Créé pour vous présenter mon dernier livre,je vous présente 4500 articles sur le thème de mon livre :les Templiers,des sujets ésotériques,des textes rosicrusiens,les mérovingiens, saint-Graal,Nostradamus,Mary Magdalene.Le Baphomet et le Tau, Château de Saumur,la femme dans l'histoire templière. Trésor templier.Histoires, légendes de Belgique,de France et d'Europe et Celtiques. La spiritualité. Développement personnel.
lundi 12 novembre 2012
Un mythe tenace.
UN MYTHE TENACE
Publié le 8 novembre 2012
Les Templiers étendent rapidement, leurs possessions à l’ensemble de l’Orient latin et de l’Occident.
Ils élèvent commanderie,lieux de culte et châteaux pour accueillir les fidèles,abriter leurs communautés et défendre les territoires dont ils ont la garde.
Centre économique, pôle de pouvoir militaire et seigneurial et espace de vie monastique,qui tient à la fois du monastère traditionnel,de l’exploitation agricole,du palais aristocratique et parfois du château.
Un mythe tenace ,popularisé par Viollet-le-Duc( né le 27 janvier 1814 à Paris et mort le 17 septembre 1879 à Lausanne, est un architecte français, connu auprès du grand public pour ses restaurations de constructions médiévales.)
veut que les Templiers aient systématiquement bâtie leurs églises selon un plan centré,sur le modèle du Saint Sépulcre de Jérusalem.
En réalité ,en dépit de quelques exemples fameux(les rotondes de Londres,Paris ou Tomar),ils ont privilégié des constructions bien plus simples.
S’il n’existe pas de modèle unique d’architecture templiére,les frères s’étant pliés aux répertoires stylistiques et techniques locaux,on note toutefois des plans de prédilection qui révèlent l’esprit de simplicité et d’austérité qui imprègne l’ordre à ses débuts.La nef unique voutée en berceau brisé,terminée par une abside ou le plus souvent par un chevet plat,est une constante que l’on retrouve dans les églises conventuelles,mais aussi dans les chapelles castrales(rattaché à un château).La simplicité des élévations et la discrétion des éléments sculptés laissent en revanche la place aux décors peints,dont les rares exemplaires conservés sont à Cressac , à Pérouse ou en Catalogne.Il est possible d’identifier des familles d’églises stylistiquement homogènes à l’échelle d’une région.Ainsi,en Aquitaine,dans un espace marqué par l’efflorescence du décor roman,les chapelles Templiéres s’en tiennent au modèle du vaisseau unique,simplement éclairé au chevet par trois baies d’inspiration toute cistercienne.en Catalogne,les frères sont les premiers à utiliser l’arc diaphragme-solution de couvrement riche d’avenir-,qu’ils adaptent successivement aux constructions romanes et aux premières expériences gothiques.Au XIIIe siècle,l’ordre n’est pas insensible à ce nouveau style qu’il transporte du berceau francilien-le Temple de Paris,Epailly ou Rampillon-aux terres méridionales.Ainsi la chapelle du Temple d’Avignon ou la vaste église de Villalcàzar de Sirga,en Vieille-Castille,portent-elles les marques du gothique rayonnant.Preuve que les Templiers peuvent,à l’occasion,diffuser des formes et techniques nouvelles.C’est dans le domaine de l’architecture militaire que ces transferts sont les plus évidents,même s’il est délicat d’en déterminer précisément les canaux de diffusion.En occident,si les Templiers se sont conformés aux techniques et aux vocabulaires stylistiques locaux,commanderies, églises et châteaux n’en portent pas moins leur marque.L’aspect fonctionnel prime toujours,mais les frères n’ont pas hésité à adopter et à diffuser certaines nouveautés lorsqu’il s’agissait d’améliorer la défense d’un château ou d’exalter le rayonnement spirituel d’un lieu de culte.
D‘aprés un texte de Damien Carraz
Ce contenu a été publié dans Architecture par templierveritas.
Que signifie : jeter le froc aux orties.
