jeudi 22 novembre 2012

Se mettre en quatre.

La France pittoresque Expression : Se mettre en quatre ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬● C’est faire tous ses efforts pour obliger quelqu’un. Cette locution a dû venir d’une allusion aux efforts qu’il fallait à un bourreau pour écarteler un criminel. Car, autrefois, on écartelait les coupables pour certains crimes et on appelait cela les mettre en « quatre quartiers »... ► La suite sur http://bit.ly/U9Mm9e

Préjugés des Anciens sur les caméléons.

La France pittoresque Préjugés des Anciens sur les caméléons ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬● Une fable accréditée par les anciens sur le caméléon est que cet animal ne vit que d’air. Voilà une singulière propriété qui serait bien à envier. Il aspire l’air avec délices, il lui ouvre tout son corps, il s’en gorge, il s’en remplit, et ce délicat soutien lui suffit... ► La suite sur http://bit.ly/QvpofA

mercredi 21 novembre 2012

Test du cerveau gauche, vraiment amusant.

Objet : Test du Cerveau Gauche VRAIMENT AMUSANT Test du Cerveau Gauche Très bon pour la concentration, surtout le deuxième paragraphe. Lecture globale plus que globale : peux-tu lire ce texte ? Et l'autre au-dessous ? Il y a 2 jeux/tests de stimulation du cerveau ci-dessous. Le premier est assez connu. Le second est assez intéressant. A vous de jouer et bonne chance. Si vous réussissez vous le transférez à d'autres et le numérateur augmente. Sinon rien ne changera dans votre vie mais vous vous amuserez quelques minutes et ça fait du bien ! Amusez vous....... syoez fuos et pnreez 5 mutines puor lrie ! AUUCN PORBELME ET VUOS ! Les mystères du cerveau humain.. lecture = lcetrue Ce paragraphe, tu l'as certainement lu et réussi à le lire un jour ou l'autre.En voici un autre semblable.....vu ton âge qui avance, vois si ta mémoire est encore alerte. Si vuos pvueoz lrie ccei, vuos aevz asusi nu dôrle de cvreeau. Puveoz-vuos lrie ceci? Seleuemnt 56 porsnenes sur cnet en snot cpalabes.Je n'en cyoaris pas mes yuex que je sios cabaple de cdrpormendre ce que je liasis. Le povuoir phoémanénl du crveeau huamin. Soeln une rcheerche fiat à l'Unievristé de Cmabridge, il n'y a pas d'iromtpance sur l'odrre dnas luqeel les lerttes snot, la suele cohse imotprante est que la priremère et la derènire letrte du mot siot à la bnone palce. La raoisn est que le ceverau hmauin ne lit pas les mtos par letrte mias ptuôlt cmome un tuot. Étonannt n'est-ce pas? Et moi qui ai tujoours psneé que svaoir élpeer éatit ipomratnt! Si vuos poevuz le lrie, fitaes le svirue !!! Deuxième MOINS CONNU Voilà de quoi stimuler ton cerveau avant de commencer une nouvelle semaine ! Si tu arrives à lire ceci, tu as l'hémisphère gauche bien développé ! Vous devez le transférer uniquement si vous réussissez à lire ce message. Il paraît que si vous y réussissez, cela indique que vous avez l'hémisphère gauche bien développé et que vous êtes intelligent. Si vous réussissez à lire les premiers mots, le cerveau déchiffre les autres. Amusez-vous ! UN B34U JOUR D'373, > J'37415 5UR L4 PL4G3 37 J3 R3G4RD415 D3UX J3UN35 F1LL35 JOU4N7 D4N5 L3 54BL3. 3LL35 CON57RU15413N7 UN CHÂ734U D3 54BL3, 4V3C 7OUR5, P4554G35 C4CH35 37 PON7-L3V15. 4LOR5 QU'3LL35 73RM1N413N7, UN3 V4GU3 357 4RR1V33 37 4 7OU7 D37RU17, R3DU154N7 L3 CH4734U 3N UN 745 D3 54BL3 37 D'3CUM3.J'41 CRU QU'4PR35 74N7 D'3FFOR7, L35 F1LL37735 COM3NÇ3R413N7 4 PL3UR3R, M415 4U CON7R41R3 3LL35 COURRUR3N7 5UR L4 PL4G3, R14N7 37 JOU4N7 37 COMM3NÇ3R3N7 4 CON57RU1R3 UN 4U7R3 CHÂ734U. J'41 COMPR15 QU3 J3 V3N415 D'4PPR3NDR3 UN3 GR4ND3 L3ÇON. NOU5 P455ON5 UN3 GR4ND3 P4R713 D3 NO7R3 V13 4 CON57RU1R3 D35 CHO535 M415 LOR5QU3 PLU5 74RD UN3 V4GU3 L35 D3MOL17, L35 53UL35 CHO535 QU1 R3573N7 5ON7 L'4M1713, L'4MOUR 37 L '4FF3C71ON 37 L35 M41N5 D35 G3N5 QU1 5ON7 C4P4BL35 D3 NOU5 F41R3 5OUR1R3. SI TU N'AS PAS RÉUSSI À LE DÉCHIFFRER, NE LE RETRANSMETS PAS. > Si vous avez réussi, augmentez le numérateur : 173 316 en transférant le texte

