Le château dans le divin.

Texte et photo Suzanne Tadic-Bialucha. Dans de nombreux cas, le Graal a été demandé sur la terre. En ce qui concerne le personnel affecté, cependant, aucun navire terrestre est destiné. La connaissance des lois de la nature, qui est soumise à l'émergence et l'existence de cette terre ne peut pas être une telle conclusion En outre, le Graal n'est pas une structure qui se pose imagination humaine. Les gens doués pouvaient prendre conscie nce de la présence réelle du Graal et de ce qu'il apporte. Le Graal n'est pas de ce monde. Pour les gens qui restent un mystère, le Graal est éternel. Dieu de départ, le Graal est la base de l'émergence de la création de compétences. Comme un navire éternelle prend le Graal au charisme dieu de le faire sous une forme modifiée de la création accessible. Dans ce vagues force d'actionnement de passer à travers la création de la fin de celle-ci, pour être tiré en arrière dans le processus de changement nouveau. Ainsi, le cycle est - comparable à la circulation sanguine - qui garantit l'existence de la création. Le Graal est similaire ici au cœur, qui détient le pouvoir de faire le circuit causé Le Graal, qui ressemble à une coquille, de lumière vivante. Sans le Graal et ses vagues de la force permanente que de pulsation de débit à travers la création, ne pouvait pas passer cela. Toute la vie dans la création trouve son origine dans le Graal. La force du Graal vagues sont la loi de la création, dans l'harmonie de l'univers détient les étoiles dans leurs orbites et déplacés simultanément. Sur la terre, cette loi est perçue comme une loi naturelle. Le Graal est entouré d'un château, qui est chez les phoques et les légendes appelés "Graal". Ce château est réel. Sur le sommet de la création - au-dessus du paradis - debout, se dresse le château dans le divin. Le Saint-Graal c'est parce qu'il vient de Dieu. Il est inséparablement liée à l'Esprit Saint, et ceci est connu de Dieu. Comme Fils de l'homme, l'Esprit Saint est le médiateur entre Dieu éternel et de création. Le Fils de Dieu, Jésus-Christ, à son tour, est l'amour de Dieu qui est venu pour l'humanité de leur apprendre à s'adapter à la volonté de Dieu.

La magie des loups.

Photo Ange-Noir Eclipse.

Alphonse I le batailleur

Texte et photo Marifé Miguel Les Templiers, héritiers d'Alphonse I le Batailleur. Le 7 Septembre 1134 Alphonse I le Batailleur est mort à cause de blessures reçues au combat. Le roi d'Aragon avait pris les Almoravides et ses troupes arrivent aux portes de Grenade et de Córdoba. Assiégé Bayonne et Valence,il est venu par le sang et le feu en Galice, et il a combattu le clergé castillans qui était injuste. Après trois décenn ies de combats il est finalement tombé blessé après une agression long sur la forteresse de Fraga, lors de l'armement d'une flotte pour assiéger l’Ebre. Sa vie, pleine de batailles et de victoires, consacrée à la croix et de la guerre, a laissé une dernière surprise sous la forme d’une volonté que personne ne savait ou voulait rencontrer. Le roi croisé légué son fortune et son royaume à des ordres militaires du Saint-Sépulcre, Templiers et les Hospitaliers. Cependant nobles aragonais n'a pas accepté la volonté enfin prêt par le monarque défunt et donner le trône à Ramiro II.

Chants templiers.

http://youtu.be/FGOidC1qLE0

Le blanc Scourset de Wodecq.

Le lion de Juda, symbole de la Force spirituelle christique, surveille la nouvelle construction, la demeure spirituelle Sancti Spiritus

Le lion de Juda

Le lion de Juda, symbole de la Force spirituelle christique, surveille la nouvelle construction, la demeure spirituelle Sancti Spiritus

Tout ce qui est en haut est comme ce qui est en bas.

E. Pauli e

Photo Simone Vidal. E. Pauli écrit dans L’ Ermite (Ploegsma, 1933, p.26- 30) : ß Il y a toujours eu des gens isolés, ne comptant que sur eux-mêmes, et d ’autres ayant appris à ne faire qu’un avec l ’espèce humaine. Les premiers n’ont pas tort. Il faut connaître cet état avant d ’apprendre le second. Instinctivement, les pensées, les sentiments, les choix et les actes se rapportent d ’abord au moi. Beaucoup en restent la' .Mais ceux dont l ’ horizon est moins borne¤, qui acceptent une plus grande ouverture,vont sans aucun doute au devant de sacrifices et de souffrances, car ils sont amenés à ressentir la douleur du monde comme la leur propre, a' soutenir une lutte acharne¤e contre le mal, pour eux-me“mes et pour les autres.N’y eut-il pas un homme qui élargit son horizon comme nul autre avant lui, le Christ ? [...] Il faut admettre le lien existant entre ce que nous constatons et ce que nous endurons.Un héros pourrait-il faire preuve de courage en dehors de tout danger mortel ? Le courage est s ûr plus modeste mais non moindre : la patience. Pourrait-elle mûrir sans une souffrance prolongée ? Qui sait quels biens spirituels l ’être humain doit acquérir, pour devenir ce qu’ il est appelé à devenir ? Et qui sait par quels moyens il les obtiendra ?