lundi 8 octobre 2012

L'affaire des templiers du procès au mythe.

Sources Pierre P. 1285 Avènement de Philippe IV le Bel (octobre) 1291 Chute de la ville d’Acre (18 mai) 1292 Élection de Jacques de Molay grand maître du Temple (avant le 20 avril) 1294 Élection du pape Boniface VIII (24 décembre) 1303 Attentat d’Anagni contre Boniface VIII (7 septembre) Mort de Boniface VIII (11 octobre) puis élection de Benoît XI (22 octobre) 1305 Élection du pape Clément V (5 juin) 1306 Convocation de Jacques de Molay par le pape à Poitiers (6 juin) Expulsion des Juifs du royaume de France (juillet) Départ de Jacques de Molay de Chypre (avant le 20 octobre) et arrivée en France (novembre ou décembre) 1307 Ordre secret d’arrestation des templiers (14 septembre) Guillaume de Nogaret nommé garde du sceau (22 septembre) Arrestation des templiers dans tout le royaume de France (13 octobre) Interrogatoire des templiers à Paris par l’inquisiteur de France, Guillaume de Paris (19 octobre - 24 novembre) Bulle Pastoralis praeeminentiae ordonnant l’arrestation des templiers dans toute la chrétienté (22 novembre) 1308 Réunion de l’assemblée de Tours (5-15 mai) 1309 Débuts des travaux de la commission pontificale de Paris (8 août) Interrogatoires de Jacques de Molay (26 et 28 novembre) 1310 Bûcher de 54 templiers relaps à Paris (12 mai) 1311 Fin des interrogatoires de la commission pontificale de Paris (5 juin) Ouverture du concile de Vienne (16 octobre) 1312 Bulle Vox in excelso de suppression de l’ordre du Temple (22 mars) ; bulle Ad providam de dévolution des biens du Temple à l’Hôpital (2 mai) 1313 Mort de Guillaume de Nogaret (11 avril) 1314 Bûcher de Jacques de Molay et de Geoffroy de Charnay (18 mars) Mort du pape Clément V (20 avril) Mort du roi Philippe IV le Bel (29 novembre) introduction 4 première partie Avant l’affaire : l’État, l’Église et la Terre sainte 6 L’enclos du Temple 8 Les acteurs de l’affaire 10 deuxième partie Un procès bien orchestré : la prison, l’Inquisition, les aveux 24 L’arrestation, les interrogatoires, l’assemblée de Tours 26 Le rouleau des interrogatoires de Paris encart troisième partie La fin du Temple : les succès d’une méthode de répression 42 La destinée des biens templiers ; hérésie et sorcellerie 44 quatrième partie Les templiers ressuscités 54 Le théâtre 56 L’ordre moderne du Temple 58 biblio

Extrait de LA GARDIENNE DE LA 9e PORTE (3).

Extrait de la gardienne de la 9e porte. ... - C’est une abbaye Cistercienne A la Croix philosophe. Le vieux saule s’appelle le champ de la Mère-Dieu, c’est le seul endroit du monde où, il soit possible d’être à la fois, près d’Athènes et, des Monts Pyrénées. Le champ des nuages situé au sud de la terre des Débats. Quintin l’église de Wodecq. Place de Wodecq et Cambron chaux. De la Croix Philosophe, il faut regardez en direction de l’église de Wodecq. On y voit le grand champ. Cours d’eau le Ronsart. Le Ronsart, le Saule pleureur, les fleurs des champs. Un sart est un endroit défriché. Le lieu défriché près du Röne. S’asseoir sur la pierre carrée à midi et regarder vers l’ouest. On voit le petit abri blanc, le banc scourset. ...

dimanche 7 octobre 2012

Les Centuries. Extrait de LA GARDIENNE DE LA 9e PORTE. (3).

