mercredi 12 décembre 2012

Lieux sacrés : l'hotié de Viviane.

L'hotié de Viviane C'est une allée couverte de plus de 4 000 ans, de type inédit dans la région. Il était appelé autrefois le tombeau des druides. Oui, c'est un tombeau, mais virtuel, initiatique. C'est l'épreuve de la terre des impétrants... Il est entouré d'un cercle de petites pierres, signe d'un ancien tumulus Sources Mme Dulac.

Lieux sacrés : Fontaine de Sainte-Apolline.

Fontaine sainte Apolline
""Jour de Sainte-Apolline renfrogné, c'est trois beaux mois d'été qu'elle nous a gardés."" Une belle petite fontaine où les gens du coin viennent remplir des bouteilles pour leur consommation personnelle.broc_liande_054broc_liande_0581Toujours faire confiance au bon sens des autochtones... Les arbres en amont s'écartent, laissant passer l'eau miraculeuse. On dirait bien une photo exemple pour les réseaux telluriques. Sources : Madame Dulac.

Le jardin des moines.

Le jardin des moines
Le site est divisé en trois parties comme les cathédrales et certaines églises, qui symbolisent les trois plans de conscience (physique, esprit, âme). Les énergies sont en général graduelles et le taux vibratoire du futur initié augmente progressivement alors qu’il pénètre l’endroit.Nous sommes en présence d'un rectangle d'or, prolongé par un carré. D'une longueur de 27 metres, la masse de terre est bordée de 27 petits blocs dressés du côté nord et 26 côté sud.Il est construit alternativement en quartz et en schiste rouge. Toutes les philosophies et religions considèrent que l’homme peut s’élever vers la spiritualité par trois étapes successives : du monde des passions (physique) au monde des apparences (esprit) puis au monde de la non apparence (âme), du rectangle de la vie physique au carré de la vie spirituelle puis au cercle de la vie divine. Et l’une de ces limites est peut-être liée à la cheminée que l’on peut sentir vers la troisième partie du site. Une onde tellurique se trouve aussi en plein centre de ce qu’on pourrait appeler le chœur de l’ancien temple.broc_liande_113 . moine Posté par madame_dulac à 18:38 - Brocéliande (35-Ille-et-Vilaine)

Les lacs de Brocéliande.

Les lacs de Brocéliande
Pour ceux qui aiment les fées et autres elfes, ils se déplacent aussi au dessus de l'eau.Longue vie à Brocéliande !broc_liande_027broc_liande_242 broc_liande_231broc_liande_077 Posté par madame_dulac à 00:56 - Brocéliande (35-Ille-et-Vilaine) - Commentaires [1] - Rétroliens [0] - Permalien [#] 0 1 2 3 4 5 Les arbres : Ponthus Ponthus_3Ponthus_14 Le dernier cycle de la Table Ronde, le Roman de Ponthus, oeuvre du XIVème siècle, a pour théatre Brocéliande où se passe l’un de ses principaux épisodes. Ponthus_12Ponthus, fils du roi de Galice, en Espagne, fait naufrage avec quatorze de ses compagnons. sur la côte du Morbihan et est recueilli à Vannes par le roi de la Petite Bretagne. Il rencontre à sa cour plusieurs seigneurs, entre autres le sire de Gaël, seigneur de Brocéliande, avec lequel il se lie d’amitié. Le sire de Gaël a une fille, Sydoine, belle comme l’aurore, et Ponthus en devient éperdument amoureux. Ponthus_2La jouvencelle ne reste pas insensible aux sentiments qu’éprouve pour elle le chevalier espagnol ; elle y répond par un égal amour. Cependant, avant que la gente pucelle ne lui accorde sa main, Ponthus doit triompher d’un certain nombre d’épreuves ; adonc il s’éloigne en quête d’aventures chevaleresques qui le conduisent à Rennes, Saint-Malo, Monfort, au château de la Roche Perdue, jadis bâti sur un rocher par Merlin à la sortie du Val sans Retour. Revenant vainqueur à Vannes, il est fait connétable par le roi de la Petite Bretagne. Ponthus_11Hélas ! des perfides, jaloux de sa renommée, le desservent vilainement dans l’esprit de Sydoine qui lui signifie sa disgrâce. Il se retire en Brocéliande, au château de Ballanton ou Barenton, depuis le château de Ponthus, et fait assavoir qu’il combattra, chaque mardi, dans le champ clos des Tournois, près de la fontaine de Barenton, tout chevalier qui voudra jouter contre lui. Cinquante champions se présentent successivement, il triomphe de tous et les envoie prisonniers à sa chère Sidonie auprès de laquelle il rentre en grâce et qu’il épouse. Depuis ce jour Ponthus resta seigneur d’une partie de Brocéliande. Ponthus_4Au plus profond de la forêt de Brocéliande, le hêtre de Ponthus s'est élevé sur les vestiges d'un château détruit, jadis, par Dieu lui-même. En ces temps-là, le chevalier de Ponthus désespérait de ne point avoir de progéniture. "Il me faut un enfant, qu'il vienne du diable ou de Dieu !", s'écria-t-il du haut de la plus haute des tours de son château. Dieu fit la sourde oreille. Mais le diable était tout ouïe. Ponthus_5Malin prit le chevalier au mot : neuf mois plus tard, à la faveur d'une éclipse de lune, la châtelaine accouchait d'un petit monstre velu. A peine sorti du ventre de sa mère, le petit diable sauta sur le haut d'une énorme armoire puis se blottit sous un buffet. "Sinistre présage !" prophétisa la sage-femme avant de s'enfuir à toutes enjambées. Ponthus_1En ces temps là, il fit grand vent. La tempête venait de l'océan. Elle épargna la forêt, mais détruisit le château qui, emporté par une bourrasque, s'écroula sur ses occupants. Le souffle de l'apocalypse avait renversé les remparts pour laisser place à un magnifique hêtre qui domine toujours les hauteurs de Brocéliande. http://www.larcenciel-forum.com/spip.php?article218 http://www.britia.com/articles/ponthus.php Posté par madame_dulac à 00:28 - Brocéliande (35-Ille-et-Vilaine)

