Créé pour vous présenter mon dernier livre,je vous présente 4500 articles sur le thème de mon livre :les Templiers,des sujets ésotériques,des textes rosicrusiens,les mérovingiens, saint-Graal,Nostradamus,Mary Magdalene.Le Baphomet et le Tau, Château de Saumur,la femme dans l'histoire templière. Trésor templier.Histoires, légendes de Belgique,de France et d'Europe et Celtiques. La spiritualité. Développement personnel.
dimanche 20 janvier 2013
La chapelle templière de Laon.
La chapelle templière de Laon qui présente des analogies avec celle que Didier Convard figure dans la forêt d'Orient.
Les Amis des Arcanes du Triangle secret.
Cathédrale de Laon : L'allégorie de la Sagesse, au centre de la grande rosace nord.
Tour Madgala, domaine de l'abbé saunière.
Tour Madgala, domaine de l'abbé Saunière, Rennes-le-Château, Aude, France
Elle devait s'appeler à l'origine la Tour de l'Horloge puis la Tour du Midi.
samedi 19 janvier 2013
Antiquités : l'orpaillage.
Histoire: Antiquité
vers 1200 avant JC, Les marins Phéniciens parcourent la Méditerranée et pratiquent l'échange commercial: ils troquent marchandises diverses contre de l'or et de l'argent avec les peuples qu'ils visitent en Méditerranée. Selon Diodore de Sicile (Historien Grec, -45 à 20 après JC), ils auraient obtenu une telle quantité de métaux précieux de provenance pyrénéenne, qu'ils en auraient abandonné leurs ancres de plomb pour les remplacer par des ancres d'argent afin de rentabiliser la charge utile. Les Celtes exploitaient des mines d'or depuis l'Âge du Bronze (vers le XIIIe s. av. J.-C.) jusqu'à la conquête romaine. Les Lémovices, peuple Celte, occupaient la région minière au sud de Limoges et y pratiquèrent l'extraction minière de l'or dès le 6 ème siècle avant JC.D'après Diodore de Sicile, l'orpaillage était productif et facile:
"En Gaule, on n'extrait point d'argent mais beaucoup d'or et la nature des lieux permet aux habitants de recueillir ce métal sans le travail du mineur. Les fleuves par leur cours et par leurs affluents qui touchent au pied des montagnes entraînent dans leurs alluvions de grandes quantités de métaux précieux. Les gens qui s'occupent de ce genre de travail brisent et mettent en bouillie les mottes de terre qui contiennent les grains d'or ensuite, cette bouillie lavée dans l'eau est mise en fusion par des fourneaux. Une si grande quantité d'or est amassée par ce procédé que non seulement les femmes mais les hommes s'en font des parures. Ainsi portent-ils des bracelets d'or aux poignets et aux bras, de gros colliers d'or autour du cou, et même des cuirasses d'or. Dans les temples et lieux sacrés de ce pays, on consacre en l'honneur des dieux beaucoup d'or répandu çà et là et quoique les gaulois soient très avares, personne n'y touche tant ils sont scrupuleux dans la religion."
Bracelets provenant de la tombe à
char, lieu
dit "La Butte" à Sainte-Colombe-sur Seine,
(Côte-d'Or)
Or, Hallstatt, VIe siècle av. J.C.
Musée des Antiquités Nationales (MAN) Saint-Germain-en-Laye
Or, Hallstatt, VIe siècle av. J.C.
Musée des Antiquités Nationales (MAN) Saint-Germain-en-Laye
Boucles d'oreilles en or
sépulture à char du Tumulus de la Butte à Sainte-Colombe-sur-Seine (Côte d'Or)
fouille de 1863
Hallstatt, VIe siècle av.JC, diamètre environ 3 cm
Musée d"archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye, Inv n° 18 267. 1-2
Ruelle d'or celte, Balesme, Haute Marne
Comme
en témoignent
les historiens et géographes de l'antiquité,
l'orpaillage
était très productif ; il semble avoir
été
pratiqué sur tous les réseaux hydrographiques
aurifères
des Pyrénées, du Massif central, des Alpes, du
Massif
Armoricain
et des Ardennes. Une étude archéologique des
traces
d'exploitations
d'or alluvionnaire reste cependant à faire. Les auteurs
anciens
citent le Rhin, le Rhône, l'Ariège, le Tarn comme
roulant
des paillettes d'or, et affirment avoir installé des
lavages sur
ces diverses rivières.
sépulture à char du Tumulus de la Butte à Sainte-Colombe-sur-Seine (Côte d'Or)
fouille de 1863
Hallstatt, VIe siècle av.JC, diamètre environ 3 cm
Musée d"archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye, Inv n° 18 267. 1-2
Ruelle d'or celte, Balesme, Haute Marne
Les Celtes gaulois qui maîtrisaient le fer comme aucun autre peuple, arboraient fièrement leur or: chaînes et torques d'or autour du cou, anneaux torsadés aux chevilles, bracelets aux bras, pendentifs, ceintures, coupes... La civilisation de la tène produit des ouvrages d'orfèvrerie exubérants, généreux et ostentatoires.