Le petit abri blanc.
Rudy Cambier Voici les centuries qui mène au petit abri blanc du blanc Scourset de Wodecq, 21 tonneaux contenant l'un des trésors templiers s'y trouve toujours. ( 1) La lune au plein de nuit sur le mont Le camp du temple de la vierge vestale Non eslongne d’Ethene monts pirrennees Le grand conduit est cache dans la malle North getez fleuve et vignes matinees Pres de Quintin dans la forest bourlis Dans l’Abbaye seront Flamens ranches Par la forest du Touphon essartee Par hermitage sera pose le temple Pres de la fin et principe du Rosne (1) Montera haut sur le lieu le plus a droite A l’aise n’ira, le Buy ne retournera De nuict viendra par la forest de Reines Deux pars voltorte Herme la pierre blanche Le moine noir en gris dedans Varennes Demoure assis sur la pierre quarree Vers le midi pose a sa semestre Baston tordu en main bouche serree Noir blanc a l’inde dissimule en terre Au mois troisième se levant le (du) Soleil Sanglier Liepard du champ Mars pour combattre Liepard lasse au ciel estend son œil Un aigle autour du soleil voit sebattre. Dessous de chaine Guien du Ciel frape Non loing de la est cache le tresor Qui par long siecle avoit este grape Trouve mourra loeil creve du ressor Le divin Verbe sera du Ciel frape Qui ne pourra proceder plus avant Du reserrant le secret estoupe Qu’on marchera par-dessus et devant Mis tresor temple citadins Hespericques Dans iceluy retire secret lieu loing temptez de cite Antipollique De Nismes, d’Arles et Vienne contemmer N’obey tout a l’edict Hespericque Soulz la pasture d’animaux ruminants Par eux conduits au ventre herbipolique Soldats caches les armes bruit menants Non Les vieux et peres sortiront bas de lenfer La voye auxelle l’un sur l’autre formix. (1)Sources Rudy Cambier.

Extrait de LA GARDIENNE DE LA 9e PORTE. (2).

Extrait de la gardienne de la 9e porte. Le vieux moine a construit son œuvre de telle manière qu’une lecture au premier degré permet de reconnaître des faits historiques dont la source se trouve dans les manuscrits tels que le speculum historiale de Vincent de beauvais, présent à Cambron au moment où Yves de Lessines y était moine. Une seconde lecture désigne les ennemis de l’ordre du temple ou rapporte des faits auxquels furent mêlés des templiers en semant des allusions à des événements cette fois contemporain de l’auteur. Et masqué derrière ces deux écrans qui pourtant le génèrent se dissimule un troisième niveau de lecture, celle qui raconte l’épopée du temple, surtout les circonstances de sa destruction et qui indique les moyens qui ont été ménagés pour la faire renaître. Ce qui n’arriva pas. (Sources Rudy Cambier).

Extrait de LA GARDIENNE DE LA 9e PORTE.

Extrait de la gardienne de la 9e porte - Nous devrions peut-être poursuivre le chemin, l’orage semble se rapprocher de nous, suggéra-t-elle. - Vous avez raison Sabrina. Nous allons faire un bout de chemin en voiture, à pied c’est trop harassant. Cinq minutes plus tard, le 4X4 noir s’arrêtait une nouvelle fois. Le camp du temple Le camp, champ en Picard. Temple, vierge en Picard. Pourquoi vestale, parce que ce terme signifie abbaye cistercienne de Saint-Bernard. Symbolisé au Moyen Age avec une flamme sur la tête. De la gardienne de la flamme. C’est un nom éloigné. Mont de Mainvault. Athène, Athentis, la nouvelle Athènes. Noms éloignés. Ce qui n’a pas de sens, fait le sens. Mont de Renaix, Pyrénées. Le grand conduit est caché dans la malle sauvegarde. La malle au Moyen Age c’est une terre de sable mouvant. Près de Quintin de l’église de Wodecq. (Sources Rudy Cambier). le Traversé hameau del Buis. Dans abbaye seront Flamands. En 1303, des Flamands y ont été enfermés. Défriché forêt Guis. Dans un ermitage sera posé temple. Près de la fin du Rhône à Wodecq et le début du principe. A un kilomètre et demi de sa fin et de sa source Champ du nuage Champ du Marli. Terre au Moyen Age que l’on ne se payait pas et qu’on exploitait en commun Au nord. Juste devant chez Marc, champ de la Vigne. Chemin d’Armi-Mont. Montera haut sur le lieu plus haut. Le baston tordu signifie le maître du temple. Noir et blanc contenu du temple. Dissimulé dans la terre d’Inde. (Sources Rudy Cambier). Le divin verbe serra du verbe frappé. (Sources Rudy Cambier). Après être remonté en voiture, redescendu. Après avoir de nouveau marché. Marc et Sabrina se trouvaient maintenant devant chez Marc.

