samedi 29 décembre 2012

Medieval Chant of the Templars. Antiphona: Salve Regina

Temple de Paris

Glorieta del Caballero Templario en Ponferrada :::ROTTODIGITAL::: Imágenes panorámicas interacivas

Glorieta del Caballero Templario en Ponferrada :::ROTTODIGITAL::: Imágenes panorámicas interacivas

Extrait carnet Villard de Honnecourt (site de la BNF)
Sources Templier Veritas.

Celtic Nations

Sur les traces de Boudet.

Sur les traces de Boudet
ou le... méconnu

La troisième croix peu connue du cromleck de l'abbé Boudet oriente l'initié vers une autre partie de la carte de "La vraie langue celtique" !
Sources la Gazette de Rennes-le-Château.

Celtic Mythology.


The old, war-weary year has been sunken headlong into the waters of the womb-cauldron of rebirth to be born anew as a young hunter-seer fían once again. Happy Hogmanay to ye all!
L'année vieux, Las de la guerre a été engloutie tête baissée dans les eaux de l'utérus-vasque de la Renaissance de naître de nouveau comme un jeune chasseur-voyant fían une fois de plus. Hogmanay heureux à vous tous !

La Mauresse.

La Mauresse, fille cachée de Marie-Thérèse Choyée mais non reconnue, la mystérieuse religieuse noire mise au couvent, y reçut toute sa vie des visiteurs de marque et signait "Marie-Louise de Sainte-Thérèse" comme pour mieux... > La suite sur http://bit.ly/UqwVex

Leonardo da Vinci.

Sources : Michael W Domoretsky OUT OF THE NOW! For the very first time in over five hundred years on the cover of Leonardo da Vinci, The Painters Key, discovered by Michael W. Domoretsky is that of a new born baby in Optical Illusion form; on the chest of the baby sitting The Virgin of the Rocks (sometimes the Madonna of the Rocks) is the name used for two Late Renaissance paintings by Leonardo da Vinci, of the same subject, and of a composition which is identical except for two significant details. One painting usually hangs in the Louvre, Paris, and the other in the National, London. For a few months in late 2011 and early 2012 the two paintings have been brought together in an exhibition at the National Gallery, London. The paintings are both nearly 2 meters (over 6 feet) high and are painted in oils. Both were painted on wooden panel; that in the Louvre has been transferred. Both paintings show the Madonna and Christ Child with the infant John the Baptist and an angel, in a rocky setting which gives the paintings their usual name. The significant compositional differences are in the gaze and right hand of the angel. There are many minor ways in which the works differ, including the colors, the lighting, the flora, and the way in which sfumato has been used. Although the date of an associated commission is documented, the complete histories of the two paintings are unknown, and lead to speculation about which of the two is earlier. 1483 – 1486, the Louvre, Paris 199cm x 122 cm (78.3 in x 48.0 in.) Regards,

THE REAL SECRET OF LEONARDO

vendredi 28 décembre 2012

Traditions et légendes de la Belgique - Décembre (Otto von Reinsberg-Düringsfeld - 1870)

28 décembre. (Erica cruena.) Jour des Innocents ou Allerkinderendag.
Cette fête que nous trouvons déjà indiquée dans la liste des fêtes de l'église de Carthage, composée vers la fin du cinquième siècle, fut instituée en souvenir des petits enfants que le roi Hérode fit égorger. La légende chrétienne accordait au couvent de Saint-Gérard, dans le Namurois, les corps de deux de ces Saints-Innocents : Benjamin et Philippe, rapportés par saint Gérard d'un monastère appelé Autas, en Italie. Longtemps ce fait resta ignoré, lorsqu'une révélation en donna connaissance à une religieuse de Nivelles, qui avait perdu la vue à force de pleurer, mais qui la recouvrit en touchant les corps de ces deux enfants, immédiatement après avoir fait part à l'abbé de sa révélation. C'est peut-être à cause de cet événement miraculeux que le jour des Innocents est en Belgique plus qu'ailleurs une fête des plus populaires. Car si la jeunesse, à la Noël, a moins de réjouissances en Belgique que dans les autres pays teutoniques, elle est indemnisée par le jour des Innocents, véritable fête de l'enfance, où les enfants sont maîtres dans la maison et les parents à leur tour doivent leur obéir. A Anvers, en Brabant et dans quelques parties du pays de Limbourg les petits garçons et les petites filles se transforment pour ce jour en papas et en mamans. Le grand gilet du père ou grand-père, son bonnet de nuit, son paletot et sa canne, la jaquette de la mère, ou de la grand'mère, sa coiffe, son tablier et surtout son trousseau de clefs sont les objets de prédilection que convoitent les enfants pour jouer convenablement le rôle des parents. Revêtus de ces habits ils parcourent la maison en faisant le plus grand bruit possible, grondent les parents et les domestiques, en leur donnant gravement leurs ordres, courent dans le voisinage promener leur pouvoir éphémère ou vont à l'église assister à la messe. Ordinairement c'est la plus jeune fille de la famille qui reçoit la clef du garde-manger et commande à la cuisinière les repas de la journée, consistant presque infailliblement en rystpap (riz au lait), en vlaeijen (flans), en pannekoeken (crêpes) et en wafels (gaufres). Les enfants des pauvres profitent de leur accoutrement grotesque pour faire une quête dans les maisons des riches. Munis de petits paniers ils s'arrêtent devant chaque porte en criant à tue-tête :« Jufrouw, moêrken en vaêrken is hier » (madame, la petite mère et le petit père sont ici) ou bien : « Jufrouw, moêrken is hier en vaêrken is t'huis gebleven » (madame, la petite mère est ici et le petit père est resté chez lui). A la campagne, surtout dans les environs de Contich, les petites filles enveloppées dans les vêtements de leurs mères s'attachent des poches énormes comme en portent les paysannes de cette contrée, afin d'y recueillir les croquignolles (pepernoten), les cents et les images (santjes) que les petits quêteurs reçoivent en chantant de porte en porte.: Moederke en vaderke! Hedde niets te geven? Tast diep in den zak, 'T is een groot gemak Vereeren, bazinneke. Pour comble de bonheur, les enfants se rendent çà et là vers le soir au presbytère, où le curé leur distribue des images ou « beeldekens ». Quoique, dans les villes, les anciens usages tombent de plus en plus en désuétude, on voit encore de nos jours, aux Innocents, les principales rues encombrées dès le matin rie troupes d'enfants affublés des vieilles nippes de leurs parents. Même à Bruxelles cette coutume est, jusqu'aujourd'hui, religieusement observée dans le bas de la ville et n'a disparu que dans le haut, où cependant il y a quarante ans elle subsistait encore dans les meilleures maisons. A Malines, où par ordre du magistrat le crieur public proclama déjà le 27 décembre 1449 la défense formelle, de porter des masques, le jour des Innocents, ou de parcourir la ville « en costume méconnaissable, » l'usage s'est également conservé jusqu'à présent et le vieux Croon, dans ses « Almanachs » bien connus, nous donne une description charmante de l'aspect que la ville offrait, au dix-septième siècle, le jour des Innocents. Dans les Flandres, le Hainaut, le pays de Liége et quelques districts de la province de Namur, on a l'habitude de travestir, aux Innocents, les petits garçons en prêtres ou en moines, les petites filles en religieuses ou béguines. La plus jeune fille reçoit, comme en Brabant, les clefs et joue, pour ce jour, le rôle de maîtresse de maison. Cette coutume s'est même introduite dans les pensionnats et dans les couvents, où la plus jeune religieuse porte les clefs et s'arroge le droit de commander. Dans les communautés de femmes du diocèse de Bruges, il s'y joint un usage plus plaisant, consistant à changer pour ce jour les noms, de sorte que, d'après l'âge, les plus jeunes novices échangent leurs noms de religion contre ceux des religieuses les plus âgées et vice-versa. Par suite de cet échange de rôles les novices ont le droit de dire à l'abbesse aussi bien qu'aux sœurs leurs vérités, de leur reprocher leurs défauts ou de les ridiculiser. Dans les environs de Liége, les servantes jouissent encore du privilège d'enfermer leurs maîtres jusqu'à ce qu'ils leur aient promis un gâteau, et de se mettre ensuite à la table de famille pour être du dîner qu'a commandé le plus petit enfant de la maison. L'enfant même, travesti et muni des clefs, doit apporter le gâteau et en servir à tous les convives. A Termonde, le jour des Innocents donne lieu à une autre cérémonie. Le plus jeune garçon et la plus jeune fille de la maison des orphelins travestis l'un en « régent » ou père des orphelins, et l'autre en « mère, » et, accompagnés par le garçon et la fille, les plus âgés du même établissement vont de maison en maison présenter leurs « compliments. » En récompense ils reçoivent quelques cents ou quelques friandises qu'ils recueillent dans le panier porté par l'un de la compagnie. Les « choralen » ou enfants de chœur, revêtus de leurs aubes et portant un bâton blanc à la main, font, ce jour-là à Termonde une quête pareille dans toute la ville. Un autre usage belge dont M. Schayes fait mention, était d'aller de grand matin, le jour des Innocents, armé de verges au lit de ceux ou de celles qu'on présumait encore y trouver entre leurs draps. Si on les y surprenait ils étaient fustigés jusqu'à ce qu'ils eussent promis un déjeûner. Ceux qui s'étaient mariés dans l'année, étaient surtout sujets à cette cérémonie désagréable qu'on appelait « donner les Innocents » Cet usage existait également en France et en Angleterre. Dans le dernier pays cependant, où le « Childrenmasday » était regardé comme jour néfaste par excellence, ce n'étaient pas les enfants qui jouaient le rôle actif dans ce divertissement, mais c'étaient eux qui s'exposaient à des coups de fouets ou de verges en restant trop longtemps dans leurs lits. En Allemagne, par contre, ils ont encore aujourd'hui dans beaucoup de localités de la Bavière, de la Souabe et de la forêt hercyniennes l'habitude de rappeler aux personnes adultes par quelques coups de verges le souvenir des innocents, en vue d'obtenir un petit présent. Quant à l'origine de ces usages que nous venons de décrire, il y a lieu de présumer que ce ne sont que des vestiges de l'ancienne fête des Innocents, qui jusqu'au seizième siècle se célébrait dans les églises et qui elle-même n'était qu'une branche de la fête bien connue des Fous. Cette fête, toute bizarre qu'elle était, ne fut cependant jamais, dans les Pays-Bas, solennisée d'une manière aussi extravagante qu'en France. En différentes provinces de la Belgique la veille et le jour des Innocents les enfants de chœur allaient à l'office de l'église à la place des chanoines. Un d'entre eux était habillé en évêque, abbé ou doyen et les autres en chanoines. Le premier régalait ce jour ses compagnons avec l'argent provenant de la quête qui se faisait à son profit. Les ducs de Bourgogne eux-mêmes lui donnaient à cet effet une petite somme. On lit dans les comptes du receveur des condamnations échues dans la chambre du duc de Bourgogne, comte de Flandres, à Audenarde de 1405 à 1407. « A l'évêque des Innocents à Audenaerde pour leur aidier à supporter les frais et missions de la feste qu'il fist le 28me jour dudit mois de décembre, audit an, donné en courtoisie par la dicte certification de mesdits seigneurs du conseil escripte le dit darrain jour dudit mois de décembre l'an des susdits et rendue acourt 24 sols parisis. » On lit des articles semblables dans les comptes de 1407, 1408, 1411, 1412, 1428 et 1429. A Liége, d'après les statuts de l'église de Saint-Denis, de l'an 1330, le dernier chanoine élu était tenu de payer dès qu'il jouissait des revenus de sa charge, toutes les dépenses de l'évêque des Innocents jusqu'à ce qu'un autre chanoine fût élu. Au douzième et treizième siècles dans quelques chapitres et couvents de la Belgique, le jour des Innocents, l'évêque ou l'abbé dansait, chantait et jouait à la paume ou à la boule avec son clergé ou ses moines. [68]. A Tournai cet évêque s'appelait « l'évêque des sots » et grands et petits de tout sexe se réunissaient, à l'issue de la messe dans la cathédrale et les rues adjacentes pour voir son élection. Les notables bourgeois l'élisaient parmi les petits vicaires de la cathédrale, et pour cette élection on dressait un échafaud devant le grand portail. L'élection faite aux acclamations de la multitude, on revêtait l'élu d'un costume complet d'évêque, mais la mitre était ornée de grelots, la crosse se terminait par une marotte. Puis on se livrait à des railleries amères et faisait des plaisanteries aux gens de l'église même sur ce que l'Église a de plus respectable. On conduisait ensuite le nouvel évêque par toute la ville avec beaucoup de cérémonies comiques, pendant lesquelles il bénissait son nombreux cortége et les curieux qui garnissaient les fenêtres. Après huit jours un repas splendide, où se trouvaient les chanoines et le chapitre, fournissait le pain et le vin, terminait la fête. En 1497 le clergé défendit à ses vicaires de se prêter à cette cérémonie, mais quelques bourgeois ne voulant pas se soumettre à cette défense, prirent en 1498 de force un des vicaires de la cathédrale et lui firent jouer le rôle ordinaire et lorsque l'arrêt du parlement de Paris, auquel le chapitre avait appelé, condamna les coupables à faire réparation en plein chapitre et défendit au magistrat de tolérer à l'avenir de pareils abus, on substitua des laïques aux vicaires. Pourtant la fête n'ayant plus le même attrait pour le peuple, qui ne pouvait plus lancer des épigrammes contre le clergé, elle disparut entièrement depuis 1501. Voici à quelle occasion. En 1501 les Tournaisiens avaient élu évêque des Fous Josse Heckman, dont un descendant fut conseiller au parlement de Flandre. Celui-ci, homme très-facétieux, mais fort éclairé, ne refusa pas l'honneur, mais désira mettre fin à cet usage ridicule, et imagina de renouveler l'inscription de Balthazar, c'est-à-dire après les promenades obligées et au moment où les convives entraient dans la salle où le souper était servi, ils lurent sur le mur ces mots écrits en caractères de feu: « Anathème à celui qui ose profaner, les mystères de la Sainte-Église ! Malédiction à ceux qui l'ont élu! Malheur à la ville qui souffre de pareilles extravagances! » Heckman en lisant ces mots à haute voix se jeta à genoux, s'écria que c'était un avertissement du ciel et se dépouillant des insignes de sa dignité, déclara qu'il ne voulait pas risquer son âme. Les convives, épouvantés par ce qu'ils attribuaient à un miracle, se signèrent, ne voulurent pas s'asseoir à la table du festin et se retirèrent. Heckman dit : que pour obtenir le pardon de leur faute il fallait envoyer aux pauvres le souper et se soumettre aux volontés de l'Église en renonçant à la fête des Innocents, et la fête en resta là. Les Tournaisiens tentèrent de substituer à cette fête celle de l'Ane, mais le clergé les menaça d'excommunication et supprima toutes les cérémonies de ce genre [69].