Un parchemin sur le point de réhabiliter les templiers.

Un parchemin secret sur le point de réhabiliter les Templiers Publié le 24 octobre 2007 par Editions Dédicaces processus-contro-templariosPassionnés du Moyen Âge, de mystères et des Templiers, il est temps de ressortir votre exemplaire du Code Da Vinci. Car demain sera publié le Processus contro Templarios, un livre qui reproduit le contenu d’un parchemin découvert dans les archives secrètes du Vatican. Ce document réhabiliterait en tout ou en partie les Templiers, un ordre religieux militaire. Connus à l’origine sous le nom Ordre des Pauvres Chevaliers du Christ, puis Ordre du Temple, les Templiers ont été créés à Jérusalem en 1118. Ils avaient pour mission d’accompagner et protéger les pèlerins chrétiens en Terre sainte. Le 13 octobre 1307 marque le début de la disparition de l’ordre et de l’extermination de ses membres sous le règne du roi de France Philippe IV, dit le Bel. On les avait alors reconnus coupables de crimes sexuels, de blasphèmes et d’hérésie. «Il s’agit d’un livre très important, s’enthousiasme Pietro Boglioni, professeur titulaire au département d’histoire de l’Université de Montréal. En fait, on y retrouve les actes du procès intenté par le pape Clément V contre les Templiers. Or, contrairement à ce qu’ont affirmé des vulgarisateurs, dont Dan Brown, on voit que ce n’est pas le pape qui les a persécutés. Les Templiers ont commis des fautes, mais ils n’étaient pas des hérétiques.» Édité par la société Scrinium, le Processus contro Templarios ne sera pas à la portée de toutes les bourses: seulement 799 exemplaires seront mis en vente et chacun coûtera 5900 euros (8150$). «Avec tous les amateurs et riches collectionneurs du monde, je suis convaincu que tous les exemplaires disparaîtront très vite», estime M. Boglioni. Il aimerait bien que l’UdeM en acquière un, ce que feront sans doute plusieurs institutions d’enseignement prestigieuses. L’ouvrage sera lancé au cours d’une conférence de presse au Vatican, en présence des hauts responsables des archives secrètes de l’État pontifical. Les Templiers assurent la protection des pélerins Les Templiers assurent la protection des pélerins Le livre est basé sur le Parchemin de Chinon, un document découvert en 2001 par la médiéviste Barbara Frale dans les archives secrètes du Vatican. Le document était mal classé, perdu parmi les archives d’un autre siècle. Or, sa lecture permettrait de comprendre qu’un an après le début de l’extermination des Templiers, les survivants, dont le dernier grand maître de l’ordre, Jacques de Molay, avaient été absous par le pape Clément V. Les accusés avaient convaincu le pape que les crimes qu’on leur reprochait étaient exagérés ou faisaient partie de rites d’initiation. L’absolution papale n’a toutefois pas sauvé Jacques de Molay, qui est monté sur le bûcher en 1314. Étudiant à l’Université de Sherbrooke, David Bergeron rédige actuellement une maîtrise en théologie portant sur les Templiers. Selon lui, il n’est pas fortuit que le Vatican rende maintenant ce document public. «L’Église a été blâmée pour certains gestes qu’elle a commis. Elle a un nom à refaire», dit-il. Il croit que Philippe le Bel avait des raisons de souhaiter la disparition des Templiers; des raisons autant politiques qu’économiques, ou même d’image: les Templiers avaient une forte influence à l’intérieur de la France et menaçaient de devenir un État dans l’État. Personne ne peut prétendre que les Templiers n’ont rien fait, dit M. Bergeron. Par contre, il reste des zones d’ombre dans leur histoire, ce qui la rend fascinante même après 700 ans. Selon M. Bergeron, une des premières choses que feront les experts sera de vérifier l’authenticité du nouveau document. SOURCE : LA PRESSE >>>>

Chevalier Kadosh ou Chevalier de l'Aigle Blanc et Noir.