Torque d'or Gaulois de 762 g, (IIème Siècle AV. J.C)
Origine: Trésor de Tayac
L'or était recherché et utilisé par les Gaulois, d'abord sous forme d'orpaillage puis des exploitations minières furent mises en place vers le 6 ème siècle av. JC.
Maquette de Béatrice Cauuet
Des ruées vers l'or filonnien eurent lieu à l'époque gauloise.
Les fouilles des mines d'or du Limousin révèlent qu'en 400 an JC, les techniques minières gauloises étaient expertes. Les minerais extraits par abattage au feu étaient concassés et grillés avec du charbon de bois pour oxyder les sulfures, puis réduits en poudre ; l'or ainsi libéré était séparé du minerais dans des canaux de lavage tapissés de peaux de moutons. On le récupérait en brûlant ces peaux. Il était ensuite raffiné au creuset.
Les premières monnaies d'or gauloises sont datées de 300 av JC, elles s'inspirent des Statères Grecs:
Statères des Parisii
Ier siècle AV J.C.
or: 7,31 g diamètre maximum: 2,1 cm
Statère Vercingétorix
52 AV J.C.
Or 7,43 g
Provient du trésor de Pionsat (Puy-de-Dôme), 1852
Principaux gisements aurifères gallo-romains
et Tribus gauloises citées pour leur richesse en or:
Des exploitations mécaniques des alluvions aurifères et des mines en roche étaient mises en service sur les points les plus riches. Esclaves, pompes puissantes, vis d'Archimède (Les Musées de Madrid et de Metz possèdent des spécimens miraculeusement conservés), dragues, canaux et mercure étaient utilisés.
Grâce à l'écrivain latin Pline (23 à 79 après JC), on sait que les romains extrayaient des mines de la péninsule Ibérique et de la Gaule environ 6500 kg d'or par an.
Les conquêtes des Romains permirent de récupérer aussi de "l'Or coronaire", terme désignant une offrande "bénévole et désintéressée" que les populations des pays conquis versaient à Rome en gage d'amitié (les dettes de César et de Rome furent épongées par l'or de la guerre des Gaules).
En réaction à ce pillage, les gaulois ont comblé, noyé et caché grand nombre de leurs exploitations minières de manière si efficace que l'on ne parvint à en retrouver les traces que de nos jours.
L'exploitation minière de l'or persista mais s'atténua donc à l'époque Gallo-romaine.
Les datation des poutres des anciennes aurières Gauloises montrent qu'elles étaient exploitées jusqu'en 280 pour la Mine de la Bellière et 480 (+ou- 100) pour la petite Faye (Creuse).
A la fin de l'empire romain décadent, la négligence et l'incompétence des cadres provoquèrent une baisse énorme de la production suivie d'une pénurie fatale qui causa la chûte de Rome par manque de liquidités pour payer des mercenaires...
-Theophraste Philosophe grec (371 à 287 av JC) signale les mines gauloises d'or et d'argent. -Posidonios Philosophe grec (135 à 50 av JC) indique que les Volques Tectosages dont la domination s'étendait jusqu'aux Pyrénées, exploitèrent les premières mines d'or de ces montagnes.
-Diodore de Sicile, Historien grec, (90 à 20 avant JC) décrit un orpaillage productif et facile dans les cours d'eau Gaulois près des montagnes, il rapporte la prolifération de parures ostentatoires ainsi que la sacralisation des offrandes d'or aux dieux par les Gaulois.
-Strabon Géographe grec ( 64 av JC à 21) écrit que les Tarbelles, peuplade vivant au pied des Pyrénées sont en possession des mines d'or les plus estimées car sans fouiller bien avant dans les terres on y trouve parfois des masses d'or qui sont assez grosses pour remplir la main, et n'ont besoin que d'un léger lavage. Le reste de la mine consiste en paillettes et pépites qu'un travail facile sépare des matières étrangères.