De la clepsydre à la montre.

De la clepsydre à la montre Les horlogers n’ont pas été groupés en corporations aussi anciennement que les apothicaires ou même que les orfèvres. C’est seulement en 1544 que François Ier accorda leurs statuts aux sept maîtres horlogers de Paris... > La suite sur http://bit.ly/TpHUDO

Bon week-end mes amis. Have a nice weekend.

Bonsoir mes amis, j'espère que vous avez passés une excellente journée, je vous envoie cette magnifique photo puisse-t-elle vous bercer ce soir. Bisous à tous.

La Bible dévoilée 3 - Les rois

la bible dévoilée - l'exode 2 sur 4

Le royaume perdu des Mayas

Secrets et Mysteres du Monde

La Révélation des Pyramides : l'interview de Jacques Grimault et Patrice...

Celtic Mythology.

Celtic Mythology Roots were symbolic of the original substratum, ancestry and the netherworld. Spring brings sappy shoots and leaves, summer brings flowers, autumn brings mushrooms, seeds and nuts but winter was a time for roots in the dark, concave hollows of the netherworld. The image of the root was that of the base in the underlying origin that was the father stock to younger branches, a father who was old and wise, prodigious and creative, brown, robust and surrounded by rooting pigs. Les racines sont symboliques du substrat original, ascendance et l'enfer. Printemps apporte les feuilles et les pousses séveux, été apporte des fleurs, l'automne apporte des champignons, des graines et des noix mais hiver est un temps pour les racines dans les creux sombres, concaves de l'enfer. L'image de la racine a été celui de la base de l'origine sous-jacente qui est le père pour les jeunes branches, un père qui était vieux et sage, prodigieuse et créative, brown, robuste et entourée de l'enracinement des porcs.

Qui était D'Artagnan, le célèbre mousquetaire.

D’Artagnan (Qui fut le véritable) inspirant Alexandre Dumas pour ses Trois Mousquetaires ? Où l’on apprend que le véritable d’Artagnan, dans les mémoires duquel Alexandre Dumas puisa de quoi nourrir son imagination, s’appelait Charles Baatz de Castelmore et, né en 1611 ou 1612, fut « galant et querelleur jusqu’au jour où Mazarin l’attacha à sa personne ». Emblématique du courtisan du temps, il fut volage mais finit par se marier la cinquantaine venue avec une demoiselle qui, « jalouse à l’excès, le quitta au bout de quelque temps pour se retirer dans un couvent »... > La suite sur http://bit.ly/xx7EY5

Sur les traces de Boudet.

Sur les traces de Boudet ou le... méconnu 27 décembre 2012 : La carte de "La vraie langue celtique ou le cromleck de Rennes-les-Bains" de l'abbé Henri Boudet a été étudiée, décortiquée, agrandie, retournée, divisée, exploitée sur le terrain ; la légende, le titre, la ponctuation passés au crible ; la moindre ligne, courbe de niveau recensées... D'ici au 31 décembre 2012, la rédaction de la Gazette de Rennes-le-Château vous conduira sur les traces d'Henri Boudet, dans SON cromleck, via des signes encore visibles aujourd'hui. Le 31, une pièce jamais versée au dossier sera offerte aux fidèles lecteurs de la Gazette de Rennes-le-Château ! Pour aujourd'hui, un premier signe !