La France pittoresque
Expression : Jeter le froc aux orties
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Ces mots s’emploient, par extension, pour désigner l’acte de toute personne qui, par inconstance ou par découragement, renonce à exercer une profession ou à terminer ce qui était commencé. Dans le sens propre, c’est se dépouiller de la robe ecclésiastique pour prendre le costume civil, c’est-à-dire quitter...
► La suite sur http://bit.ly/Q2ppHD
dimanche 11 novembre 2012
Quelles questions les inquisiteurs posèrent-ils aux templiers lors de leur interrogatoires ?
Photo De Brocéliande à Avalon.
Templier Veritas
Revenons aux questions demandées aux Templiers pendant leurs interrogations : elles étaient très variées et très réfléchies par des avocats compétents, spécialistes dans les hérésies qui engendraient des problèmes à l'Église. Leur intention était de découvrir si les Templiers étaient Gnostiques, Doctes, Manichéens ou Cathares, fidèles au Dualisme, c'est-à-dire à l'existence de deux divinités : le bien et le mal.
Ils voulaient donc savoir s'ils étaient devenus Musulmans mais la question la plus importante était de découvrir si les Templiers considéraient Jésus comme un faux Prophète, comme un criminel du droit coutumier, ayant été crucifié pour ses infractions. Dans ce cas, les Templiers étaient parmi ceux qui crucifiaient Jésus-Christ une seconde fois selon la déclaration du roi Philippe le Bel.
Les Inquisiteurs connaissaient très bien cette énigme. Cent ans plus tôt, quelques Cathares nommés les Parfaits, leur avaient parlé de cette interprétation de l'Histoire de Jésus-Christ. Mais cette nouvelle image de Jésus était déjà connue par les hauts dignitaires de l'Église et gardée dans les archives de l'Empire Romain. Après le règne de Constantin, l'histoire fut réécrite pour satisfaire l'Église et, informés de cette décision, les Juifs furent persécutés car il voulaient dénoncer cette information. Connaissant cet épisode, les Cathares furent exterminés avec tous leurs documents. Mais avant leur suppression, ils informèrent les Templiers qui subirent à leur tour l'Enquête.
La légende de Viviane.
Fille d'un petit seigneur de la forêt de Brocéliande, nommé Dyonnas (un seigneur du nom de Dymas aurait fait bâtir ce château sur les rives du lac de Comper. Disciple et confidente exclusive de Merlin.
Un jour, Viviane rencontre Merlin dans la forêt de Brocéliande. C'est par le hameau de Folle Pensée que l'on peut atteindre, après une bonne marche, la fontaine de Barenton. A cette source s'est abreuvée toute la poésie du Moyen-Age.
Ici, pour la première fois, l'Enchanteur Merlin vit la fée Viviane assise au bord de la fontaine et il éprouva le premier choc d'une folle passion.
Mille prodiges sont rattachés à cette source. Il suffisait de verser quelques gouttes d'eau sur la dalle toute proche pour déclencher de terribles orages.
Celui-ci tombe amoureux. Il lui construit un château de cristal en une nuit au fond d'un lac. C'est pour cela qu'on appelle aussi Viviane dame du lac. Le château n'est visible que pour Viviane et ses serviteurs
Merlin lui transmit même le secret de l'emprisonnement éternel que lui-même ne savait pas défaire. Désireuse de garder son amant, Viviane usa du sortilège sur lui et l'emprisonna dans un arbre que l'on parait-il peut encore voir dans la forêt de Brocéliande. Ainsi ils vivent pour toujours dans la forêt, mais invisibles aux humains.
Elle élèvera Lancelot du Lac après l'avoir ravi à sa mère.
Sources Mythologica.fr
The begining of teh French Révolution 1789.
Paulo Cattani Diaceto
The Beginning of the French Revolution, 1789 – As witnessed by Thomas Jefferson
King Louis XVI needed money. His financial crisis forced the French monarch to reluctantly convene the Estates General in order to levy a new land tax that would hopefully solve his monetary woes. It had been 175 years since the last meeting of this deliberative body that included representatives of three Estates: the First comprised of the clergy, the Second comprised of the nobility and the Third comprised of the middle and lower classes.
