Créé pour vous présenter mon dernier livre,je vous présente 4500 articles sur le thème de mon livre :les Templiers,des sujets ésotériques,des textes rosicrusiens,les mérovingiens, saint-Graal,Nostradamus,Mary Magdalene.Le Baphomet et le Tau, Château de Saumur,la femme dans l'histoire templière. Trésor templier.Histoires, légendes de Belgique,de France et d'Europe et Celtiques. La spiritualité. Développement personnel.
mardi 16 octobre 2012
Jerome Dutrieux
Extraits d’un magazine féminin des mots anglais qui sont censés être « branchés » et parler d’un sujet éminemment important … la chaussure.
Si vous portez des sandales, vous ne la savez peut être pas mais vous portez des « open toes » littéralement des « orteils ouverts »!
Si vous portez des bottes courtes ce sont des « low boots »
Pour les chaussons, dites des « slippers », les talons compensés sont des « wedges » et des chaussures de sport que vous portez en ville des « Running » !
Bon, il n’existe pas de mots anglais pour pataugas et tong !
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Rudy Cambier
À diffuser svp. Merci.
Les chemins du trésor des Templiers – asbl Ivo de Lessinis
Au sein de notre asbl, un groupe de recherche et d'études s'occupe de retrouver et de baliser le tracé des 7 itinéraires qu'au 14ème siècle le 15ème abbé de l'abbaye cistercienne de Cambron, Yves de Lessines, imagina pour mener au lieu du dépôt des reliques et documents templiers son "attendu" qui, croyait-il, allait ressusciter l'Ordre Sacré du Temple.
Ce dimanche 21 octobre, le groupe projette un voyage d'un jour en Thiérache pour la visite des plus belles églises fortifiées de la région.
Le départ est fixé à 7h du matin au N° 6 Blanc Scourchet à 7890 Wodecq chez Rudy Cambier - Retour approximativement vers 21h.
Le voyage s'effectue en car.
Nous visiterons au cours de ce voyage, outre une très belle région, une douzaine d'églises fortifiées sélectionnées parmi les plus belles, les plus intéressantes et les plus variées. Un document vous sera remis qui vous expliquera bien des choses sur ces églises et vous serez guidés sur place.
Il est prévu un premier arrêt à Avesnes sur Helpe au cours duquel nous prendrons un petit déjeuner café croissant. Un repas de midi est prévu à Vervins et une collation sandwichs dans le car au retour.
L'ensemble: voyage en car + les différents repas vous coûtera la modique somme de 50 euros. Ce prix comprend tout hors les boissons. La somme devra être remise le matin du départ.
(Pour le repas de midi: Hors-d'œuvre de charcuteries et crudités - Poulet pommes sautées et haricots ou spaghettis bolognaise - Maroilles ou mousse au chocolat. Veuillez indiquer le plat consistant et le dessert choisis en vous inscrivant)
Si le Moyen-
Inscription si possible avant ce samedi 13 octobre à l'adresse mail suivante (corteville.claurayli@edpnet.be) ou par l'entremise d'un des membres actifs de notre groupe (Rudy, Denise, Jean-Marie Flamand, Jacqueline Lenssens-Claessens, Bruno...ou toute autre personne, membre de notre groupe, qui se chargera de les contacter endéans la semaine)
Nous serions très heureux de vous retrouver à cette occasion. Et voyager ensemble nous donnera l'occasion de faire connaissance ou d'échanger les dernières nouvelles.
Nous espérons donc que le plus grand nombre d'entre vous et des vôtres se joindra à nous.
Bien à vous,
Claude Corteville
La Samain.
Hervé Bertrand de Bretagne
SAMAIN.
Le Samain était une fête celtique encore appelée Saman et Samhain, ou Samonios chez les gaulois.
Elle marque le début et la fin de l'année celtique, et annonce le début du Temps Noir. En effet Samain n’appartient ni à l’année qui se termine ni à celle qui commence : c’est un jour en dehors du temps qui permet aux vivants de rencontrer les défunts. Et elle permet aussi aux défunts, non réincarnés, de passer dans le monde des vivants pour y retrouver les lieux et les personnes qui leur étaient chers. On situe ce jour au premier Novembre de notre calendrier. Mais comme toutes les principales fêtes celtiques, Samain compte trois jours de solennités : le premier est consacré à la mémoire des héros, le deuxième à celle de tous les défunts, et le troisième est livré aux réjouissances populaires et familiales marquées par des réunions, des banquets, des festins de toutes sortes qui pouvaient se prolonger pendant une semaine.
La veille de la nuit
de Samain, avait lieu la cérémonie de la renaissance du feu. Les propriétaires des maisons éteignaient les feux de l’âtre avant de se rassembler à la nuit tombante sur la place où les druides procédaient à l’allumage d’un nouveau feu sacré en frottant quelques bois secs du chêne sacré. Ils allaient ensuite allumer de grands feux de joie sur les collines environnantes pour éloigner les esprits malfaisants. Puis chaque maître de maison repartait avec quelques braises tirées du nouveau feu sacré pour rallumer un nouveau feu dans l’âtre de sa maison qui devait durer jusqu’à la prochaine fête de Samain et protéger ainsi le foyer tout au long de l’année.