Cela s'est passé un 27 décembre 1087.

Sources : Rania Melhem December 27, 1087: Death of Bertha of Savoy. She was the daughter of Oddone of Savoy and Adelaide de Susa, Countess of Torino. Bertha was born on September 21, 1051 and on December 25, 1055, she was betrothed to the future Heinrich IV of Franconia, Holy Roman Emperor and later married on July 13, 1066. Heinrich apparently hated his wife and refused to have anything to do with her, and in 1069 he began procedures for a divorce. The divorce request was rejected by Peter Damiani, Pope Alexander representative. Things must have improved between husband and wife because Bertha accompanied her husband on his journey to Canossa and she stayed with him between January 25 and January 27, 1077 in the freezing cold while he waited in the snow for the pope to forgive him. Anyway, Heinrich and Bertha had 3 children who survived to adulthood: Agnes of Germany (or Franconia) who married first Friedrich I Hohenstaufen and second St. Leopold III of Babenberg, Margrave of Austria; Konrad , Holy Roman Emperor and King of Germany and Italy and finally Heinrich V , who married Mathilda of Normandy, or Maud the Empress who after his death married Geoffrey Plantagenet of Anjou and was the ancestress of the Plantagenet dynasty.

Les Hospitaliers.

Sources :Griffon d'Argent EGLISE DES HOSPITALIERS ET NON DES TEMPLIERS A SAINT-ANDRE A LUZ SAINT-SAUVEUR

Hans Zimmer - Chevalier de Sangreal

jeudi 27 décembre 2012

The codex.

Sources : Athanasios Pallis The Codex Trivulzianus is amongst Leonardo's earliest known manuscripts. Many pages take the form of word lists, illustrating Leonardo's interest in Italian language and literature, and in Latin. In Additions, there are architectural drawings Relating to plans for a crossing-dome for Milan Cathedral, and a curious gallery of real and imaginary portraits.

The Cathar wars.

Sources :Paulo Cattani Diaceto THE CATHAR WARS The Song of the Cathar Wars is the first translation into English of the Old Provençal Canso recounting the events of the years 1204-1218 in Southern France. In an effort to extirpate the Cathar heresy, Pope Innocent III launched what is now known as the Albigensian Crusade, but it was fiercely resisted by the lords and people of the Languedoc, if in the end in vain. This 'song' was written in two parts, the first by William of Tudela, a supporter of the crusade; the second by an anonymous continuer, wholeheartedly in sympathy with the southerners, although not with the heretics themselves. It stands as a historical source of great importance, not least because it depicts the side that lost. The poem is also a skilful, dramatic and often impassioned composition, evoking the brilliant world of landed knights and the glories and bloody realities of battle. We have republished a section from an early part of this text, dealing with The Siege of Termes (1210). The flourishing of a dualist heresy in Languedoc at the end of the twelfth century, known as Catharism, led to conflict with the Catholic Church. After the murder of a Papal legate in 1208, Pope Innocent III ordered a crusade against Raymond VI, count of Toulouse, and others who were suspected of aiding the Cathars. The Albigensian Crusade was begun, with the crusaders led by Simon de Montfort, earl of Leicester. Much of the fighting took place in sieges of remote fortifications that dotted the Pyrenees mountains. In the late summer and fall of 1210, the crusaders besieged the castle of Termes, which was commanded by Raymond of Termes. The account of this siege comes from The Song of the Cathars, which is written in verse by two authors. The first portion was written by William of Tudela, who was a supporter of the Papacy and the crusaders (the portion translated below comes from this author). A second, anonymous author continues the work about half way through. He was a supporter of the southern French forces who fought the crusaders. For another account of this siege, please see the Historia Albigensis, by Peter of les Vaux-de-Cernay. The Siege of Termes planned Early on a Thursday morning the count [Simon de Montfort] joined the barons and princes in a palace, and it was decided to lay siege to Termes up in Termenes. This is a wonderful castle, and before it falls many souls will quit their bodies, dying unconfessed, and the siege will cost many a mark and many a penny of Tours. Horses and palfreys will be won, and much wealth, much fine armour, by men on either side to whom it is predestined. The count de Montfort entered the palace with the countess and all his lords, and they took their seats on a carpet of silk. Robert of Mauvoisin and Sir Guy the Marshal had been summoned and were there side by side, and so was Sir William of Contres, for in the whole viscountcy there was no more powerful or more valiant lord. He was born, I am told, in Burgundy, two leagues from Nevers. These recommended that siege should be laid at once to the castle of Termes, and many other good men supported this proposal. William of Contres to command in Carcassonne The council broke up after a short meeting; then, after a brief interval they had dinner and returned for another session. The count de Montfort was very anxious to choose the right man to defend Carcassonne, but in the end he was advised to appoint either Sir Lambert of Crecy, a powerful and respected baron, or Sir Rainier of Chauderon. Both these were chosen, but neither of them would stay in that country, not for a kingdom, so hostile did they perceive it to be. But then they begged William of Contres to take on the task, and he, having considered it, agreed to do so. The count de Montfort, though, was very angry at this, and would not have left him in Carcassonne if he had had anyone else to put there, for in the whole land there was no wiser man nor a better or more reliable knight, more courteous, more valiant or more loyal, so God grant me his blessing! Having listened and reflected, Sir William of Contres said: `In the name of Jesus Christ and St Mary, I will stay here since each of you asks me to do so.' But the count de Montfort would not have left him there if he had had any alternative, yet in the end since no one else would stay, he reluctantly agreed. The men of the host, the knights and the countess all wanted Sir William appointed. And for companions the count de Montfort gave him Crespi of Rochefort, a very courteous man, and Sir Simon the Saxon, may Jesus bless him, his brother Sir Guy [brother of Simon de Saxon], whose very face shows his courage, and many other nobles of his host from Burgundy, France and Normandy. Then they separated and the count set off with his great lords to lay siege to Termes. Sir William of Contres parted from him the same day in the meadows by Pennautier and reached Carcassonne before moonrise and before it was fully dark. Siege engines attacked William of Contres left Pennautier, rode hard for Carcassonne and arrived there just as the townspeople were getting up from supper and about to go to bed. The castle servants ran to help him unarm; they lit the fire in the fireplace up in the great hall, prepared plenty of beef, pork and other food for them to eat, then made up the beds in the place where they were to sleep, for they would all have to get up at dawn next day in order to guard the mangonels and other engines which they were taking to Termes in carts for the attack on the castle. This was at Count Simon's command; he had ordered them most urgently to send the siege engines and to guard the city; any other needs must take second place. The engines were to be closely guarded for those three days and when they arrived he would have them set up. Sir William of Contres immediately had them dragged out of the town onto the ground beside the River Aude and loaded promptly onto horse-drawn carts. A spy left the host and went quickly to Cabaret, where he immediately told them that the count had sent wretched and useless men to transport the siege engines and that their escort would not number more than a hundred, horse and foot. When they heard that, they were delighted. They rode out of Cabaret by moonlight, captained by Peter Roger, if the account is correct, and by William Cat, I Raymond Mire and all their kinsmen. More than three hundred of them there were, each outriding his neighbour and galloping full tilt for Carcassonne. Brave Sir William of Contres had the carts and siege engines under careful guard. When these guards saw the knights spurring towards them they shouted out, `To arms! To arms! Shame on any who turn away!' Sir William heard these shouts, and quietly told his knights to hurry to arms, and that quickly; if glorious Jesus, the Father Almighty and the blessed mother Mary willed it, he would fight these men, and soon. Why make a long story of it? Sir Peter Roger and his men did not flinch, they dismounted, smashed the mangonels in the sight of all the bystanders, and used straw to set them alight. The fire blazed up, and if there had been a breath of wind all the engines would have burned at once, but God did not want this. William of Contres heard the voices and instantly shouted, `To arms, knights!' He had at least eighty sergeants with him, not counting the other knights, and they had the gates opened in blessed Mary's name and attacked Peter Roger's men there in the meadow. These saw them coming and did not despise them but rode boldy forward to meet their charge. Ah God, what good lances were shattered that day, what mighty blows struck on helmets from Pavia! Sir William of Contres spurred his Hungarian warhorse and charged raging and angry, may God bless me, into the thickest of the fight. He rode into the River Aude and there in the water thrust through the melee. He encountered one of Mir's men and struck him so hard on his flowered shield that his hauberk was no more use to him than a rotten apple; down into the water he went, as all could see. Next he overtook a wretch in flight and struck him from the side with his bright sword; and he struck down another man at this time. Nor did Crespi of Rochefort or Simon hang back: no one they hit ever needed a road to walk on again. They pressed home this attack for some time, and in the end Sir Peter Roger and all his men had by far the worst of it. Not one of them but cursed him for the way it had turned out. Defeated and fewer in number they rode away. Sir William of Contres gathered his men and went back into Carcassonne. They were all delighted at having saved the siege engines and the whole troop rejoiced at their victory. August-November 1210, siege and fall of Termes Count Simon de Montfort laid his siege before and all round Termes, and then he heard this news. You can imagine how pleased he was with Sir William of Contres and his companions for saving the siege engines, and more pleased still at their defeat of the baron called Peter Roger - God do him no good! For I believe the count would not be so delighted to be given all the gold of Macon as he was when they told him of the great victory Sir William of Contres had won. Ah God, how well the news was announced by the noble young man Sir William sent to escort those weapons! That task too, he did well, I can truthfully say, bringing them safely all the way to the siege before Termes. Here there were many barons, many tents ofnch silk and fine pavilions, many silk tunics and rich brocades, mailshirts too and many a fine banner, many an ashen haft, ensigns and pennons, many a good knight and fine young men of noble race Germans, Bavarians, Saxons, Frisians, men from Maine, Anjou, Normandy and Brittany, Lombards and Longobards, Gascons and Provencals. The lord archbishop of Bordeaux was there and so was Sir Amanieu d'Albret and men from Langon. All those who came did their forty days' duty, so that as some arrived, others left. But Raymond, lord of Termes, counted none of them worth a button, for no one ever saw a stronger castle than his. There they kept Pentecost, Easter and Ascension and half the winter, as the song says. No one ever saw so numerous a garrison as there was in that castle, men from Aragon, Catalonia and Roussillon. Many were the armed encounters and shattered saddle-bows, many the knights and strong Brabanters killed, many the ensigns and fine banners forcibly borne off into the keep against the crusaders' will. As for the mangonels and catapults, the defenders did not think them worth a button. Meat they had in plenty, both fresh meat and salt pork, water and wine to drink and an abundance of bread. If the Lord God had not dealt them a blow, as he did later when he sent them dysentery, they would never have been defeated. My lords, will you hear how Termes was taken and how Christ Jesus there displayed his mighty power? Nine months [actually from late July to 22 November 1210] the army sat around that stronghold until its water supply dried up. They had wine for another two or three months, but I do not think anyone can live without water. Then, God and the faith help me, there was a heavy downpour of rain which caused a great flood, and this led to their defeat. They put quantities of this rainwater into butts and barrels and used it to knead and cook with. So violent a dysentery seized them that the sufferers could not tell where they were. They all agreed to flee away rather than die like this, unconfessed. They put the ladies of the castle up into the keep, and then when it was dark night and no one could see what was happening, they went out, taking with them no possessions, nothing, I believe, except money. At that point Raymond of Termes told them to wait because he was going back into the castle, and while they waited some Frenchmen met him on his way in and they captured him and took him to the count de Montfort. The others, Catalans and Aragonese, fled to escape being killed. But the count de Montfort behaved very well and took nothing from the ladies, not even the value of a penny coin or a Le Puy farthing. When it was known throughout the land that Termes had fallen, all the strongest castles were abandoned, and Le BezuI was taken, without any need for sieges. The men of these garrisons who left the castles never supposed that the crusaders would get that far. God who is full of mercy worked a great miracle there, for he gave finer winter weather than anyone has known in summer. I return to my subject, which I have left too long.