Templier Veritas Grand Inquisiteur Kadosch Grand Elu,Chevalier Kadosch ou Chevalier de l’Aigle Blanc et Noir... On connaît, hors de l'Ecossisme, plusieurs ordres, sous le titre de Chevaliers Kadosch (héb. שדק ou שודק kadosch ou kodesch, sanctus, consecratus, purificatus ). Celui-ci, désigné sous le titre particulier de Chevalier de l'Aigle blanc et noir, est même très varié dans ses rituels. C'est, dans tous, une commémoration de l'évènement tragique qui a marqué la fin d'un ordre illustre par ses vertus et par ses malheurs. Le chevalier Kadosch, dont nous allons donner le tuileur, est le seul admis en France; il est purement .philosophique, et n'a d'autres rapports avec les autres ordres du même nom, que les mots, signes et attouchements qui sont communs à tous. Décoration de la Loge. Il y a, pour les réceptions, dans ce grade, quatre appartements obligés. Le premier est tendu en noir, il est éclairé par une seule lampe de forme triangulaire, suspendue; au plafond. Cet appartement communique à un cabinet, espèce de caveau, ou l'on entre en descendant quelques marches. il n'y a, dans ce cabinet, d'autre lumière que celle que l'on y porte en conduisant le récipiendaire. C'est le lieu des réflexions. On y voit un cercueil couvert d'un voile noir, et d'autres images de la destruction. Le second appartement est tendu en blanc; vers le milieu de la salle sont deux autels; sur l'un desquels est une urne remplie d'esprit de vin allumé, qui éclaire l'appartement; sur l'autre autel, est un réchaud avec du feu, et de l'encens à côté. Il ne parait, dans cette pièce, que le F\ sacrificateur. Le troisième appartement est tendu en bleu ; la voûte est étoilée; il n'est éclairé que par trois bougies jaunes. C'est l'Aéropage. Le quatrième appartement est tendu en rouge. A l'est, est un trône, au dessus duquel est un double aigle couronné, ayant les ailes déployées, tenant un poignard dans les serres. Au cou de l'aigle est passé un ruban noir, auquel pend la croix de l'ordre. Sur sa poitrine est un triangle équilatéral, au milieu duquel on lit le nom de Dieu ינדא Adonaï, et autour, cette légende : Nec proditor, nec proditur, innocens feret. La draperie du dais est en velours noir et blanc, parsemé de croix teutoniques en étoffe rouge. Derrière le trône, sont les étendards de l'ordre : l'un, fond blanc, avec deux bandes croisées vertes, et la légende : Dieu le veut ; l'autre, fond vert, ayant d'un côté une croix teutonique rouge, et de l'autre un aigle noir à deux têtes, tenant dans ses serres un poignard, avec la devise : Vaincre ou mourir, brodée en argent. L'aigle a les becs et les ongles en or. Neuf bougies jaunes éclairent cette salle; au milieu de la salle est une échelle à deux mon- tans. Il y a des loges où le quatrième appartement est tendu en noir, et la tenture parsemée de flammes rouges, et n'est éclairé que de cinq bougies jaunes. Une épaisse fumée, produite par l'encens qui brûle dans des cassolettes, laisse à peine apercevoir les objets. Dans d'autres, la tenture est rouge, avec des colonnes blanches, des flammes blanches; il y a sept bougies, et quelquefois quatre-vingt- une. Enfin, le nombre, la distribution et la décoration des appartements, varient suivant les ordres, et même dans, chaque loge d'un même ordre. La première décoration que nous avons décrite, est celle adoptée pour l'Ecossisme en France. TITRES Nous avons déjà dit que la loge prend r dans le troisième appartement, le titre d'Aéréopage. Les deux premiers appartements n'étant que des lieux de préparation, pour le cas où il y a réception, la loge ne se forme que dans la salle de l'Aréopage, où elle est présidée par le premier surveillant, assisté de deux Juges. il porte sur la poitrine une image allégorique de la Vérité, brodée en or. Dans le quatrième appartement, la loge prend le titre de Sénat. Lé chef se nomme Grand-maître ou Grand-Commandeur, ou Grand-Souverain ; il est qualifié de Trois fois puissant, et représente Frédéric Il, roi de Prusse. Les frères ont le titre de Chevaliers. L'on se tutoie