La stricte observance templière.

La Stricte Observance Templière La Stricte Observance Templière est une obédience maçonnique allemande constituée vers 1751 par le baron Karl von Hund (1722-1776). Cette Maçonnerie rectifiée proviendrait directement de l'Ordre du Temple, mais également de la Maçonnerie Écossaise, œuvre des Stuarts détrônés (branche Jacobite). La S.O.T. veut restaurer l'Ordre du Temple, retrouver ses trésors en obéissant à ses chefs, les Supérieurs Inconnus. Elle conférait sept grades : apprenti, compagnon, maître, maître écossais, Novice, Templier, Chevalier Profès qui comprenait lui-même plusieurs classes. Ferdinand de Brunswick-Lunebourg-Wolfenbüttel (1721-1792) en devient le Grand Maître en 1777. A la mort de Hund en 1776, Charles de Sudermanie établit des rapprochements avec la maçonnerie suédoise de Zinnendorf, appelée « École du Nord », influencée par l'hermétisme et le rosicrucianisme. imagesCAGF6153 La filiation templière et le mythe des Supérieurs Inconnus ne sont pas reconnus au Convent de Wilhelmsbad qui forme à sa place le Régime Écossais Rectifié dont les prieurés sont calqués sur l'organisation médiévale, et son degré terminal Chevalier Bienfaisant de la Cité Sainte (CBCS) est un grade plus chevaleresque que maçonnique. Le « Discours inaugural » des Chevaliers Bienfaisants de la Cité Sainte commence ainsi : « Trois de nos ancêtres, possédant le grand secret, trouvèrent le moyen d'échapper aux recherches générales et particulières que l'on fit contre eux. Ils errèrent dans les bois et les montagnes, de royaume en royaume ; enfin ils se retirèrent dans des cavernes proches de Herdown en Écosse où ils vécurent, servis et secourus par les chev.•. de Saint-André du Chardon, les anciens amis et alliés des Templiers. Ces trois Templiers firent une nouvelle alliance avec les chev.•. de Saint-André… ». La Stricte Observance Templière fut protégée par l'empereur Frédéric II de Prusse, l'empereur Joseph II, le tsar, le roi de Suède et, en 1780, par monseigneur le duc de Chartres, Grand Maître du Grand Orient pour la France. Une douzaine de rois, princes, et ducs régnants en faisaient partie, notamment le prince landgrave Charles de Hesse-Cassel, beau-frère du roi de Danemark, le prince Charles de Mecklembourg-Strelitz, frère de la reine d'Angleterre, le prince Henri de Prusse, frère et compagnon d'armes de Frédéric II (visiteur du chapitre de Lyon en 1784), le duc Ferdinand de Brunswick, ancien général de Frédéric II, et le duc héréditaire d'Havré et Croÿ, prince du Saint-Empire et grand d'Espagne, etc., ainsi qu'une cinquantaine environ de princes et ducs, cent cinquante marquis, comtes, vicomtes, barons, baillis et chevaliers, cinq commandeurs et chevaliers de Malte, vingt-cinq archevêques, évêques, chanoines, prieurs et abbés de l'Eglise catholique romaine et plusieurs pasteurs luthériens. On comptait aussi pas moins d'une soixantaine de maréchaux, généraux, colonels et lieutenants-colonels, commandants et capitaines. Parmi les grands commis d'Etat, on trouve une cinquantaine de ministres, chambellans, gouverneurs, lieutenants-généraux, présidents, députés, sénateurs, bourgmestres, conseillers et secrétaires intimes. Les professions libérales y étaient également représentées par une dizaine de chirurgiens et médecins, une vingtaine de professeurs, musiciens, peintres, imprimeurs-libraires et ingénieurs ; et, pour la Suisse et la France, une quarantaine de négociants, marchands et banquiers, en grande majorité de Lyon, Bordeaux, Strasbourg, Nancy et Bâle. On comprend alors que les différences de caste et de nationalité contribuèrent, à la fin du XVIIIème siècle, suivie de la Révolution française, à séparer par une réforme les Templiers allemands des suisses et des lyonnais. Ces derniers demandaient, d'ailleurs, l'autonomie du système français, ainsi que la suppression de la distinction entre nobles et non nobles. De plus, la doctrine des Clercs de Lyon était, à l'évidence, loin de ressembler à celle des Clercs allemands. Ces hauts grades avaient pourtant été importés en partie, en 1763, par des officiers français prisonniers, expliquant ainsi le nom du premier chapitre de Clermont à Berlin. On peut dire que la Stricte Observance Templière fut composée, de 1751 à 1782, d'environ trois mille cinq cents Frères dans cent quatre vingt loges implantées dans une centaine de villes, dont plusieurs loges de régiments (comme celles du Royal-Roussillon, de Durlach, de Tillier...). Six cents membres au moins firent partie de l'Ordre Intérieur. D'autre part, l'Ordre était aussi propriétaire d'un navire et de plusieurs hospices et orphelinats, faisant même bâtir une église à Kittlitz, sur les terres du Baron de Hund . Sources O+R+T

