-Bas Marie-Gertrude de Boudenghien Résumé : Suite au fiasco précédent Arsène le Poison cherche l'alliance de la poison : il essaie la mère, Marie-Gertrude. Et comme toujours, ça marche, et comme toujours ça gagne. Bingo ! Elle va parler au père. Cinquième scène : Les joies de l'hyménée. Scène bihebdomadaire de la vie quotidienne. Personnages : Albert d'Athensis Marie-Gertrude de Boudenghien Résumé : Une scène où nous faisons la preuve que le fisc se trompe quand il postule que l'homme est le chef du ménage. Le père finit par se laisser faire (= se laisse circonvenir) par la mère : courageuse résistance d'Albert mais victoire à la Pyrrhus de Marie-Gertrude. Sixième scène : L'amour éclate au grand jour. Personnages : Julien d'Athensis Éliabel Labrique Résumé : Il n'y a pas d'histoire, tout est sentiment. On ouvre son cœur et l'autre tombe dedans. Septième scène : Il n’y a pas de pont sur le fossé des générations. Personnages : Albert d'Athensis Julien Résumé : Ce n'est pas un dialogue mais deux monologues opposés. Il va "parler raison" à son fils enamouré et le fils ne veut même pas entendre le son de la voix du père. Entre Albert et Julien, c'est la bagarre, évidemment. La réponse des deux jeunes gens était évidente : "On le fera parce qu'on ne peut pas." Huitième scène : Tout est bien qui finit beaux : beau-père et beau-fils. Personnages : Julien Le Philosophe Résumé : Alors, jeune homme, on voudrait user de ma fille et réciproquement ? En tout honneur, Monsieur, en tout honneur ! Est-ce bien sage ? Nous avons hâte de ne plus l'être, Monsieur. Neuvième scène : Les bons amis, les bons voisins ont cancané. Moralité : on ne combat pas le monde, on le fuit. Personnages : Julien Éliabel Le Trimard Résumé : Les amoureux ne sont pas seuls au monde. Ayant enfiévré Clochemerle, Éliabel et Julien vont faire ce que faisaient au Moyen-Âge tous les amoureux contrariés mais décidés à prendre le risque de ne pas hériter : se réfugier chez un curé ou chez le pape, suivant les moyens des papas. En l'occurrence, ils vont à l'abbaye de Cambron qui est à deux pas. Dixième scène : Quand le lai n'est pas soumis, l'abbé n'est pas solennel. Personnages : Julien Éliabel Le Trimard Frère Sidoine, frère lai ou plutôt convers à Cambron Yves de Lessines, abbé de Cambron. Le Philosophe Albert d’Athensis Résumé : Yves de Lessines et son Sidoine surpris dans leur vie quotidienne : il n'est pas de grand homme pour son valet de chambre. Yves pose le diagnostic de la maladie d'Éliabel, annonce la terrible nouvelle au père de la jeune fille. Le philosophe ne peut pas dire ça à sa fille : Yves s'en chargera. Le Philosophe emmène le Trimard, Julien et Frère Sidoine un peu à l'écart. Onzième scène : Père Yves, celle qui va mourir te dit merde. Confession d'un abbé. Personnages : Yves de Lessines Éliabel Résumé : Il n'y a pas d'histoire : pure torture de deux âmes : l'une n'a pas vécu, l'autre a trop vécu. Mourir n'est jamais facile. Vivre ne l'est pas non plus. Puis l'Histoire fait irruption avec le monologue du père Yves. Le bouquet serait que le monologue soit dit dans le noir absolu : communion totale de la voix de l'acteur et de l'imagination de chaque spectateur. Un chef-d'œuvre d'acteur … Douzième Scène : Et voici le sorcier qui nous fait sauter dans l'abîme du temps. Personnages : Yves de Lessines Paulus le Sage Julien Éliabel Frère Sidoine Le Philosophe Résumé : C'est aussi heurté, aussi décousu que la vie. Les propos s'entrecroisent, dérapent, divaguent, reviennent dans le fil, tantôt ont du sens et tantôt n'en ont pas beaucoup, tout cela pour finir par faire ce que depuis le début on savait qu'on allait faire. Un trio boit une tisane et … pshiiittt, plus de trio. Il est ailleurs … et ici. Treizième scène : Le grand docteur est impuissant. Personnages : Julien Éliabel Frère Sidoine Nostradamus Résumé : Nostradamus est là ! Quiproquo et mensonges. Ça part dans tous les sens et seul Julien semble savoir encore pourquoi ils sont venus. Un long duel au couteau entre un Provençal cauteleux et un Hennuyer rusé. Sidoine va crever la baudruche Nostradamus, mais cela signifie aussi qu'il n'y a plus d'espoir pour Éliabel. Celle-ci veut revoir son père et, avalant la potion, le trio retourne vers son temps originel. Cette comédie ne visera pas à assassiner qui que ce soit : nous laisserons une porte de sortie honorable à Nostradamus : bastonné mais vivant… et utile au Destin. Bien entendu, on peut quand même laisser traîner un peu d'intelligence par-ci par-là : ça ne fait pas toujours du tort, et si les charlatans sortent de là un peu récurés, qui s'en plaindra ? Quatorzième, quinzième et seizième scènes : Le texte peut-être au choix chanté ou récité. Double mort et résurrection. ° ° ° ° ° (à suivre).