dans le Sénat. SIGNES De Kadosch - Porter la main droite sur le cœur, les doigts écartés ; laisser ensuite retomber la main sur le genou droit, que l'on empoigne, en fléchissant. Après ce mouvement, saisir le poignard qui est suspendu au cordon, l'élever à la hauteur de l'épaule, comme pour en frapper, en disant Nekam Adonaï! ( béb . ינדא םקנ vengance, Seigneur ! ) Il y a des loges où, ayant la main droite sûr le cœur, on fait une génuflexion, en étendant le bras droit, la main ouverte, comme en prêtant un serment. Nous ferons remarquer que le premier signe est le véritable. Signe d'ordre - Le glaive étant passé dans la main gauche, avoir la main droite étendue sur le coeur. Dans quelques loges, le signe d'ordre se fait ainsi : le glaive dans la main gauche, le poignet appuyé sur la hanche, étendre le bras droit, la main allongée, les doigts rapprochés, le police écarté, comme pour prêter le serment. ATTOUCHEMENT En se touchant réciproquement par la pointe des pieds et par les genoux, présenter le poing fermé de la main droite, le pouce levé; se saisir alternativement le pouce, le laisser glisser en reculant d'un pas' et en levant le bras comme pour frapper d'un poignard. En faisant ce mouvement, le premier dit : Nekamah-bealim ( héb.ןלאב-המקנ ultio proditorum !) le second répond c Pharasch-chol (héb. לכ-שרפ explicatum est omne (1). Dans quelques rituels, on trouve, à la place de cet attouchement et des paroles, l'attouchement et les mots de l'Elu des neuf. Selon d'autres, pour l'attouchement, on porte la main droite au front, en disant : êtes- vous Kadosch? la réponse est : oui, je le suis ; et l'on présente le poing fermé et le pouce levé comme nous l'avons dit ; on fait trois fois alternativement le mouvement de saisir le poignard, qui est figuré par le pouce, et à la troisième fois, on s'embrasse. (1) C'est à tort que selon quelques cahiers on a fais dire Pharas-chol, qui n'a aucun sens. BATTERIE Il y a plusieurs batteries ; celle adoptée par l'Ecossisme en France, est de sept coups, par trois fois deux et un: ♪ ♪ – ♪ ♪ – ♪ ♪ – ♪ ! Les batteries en usage dans quelques autres Aréopages, sont : Un coup : ♪ ! Trois coups : ♪ ♪ ♪ ! Cinq coups : ♪ ♪ ♪ ♪ ♪ ! Ou neuf coups : ♪ - ♪ ♪ ♪ ♪ - ♪ ♪ - ♪ – ♪ ! MARCHE Trois pas précipités, les mains croisées sur la tête. HEURES DE L'ASSEMBLÉE On se réunit à l'entrée de la nuit, et l'on ferme l'Aréopage au point du jour. Selon quelques rituels, on ouvre l'Aréopage à neuf heures du soir, et on le ferme au point du jour. AGE Les chevaliers Kadosch ne comptent point leur âge; ils ont un siècle et plus. HABILLEMENT. Tunique blanche, ouverte sur le côté, en forme de dalmatique, bordée en noir; par-des= sus, est une écharpe noire, portée en ceinture, avec franges en argent. Un poignard à manche d'ivoire et d'ébène est passé dans la ceinture. Chapeau rabattu ; sur le devant de la coiffe, est un soleil à fond d'argent, rayons en or. Au centre du soleil est peint un oeil ; le soleil est placé entre les lettres N\ A\ . En habit de ville, les Chevaliers doivent être en noir ; ils portent ( outre la ceinture, qui, alors est rouge) un cordon noir en écharpe, passant de gauche à droite, au bas duquel est attaché un poignard. Sur le devant du cordon, sont brodées en rouge, deux croix teutoniques; il y a. aussi un aigle à deux têtes, avec les lettres C\ K\ H\ brodées en argent. On peut porter le cordon en sautoir; il est noir, avec une croix teutonique, brodée en rouge, sur chacun des côtés. Point de tablier. il y a des Aréopages où les Chevaliers portent l'ancien costume des chevaliers du temple; ils sont bottés, cuirassés et casqués ; ce sont ceux de l'antique et stricte observance. Le bijou est une croix teutonique, émaillée en rouge, suspendue au camail, ou attachée à la boutonnière sur le côté gauche. On peut porter, en place de ce bijou, une croix émaillée qui a été faite pour cet ordre; elle porte au centre un médaillon en nacre de perle ; sur un des côtés on voit les lettres J\ M\ et sur l'autre, une tête de mort, traversée d'un