The Estates began their meeting at Versailles on May 5, 1789 and quickly entered into a power struggle. The Third Estate soon declared itself a "National Assembly" that was representative of the people. This new National Assembly expressed its desire to include the other two Estates in its deliberations but also made it clear that it was determined to move forward without them. Louis attempted to shut down the National Assembly, but on June 20 its members declared that they would not disband until they had written a new constitution for France.
The tension increased, exacerbated by massive crop failures that led to a shortage of food. In Paris, mobs filled the city's streets. The fear spread that the king would retaliate with force. On July 14 the mob stormed the Bastille to obtain arms. The attack launched the nation down a pathway that would eventually lead to the destruction of the monarchy and the execution of Louis XVI.
Thomas Jefferson was America's minister to France in 1789. As tensions grew and violence erupted, Jefferson traveled to Versailles and Paris to observe events first-hand. He reported his experience in a series of letters to America's Secretary of State, John Jay. We join Jefferson's story as tensions escalate to violence on July 12:
"July 12
In the afternoon a body of about 100 German cavalry were advanced and drawn up in the Place Louis XV. and about 300 Swiss posted at a little distance in their rear. This drew people to that spot, who naturally formed themselves in front of the troops, at first merely to look at them. But as their numbers
their indignation arose: they retired a few steps, posted themselves on and behind large piles of loose stone collected in that Place for a bridge adjacent to it, and attacked the horse with stones. The horse charged, but the advantageous position of the people, and the showers of stones obliged them to retire, and even to quit the field altogether, leaving one of their number on the ground. The Swiss in their rear were observed never to stir. This was the signal for universal insurrection, and this body of cavalry, to avoid being massacred, retired towards Versailles.
The people now armed themselves with such weapons as they could find in Armourer's shops and private houses, and with bludgeons, and were roaming all night through all parts of the city without any decided and practicable object.
July 13
The next day the States press on the king to send away the troops, to permit the Bourgeoisie of Paris to arm for the preservation of order in the city, and offer to send a deputation from their body to tranquillize them. He refuses all their propositions. A Committee of magistrates and electors of the city are appointed, by their bodies, to take upon them it's government.
The mob, now openly joined by the French guards, force the prisons of St. Lazare, release all the prisoners, and take a great store of corn, which they carry to the corn market. Here they get some arms, and the French guards begin to form and train them. The City committee determines to raise 48,000 Bourgeois, or rather to restrain their numbers to 48,000.
July 14
On the 14th, they send one of their members (Monsieur de Corny, whom we knew in America) to the Hotel des Invalides to ask arms for their Garde Bourgeoise. He was followed by, or he found there, a great mob. The Governor of the Invalids came out and represented the impossibility of his delivering arms without the orders of those from whom he received them.
De Corney advised the people then to retire, retired himself, and the people took possession of the arms. It was remarkable that not only the Invalids themselves made no opposition, but that a body of 5000 foreign troops, encamped within 400 yards, never stirred.
Monsieur de Corny and five others were then sent to ask arms of Monsieur de Launai, Governor of the Bastille. They found a great collection of people already before the place, and they immediately planted a flag of truce, which was answered by a like flag hoisted on the parapet. The deputation prevailed on the people to fall back a little, advanced themselves to make their demand of the Governor, and in that instant a discharge from the Bastille killed 4. people of those nearest to the deputies. The deputies retired, the people rushed against the place, and almost in an instant were in possession of a fortification, defended by 100 men, of infinite strength, which in other times had stood several regular sieges and had never been taken. How they got in, has as yet been impossible to discover. Those, who pretend to have been of the party tell so many different stories as to destroy the credit of them all.
They took all the arms, discharged the prisoners and such of the garrison as were not killed in the first moment of fury, carried the Governor and Lieutenant governor to the Greve (the place of public execution) cut off their heads, and set them through the city in triumph to the Palais royal.
About the same instant, a treacherous correspondence having been discovered in Monsieur de Flesselles prevot des marchands, they seize him in the hotel de ville, where he was in the exercise of his office, and cut off his head.