The templars.

Sources :Susanne Tadic-Bialucha Johannes Fiebag croit que le Graal, un lien étroit avec le sanctuaire Arche a été caché sur l'Islande Oak Island au large des côtes du Canada, tandis que Graham Hancock assume la charge a été atteint dès les temps bibliques à l'Éthiopie, où ils aujourd'hui encore va résider. Les différentes théories peuvent contenir une part de vérité, mais vraiment rien de les convaincre. L'histoire de la suppression de l'Arche de l'Alliance en Ethiopie vient de l'époque paléochrétienne ses preuves et devrait se révéler bien que l'un des exemplaires de l'arche, debout autour de l'Ethiopie par centaines, est en réalité. Même dans le cas Oak Islande, il n'existe pas d'arguments convaincants vraiment. Un trésor sur l'île aurait été caché, mais l'arche de l'alliance ou le Saint Graal, il était peu probable. M...

The templars.

Sources :Susanne Tadic-Bialucha Pas une seule fois en 100 ans, le pasteur aurait pu gagner ce montant grâce au commerce équitable. En particulier, les bâtiments construits par Saunière contenir des symboles étranges, qui doit indiquer clairement le temple et l'arche. Une tour d'observation construite par le sacrificateur lui donna le nom de "Tour Magdala" ("Tour de la Madeleine"). Apparemment, le nom n'était pas allusion à la Bible Marie-Madeleine, mais avaient des antécédents très différents. The Magdalene nom signifie «femme de la tour du temple» et est liée aux trois tours du Temple, qui ont été dédiés à la déesse babylonienne trinitaire Maria-Anna-Ishtar. Villa Saunière était aussi apparemment pas sans raison appelée «Villa Béthanie». Traduit, Bethania "maison d'Anna-Ishtar», qui n'était rien de plus que le temple de Jérusalem. L'indication la plus claire de l'Arche Deberling découvert mais sous la forme de personnage de Saunières personnelle qui montre un vieux symbole juif kabbalistique de l'arche. Le Gralsforscher Oliver Deberling est le livre "Le plus grand secret des Templiers" croit que la découverte de Saunière est inextricablement liée à l'histoire de la noble maison d'Hautpoul de Blanchefort de, dont le confesseur Antoine Bigou avait laissé des écrits sur parchemin importants. L'abbé avait enregistré un vieux secret de famille cryptée, qui a été transmise de père en fils aîné. Ce n'est que vers la fin du 18ème siècle Siècle, la ligne directe de l'habilitation de sécurité

The templars.

Sources :Susanne Tadic-Bialucha Lorsque la marquise allait mourir en 1781, elle envoya chercher son confesseur Antoine Bigou de l'initier à un vieux mystère. Comparé à un collègue, le prêtre croit que la marquise a exigé de lui confier le secret à une personne de confiance qui doit passer à nouveau. Des années plus tard, lorsque la Révolution française éclata, et de nombreux prêtres catholiques ont été arrêtés Bigou a décidé de quitter sa terre natale et de s'installer en Espagne, où il mourut le 1793e En exil a donné Bigou encore le mystère de la marquise de l'abbé Cauneille qui a informé son collègue Jean Vié qui, plus tard curé de Rennes-les-Bains était. Davies, cependant, était le successeur de Jean Henri Boudet, l'ami et le collègue Saunière. Les Hautpoul de forts Blanche étaient liées à une dynastie Templiers, était de Bertrand de Blanchefort, le quatrième Grand Maître de l'Ordre. En 1156, c'est que Bertrand de forts Blanche convoquer mineurs allemands dans la région de Rennes-le-Château sophistiqués pour créer des voûtes souterraines et des tunnels, qui apparemment devraient en période de crise, les richesses de l'Ordre seront cachés. Ce qui s'est passé dans la fin du 13e Siècle, lorsque le roi français Philippe IV fait les premières tentatives pour détruire les Templiers. Avec l'aide de Pierre de Voisins, seigneur de Rennes-le-Château, qui a également été liée à la maison Hautpoul de Blanchefort, un cortège nocturne roula vers Arques, précisément dans le domaine que Poussin avait tenu sur ses toiles. Selon une légende locale, dans la nuit du trésor légendaire des Templiers était caché. Il ya des indications que les restes de l'arche se sont physiquement possession des Templiers. Les neuf membres fondateurs de l'ordre avaient non seulement a emménagé dans son siège sur le Mont du Temple à Jérusalem, mais depuis de nombreuses années y opéraient des fouilles

The Templars.

Sources : Susanne Tadic-Bialucha Rennes-le-Château. Sur un des panneaux de gauche du retable de Gand célèbre par les Tempa été suspendu. Lorsque la marquise allait mourir en 1781, elle envoya chercher son confesseur Antoine Bigou de l'initier à un vieux mystère. Comparé à un collègue, le prêtre croit que la marquise a exigé de lui confier le secret à une personne de confiance qui doit passer à nouveau. Des années plus tard, lorsque la Révolution française éclata, et de nombreux prêtres catholiques ont été arrêtés Bigou a décidé de quitter sa terre natale et de s'installer en Espagne, où il mourut le 1793e En exil a donné Bigou encore le mystère de la marquise de l'abbé Cauneille qui a informé son collègue Jean Vié qui, plus tard curé de Rennes-les-Bains était. Davies, cependant, était le successeur de Jean Henri Boudet, l'ami et le collègue Saunière. Les Hautpoul de forts Blanche étaient liées à une dynastie Templiers, était de Bertrand de Blanchefort, le quatrième Grand Maître de l'Ordre. En 1156, c'est que Bertrand de forts Blanche convoquer mineurs allemands dans la région de Rennes-le-Château sophistiqués pour créer des voûtes souterraines et des tunnels, qui apparemment devraient en période de crise, les richesses de l'Ordre seront cachés. Ce qui s'est passé dans la fin du 13e Siècle, lorsque le roi français Philippe IV fait les premières tentatives pour détruire les Templiers. Avec l'aide de Pierre de Voisins, seigneur de Rennes-le-Château, qui a également été liée à la maison Hautpoul de Blanchefort, un cortège nocturne roula vers Arques, précisément dans le domaine que Poussin avait tenu sur ses toiles. Selon une légende locale, dans la nuit du trésor légendaire des Templiers était caché.

