vendredi 9 novembre 2012

La duchesse de Berry en France.

Louis XX
Arrivée de la duchesse de Berry en France, par Carle Vernet.

La légende de Sir Bohort ou Bors.

Photo De Brocéliande à Avalon. Sir Bohort ou Bors , est le fils de roi Bohort de Gaunes (peut être Vannes en Petite Bretagne) et de la reine Evaine soeur d'Elaine(3), épouse du roi Ban de Bénoïc. Il était le cousin de Sire Lancelot. Il sera l'un des trois chevaliers à mener à son terme la quête du Graal et le seul à revenir vivant. Le roi Bohort et son frère le roi Ban de Bénoïc privés du soutien du roi Arthur qui tarda trop à tenir sa promesse d’aide militaire, furent attaqués par le roi Claudas et périrent lors de la bataille. Les deux orphelins, Bohort le Jeune et Lionel, furent conduits en captivité chez leur vainqueur. Maltraités ils se révoltèrent et tuèrent le cruel Dorin, fils de Claudas. Cependant ils purent se sauver grâce à Seraide, une servante (ou grâce à un serviteur) de la Dame du Lac, qui les confia à sa maitresse. Ils furent donc été élevés en même temps que leur cousin Lancelot. Benigne (Blévine ) de Glocedun secourue par Bohort (c. 1480) BNF Plus tard, Bohort, Lionel et Lancelot se rendirent à la cour du roi Arthur. Bohort, qui porte désormais le nom de Bohort l’Essillié (avec le sens de dévasté) ou l’Exilé, devient avec Gauvain et Bédivère les messagers entre le roi Arthur et son ennemi romain, Lucius. Bohort, facilement reconnaissable par une cicatrice caractéristique sur son front, devint un guerrier redoutable, maniant l'épée du duc Galeholt avec dextérité. Il va devenir un personnage central dans les campagnes du roi Arthur et faire parti de sa garde personnelle. Il livra une terrible bataille contre Claudas et libèra la terre de son père. Bohort attira l’attention de la fille du roi Brandegoris de Stranggore qui désirait l’avoir pour amant. En digne chevalier de la Table Ronde, il refusa pour demeurer chaste. Avec l'aide d'un anneau magique, la princesse l’attira dans son lit et il devint le père d’Helain le Blanc qui plus tard fut chevalier de la Table Ronde. Dans une autre occasion il sut résister à la tentation de la chair. De belles et jeunes femmes menaçaient de se jeter du haut d’une tour s’il ne voulait pas coucher avec au moins l’une d’entre elles. Par compassion il hésita quelques temps, puis il décida de respecter son vœu de chasteté. Alors, la tour et les femmes disparurent pour laisser voir des démons avaient essayé de le tenter en vain. Combat de Bohort et Lionel qui tue le chevalier et le religieux Une autre fois il se trouva devant un grand dilemme : d’un coté son frère Lionel en train d’être fouetté par des brigands armés de bâtons épineux et de l’autre une pure damoiselle violentée par un chevalier indigne. Il n’hésita pas et secourut la jeune fille en espérant que son frère arrive à s’en tirer tout seul. Bien entendu Lionel put se délivre tout seul mais il garda rancune de cet épisode car il était persuadé que Bohort l’avait trahi. Il décida de le provoquer en duel pour le tuer. Bohort ne voulut pas porter une arme contre son frère et ne fit que se défendre. Bientôt Sire Calogrenant et un religieux ermite tentèrent de s'interposer entre les deux frères mais Lionel les tua tous les deux. Alors une colonne de feu divin surgit entre les deux combattants pour les séparer les deux frères qui se réconcilièrent. En dépit de sa paternité involontaire, Bohort resta pur et participa à la quête du Graal. Avec Galahad et Perceval, Bohort réussit à transporter le Graal à Sarras. Galahad voulut regarder ce qu’il y avait à l’intérieur du Graal et il en mourut ; Perceval resta à Sarras pour devenir le nouveau gardien de la Coupe Sacrée ; seul Bohort revint vivant à la cour d'Arthur pour raconter le résultat de la quête. Bien qu’il ait toujours condamné l’adultère de Lancelot et de Guenièvre, il aida son cousin et devint l'un de ses meilleurs conseillers. Lorsque Gauvain appela à l’aide Lancelot lors de la terrible bataille qui opposait Arthur et son fil Mordred, Bohort y participa et vengea la mort de son frère Lionel tué par Melehan, fils de Mordred. Sources mythologica.fr

La tourelle cachée de l'enclos des templiers.