These events carried imperfectly to Versailles were the subject of two successive deputations from the States to the King, to both of which he gave dry and hard answers, for it has transpired that it had been proposed and agitated in Council to seize on the principal members of the States general, to march the whole army down upon Paris and to suppress it's tumults by the sword. But at night the Duke de Liancourt forced his way into the king's bedchamber, and obliged him to hear a full and animated detail of the disasters of the day in Paris. He went to bed deeply impressed.
The decapitation of de Launai worked powerfully thro' the night on the whole Aristocratical party, insomuch that in the morning those of the greatest influence on the Count d'Artois represented to him the absolute necessity that the king should give up every thing to the states. This according well enough with the dispositions of the king, he went about 11 oclock, accompanied only by his brothers, to the States general, and there read to them a speech, in which he asked their interposition to re-establish order. . . Tho this be couched in terms of some caution, yet the manner in which it was delivered made it evident that it was meant as a surrender at discretion.
The storming of the Bastille
. . . The demolition of the Bastille was now ordered, and begun. A body of the Swiss guards, of the regiment of Ventimille, and the city horse guards join the people. The alarm at Versailles increases instead of abating. They believed that the Aristocrats of Paris were under pillage and carnage, that 150,000 men were in arms coming to Versailles to massacre the Royal family, the court, the ministers and all connected with them, their practices and principles.
The Aristocrats of the Nobles and Clergy in the States general vied with each other in declaring how sincerely they were converted to the justice of voting by persons, and how determined to go with the nation all it's lengths.
The foreign troops were ordered off instantly.
July 16
Every minister resigned . . . and that night and the next morning the Count d'Artois and a Monsieur de Montesson (a deputy) connected with him, Madame de Polignac, Madame de Guiche and the Count de Vaudreuil favorites of the queen, the Abbe de Vermont her confessor, the Prince of Conde and Duke de Bourbon, all fled, we know not whither.
The king came to Paris, leaving the queen in consternation for his return . . .the king's carriage was in the center, on each side of it the States general, in two ranks, afoot, at their head the Marquis de la Fayette as commander in chief, on horseback, and Bourgeois guards before and behind
About 60,000 citizens of all forms and colours, armed with the muskets of the Bastille and Invalids as far as they would go, the rest with pistols, swords, pikes, pruning hooks, scythes &c. lined all the streets thro' which the procession passed, and, with the crowds of people in the streets, doors and windows, saluted them every where with cries of 'vive la nation.' But not a single 'vive Ie roy' was heard.
The king landed at the Hotel de ville. There, Monsieur Bailly presented and put into his hat the popular cockade, and addressed him. The king being unprepared and unable to answer, Bailly went to him, gathered from him some scraps of sentences, and made out an answer, which he delivered to the Audience as from the king.
On their return, the popular cries were 'vive le roy et la nation.' He was conducted by a garde Bourgeoise to his palace at Versailles, and thus concluded such an Amende honorable as no sovereign ever made and no people ever received."
References:
Jefferson's account appears in: Boyd, Julian (ed.), The Papers of Thomas Jefferson, vol 15 (1958); Hibbert, Christopher, The Days of the French Revolution (1981).
How To Cite This Article:
"The Beginning of the French Revolution, 1789," EyeWitness to History, www.eyewitnesstohistory.com (2007).
Legends o f the Holy Grail.
Susanne Tadic-Bialucha
Le Saint-Graal
vient après
Angleterre et en France
Legends of the Holy Grail proviennent de deux différentes traditions européennes. À première vue, ils semblent être contradictoires, mais ils sont d'accord.
Les Anglais disent que le Saint Graal a été introduit en Angleterre.
La revendication française que le Saint Graal est venu en France.
Les deux ont raison, parce que Saint Grails est venu dans les deux pays.
A Saint-Graal a été introduit en Angleterre par Joseph d'Arimathie.
Marie-Madeleine Sainte Grails apporté à la France.
Alors qu'il est encore un débat considérable quant à savoir si le «Saint Graal» du navire, qui abrite le Saint-Sang de Jésus, y compris le Saint Graal et du Saint-Sang de Marie-Madeleine. Le Saint Graal est la mémoire ancestrale ADN de Jésus et toute la lignée royale de David de Juda, ainsi que la mémoire ancestrale ADN de Marie-Madeleine et de toute la lignée royale des Hasmonéens d'Israël. Par conséquent, il a été et est la progéniture de Jésus et Marie-Madeleine au niveau de l'ADN cellulaire bien enregistré.