Chapter House from Notre-Dame-de-Fontaut.

Sources : Marco Spínola Barreto French | Chapter House from Notre-Dame-de-Pontaut | 12th century

Le pacte d'alliance entre Geoffroy Foucher et le Sultan du Caïre.

Sources : Geoffroy de Charnay En 1167,Geoffroi Foucher fut envoyé avec le comte de Césarée pour négocier un pacte d'alliance avec le sultan du Caire.L'Egypte acceptait le protectorat des Francs contre Nur ed-Din.L'année suivante,Amaury Ir,violant ce traité,entreprit la conquête de l'Egypte sans meme attendre ses alliés bysantins. Les templiers refusèrent de participer à cette campagne;ils s'estimaient garants du traité passé avec le sultan. Amaury ne put s'emparer du Caire.Le triste résultat de cette expédition fut de livrer l'Egypte à Chirkouh et à son neveu Saladin.On rendit bien entendu les templiers responsables de cet échec. Amaury,dit-on,aurait songé à dissoudre l'Ordre.C'était en tout cas la première fois que le Temple refusait de servir le roi de Jérusalem,adoptait une politique personnelle,se comportait en Etat indépendant.

The Templars.

Mena Mancinelli

Château sept tours.

Château Sept Tours Noël s'invite au Château de Chenonceau jusqu'au 6 janvier 2013!

mercredi 26 décembre 2012

A DIFFUSER. MERCI.

JE SERAI AU SALON DU LIVRE DE BRUXELLES, LE 9 MARS DE 13H30 A 16H30(Tour et Taxis Avenue du Port, 86C à 1000 Bruxelles)

oliver shanti -senzei kentaka's katsura garden

Un très beau poème de Charlie Chaplin.

Sources : Etoiles célestes. Voici un très beau Poème de Charlie Chaplin Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai compris qu’en toutes circonstances J'étais à la bonne place, au bon moment. Et alors j’ai pu me relaxer. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle … l’Estime de soi. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J'’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle N’étaient rien d’autre qu’un signal Lorsque je vais à l’encontre de mes convictions. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle … l’Authenticité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai cessé de vouloir une vie différente, j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive Contribue à ma croissance personnelle. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle … la Maturité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai commencé à percevoir Dans le fait de forcer une situation ou une personne Dans le seul but d’obtenir ce que je veux, Sachant très bien que ni la personne ni moi-même Ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment Aujourd’hui je sais que cela s’appelle … le Respect. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai commencé à me libérer de tout ce qui n’était pas salutaire, Personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait cela de l’égoïsme ; Aujourd’hui je sais que cela s’appelle … l’Amour propre. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire de grands plans. J’ai abandonné les méga projets du futur. Aujourd’hui ; je fais ce qui est correct, ce que j’aime, Quand cela me plait et à mon rythme. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle … la Simplicité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai cessé de rechercher à avoir toujours raison, Et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé. ujourd’hui, j’ai découvert …. L’Humilité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. ujourd’hui, je vis une seule journée à la fois Et cela s’appelle … la Plénitude. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir ; Mais si je la mets au service de mon cœur, Elle devient une alliée très précieuse ! out ceci, c’est … le Savoir vivre. Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter : Du chaos naissent les étoiles. Voici un poème de Charlie Chaplin, et oui, n'est-ce pas merveilleux, quelle grande sagesse. aujourd'hui étant sans voix alors je vous écrits t à tous et vous adresse mes meilleurs voeux, passez un très joyeux Noël... Juste moi Chris...

Un tableau de Poussin inversé.

Plus d’infos dans le Mercure de Gaillon N°14 http://www.lemercuredegaillon.net/M2G/mercure_de_gaillon_14.htm Et puisque jadis, il était d'usage d'inverser un paysage peint, retournons la situation et revenons au paysage Normand à l'endroit et au tableau de Poussin inversé.

Mythologie pyréneenne, opus Aranae.

Sommaire * Mythologie Pyrénéenne, Opus Arenae, par J-L Nozière - part. II Souvent, dans les Pyrénées, c’est une fée ou un diable qui garde le trésor. En Bigorre, un berger trouve un jour, dans une grotte, de la magnifique vaisselle d’argent qu’il s’empresse d’entasser dans sa besace. Lorsqu’il ressort, un coq rouge effrayant, véritable suppôt de Satan, apparaît et dans une attitude agressive tente de lui barrer la route. Pour le chasser, il doit se servir de la vaisselle comme projectile, puis le berger prend les jambes à son cou et s’enfuit.... Lire la suite… Les archives du Hiéron du Val d’Or, par Th. Garnier Les traces de cette société discrète retrouvées à Rennes-le-Château laissent entendre un lien direct avec Béranger Saunière. La trame du voile couvrant cette affaire se tisse de jour en jour. Au fur et à mesure de notre enquête, chaque document découvert et analysé nous permet de lever ce voile de mystère. De la Société du Très Saint Sacrement, d’où est issu le Séminaire des Missions Etrangères, le bon curé de Rennes-le-Château a su parfaitement taire la relation qu’il entretenait avec le Hiéron de Paray-le-Monial. Qu’importe ! Puisque tous ces ordres ou sociétés étaient unis par la même ferveur : le triomphe du Christ-Roi. Lire la suite… Excursion au “Temple” de Gisors, par F. Balmary En ce beau samedi de mi-octobre (on a eu du bol !), Thierry Garnier nous a conviés dans la charmante bourgade de Gisors, dans l’Eure, pour une promenade à la poursuite des Templiers qui occupèrent le château de Gisors en séquestre entre 1158 et 1162. L’Histoire officielle a tendance à minimiser le passage des chevaliers de l’Ordre du Temple dans ce château du fait qu’il n’y ait pas eu de commanderie dans les environs, pourtant ils y sont restés quelque temps même si ce ne fut pas long. Lire la suite… Les Cités Obscures, Bruxelles secrète, par Marcus. Sortons de l’univers parfois surréaliste hexagonal et hâtons le pas vers un royaume voisin et ami. La Belgique recèle des énigmes inattendues ouvrant des perspectives intéressantes dans la recherche de diverses problématiques ésotériques, alimentant du même coup des rumeurs plus ou moins fondées sur le mirifique palais de justice de Bruxelles et une mondialisation forcée orchestrée. Lire la suite… Mégalithes de Normandie, du pays de Madrie au Vexin, par Th. Garnier. Le phénomène mégalithique, en Europe occidentale, naquit au Néolithique, il y a environ 6 000 ans, pour se terminer plus ou moins 2 500 années plus tard, au début de l’âge des métaux. Les civilisations de l’Antiquité les ont employés ou réemployés pour leur culte idolâtre. Beaucoup de ces monuments ont résisté aux ravages du temps. Lire la suite… Revue trimestrielle de 32 à 44 pages couleurs ou N&B au prix de :8,00€ / numéro (+ 1.80€ de frais de port, 3.00€ France D.O.M,T.O.M. et U.E)

Lieux sacrés :Londres, l'église de l'ordre.

Sources : Marifé Miguel L'église du Temple. Londres. Comme son nom l’indique, elle fut construite par les Templiers au 12ème siècle pour en faire leur siège devant le numéro croissant de chevaliers. Au milieu du XIIe siècle, avant la construction de l'église, les chevaliers du Temple se réunissaient à High Holborn, une rue située aux limites ouest de la Cité de Londres, dans un bâtiment établi à l'origine par Hugues de Payens. En raison de la croissance de l'Ordre, le site est devenu trop étroit et, vers 1160, l'ordre a acheté le terrain où se situe actuellement l'Église, afin d'y implanter leur siège en Angleterre dans un grand complexe monastique, le Temple de Londres . En plus de l'église, la nouvelle enceinte comportait à l'origine des résidences, des équipements pour la formation militaire ainsi que des aires de repos pour les frères novices et les militaires, qui n'avaient pas l'autorisation d'entrer dans la ville sans la permission du maître du Temple. On trouve dans l’église plusieurs gisants en pierre, parmi les plus valeureux chevaliers. La particularité de cette église de grès est sa rotonde entourée de colonnes paraissant de marbre et assortie de têtes faisant de curieuses grimaces. Un choeur monumental fut construit composé de trois bas-côtés. Il est probable que la crypte, conservée mais qui ne se visite pas, ait été le lieu de bien des cérémonies secrètes. Après la destruction et l'abolition des chevaliers du Temple en 1307, Edouard II prit les commandes de l'église devenue possession de la couronne. Par la suite, elle a été donnée à l'Ordre de Malte Le temple fut restauré par Wren puis décoré dans un style néogothique. Les bombardements de la seconde guerre mondiale firent des ravages qui imposèrent une nouvelle restauration. L’acoustique exceptionnelle du lieu a rendu célèbre le choeur qui se produit régulièrement.

L'église du temple à Londres.

Temple Church, l'église du Temple à Londres Temple_Church_27Le complexe de Temple Church fut bâti par les Templiers au XIIème siècle, en remplacement des anciens bâtiments construits par Hugues de Payens dans l'ouest de Londres (High Holborn), devenus trop petits pour le nombre constamment en augmentation des chevaliers. Ils en firent leur siège principal en Grande-Bretagne.