Les Templiers de Vaillampont.

Commanderie de l'Ordre du Temple à Vaillampont (Reprise par l'Ordre de Malte au XIVème siècle) Avenue de Vaillampont à Nivelles LES TEMPLIERS DE VAILLAMPONT (Duché de Brabant) Extrait de "L'Ordre du Temple dans l'ancien diocèse de Liège ou la Belgique orientale" Par le baron DE CHESTRET DE HANEFFE, membre de l'Académie. 1901 Vaillampont et le Vieux-Court, aujourd'hui Vaillampont et Vieille-Cour, dépendances de Thines, près de Nivelles. On sait que les frères du Temple étaient déjà établis près de Nivelles du temps de Godefroid III, duc de Louvain (1142-1190), qui les prit sous sa sauvegarde, eux et leurs possessions. Mais le nom de leur maison se rencontre pour la première fois dans une charte de 1209, par laquelle Henri Ier, duc de Lorraine, ratifia la donation faite aux Templiers de Vaillampont par François d'Arquennes, sa femme Agnès et ses fils, de tout ce qui constituait Ie fief de Thines, sans y retenir Ie moindre cens ni la moindre juridiction. Hugues d'Arquennes et Walter de Rosaive, seigneurs dominants, avaient donné leur consentement è cette donation; de son côté, le duc Henri déclara généreusement que la terre concédée serait convertie en franc-alleu. Quelque temps après, les Templiers de Vaillampont, ayant acheté des terres qui dépendaient du fief de Rognon (lez-Nivelles), eurent des difficultés avec Ie châtelain de Bruxelles et Gilles de Trazegnies, possesseurs de ce fief par indivis. Le châtelain Godefroid, qui réclamait Ie droit de gîte sur les biens achetés, y renonça en 1213. Le sire de Trazegnies, après avoir fait une réclamation semblable s'étendant à la fois aux gîtes, aux exactions et à d'autres droits, se désista également de ses prétentions, le cens seul excepté. Lorsqu'il fut mort, son fils et successeur, Otton, scella cette renonciation au mois d'avril 1220, et reconnut en outre que le seigneur de Vaillampont avait le droit de mort-bois et de pacage dans la forêt de Nivelles, moyennant la redevance annuelle d'un pain et d’une poule. Après avoir parlé de cette charte, M. Alph. Wauters ajoute ce qui suit : « Bien que Henri Ier eût pris sous sa protection les frères du Temple demeurant près de Nivelles, ils eurent quelquefois a se plaindre de l'autorité ducale. On les voit, en 1265, plaider contre la duchesse Aleyde et ses fils, par-devant des juges institués par le saint-siège.» Un précepteur de Vaillampont, frère Georges, scella avec d'autres témoins une déclaration du 2 mai 1284. Son nom reparait le 28 janvier 1286 (n. si.); voici à quelle occasion : « Ce qu'on nommait le Temple (à Nivelles), dit encore M. Wauters, s'appelait ainsi parce que les Templiers de Vaillampont en devinrent propriétaires, par suite d'une donation faite en 1174, suivant Gramaye. Là aussi il y eut de longues contestations entre ces puissants chevaliers d'un côté, le chapitre et la ville, d'un autre côté. Madame de Nivelles et la justice accusèrent les Templiers de vendre du vin et firent «prendre et rompre» un tonneau de cette liqueur, « qui gisoit en la maison del major (ou maire) dit du Temple, sor le lin condist le quartier en le Nueve-Rue ». Frère Henri de Lille, commandeur de 1'ordre en Brabant, et le commandeur de Vaillampont, frère Jore (ou George), se présentèrent devant les échevins et autres bonnes gens de la ville, protestèrent que ce vin était pour eux boire et prièrent 1'abbesse de leur en rendre une « Kene » (dimanche après la conversion de saint Paul, en 1285). Quelques années après, on régla définitivement la question de la levée des assises sur les « mesuiers du Temple, demeurant au quartier de la Nueve-Rue, etc. » Une charte du mois d'août 1290 nous apprend encore que le duc Jean Ier, avec le consentement du chapitre de Nivelles, vendit au maître et aux frères de Vaillampont 112 boniers de bois, dont partie sur la route de Nivelles à Genappe et partie devant Ie Vieux-Court. Le prix fut réglé à raison de cent sous de Louvain le bonier; de plus, les Templiers s'engagèrent à payer dorénavant au domaine ducal un cens de deux deniers par bonier et renoncèrent à tout droit d'usage dans les bois voisins. Vaillampont et Ie Vieux-Court formaient, en 1313, un grand domaine contenant 490 boniers de terres et 25 de prés. La maison tenait de Gosuin de Houtain 72 boniers de bois. Du duc de Brabant et du chapitre de Nivelles, elle tenait 114 boniers, tant bois que pâturages. II y avait à Vaillampont trois étangs, quatre « bovelettes » et deux moulins. A Nivelles se trouvaient d'autres dépendances : la moitié du moulin Delfosse, « lequel est tout fondu » , le quart du moulin Storderech qui est auprès, et le quart du moulin du Charnier. Sources : Charles Saint-André.