poignard. Quelques Aréopages ont adopté, pour bijou, un aigle noir à deux têtes, portant une couronne, ayant un. poignard dans les serres. (Voir ci-après Planche XXII, fig 1 et 2.) Lorsqu'un chevalier Kadosch assiste dans les loges inférieures, il peut se dispenser du costume que nous venons de décrire, ne conserver que le cordon, et prendre un tablier blanc, doublé et bordé en rouge ou en noir; sous la bavette, est brodée en rouge une croix teutonique; au milieu du tablier est un aigle noir à deux têtes, couronné, tenant un poignard dans les serres. Il y a quelques chevaliers qui font broder sur le tablier l'échelle à deux montants, posée sur un serpent à trois têtes. Cela est contraire à l'ordre de l'Ecossisme, adopté en France. MOTS DE PASSE. Pour entrer - NEKAM. La réponse est : MENAHHEM (héb. םהנמ , consolator). Pour sortir - PHAGAL-CHOL ou PHA AL-CHOL (héb. לכ-לעפ operatum est omne). La réponse est : PHARASCH-CHOL. MOTS SACRES NEKAMAH-BEALIM; à quoi l'on répond : PHARASCH-CHOL. Mais plus généralement on dit : NEKAM ADONAÏ. — Réponse : PHARASCH-CHOL. Selon quelques rituels, la réponse au mot sacré est : BEGOAL-CHOL, mot tiré de l'Elu des neuf. Description de l'Échelle mystérieuse. Elle est composée de deux montants, ayant chacun sept échelons (Voir ci-dessus Pl. XXII fig. 3 ). Le premier montant, à droite, se nomme OHEB ELOAH ( héb. הולא בהא Deum amans ). Le second montant, à gauche, se nomme OHEB HEROBO ( héb. וברק בהא propinquum ei amans). Noms des échelons du premier montant. 1er TSEDAKAH, הקדע Justitia, eleemosina 2éme SCHOR-LABAN ןבל רוש Bos albus 3éme MATHOC קותמ Dulcis 4éme EMOUNAH הנומא Fides, firmitas 5éme AMAL SAGGHI. . איגש למע (Gamal sagghi ) Labor magnus 6éme SABBAL לבס Onus 7éme GHEMOUL BINAH TREBOUNAH הנובת הניב לומנ Retributio, intelligentia, prudentia (1). (I) Tous ces noms sont singulièrement altérés dans un grand nombre de cahiers; nous pouvons assurer qu'ils sont rétablis ici avec la plus grande exactitude. Les échelons du montant à gauche sont nommés comme suit : 1er ASTRONOMIE. 2éme MUSIQUE. 3 éme GÉOMÉTRIE. 4 éme ARITHMÉTIQUE. 5 éme LOGIQUE. 6 éme RHÉTORIQUE. 7 éme GRAMMAIRE. N O T E Dans le chevalier Kadosch ancien, ou le Templier, la réception se fait en deux points. Dans le premier, on donne les mots qui suivent : PAROLE HABBAMAH (héb. המבה fanum excelsum.). Il y a des aréopages où l'on fait dire Jabamiah ; ce mot est insignifiant. MOT DE PASSE. ELIEL (héb. לאילא Dei fortitudo ); ou bien AZENAHHEM. La réponse est : MENAHHEM ( héb. היהנ nehem'iah, solatio Dei; ou bien : NIKAM-MACCHAH ( héb. הכמ םקנ ultio percussionis). MOT DE L'ATTOUCHEMENT. KYRIE ( grec χυρις, Dominus). Dans quelques rituels, on lit kiriés: c'est une faute. PAROLES DES CROISÉS. EVARECHAH ETH ADONAÏ BECHOL-GETH THAMID THEHILLATHO VEPHI. ( Heb. יפב ותלהת דימת תע-לכב הלהי-תא הכרבא Benedicam Dominum in omni tempore, semper laus ejus in ore meo (PsaI. 34; v. I, suivant les héb.). On lit dans un grand nombre de cahiers : Avreca adonaï recolgetho thamith rephi. On reconnaît aisément que ce sont des fautes de copistes. C'est mots sont absolument insignifiants AUTRES PAROLES. BAHABAH AHHALLEK IM HEANI (héb. הבהאב ינעה םע קלהא bahabah ahhallek gim hegani. In dilectione dividam cum paupero). On trouve aussi : Banahamel jon hamey, mots tous fautifs et insignifiants. AUTRE PAROLE. Si l'on demande à un Kadosch-Templier, quels sont ses droits, il répond: MISCUTAR (héb. רטשמ ministerium). DES BANQUETS. Les banquets des chevaliers Kadosch se nomment agapes; ils suivent, au surplus, le rituel des élus, que l'on trouvera ci-après, au rite français. Lorsque l'on plonge le poignard dans l'urne, on dit : Deus sanctus ou sacratus, NOKEM ( héb. םקנ Ultor ). Quelques-uns disent : Machem, c'est une faute. Les banquets fraternels, ou faits en commun, sous le nom d'agapes, sont de la plus haute antiquité. Leur nom fait assez connaître que leur but était de resserrer, le plus possible, les liens de l'amour fraternel des initiés. ( Grec.Aγαπη, signifie dilectio, du verbe αγαπω, diligo, j'aime.)