Montségur.

Sources André Douzet.

mardi 25 décembre 2012

Cloches - Abbaye de St Maurice (VS) cloches 2 à 8

Vérités secrètes.

Collection : Vérités Secrètes - Arcana Codex LIvre III, 400p, dont 79 pl. hors texte. 2e EDITION. Aux portes de la Normandie, Gisors ! Terre de prédilection des rois de France, au Moyen Age, l’antique cité d’origine celte a toujours accueilli les grandes assemblées prévenant à la conduite du Royaume. Rendez-vous des diplomates et des guerriers de tout poil, sa légende templière en fit sa renommée, ses mythes ont évolué au fil des siècles. Un homme, Roger Lhomoy, en tira une grande notoriété et fit l’unanimité contre lui. Basé sur l’extraordinaire aventure de ce dernier, le livre de Gérard de Sède « les Templiers sont parmi nous » en 1962, jeta le feu des projecteurs sur la capitale du Vexin normand. L’ouvrage fit grand bruit. Le fabuleux trésor de l’Ordre du Temple était caché à Gisors ! Son retentissement fut tel que le ministère de la Culture dut intervenir. Malgré de multiples campagnes de fouilles rien ne filtra. Officiellement il n’y avait aucun mystère à Gisors. Et pourtant ! Aujourd’hui encore la version officielle ne convainc personne. Aucune étude sérieuse n’a été menée sur cette affaire depuis la publication de G. de Sède. Ce livre a donc une triple ambition. Tout d’abord, effectuer une contre enquête rigoureuse, puis de valider ou démystifier les données majeures et enfin de connaître le but des vrais commanditaires de G. de Sède. Nous disséquerons, dans les moindres détails chaque pièce du dossier. Sur la foi de centaines de documents officiels rendus publics, d’archives manuscrites inédites - dont certaines sont tirées des Archives Secrètes du Vatican - et des témoignages crédibles, nous sommes à même d’apporter des réponses sur un des plus grands mystères de l’Histoire de France. Le sous-sol de Gisors fut-il le réceptacle du trésor des Templiers ? Quel était son contenu ? Et si ce trésor était une réalité qu’est-il devenu ? LE FIL CONDUCTEUR D’UN DOSSIER HISTORIQUE Le trésor des Templiers, R. Lhomoy, A. Malraux, les fouilles dans le château, le rapport des militaires, l'église St-Gervais St-Protais, la tour de Neaufles, les souterrains, le Prieuré de Sion, Rennes-le-Château, Rennes-les-Bains, Nicolas Poussin, Nicolas Foucquet, Nostradamus, Rabelais, Cagliostro, le Hiéron du Val d'Or, les confréries de Gisors, les A.A., la Société Angélique, S&B, la franc-maçonnerie, la secte des Assassins, le groupe Bilderberg, les Illuminati, la chapelle de Rosslyn, la cité d'Asgard, Troie, Dagobert II, Sigebert IV, la première Eglise chrétienne, les manuscrits de Manès, les Cathares, Montségur, Bugarach, les manuscrits de l'abbé Denyau, d'A. Bourdet, d'A. Dorival, le Codex Bezae, le soufisme, l'Arche d'Alliance, le Graal, le Baphomet, la pierre philosophale, le temple de Jérusalem, l'église St-Sulpice, la reine de Sabba, les archives des Templiers et les filiations de l’Ordre, les archives secrètes du Vatican, etc. - CHAPITRE I - DE LA MEMOIRE DU VEXIN La troisième continuation L’histoire est écrite par les vainqueurs Les manuscrits des historiens de Gisors Le manuscrit Denyau Les fils de Dagobert II Le Hiéron du Val d’Or Le manuscrit Bourdet De l’antiquité de Gisors Gisors et ses premiers seigneurs L’ombre de Nicolas Poussin à Rennes-les-Bains Le secret du Poussin et l’abbé Denyau Les souterrains de Gisors - CHAPITRE II - LES TEMPLIERS SONT TOUJOURS PARMI NOUS Ordos ab chaos De l’empreinte du Temple à Gisors Les prisonniers de Gisors Les Chevaliers de l’Etoile De l’Ordre du Saint-Sépulcre ou de Sion Le cartulaire de l’Ordre de Sion De Saint-Samson aux Filles de Sion Les choix du Prieuré de Sion La Colline Inspirée Le manuscrit secret de l’Ordre ancien - CHAPITRE III - DES SOCIETES SECRETES A GISORS De l’antiquité des sociétés secrètes Des confréries et des loges à Gisors Le Manuscrit Dorival La voie de l’Illuminisme Manès, ou l’enfant de la Veuve Le Testament de la Veuve du Scythien De l’initiation de Cagliostro aux coffres d’airain Les Héritiers de Manichée à Gisors - CHAPITRE IV - DES ARCHIVES SECRETES DE L’ORDRE DU TEMPLE Les trois clefs secrètes du Temple De la Pierre Philosophale Trois clefs pour une serrure L’Arche perdue est retrouvée Les manuscrits hérétiques des Templiers Du Prince du Liban, Maître des Assassins D’une filiation templière Le dépôt d’archives de Gisors

Rêve de Noël.

Rêve de Noël : film de Georges Méliès en 1900 La scène s’ouvre sur un grand boudoir dont nous devinons qu’il appartient à un homme très aisé. Ses enfants, assistés par leur gouvernante, sont sur le point de se coucher. Changement de scène : répétition générale du spectacle qui doit être donné plus tard... > La suite sur http://bit.ly/tZ081t

Lieux sacrés : combat d'un chevalier contre l'aigle.

07 juillet 2010 La Rochepot, église Notre-Dame-de-la-Nativité La_Rochepot_croix_1Le site de La Rochepot, au croisement des deux grandes routes de l'Europe occidentale (la "voie de l'étain" et la "voie du sel"), fut habité depuis fort longtemps, dès le Néolithique. La_Rochepot_croix_4Il existe de nombreux dolmens, allées couvertes et autres menhirs alentours, comme ceux dits du "Cul-Blanc", l'ancien "Tonton Martel" aujourd'hui disparu, "La Pierre qui Vire", la "Pierre-Brûlée", la "Pierre Chaume", l'allée de "Chateillon" ou la "Pierrefite". La_Rochepot_croix_5 La_Rochepot_2L'église Notre-Dame-de-la-Nativité, autrefois prieurale Saint-Georges, fut édifiée dans le deuxième quart du XIIème siècle par les bénédictins de l'abbaye de Flavigny. La_Rochepot__glise_5 La_Rochepot__glise_6De cette époque elle a conservé la nef, des parties du transept, son abside et ses absidioles, ainsi que des décorations du portail ouest, et des chapiteaux. La_Rochepot__glise_2L'archivolte du portail possède une caractéristique bien étonnante... La_Rochepot__glise_4Les moulures du côté gauche représentent des signes particuliers, comme une sorte d'alphabet composé de signes lapidaires compagnoniques... La_Rochepot__glise_3La nef possède 4 travées flanquées de bas-cotés. La_Rochepot__glise_12 La_Rochepot__glise_1Le clocher, datant du XVème siècle, est surmonté d'une flèche construite en 1822, l'édifice fut remanié au XIXème siècle. La_Rochepot__glise_13
La_Rochepot__glise_8Les chapiteaux historiés (ânesse de Balaam, annonciation, combat d'un chevalier contre un aigle) La_Rochepot__glise_10 La_Rochepot__glise_9sont inspirés de ceux de Saint-Lazare d'Autun et de Saint-Andoche de Saulieu. La_Rochepot__glise_11

Le talisman celtique d'Hyerborée.

