samedi 17 novembre 2012

La Belgique mystérieuse.

L'architecture du Saint Sépulcre de Jérusalem.

Templier Veritas En préparation sur Patrimoine de France un article qui bien évidement sera partagé sur les groupes.Sur un mythe tenace,popularisé par Viollet-le-Duc,veut que les templiers aient systématiquement bâtie leurs églises selon un plan centré,sur le modèle du Saint sépulcre de Jérusalem...

Le pape lâche ses protégés.

Templier Veritas AVIGNON: Le pape lâche ses protégés 9 mars 1309 Clément V s’installe à Avignon,inaugurant la nouvelle cité pontificale du XIVe siècle.S'il échappe aux troubles romains,le pape est désormais aux prises avec le roi de France .Étranglé par la crise économique et résolu à mettre la main sur la fortune templière,Philippe le Beau exige son appui. Jusqu'alors,Clément va résisté aux pressions.Au terme d'une longue bataille juridique et diplomatique avec la couronne de France,il se résigne finalement à sacrifier les templiers(Respect)pour éviter un schisme avec la fille aînée de l'église. Le 22 mars 1312,au concile de Vienne,le pape promulgue la bulle"Vox in excelso"qui supprime l'Ordre.Un mois plus tard,il octroie les biens templiers aux hospitaliers. "L'Ordre vit ses derniers mois"...

Eglise templière de Marcenais.

Chevalier du Temple Église templière de Marcenais L'église templière de Marcenais est l'unique vestige d'une commanderie templière établie vers la fin du douzième siècle. Cette chapelle est marquée par son origine d'église templière, tardivement fortifiée et demeurant rustique. Elle est construite de belles pierres admirablement appareillées. Il ne reste rien de la commanderie. La fortification beaucoup plus tardive par la mise en place d'échauguettes au sud-ouest et au sud-est a fortement modifié son aspect et lui confère une certaine originalité. La chapelle fut construite par les Templiers vers 1170. Les plus anciennes archives retrouvées dans les archives de l'ordre de Malte remontent à l'an 1232, où Guillaume Erra, chevalier de Bourg, fit don du moulin de Peyrat, qui porte aujourd'hui le nom de moulin de Charlot, à la maison du Temple de Marcenais. Puis en 1250, Hélies Guilhem de la Villegorie (Villegouge) fait à son tour don d'un autre moulin en amont sur la Saye, le moulin de Wielh ou encore moulin Vieïlh de la Saye à Vinet. Avec celle de Queynac et d'autres établissements de moindre importance comme Magrigne, Larivaux et Chalaures au Temple de Bordeaux. En 1312, après la chute des Templiers, la commanderie de Marcenais fut dévolue aux Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem. C'est probablement vers 1500, dans le cadre de la réforme initiée par le grand maître d'Aubusson, que la commanderie de Marcenais fut rattachée avec une quinzaine d'autres établissements de plus ou moins grande importance, à la maison du Temple de Bordeaux placé sous l'autorité de « l'honorable et discrète personne Messire frère Pierre de Ribo, chevalier ». La guerre de Cent Ans y avait fait des ravages et les bâtiments érigés par les Hospitaliers ont semble-t-il été ruinés à l'exception de la chapelle qui garde presque intactes les traces de sa construction templière. Son église abritant une vierge templière et des reste de fortifications... Sources: Église templière de Marcenais [archive], sur la base Mérimée, ministère de la Culture...

Questions demandées aux templiers pendant leurs interrogations.

Templier Veritas Revenons aux questions demandées aux Templiers pendant leurs interrogations : elles étaient très variées et très réfléchies par des avocats compétents, spécialistes dans les hérésies qui engendraient des problèmes à l'Église. Leur intention était de découvrir si les Templiers étaient Gnostiques, Doctes, Manichéens ou Cathares, fidèles au Dualisme, c'est-à-dire à l'existence de deux divinités : le bien et le mal. Ils voulaient donc savoir s'ils étaient devenus Musulmans mais la question la plus importante était de découvrir si les Templiers considéraient Jésus comme un faux Prophète, comme un criminel du droit coutumier, ayant été crucifié pour ses infractions. Dans ce cas, les Templiers étaient parmi ceux qui crucifiaient Jésus-Christ une seconde fois selon la déclaration du roi Philippe le Bel. Les Inquisiteurs connaissaient très bien cette énigme. Cent ans plus tôt, quelques Cathares nommés les Parfaits, leur avaient parlé de cette interprétation de l'Histoire de Jésus-Christ. Mais cette nouvelle image de Jésus était déjà connue par les hauts dignitaires de l'Église et gardée dans les archives de l'Empire Romain. Après le règne de Constantin, l'histoire fut réécrite pour satisfaire l'Église et, informés de cette décision, les Juifs furent persécutés car il voulaient dénoncer cette information. Connaissant cet épisode, les Cathares furent exterminés avec tous leurs documents. Mais avant leur suppression, ils informèrent les Templiers qui subirent à leur tour l'Enquête.

La règle secrète de l'ordre.

Templier Veritas ‎. Retournons en 1240 où le copiste Robert de Samfort, Procureur du Temple en Angleterre, avait rédigé sur un parchemin une partie de la fameuse Règle Secrète de l'Ordre mais la première partie, fut écrite par Mathieu de Tramlay et débutait ainsi : Ici commence le Livre du Baptême de Feu, ou des statuts secrets rédigés pour les Frères par Maître Roncelinus (Roncelin de Fos) et la Quatrième partie s'intitulait : Ici commence la liste des signes secrets que Maître Roncelius a réunis. Les gardiens du document étaient, le frère Mathieu de Tramlay, suivi de Guillaume de Sonnac, puis de Robert de Samfort, Procureur du Temple en Angleterre et du Maître Roncelin de Fos. Qu'à tord ou à raison, l'on tienne pour vraies ou fausses les fameuses Règles Secrètes, le frère, qu'on appela parfois Maître Ron celin, a bien existé et il est curieux de constater que le précepteur Normand périt dans les flammes, ces flammes qui lièrent depuis le sort de la Normandie à celui de l'Aquitaine. Lors du procès des chevaliers du Temple, un haut dignitaire de l'Ordre, Geoffroy de Gonneville, précepteur d'Aquitaine, déclara aux inquisiteurs que les pratiques occultes s'étaient répandues parmi les moines-soldats sous l'influence de Maître Roncelin et confirme cette supposition en soutenant par les dires de personnes sournoises que Roncelin de Fos, ancien Maître de l'Ordre, aurait innové le Temple par des règles pernicieuses et corrompues : Une maison de Religieux et à plus forte raison, tout un Ordre, ne pouvait être supprimé à moins d'être affreusement corrompu, et cela de mémoire d'homme.

Antoine de Bourbon.

17 novembre 1562 : mort d’Antoine de Bourbon, père du futur Henri IV ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬● Antoine de Bourbon, roi de Navarre par son mariage avec Jeanne d’Albret, héritière de ce royaume, n’a eu d’autre gloire que celle d’être le père d’Henri IV. Il prétendit à la régence après la mort de François II ; mais gagné par Catherine de Médicis... ► La suite sur http://bit.ly/T52BFA