Grails saints sous la forme de Tamar, sa fille, la plus jeune de Jésus et Joseph, leur fils cadet, venu en France dans l'année.
Le Saint-Graal, Jésus le Jeune, son fils aîné, est allé plus tard à l'Angleterre
Le Saint-Graal sous la forme de Jésus le Jeune, la bibliothèque vivante de souvenirs de lignées ancestrales ADN de David et les Hasmonéens est venu avec son oncle, Joseph d'Arimathie en Angleterre. Joseph était, comme cela a été observé à une autre occasion, le nom, et aussi une forme d'adresse pour une société éclairée à l'intérieur des Esséniens. De Joseph d'Arimathie, qui ont introduit des demandes que la vraie tradition anglaise, le Saint-Graal en Grande-Bretagne, était en fait Jacques, frère de Jésus. James, Joseph. D'Arimathie prit son neveu, le jeune Jésus avec lui en Angleterre afin de suivre les traces de son père et Jésus junior s'inscrire à l'école secrète des Druides de Glastonbury, en Angleterre (Jésus le Jeune, fils aîné de Jésus et Marie Madeleine gravés les noms de ses parents à Glastonbury, en Angleterre, dans une pierre Il se gratta le nom de ses parents à côté de l'autre dans la pierre, afin que leurs noms étaient toujours ensemble -. Indépendamment de leur vie.
Française Saint Grails avec Marie-Madeleine est venue en France où Tamar, le premier enfant et fille de Jésus et Marie-Madeleine, en Gaule, sud de la France avec sa mère et sa tante quitté le bateau. En raison de leur lignée de David, et la Tamar Hasmonéens était à l'âge de 11 ans à Marie. Marthe de Béthanie était la sœur de Marie-Madeleine et tante de Tamar et aussi Marie, afin rappeler en France cet événement historique que l'arrivée des "Maries" Tres ou trois Maries.
Il y avait les trois Maries / Marien aussi 3 Js. sur le bateau, la famille du Jésus apporté à la France. Il était également, en collaboration avec le Js trois. Non plus protecteur bord. Le Js 3. étaient le 7-ans Jésus junior, Joseph bébé, moins d'un an et son oncle James. Dans sa jeunesse, alors que Tamar appris de sa mère et de sa tante, le jeune Jésus et Joseph voyagé un peu partout avec son oncle James à différents moments. laissé son frère James, Jérusalem et arrivèrent en Gaule, autour de Marie, Tamar et les autres membres de la famille, son neveu, Joseph, le fils cadet de Jésus et Marie-Madeleine, à y adhérer.
Au fil du temps, Tamar et ses frères, le jeune Jésus et Joseph, les enfants et autres descendants. Au fil du temps, ces descendants sont répartis dossiers ancestrales ADN de Jésus avec Marie et la lignée de David avec la ligne Hasmonéens d'origine dans toute l'Europe et plus tard à travers le monde
Etats croisés.
Susanne Tadic-Bialucha.
États croisés
Alors que les croisades étaient également un certain nombre d'états croisés. Le premier était le comté d'Edesse, qui a été fondée en 1098 comme l'état croisé premier. Déjà 1144 aubaine Edesse nouveau en Islamique Seigneur de Mossoul et d'Alep, ce qui déclenche la deuxième croisade. Les quatre États des croisés en Palestine et la Syrie étaient le royaume de Jérusalem, la principauté
d'Antioche, le comté d'Edesse, et le comté de Tripoli. Au cours de la quatrième croisade, dans laquelle l'Empire byzantin fut conquise par les Croisés, pour former quatre autres états croisés: Latin Empire, Royaume de Thessalonique, duché d'Athènes et la principauté Aachaia.
Aachaia Principauté
Une des graines de trois vassaux de l'Empire latin. Fondée en 1205 par Guillaume de Champlitte. Le dernier prince de l'usurpateur était Aachaia Centurione Zaccaria (1404-1432), après sa mort, le Aachaia principauté revient à l'Empire byzantin.