Iles d'Aran, Dun Aengus
Selon une ancienne légende irlandaise, la baie de Galway formait autrefois un lac, séparé de l’Océan par une barre de terre, jusqu’au jour où, par une tempête plus violente que les autres, les flots ont tout balayé: les trois îles d’Inis Oirr, Inis Meain et Arainn ( plus connues sous leurs noms anglais d’Inisheer, Inishmaan et Inishmore ) sont tout ce qui reste de ce bras de terre. aran3 Géologiquement, les trois îles prolongent les escarpements des Burren, dans le comté Clare, à quelques kilomètres de l’autre côté de la baie de Galway. La surface du sol, du calcaire ou du schiste, fracturée par des milliers de fissures parallèles plus ou moins larges, a été sculptée par l’érosion. 05_08_57__801x1200_ Le Gaélique est encore la première langue parlée sur l'île, et il y règne une ambiance spéciale de "vieille Irlande". Sur ces îles vous trouverez partout des vestiges de monastères Chrétiens, de fortifications et d'églises. Les vestiges de The House of Saint Edna, édifice religieux d'époque Médiévale le plus important sur Inishmore, peut être encore visité. On y trouve plusieurs forts de l’âge du fer : Dun Aengus (Dún Aonghasa), le fort noir (Dún Dúchathair) et Dún Eoghanachta tous les trois en bon état de conservation. Le site se compose d'une triple enceinte(voir plus bas la symbolique de la croix celtique) dont le mur interne entoure un espace de quatre hectares. En avant du mur extérieur, de très nombreuses pierres dressées forment des chevaux de frise dont le rôle défensif est d’empêcher les attaques d’assaillants. De forme semi-circulaire, il est délimité, à l’autre extrémité par une falaise d’une centaine de mètres de hauteur. Dans la partie centrale le mur s’élève par endroits à 4 mètres, et a 5 mètres d'épaisseur. aran5 Le début de la construction remonterait à la fin de l’âge du bronze (début du dernier millénaire avant JC) et le site aurait été occupé jusqu’au IVème siècle après JC. 05_08_58__1600x1086_ Selon la mythologie celtique, cette forteresse aurait été édifiée par le peuple légendaire des Fir Bolg réfugiés dans l'île après leur défaite, dans la guerre qui les opposa aux Tuatha Dé Danann. Le nom viendrait de leur chef qui se nommait Aengus ou Aonghus (à ne pas confondre avec le dieu Oengus) et le mot dun signifie « forteresse » en Gaélique.(Wikipédia) 05_08_56__1600x1078_ "Dun Aengus was named after the mythical hero Aonghas. Dun Aonghasa is thought to have been built around the time of the birth of Christ during the Celtic Iron Age. Although Dun Aonghasa has the appearance of a military fort, experts say it was used as a ceremonial theatre." We heard many other stories about what the fort could have been used for. Seeing that the fort is prehistoric, they really don't have record of what it was exactly used for." Comme ils disent.... Moi je reste persuadée que ce site est bien plus ancien, orienté vers l'océan Atlantique. Une vision m'a montré l'endroit comme un comptoir, relié à un peuple de navigateurs. Je n'oserai pas mettre le nom de l'Atlantide en avant (en plus je me ralie à l'hypothèse de l'Atlantide en Antartique), mais ça y ressemblait fort. Le ressenti que j'ai eu, allongée sur la pierre regardant la mer, reste unique. 05_08_55__1600x1070_05_08_54__1600x1059_ Il existe aussi les ruines d'un monastère datant du V ème siècle. Il abrita 7 ermites qui, selon la tradition, se construisirent chacun une chapelle. Tiens, 7, d'habitude c'est 12... aran7 Le cimetière, de pure tradition Celte, est vraiment d'une beauté surprenante. Non loin de là, sur le continent, beaucoup de mégalithes. P.S.: Je ne sais pas si vous avez remarqué, sur plusieurs de mes photos, il y a dans le ciel un truc bizarre... 05_08_59__806x1200_05_08_60__806x1200_ aran12 aran11 aran14 Rappel du symbolisme de la croix celtique, tiré du site Lux Sanctuary: La croix Celtique : croixceltique Le cercle central, le gwenved représente la lumière (le monde des Dieux)… le second cercle (à la jonction des Quatre branches) le premier le plus au centre est le cercle d’annoum, l’abysse le néant (Le monde souterrain) le second le plus à l’extérieur est le cercle d’abred le cercle de l’expérience humaine ( le monde terrestre) et enfin le tout derniers cercle qui entour la croix est le Keugant le cercle de l’Incréé de l’Univers, représentant la Source. La croix celtique est un symbole majeur car il représente ainsi l’expérience humaine et son évolution. La croix en elle-même est un symbole puissant. Elle rappelle la quadripolarité et la concrétisation physique de l’Un au travers la matière, la Quintessence. C’est ainsi l’expression des forces de l’univers primaires, élémentales. Le talisman d’Hyperborée : talisman_hyperboreeCe talisman très puissant est similaire à la croix celtique sauf que la branche du bas (nommée le socle ) est plus longue tout simplement … sinon pour plus de détail sur ce talisman il y d’autres éléments sur la croix : la croix en elle-même est souvent en argent et les cercle autour du centre en argent mais beaucoup plus brillant beaucoup plus clair. Au centre exacte de la croix il y a un petit cercle (le Gwenved) dans lequel se trouve un cristal de roche ou une améthyste en haut de la croix sur la branche « nord » se trouve un tribann doré et en bas sur la base du socle se trouve un triskèle bleu marine ou or. Ce talisman nous vient des hyperboréens et plus loin encore des atlantes dont les druides en sont des héritiers d’après la légende. Pour entrer plus en détail dans la symbolique les cercles représentent divers niveau du monde et de l’expérience humaine comme sur la croix celtique, ils représentent des liens vers la source une connections entre nous même et ce qu’il y a part delà, dans l’astral et ses plus hautes sphères. Le cristal central agis comme un condensateur projetant un fin rayon énergique qui nous connecte avec l’au-delà nous met en résonance avec les forces d’autres mondes, diffusant l’antiques sagesse et la mémoire des atlantes. Qui le porte dispose en outre d’une protection idéale et puissante. Plus encore pour qui médite dessus… http://time.mystiek.net/croix%20celtique.htm

Lieux sacrés : L'abbaye de Noirlac.

L'abbaye de Noirlac, historique Noirlac_pr_histoireBien avant l'apparition des cisterciens, bien avant même la venue des romains, la région a vu s'installer l’homme d’Heidelberg (apparenté à la famille des homo erectus). Les nombreuses prospections dans le lit du Cher ont donné lieu à la découverte d’industries très anciennes, dont il nous reste des outils, taillés dans les galets. Noirlac_cherBien avant encore, au début du Jurassique, la région est recouverte d’une mer chaude peu profonde en bordure du Massif Central. Une importante sédimentation génère des dépôts, qualifiés d’Hettangien selon la détermination d’Eugène Rénevier. Mais je m'égare. (http://drevant.free.fr/index.php?lng=fr) noirlac_053aL'Abbaye de Noirlac était appelée l'Abbaye de Maison Dieu (Momus dei). Elle est située au nord de Saint-Amand Montrond, sur la rive droite du Cher dans la commune de Bruère-Allichamps : centre géométrique de la France selon les calculs du géographe français Adolphe-Laurent Joanne. Il y fut retrouvé une borne remontant au règne d'Alexandre Sévère (180-235). C'est la seule borne connue qui atteste d'un trivium (carrefour de trois routes). Elle avait été creusée en sarcophage. noirlac_075aMaison-Dieu ? Le site eut cette dénomination jusqu'en 1276. Il faudrait y voir une de ces nombreuses maisons-Dieu, modestes fondations charitables à l'intention des pauvres voyageurs, ou bien d'un petit ermitage, témoin du spiritualisme de ce temps. Nombre de communautés cisterciennes reçurent l'hospitalité d'ermites, quand ils ne furent pas appelés pour reprendre les ermitages. Noirlac_036aC'est donc en 1136, dans ce site sauvage et inculte, au fond d'une vallée marécageuse, conformément à la tradition, que 12 moines issus de Clairvaux s'installèrent. Ils étaient sous la conduite de leur abbé, Robert de Châtillon, proche parent de Bernard de Clairvaux : "Plante là où coulent les eaux, c'est là qu'abonde la grâce" a dit Saint Bernard... qui fut lui même obligé d'intervenir en 1149 auprès du roi afin que la petite communauté dénuée de tout puisse survivre. Une donation eut lieu l'année suivante. Elle marqua la fondation matérielle de l'abbaye. Le seigneur du lieu, Ebbe V de Charenton, leur assura les moyens de survivre et accorda aux moines, qui vivaient jusqu'alors de cueillette et d'aumône, en 1150 leur première charte d'établissement. Il abandonnait tout droits seigneuriaux en cet endroit, pour bâtir une abbaye en l'honneur de Notre-Dame. Noirlac_048L'abbaye est un lieu triplement clos (tiens ? triple enceinte ?) : la première clôture est assurée par la topographie même, le bord de la rivière d'un côté, le versant de la colline de l'autre, en avant et en arrière des bois touffus aux sentiers à peine tracés. La seconde clôture renferme ce que l'on appelle la basse-cour. C'est là que sont reçus les visiteurs et que sont regroupés les bâtiments utilitaires. Elle fut d'abord de pieux et d'épines, avant de devenir mur en pierre. A l'orient de la cour s'élèvent les bâtiments conventuels, dont le quadrilatère forme la troisième enceinte. Noirlac_007aA la fin du XIIème siècle apparaissent les premiers revenus indirects : dîme, rentes en argent, produits seigneuriaux. L'abbaye s'enrichit progressivement pour atteindre son apogée vers 1250. Les grandes donations cessèrent à la fin du XIIIème siècle. C'est à cette période que Maison-Dieu devint Noirlac (première mention en 1322). La tradition rapporte que c'est à cette époque que le fils d'un seigneur se noya dans le Cher non loin de l'abbaye, au cours d'une chasse et que l'abbaye prit ce nom à cause de cet incident. Mais on peut remarquer que la carrière de pierre portait déjà le nom de Noirlac en 1261... noirlac_054aEn 1423, les moines reçurent l'autorisation de fortifier l'abbaye, après l'épisode de l'occupation des lieux par les soudards du capitaine anglais Robert Knolles entre 1359 et 1360. Ils élevèrent un donjon, dont l'accès était défendu par un pont-levis placé sur un fossé plein d'eau qui courait tout le long de la façade de l'église. Noirlac_044A la fin du XVème siècle l'abbaye traverse une crise morale profonde. Puis vint le système de la commende qui n'arrangea rien à l'affaire. Au XVIIème siècle, il restait 4 moines en les murs... En 1650, les bâtiments sont gravement endommagés dans les combats opposants partisans du Prince de Condé et troupes royales. En 1724, des travaux de reconstruction sont entrepris. Terminés en 1730, après l'obligation de vendre les bois, ils transforment complètement l’aile des moines qui ressemble maintenant à une façade classique de château. Les restes de fortifications sont rasés, le bief des pêcheries comblé. Noirlac_052aA la révolution, l'abbaye est prête à être vendue comme maison de campagne au titre des biens nationnaux. Elle fut rachetée par Amable-Jean Desjobert, homme de loi parisien. En 1822, la demeure est rachetée par des manufacturiers, Merlin de Failly et Hull. Il transformèrent les bâtiments en fabrique de porcelaine, alors que l'aile sud était réservée au directeur, l'ancien dortoir aux ouvriers. Dans l'église, les fours de séchage et l'atelier à émail dans le choeur... Noirlac_050aEn 1894, l'abbé Jules Pailler, curé de Saint Amand rachète le tout. Pour installer son orphelinat, il entreprend une première remise en état. Noirlac_091aPuis en 1909, après son acquisition par le département du Cher, Noirlac sert de colonie de vacances aux premiers petits chanteurs à la croix de bois. Noirlac_093aEn 1950, restauration sous la conduite des architectes Ranjard et Lebouteux qui prendra fin en 1980.