Le trésor templier du château d'Arginy.

Jacques Breyer et Arginy Né en mars 1922, à Noyon, dans l'Oise, Jacques Breyer eut une enfance paisible, bercée par la nature, les chevaux, la vigne, en Anjou, au bord de la Loire. Déporté pendant deux ans à Buchenwald, il rentra en 1945, longtemps mal en point, et fort disponible pour l'Objet des Combats de Lancelot, Galaad et autres Chevaliers . Il vit alors dans les Pyrénées Orientales. C'est à cette époque qu'il reçoit en héritage de son grand-père rebouteux, guérisseur et alchimiste divers objets et ouvrages ésotérique qui allait aiguiller sa vie sur les chemins de l'occultisme. imagesCATQZ93V Au printemps 1952, il apprend l'existence d'un mystérieux trésor des Templiers caché au château d'Arginy. Dans la nuit, en rêve, il lui est demandé de prendre contact avec le propriétaire d'Arginy, le Comte de Rosemont, propriétaire du château, qui le reçoit dans son château : il y restera 7 ans. Dans la Tour du Château d'Arginy, Breyer entreprend des recherches occultes, ponctuées par de rares sorties à l'extérieur pour soigner des animaux malades, ou pour présenter au pulic ses conférences. Il sympathise avec un médium, Marcel Vayre de Bagot, représentant de profession, puis avec Armand Barbault, alchimiste auteur de " L'Or du Millième Matin ". Le 12 juin 1952, à 22h00, une expérience théurgique majeure des compères aboutit à une résurgence néo-templière d'importance l'Ordre Souverain du Temple Solaire. En 1953, à Paris, Jacques Breyer fait la connaissance de Maxime de Roquemaure, descendant d'une haute lignée templière et Grand-maître adjoint d'un groupe templier descendu d'une lignée catalane. Celui-ci rejoint le noyau des premiers dévôts de l'OSTS, désormais connu aussi sous le nom de Résurgence d'Arginy. imagesCA6XIUO8 En 1956, des Maçons de la GLNF rejoignent le groupe initial : Vincent Planque, Pierre de Ribaucourt, fils du fondateur de l'Obédience. Une première commanderie est alors acquise par le groupe. Elle se situe entre Gap et Grenoble, dans le Dévoluy. Mgr Jean de Saint-Denis, évêque de l'Eglise Orthodoxe de France y est reçu . Breyer écrit deux livres : " Dante alchimiste ", en 1957 et " Arcanes solaires ou les secrets du Temple solaire ", en 1959. En 1958, Breyer perd son père et retourne à la vie profane. puis rentre dans une nouvelle retraite en 1960, jusqu'en 1963. Il continue ses recherches avec quelques frères du groupe initial. En 1964, Jacques Breyer se retire de la résurgence templière d'Arginy. En 1965, Julien Origas entre à l'O.S.T.S. Le 24 juin 1966, l'Ordre Souverain du Temple Solaire (O.S.T.S.) apparaît au grand jour, avec l'élection de Jean Soucasse, vingt-troisième Grand-maître du Temple. L'O.S.T.S. est reconnu en 1967 à Monaco. Jacques Breyer décède en 1996 et on ne peut que constater à voir sa vie et son oeuvre qu'il est bien le Père du néo-templarisme moderne. Respect à lui et Hommage Infini à sa mémoire. Sources O+R+T