Les Templiers de Nieuport.

LES TEMPLIERS DE NIEUPORT
(Comté de Flandre) Peu de choses subsistent de la présence templière à Nieuport (Nieuwpoort en flamand), ville côtière de la province belge de Flandre-Occidentale. En 1239, une dame Ogilve, veuve de Gilles Quathar, lègue à Willard Molensteen, commandeur de la Maison du Temple d'Ypres, quelques biens situés sur le territoire de Nieuport. On connaît la Tour des Templiers à Nieuport, appelée aussi Tour du Diable (ou encore Tour Saint-Laurent), qui était attenante à l'église St Laurent, possession des Templiers (détruite par le feu en 1913). Cette tour servait également de phare, pour indiquer l'entrée du port aux marins. Elle fut également l'une des plus importantes stations astronomiques de Belgique. La Tour des Templiers fut détruite en 1914 par les quatre canons géants de la batterie Tirpitz de l'armée allemande. Les ruines de la tour sont visibles à la Willem de Roolaan (à quelques dizaines de mètres de la Nijverheidstraat). La démolition, en 1819, d'un escalier à l'intérieur de la tour y fit découvrir des peintures murales très anciennes. Le texte qui suit, Notice sur une peinture ancienne découverte à Nieuport, de J.L. Kesteloot, relatif à cette découverte, remet en perspective les liens historiques qui unissaient Nieuport et les Templiers. Il y est également fait mention de l'animosité des Templiers à l'encontre du roi de France, Philippe le Bel, qui se concrétisera par les armes lors de la bataille des Eperons d'Or en 1302, au cours de laquelle les milices flamandes, appuyées par des contingents de Wallonie et par les Templiers eux-mêmes, aboutit à la défaite cinglante de l'une des plus puissantes armées d'Europe (voir à ce sujet l'article "Les armoiries templières de quelques communes de Flandre", dans la section TEMPLIERS). Sources : Charles Saint-André

Celtic Mythology.

Le PYTHIAD AVEBURY est une expression inventée par Hancock pour nommer une théorie favourote de son concernant Avebury. Il fait remarquer que, presque jour pour jour, la même phase de lune à la même période de l'année se produit après une période de 8 ans. C'est tout à fait par hasard, étant donné que c'est aussi la période du cycle Vénus. Le nombre de phases de la lune au cours de cette période est 99. Nous ne savons pas des pierres pour certains combien il y ont dans le cercle extérieur à Avebury, mais le nombre ne semble pas avoir été 99. Nous irons avec ceci ici afin de construire une image de mytho-poétique. Evelyn Francis à Avebury suggère que le cercle de pierres de 99 à Avebury représente ce cycle des lunes. Après avoir été à regarder les pierres sur une pleine lune la nuit et vus comment les cristaux dans la roche brillent magnifiquement dans cette lumière lunaire, j'ai été tenté de prendre cela au sérieux - chaque pierre debout pour une pleine lune. L'archéologue Mike Pitts, dans Hengeworld, écrit "ériger la moindre Pierre [mégalithique] est un événement. Il exige la planification et organisation, personnes et matériel. Il attire l'attention et lègue histoires - il génère un buzz...L'important, c'est le respect, l'activité. »