Les bienfaits du Chanpagne. Tout un programme.

Monika Mentalcoach A L'Aube du Nouvel An 2013 ... Le Champagne Céder a la Tentation !!!!!!! À la fin du XIXe siècle, le champagne a parfois été étiqueté «Clos de jouvence», «Champagne hygiénique» voire «Tisane des convalescents». Champagne : à votre très bonne santé... Par figaro iconMartine Betti-Cusso - le 24/12/2012 Seuls les initiés savent que le champagne, avant d'être un vin de fête, a été officiellement un vin thérapeutique ! Il n'était pas de meilleur remède pour bien digérer, éviter les humeurs et même prévenir le vieillissement.. Du champagne sur ordonnance! La thérapeutique peut sembler déroutante mais donnerait presque envie de tomber malade. Et pourtant, dès le Moyen Age, les vins d'Epernay et de Mailly, alors tranquilles - le champagne tel que nous le connaissons n'existait pas à l'époque - étaient recommandés par Hincmar, archevêque de Reims, à son ami Pardalus, évêque de Laon, comme une médecine naturelle. Peut-on rêver plus sainte prescription! Un remède contre les rhumatismes Il est vrai qu'en ce temps-là, les vins paraissaient breuvages plus salutaires que les eaux impures des puits et des citernes. Mais ce n'est que vers la fin du XVIIe siècle, lorsque ce nectar élaboré par le moine Pierre Pérignon se met à mousser, qu'il prend ses lettres de noblesse et sera officiellement reconnu comme bienfaisant pour la santé. Le roi des vins et vin des rois est alors paré de mille vertus: auxiliaire de la digestion, remède contre les rhumatismes, puissant antiseptique, souverain contre les idées noires et la prévention du vieillissement et seul vin, selon Madame de Pompadour, «à laisser une femme belle après boire»... Sa légèreté et ses qualités furent tant célébrées que les Bourguignons en prirent ombrage et déclenchèrent une guerre de plus de cent ans, qui opposa médecins partisans des vins de Beaune à ceux adeptes des vins de Champagne, chacun vantant les mérites thérapeutiques de son nectar. Une concurrence commerciale d'avant-garde, sur fond de vertus médicinales. Les bulles tourbillonnantes, voluptueuses du vin de Champagne ont leurs inconditionnels. Ainsi, Saint-Simon rapporte dans ses mémoires que Duchesne, médecin des fils de France, qui mourut à 91 ans (une belle performance pour l'époque), «conserva jusqu'au bout une santé parfaite et sa tête entière en soupant tous les soirs avec une salade et en ne buvant que du vin de Champagne». Jean Godinot, chanoine de Reims, dans son traité sur les vins de Champagne (1718), affirme que «de tous, il n'en est pas de meilleur pour la santé». Certes, l'homme prêche pour sa paroisse, mais il est soutenu dans sa foi par la faculté de médecine de Reims et par des savants étrangers. Car la réputation du champagne a franchi les frontières. Pour se remettre d'un accouchement Citons parmi eux un lord anglais, sir Edward Barry, qui souligne en 1775, dans Observations, Historical, Critical and Medical on the Wines, qu'ils sont «légers et généreux, ne donnent ni la goutte, ni la maladie de la pierre» (pathologie plus connue aujourd'hui sous le nom de calculs rénaux)... Ou le docteur Loebenstein-Loebel, professeur à la faculté de médecine d'Iéna (Allemagne), qui note dans son Traité sur l'usage et les effets des vins dans les maladies dangereuses (1817), qu'«au moyen de sa matière sucrée et de son gaz acide carbonique, le vin de Champagne produit un excellent effet de digestion... Il ramène le calme et la gaîté chez les malades tristes et hypocondres». Même diagnostic pour le Dr Joseph Roques, en 1821, dans sa Phytographie médicale, qui vante les vertus du champagne effervescent et de tous les vins chargés d'acide carbonique pour «réveiller l'action de l'estomac, exciter les facultés mentales, inspirer l'allégresse et une douce gaîté». Mais tous de s'accorder sur la nécessité de faire usage des meilleurs crus et de les consommer avec modération, l'excès leur faisant perdre toutes les propriétés bienfaisantes. À la fin du XIXe siècle, le vin aux bulles d'or a donc toute sa place dans la pharmacopée populaire. Au point d'être parfois étiqueté «Clos de jouvence», «Champagne hygiénique» voire «Tisane des convalescents». Et, consécration s'il en est, il entre dans les pharmacies des établissements de santé. «Lors de la Première Guerre mondiale, les grandes maisons tirent gloire et parti d'être les fournisseurs des hôpitaux civils et militaires», raconte le Dr Tran Ky, auteur d'un ouvrage sur Les Vertus thérapeutiques du champagne (éd. Artulen). Et il se dit que le breuvage a été de grand soutien pour maintenir le moral des troupes et réconforter les blessés. En effet, les vertus stimulantes et reconstituantes de ce remontant effervescent sont des plus reconnues. Le remède était régulièrement administré (à dose très modérée) aux opérés mais aussi aux femmes qui venaient d'accouche. Qui oserait prescrire pareil traitement aujourd'hui dans les cliniques et hôpitaux? Les bienfaits suractivés des polyphénols De fait, la médecine ancienne était empirique et relevait de l'observation. Qu'en est-il aujourd'hui à l'aune d'une médecine moderne, plus pointilleuse et plus circonspecte? Le champagne est un alcool et contient par conséquent de l'éthanol, toxique à haute dose. Ce principe étant posé, plusieurs recherches, faisant suite à la fameuse étude sur le «French paradox» du Pr Serge Renaud en 1991, ont toutefois démontré les propriétés protectrices d'une consommation modérée de vin contre les maladies cardio-vasculaires, mais également contre certains cancers et les maladies neurodégénératives. Et la biologie moléculaire a percé les secrets du vin. Les vignes et raisins recèlent des polyphénols aux qualités antioxydantes et bénéfiques. «Or, explique le Dr Tran Ky, le champagne contient 440 variétés de polyphénols, dont le fameux resvératrol, qui permet à la vigne de résister aux parasites. Le champagne est issu de trois cépages, deux noirs, le pinot noir et pinot Meunier, et un blanc, le chardonnay. Si les polyphénols sont en moindre quantité que dans certains vins rouges, leur effet est suractivé par la double fermentation qui caractérise la fabrication du champagne.» Récemment, en 2009, une étude menée par Jeremy Spencer, chef du département des Sciences de la nutrition et des aliments de l'Université de Reading (GB) et publié dans British Journal of Nutrition, affirme qu'un à deux verres de champagne par jour diminuent le risque de subir un accident vasculaire cérébral ou des problèmes cardiaques. Les polyphénols participent à l'amélioration du fonctionnement des vaisseaux sanguins en favorisant la circulation du sang, en diminuant la pression artérielle et la probabilité de formation de caillots. Pour ce scientifique, la consommation modérée de champagne a les mêmes effets bénéfiques que ceux observés avec le vin rouge. Une étude qui mériterait confirmation par les laboratoires français qui, pour le moment, s'intéressent plutôt à la dynamique de l'effervescence des vins champenois. Un phénomène qui a toutefois son importance, tant il participe à la magie de cet élixir si particulier. Les amateurs aiment à regarder les évanescentes bulles d'or jaillir par myriades des parois des coupes et flûtes, et à les entendre pétiller. Ce spectacle contribue aussi à son effet euphorisant en éveillant les sens et le plaisir de vivre.