Principauté d'Antioche (1ère croisade)
La Principauté d'Antioche Bohémond I de 1098 a été (1098 à 1111) construit, conquis en 1268 par le sultan Baybars de l'Egypte. Dernier prince d'Antioche Bohémond VI. (1252-1268), qui reste à 1275 comte de Tripoli.
Archipels Duché également Duché de Naxos
1207 créé par Marco Sanudo. En 1566, le dernier duc Christian IV Jacopo Crispo du sultan Selim II est déposé. Il met le Nasi portugais Joseph, un diplomate juif influent banquier et comme duc, qui règne encore jusqu'à 1579.
Duché d'Athènes (Thèbes initialement Duché)
Au cours de la 4ème Croisade fondée après la conquête de Constantinople. Le premier duc d'Athènes était le chevalier bourguignon Otto de la Roche.
Comté d'Edesse (1ère croisade)
1098 par Baudouin de Boulogne, frère de Godefroi de Bouillon, qui a fondé la ville en 1144 est ce que la seconde pour déclencher l' Croisade est.
Règle Gibelet
Un fief du comté de Tripoli, le premier seigneur de Bigelet Embriaco est Guillaume Ier, un Génois. 1302, la règle est appliquée Gibelet paisiblement sous la pression des Mamelouks. Dernier souverain est Embriaco Maria (1282-1302).
Royaume de Jérusalem (1ère Croisade)
Le royaume de Jérusalem (Outremer) existait de 1099 à 1291. 1187, le Royaume du sultan Saladin a été repris en 1229 par Frédéric repris à nouveau en 1244 II, la ville de Jérusalem est perdu à jamais. Dernier roi de Jérusalem est Henri II de Lusignan (1285-1291). Premier roi est Godefroy de Bouillon, qui, cependant, ne mentionne pas le roi et 1100 sont déjà morts.
Vassaux du royaume de Jérusalem
Le féodalisme de l'Europe occidentale en conséquence le royaume de Jérusalem était divisée en un certain nombre de petits domaines. Il s'agit notamment du comté de Jaffa et d'Ascalon, la domination Ramlo, la domination Ibelin, règle Mirabel, Principauté de Galilée, messieurs Beyrouth, Haïfa et Nazareth (vassaux de la Principauté de Galilée), la règle de Banias, Toron, Sidon, Chouf, Oultrjordain et plusieurs autres gentilshommes.
Latin Empire
L'Empire latin (Empire Romaniae, Empire Roumanie) était des Francs, comme les Croisés de l'Ouest ont été appelés et les Vénitiens installé 1204 lors de la quatrième croisade. L'empire latin a duré jusqu'en 1261, Michel VIII dan conquis Constantinople, Baudouin II fut le dernier empereur (1228-1261).
Royaume de Thessalonique
Le Royaume de Thessalonique n'était que de 1204 à 1224, le royaume est conquis par le Despote d'Epire Angelos Thoedoros I..
Toron (maintenant Tibnin)
Un bastion important des Croisés, qui étaient de Hugues de Saint-Omer 1105 construite dans les montagnes sur la route de Tyr à Damas. Le château était le centre de l'Toron règle. Après la bataille de Hattin, le château de Toron sultan Saladin a conquis le 1187e Sultan al-Mu'azzam peut raser le château 1219e
Comté de Tripoli (1ère croisade)
Le comté de Tripoli, dans le sillage de la première croisade fondé par Raymond de Toulouse, a repris la 1289e Lucie est le dernier souverain de Tripoli (1287-1289).
Ville portuaire d'Acre
La ville portuaire d'Acre avait pas d'État propre croisade. La ville a été conquise en 1104 par les Croisés chrétiens sous Baldwin. 1187, la ville fut reprise par Saladin en 1191, a réussi Richard Cœur de Lion l'Acre reconquérir et en faire la capitale du reste du Royaume de Jérusalem. D'Acre en 1244 était le dernier bastion des Croisés, la forteresse tombe le 18 Mai 1291 afin que les croisades ont été définitivement échoué
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