LA TOURELLE CACHÉE DE L’ENCLOS DES TEMPLIERS
Qui se doutait que le 73 de la rue Charlot (III e ) cachait derrière une façade ordinaire les vestiges de l’une des tours d’enceinte de l’ancien enclos des Templiers, édifiée vers 1240 ? Alerté par un riverain, Gérard Simonet, président de l’association Vivre le Marais, s’est alarmé de l’environnement délabré dans lequel se trouve ce joyau du patrimoine parisien. « C’est pourquoi j’ai voulu prévenir les habitants du Marais et la mairie du III e de l’existence de ce site exceptionnel. Il faut absolument conserver la mémoire d’un monument historique aussi remarquable. » Dernière trace matérielle du célèbre enclos des Templiers qui fut détruit en 1806 sur ordre de Napoléon, cette tour de pierre, portée par un très beau mur d’assise, fait 5 m de diamètre pour environ 10 m de hauteur. Elle est désormais au milieu de gravats accumulés pendant les travaux de rénovation entrepris depuis trois ans par la copropriété de l’ensemble immobilier. Pourtant, la rue Charlot se situe dans le quartier historique du Marais, un secteur protégé selon les règles d’urbanisme très strictes du plan de sauvegarde et de mise en valeur (PSMV). Connue des architectes des Bâtiments de France La tourelle est connue des architectes des Bâtiments de France (ABF) qui confirment « surveiller » régulièrement l’évolution des travaux. « Le chantier en cours est conforme mais n’avance pas, regrette Sophie Hyafil, en charge des III e et IV e arrondissements pour les ABF. Il semble en effet s’être stoppé. » « De toute façon, cette tour, on ne la voit pas », prétexte le syndic de la copropriété. « Il s’agit d’une propriété privée qui n’est pas ouverte aux visiteurs », argumente encore une personne chargée du dossier. Par manque de moyens et sans doute d’intérêt, ce vestige très rare n’a jamais bénéficié d’une attention digne de son histoire. Des constructions parasites se sont greffées sur lui au fil du temps, avec, notamment, un atelier qui a été détruit ces dernières années. Ces bâtiments, qui accueillent des locataires et des activités commerciales, ne peuvent plus aujourd’hui être déconstruits. « C’est très dommage », confie Sophie Hyafil. « L’idéal aurait été de faire, au cours des travaux actuels, un grand hall qui aurait mis en valeur l’édifice. » Pour monter un tel projet, la solution serait de se tourner vers des associations telles que la Fondation du patrimoine, qui essaye de préserver le petit patrimoine situé dans des domaines publics et privés en les soutenant financièrement. Mais pour obtenir cette aide, le vestige doit impérativement être visible de la voie publique… ce qui n’est pas le cas de la tourelle. Résultat, aujourd’hui, de nombreux Parisiens passent encore chaque jour devant le 73 de la rue Charlot… sans deviner le trésor qui leur échappe. Cet article a été publié dans la rubrique Paris III. Le Parisien. Ce contenu a été publié dans Textes par templierveritas. Mettez-le en favori avec son permalien. 2 réflexions au sujet de « LA TOURELLE CACHÉE DE L’ENCLOS DES TEMPLIERS »
La France pittoresque
9 novembre 1799 : coup d’Etat du 18 brumaire an VIII et renversement du Directoire ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬● Nous ne nous arrêterons pas à retracer la longue série de désordres, de calamités, d’erreurs, de fautes ou de crimes qui provoquèrent et nécessitèrent la journée éternellement mémorable du 18 brumaire. Mais les moindres détails de cette journée sont précieuses pour l’histoire... > La suite sur http://bit.ly/Sxnuqo

Rosicrusian Culturel Center.

Rosicrucian Cultural Center of New York City
"Karnak" by H. Spencer Lewis