Dans la nuit du 31 octobre – les fêtes celtes commencent à la tombée de la nuit -, on croyait que le monde des morts, des fées et des sorcières entrait en contact avec celui des vivants. On croyait ainsi que les âmes des défunts revenaient errer autour des maisons des vivants c' est pourquoi on laissait la porte entre ouverte et une place à table et on plaçait des lanternes sur les chemins pour les guider.
La tradition de Samain n’a pas complètement disparu ni avec la romanisation de la Gaule, ni avec le développement du catholicisme. Et c’est sans doute par référence à cette fête celte que le pape Grégoire IV décida, en 840, de faire du 1 er novembre, le jour de tous les saints. La référence à Samain devenait encore plus claire lorsque, trois siècles plus tard, à la fête des saints et des martyrs, on adjoignit la fête de tous les morts.
Avec la fête américaine d’Halloween largement entretenue par les médias et la publicité, est apparu Jack O’ Lantern, un personnage tiré d’un conte irlandais. Ivrogne invétéré et avare, Jack réussit à tromper le diable à deux reprises.
lundi 15 octobre 2012
La dernière lettre de Marie-Antoinette.
Texte et photo Louis XX
Dernière lettre de la Reine Marie-Antoinette
Ce 16 octobre 1793 à 4h1/2 du matin
C’est à vous, ma sœur que j’écris pour la dernière fois.
Je viens d’être condamnée non pas à une mort honteuse – elle ne l’est que pour les criminels – mais à aller rejoindre votre frère. Comme lui innocente, j’espère montrer la même fermeté que lui dans ses derniers moments. Je suis calme comme on l’est quand la conscience ne reproche rien ; j’ai un profond regret d’abandonner mes pauvres enfants. Vous savez que je n’existais que pour eux et vous, ma bonne et tendre sœur. Vous qui avez par votre amitié tout sacrifié pour être avec nous, dans quelle position je vous laisse ! J’ai appris par le plaidoyer même du procès que ma fille était séparée de vous. Hélas ! La pauvre enfant, je n’ose pas lui écrire, elle ne recevrait pas ma lettre. Je ne sais pas même si celle-ci vous parviendra. Recevez pour eux deux ici ma bénédiction. J’espère qu’un jour, lorsqu’ils seront plus grands, ils pourront se réunir avec vous et jouir en entier de vos tendres soins. Qu’ils pensent tous deux à ce que je n’ai cessé de leur inspirer, que les principes et l’exécution exacte de ses devoirs, sont la première base de la vie, que leur amitié et leur confiance mutuelles en feront le bonheur ; que ma fille sente qu’à l’âge qu’elle a, elle doit toujours aider son frère, par les conseils que l’expérience qu’elle aura de plus que lui et son amitié pourront lui inspirer ; que mon fils à son tour, rende à sa sœur tous les soins, tous les services que l’amitié peut inspirer ; qu’ils sentent enfin tous deux que dans quelque position qu’ils pourront se trouver, ils ne seront vraiment heureux que par leur union ; qu’ils prennent exemple de nous. Combien dans nos malheurs, notre amitié nous a donné de consolation, et dans le bonheur on jouit doublement quand on peut le partager avec un ami, et où en trouver de plus tendre, de plus cher que dans sa propre famille ? Que mon fils n’oublie jamais les derniers mots de son père que je lui répète expressément : qu’il ne cherche jamais à venger notre mort. (…) Il me reste à vous confier encore mes dernières pensées. J’aurais voulu les écrire dès le commencement du procès, mais, outre qu’on ne me laissait pas écrire, la marche a été si rapide que je n’en aurais réellement pas eu le temps.
Je meurs dans la religion catholique, apostolique et romaine, dans celle de mes pères, dans celle où j’ai été élevée, et que j’ai toujours professée. N’ayant aucune consolation spirituelle à attendre, ne sachant pas s’il existe encore ici des prêtres de cette religion, et même le lieu où je suis les exposerait trop s’ils y entraient une fois. Je demande sincèrement pardon à Dieu de toutes les fautes que j’ai pu commettre depuis que j’existe. J’espère que, dans Sa bonté, Il voudra bien recevoir mes derniers vœux, ainsi que ceux que je fais depuis longtemps, pour qu’Il veuille bien recevoir mon âme dans Sa miséricorde et Sa bonté. Je demande pardon à tous ceux que je connais et à vous ma sœur, en particulier, de toutes les peines que, sans le vouloir, j’aurais pu leur causer. Je pardonne à tous mes ennemis le mal qu’ils m’ont fait. Je dis ici adieu à mes tantes et à tous mes frères et sœurs. J’avais des amis ; l’idée d’en être séparée pour jamais et leurs peines sont un des plus grands regrets que j’emporte en mourant. Qu’ils sachent du moins que jusqu’à mon dernier moment, j’ai pensé à eux.
Adieu, ma bonne et tendre sœur. Puisse cette lettre vous arriver. Pensez toujours à moi ; je vous embrasse de tout mon cœur, ainsi que ces pauvres et chers enfants. Mon Dieu ! qu’il est déchirant de les quitter pour toujours ! Adieu, adieu, je ne vais plus que m’occuper de mes devoirs spirituels. Comme je ne suis pas libre dans mes actions, on m’amènera peut-être un prêtre, mais je proteste ici que je ne lui dirai pas un mot et que je le traiterai comme un être absolument étranger.
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