Glamis Castle-Scotland.

Hervé Bertrand de Bretagne Glamis Castle-Scotland.

Le dernier des templiers

LE DERNIER DES TEMPLIERS de Dominic Sena (2011) 15 jan 2011 2 commentaires par Marcorèle dans 05 : Dispensable, 2011 Tags:Atli Örvarsson, Christopher Lee, Claire Foy, Dominic Sena, Nicolas Cage, Robert Sheehan, Ron Perlman, Ulrich Thomsen Il est parfois agaçant de voir qu’on ne prend même plus la peine de traduire les titres des films étrangers (du moins anglo-saxon) quand ils sortent en France. Ce qui occasionne parfois, au moment du passage à la caisse des cinémas, de grands moments de fous rires ou de gênes lorsque les clients, peu portés sur la langue de Shakespeare, essayent de marmonner le titre en se demandant si ils doivent le prononcer ou non avec l’accent… Être ou ne pas être ridicule, telle est la question ! Cependant, dans le cas du Dernier des Templiers on eût préféré que le traducteur ne se donne pas tant de peine. Ne serait-ce que pour éviter au pauvre spectateur pensant assister à un film historique de se retrouver devant une série B médiévale légèrement horrifique. Le titre original avait au moins le mérite d’annoncer la couleur : Season of the Witch/La saison de la sorcière. Et puis qui pourra nous expliquer qui est ce fameux dernier Templier ? Parce qu’à priori, au moment où se déroule l’action, ils ne sont pas encore tous passés au bûcher ! Bref, voici Benjamin Gates croisé (c’est le cas de le dire) avec L’exorciste ou les aventures de deux chevaliers ayant déserté les croisades. Arrêtés, ils se voient contraints d’escorter une jeune femme, soupçonnée de sorcellerie, jusqu’à un monastère où elle doit être jugée. Dès le départ, l’affaire s’annonce mal. Le réalisateur enchaine plusieurs grandes batailles avec quelques figurants. Ceux-ci, placés au premier plan, forment la première ligne de combattants. Le reste n’étant qu’une troupe de soldats numériques aux contours très approximatifs… Difficile de se plonger dans une action qui sonne déjà bien creux. Par la suite, le château, la forêt, le monastère… Tout sent la mauvaise image de synthèse et le décor en carton-pâte. Quand ce ne sont pas les comédiens qui ne ressemblent plus à rien. Difficile de reconnaitre le grand Christopher Lee transformé ici en gros bubon vivant. Difficile aussi de se raccrocher au récit, tant il cumule les poncifs du road-movie d’aventure (traversée d’un pont en bois vermoulu, attaque de loups) et ceux du film horrifique avec son lot de musiques stridentes et d’effets appuyés censés faire sursauter. Reste quelques beaux paysages naturels et la présence plutôt convaincante de Nicolas Cage et de Ron Perlman. Tous deux forment un duo intéressant qui laisse entrevoir ce que le film aurait pu être si un metteur en scène doué s’en était emparé. Mais que demander de plus à Dominic Sena, affligeant réalisateur de 60 secondes chrono et Opération Espadon ? Tout compte fait, sur l’affiche, ce n’est pas vraiment le titre qui pose problème, mais le nom du réalisateur… écrit bien trop petit ! Si on avait su, on se serait abstenu.