samedi 19 janvier 2013

Celtic mythology.

CARANTĀNA the great darling was a sultry Gallic goddess who was always moist for her tribe. Her soul essence was the River Charente which is named after her sake. She can be compared to the fairy Irish darling Clíodhna who is overwhelmed by waves of gushing and frothy liquid and who was thought to run wild for handsome lads at summer fairs.
CARANTĀNA le grand chouchou est une déesse gauloise sensuelle qui était toujours humide de sa tribu. Son âme était la Charente, qui est nommé d'après son amour. Elle peut être comparée à la coqueluche Irish fairy Cliodhna qui est submergé par les vagues du liquide qui jaillit et mousseuse et qui a pensé à ne pas manquer pour les beau gars dans les foires de l'été

The Pharmacratic Inquisition 1of8

Templariorum

Celtic mythology.

The wheel-cycle of the disc-world spins ever sunwise like unto the clock and ne'er retrograde and withershins against the clock. Now is the land covered in the white manna-milk of heaven to suckle the young Oengus-Maponus and, to keep the suckling warm, the eastward-rising Briganti gets ready to open her eye and rise up in the morning of the year to light the hearth in the skies. And in the north-east, the cold and hard stones cry out a shrill howl in waiting for the new-born king of fresh and sappy glory.
Le cycle de la roue du disque-monde tourne jamais sunwise comme l'horloge et jamais rétrograde et withershins contre la montre. Maintenant, la terre est couvert dans la manne-lait blanc du ciel de téter le jeune Oengus-Maponus et, pour garder le lait chaud, que Briganti vers l'est à la hausse se prépare à ouvrir ses yeux et la montée dans le matin de l'année pour allumer le foyer dans le ciel. Et dans le nord-est, les froids et durs pierres crient un hurlement strident en attendant le roi nouveau-né de gloire fraîche et séveux

vendredi 18 janvier 2013

Madame de Pompadour à Sèvres - Vidéo Dailymotion

Madame de Pompadour à Sèvres - Vidéo Dailymotion

Marie-Antoinette.

Histoire des Reines - Marie Antoinette

Publié le 11/07/2009 à 10:40 par acoeuretacris Tags : histoire reine marie Antoinette
Histoire des Reines - Marie Antoinette
Le 19 avril 1770, la jeune archiduchesse Antonia épousait par procuration le dauphin de France, Louis-Auguste de Bourbon, petit-fils de Louis XV. Commence alors pour la jeune fille de 14 ans un long voyage de Vienne à Versailles. A son arrivée, si le souverain lui réserve un accueil chaleureux, les filles de ce dernier, Mesdames de France –éternelles célibataires- surnomment déjà la jeune Antonia « l’Autrichienne » surnom à connotation péjorative. La jeune fille, dont le prénom a était francisé en Marie-Antoinette, fait la connaissance de son époux : c’est un garçon timide et effacé si on le compare à ses frères cadets les comtes de Provence et d’Artois. Devant la beauté, le charme et la vivacité de sa jeune épouse, Louis-Auguste reste de marbre, presque effrayé. Le mariage où les deux conjoints sont désormais présents se tient dans la chapelle du château de Versailles le 16 mai. Si Marie-Antoinette semble heureuse et disposée à plaire à son mari, le dauphin semble ailleurs, et nerveux face à la belle épousée. Le lendemain, il court le bruit qu’il ne s’est rien passé entre les époux. Louis XV ne s’en inquiète pas et il est de l’avis d’attendre, de laisser faire le temps. Il faudra effectivement attendre et non pas des mois mais des années : sept au total ! Pourquoi dons ne se passe-t-il rien entre Louis-Auguste et Marie-Antoinette une fois les rideaux du lit fermés ? A la vérité, il semble que la dauphine fasse peur à son époux. Elle est vive, belle, multiplie les attentions à son égard dans les premiers mois de leur mariage. A l’inverse, Louis-Auguste est renfermé et très complexé. Quand son frère aîné, le duc de Bourgogne était mort en 1761, ses parents avaient dit que la mort « s’était trompée de personne » car le jeune Louis-Auguste était à l’époque souffrant lui aussi. Après ce drame, toute la cour avait le regard posé non sur lui, mais sur ses frères : Louis-Stanilas de Provence très mûr pour son âge et Charles, le petit dernier très enjoué. On semblait regretter que le comte de Provence ne soit pas né avant Louis-Auguste alors duc de Berry. Seul son grand-père Louis XV et sa petite sœur Elisabeth lui montraient un réel attachement. Louis-Auguste en ait venu à se sentir inférieur aux autres tandis que son épouse se met en avant. De plus la défunte mère du dauphin, Marie-Josèphe de Saxe, s’était opposée jusqu’à sa mort en 1767 à l’union de son fils avec une princesse membre de la famille des Habsbourg. De ce fait, les tantes de Louis-Auguste, Mesdames Adélaïde, Victoire et Sophie, ont fait naître chez le jeune homme un sentiment de méfiance envers sa femme : celle-ci, cette « Autrichienne » n’est en France qu’en tant qu’espionne à la solde des Habsbourg. Cela ne favorise en rien un rapprochement entre le dauphin et Marie-Antoinette. De plus, leur emploi du temps et leurs passions sont très différentes : il aime lire, se lève tôt pour aller à la chasse et par conséquent, se couche tôt ; elle ne lit pas, préfère la danse et la musique, se couche tard après avoir danser ou assister à un opéra et aime les fêtes, la foule. Cependant il faut un héritier à la France et pour assurer sa position à la cour, Marie-Antoinette doit donner un fils à son époux.

Le 10 mai 1774, Louis XV s’éteint. A cette nouvelle, les nouveaux souverains, Louis XVI et Marie-Antoinette prient ensemble « Seigneur guide-nous car nous régnons trop jeunes ». Déjà quatre années de mariage et toujours pas de grossesse pour Marie-Antoinette. De Vienne, sa mère l’impératrice Marie-Thérèse lui envoie lettre sur lettre dans lesquelles elle donne des conseils à sa fille. Elle déplore également que la reine de France monte à cheval, acte dit néfaste à l’époque aux grossesses. Le 6 août 1775, la comtesse d’Artois, mariée depuis moins de deux ans au frère de Louis XVI, met au monde un garçon, le petit duc d’Angoulême. C’est une douche froide pour Marie-Antoinette qui en tant que reine aurait voulu donner naissance au premier prince de la nouvelle génération. Si le couple royal n’arrive pas a procréer, chacun se demande à qui la faute : Louis XVI est-il impuissant ou Marie-Antoinette est-elle stérile ? Le roi et la reine voient plusieurs médecins et il en ressort que Louis XVI devrait subir une légère intervention chirurgicale mais cela effraye le souverain. En dernier recourt, le frère de la reine, l’empereur Joseph II vient à Versailles en 1777 afin d’analyser au mieux la situation du couple. A Marie-Antoinette, il fait quelques reproches : elle doit se ménager, elle n’a plus l’excuse de la jeunesse pour faire passer ses caprices, elle se doit d’avoir des enfants. Joseph II parle ensuite à son beau-frère à qui il donne des conseils avisés. En quittant Versailles, l’empereur peut écrire à sa mère et à son frère Léopold que tout est normal au sein du couple et que le roi et la reine de France « sont deux maladroits ». Il prédit que désormais « la grande œuvre » peut s’accomplir.

Et effectivement, en août de la même année, Marie-Antoinette peu écrire à sa mère qu’elle a bon espoir d’être bientôt enceinte. Cet enfant tant attendu viendra le 19 décembre 1778 mais ce ne sera pas un dauphin. La reine donne naissance à une petite princesse, Marie-Thérèse-Charlotte dite Madame Royale. Mais si le bébé n’est qu’une fille, Marie-Antoinette prouve néanmoins qu’elle est capable de porter des enfants. Elle sera encore enceinte à cinq reprises : après une fausse-couche en 1779, l’héritier tant désiré –le dauphin Louis-Joseph- naîtra en 1781. Nouvelle fausse-couche en 1783 suivit de deux autres naissances en 1785 et 1786 : celle du futur Louis XVII et de la petite Sophie.

Isabelle de Hainaut.

Histoire des Reines - Isabelle de Hainaut -

Publié le 21/05/2010 à 09:37 par acoeuretacris Tags : histoire reine isabelle de hainault
Histoire des Reines - Isabelle de Hainaut -
Le 28 avril 1180, Philippe II (dit Philippe Auguste) prend pour épouse la jeune Isabelle de Hainaut, fille du comte du Hainaut Baudouin V et de Marguerite de Lorraine comtesse de Flandres. Isabelle est sacrée reine de France à Paris le 29 mai. Elle apporte en dote le Vermandois, le Valois, l’Amiénois et l’Artois. C’est sur l’instigation de son parrain le comte de Flandres que le roi a décidé d’épouser la jeune princesse qui apportait à la couronne des terres importantes. En 1184, Isabelle a tout juste 14 ans et Philippe II décide de la répudier. Le roi doit en effet faire face à une coalition de vassaux parmi lesquels on trouve le comte de Flandres et le comte de Hainaut, parents d’Isabelle. Furieux que son épouse n’ait pas su rallier son père à sa cause, Philippe II prétexte un lien de parenté avec la reine et surtout sa stérilité pour la répudier. Cependant, Isabelle n’a que 14 ans et en comptait 10 lors de son union avec Philippe II. Peut-on parler de stérilité à cet âge quand on sait que durant les quatre années de mariage qui viennent de s’écouler le roi n’a pas porté un vif intérêt à son épouse ? Ainsi, un matin de mars 1184, les habitants de Senlis voient la petite reine en tenue de pécheresse, chemise blanche, un cierge à la main, marcher dans les rues de la ville, comme pour faire pénitence. C’est le jour où elle doit être répudiée et Isabelle prie dieu d’avoir pitié d’elle. Le peuple est ému de la voir misérablement vêtue et intervient en sa faveur auprès de Philippe II pour qu’il la garde à ses côtés. Devant la demande de son peuple mais aussi celle du Pape, Philippe II s’incline.

Le traité de Boves est signé en 1185, mettant fin au conflit entre le roi et les seigneurs. Philippe II s’était alors montré toujours froid et distant de son épouse mais revient vers elle après cette réconciliation. Le 5 septembre 1287, Isabelle met au monde un fils prénommé Louis (futur Louis VIII). Philippe II, que la naissance d’un héritier a empli de joie, exige que l’on rende un immense hommage à la reine qu’il se met à aimer. D’autant que sur le plan militaire, le roi est en train d’écraser la puissance des Plantagenets (les rois d’Angleterre). Philippe II voulait qu’Isabelle soit « la plus grande et la plus honorée des reines de France ». Hélas, le 15 mars 1190, la reine Isabelle meurt après la naissance de jumeaux qui ne vivront pas. Le roi, qui se préparait à partir en croisade aux côtés de Richard Cœur de Lion, prend le temps de faire à Isabelle d’importante funérailles en la cathédrale Notre-Dame.

Source http://www.histoire-et-secrets.com/