Il indique aussi que la domination des Arvernes s'étendait jusqu'à Narbonne et jusqu'aux frontières de Marseille. On dit que Luérius, père de Viticus, qui combattit contre Maximus et Domisius s'était tellement distingué par ses richesses et par son luxe que, pour en donner des preuves à ses amis, il se promenait dans le pays, assis sur un char, en jetant à droite et à gauche des pièces d'or et d'argent qu 'il ramassait à sa suite. Luérius devait être roi vers - 150 avant J.C.
-Pline l'ancien (23 à 79), naturaliste auteur Latin, qui fut gouverneur des provinces d'Espagne (23 à 79 après JC) confirme la richesse en or de la Gaule décrite par Diodore de Sicile.
-Plutarque écrivain grec (50 à 120 après JC) écrit que Jules César conquit la Gaule avec le fer des romains et asservit la république avec l'or des Gaulois.
Documents anciens:
- Diodore de Sicile, Historien Grec: Travaux des anciens dans les mines des Pyrénées, Exploitation minère par les égyptiens
- Strabon : Géographie
- Cartes haute définition:
- L'or des anciens (Charles Rollin, 1738) citant l'histoire naturelle de l' or et de l' argent, extraite du Xxxiiie livre de Pline
- L'or en Espagne, Gaule et Bretagne aux temps antiques (Edouard Cumenge, 1898)
- L'amalgamation des sables aurifères par les anciens
- Anciennes exploitations aurifères d'Afrique australe
-La Gaule vue par Ptolémée (Géographe Grec, 100 à 170 Après JC) Version 1541, Version 1578
-La Gaule antique, Version du XVIIème siècle
Sources http://www.arpaillage.fr/histoire/antiquité.html
Le triangle sacré du Québec.
LE TRIANGLE SACRE DU QUEBEC
Ce
triangle est une zone protégée et sacrée. Les points limitants cette
zone se situe au Mont Saint-Hilaire (sud), à Chicoutimi (est) et à
Kiamica (nord). Chacune de ces régions représente des points d’énergies
telluriques puissants, tel un vortex. En d’autres mots, cette région est
une porte grandiose qui joint d’autres dimensions et d’autres mondes
parallèles.
Il
y a plusieurs prophéties et histoires liées à ce triangle sacré.
Apparemment que cet endroit a été le refuge de certains Atlantes à la
suite de l’effondrement d’Atlantis, 12.000 ans passés, et que ces
derniers auraient inséré des quartz et des cristaux à ces endroits de
haute puissance spirituelle.
Il y aurait également des trésors qui ont été enfouis dans cette zone sacrée. Les quartz
gigantesques des Atlantes seraient l’un de ces trésors. À cette époque,
les Atlantes connaissaient les pouvoirs des pierres précieuses et les
utilisaient pour la communication, l’énergie ou leur transport
(vaisseau). Les Atlantes avaient des technologies très avancées,
beaucoup plus que la technologie actuelle. Un autre trésor de cette zone
est l’eau, c’est-à-dire l’eau qui est entrée en contact avec les quartz
ou les cristaux. Cette eau miraculeuse permet de grandes
transformations du corps humain et des cellules.
De
plus, les Atlantes auraient enfoui des informations importantes
concernant leur médecine et leur technologie dans des fissures
terrestres ou surnaturelles à cet endroit. Ce triangle sacré serait est
également entouré d’une aura dorée qui permet de transformer les gens à
un niveau spirituel plus élevé. Par cette eau et cette couche dorée.
Un livre qui a été écrit sur le sujet, intitulé Aldaïra, par Bernard Gervès.
Source: www.secretebase.com
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Le Pic de Bugarach.
LE PIC DE BUGARACH
Le Mystère de la Montagne aux Fées
Le
Pic de Bugarach est le point culminant des Corbières avec 1231mètres.
De nombreux témoignages (certains très anciens) font état d’apparations
ou de lumières nocturnes s’ échappant ou entrant dans cette montagne. On
parle d’ovnis, de lumières étranges, etc. Des satellites on détectent
sous le Pic de Bugarach, d’étranges cavités ainsi qu’un immense dôme et
on ignore toujours actuellement ce qui se trouvent à l’intérieur et
aussi comment y accéder. Les avions survolant cette région on comme
consigne de ne pas passer au dessus de cette zone, car tous les
instruments se dérèglent sans aucune explication.
Le Pic de Bougarach a inspiré Steven Spielberg dans "Rencontre du 3me Type"
L'étude
des constructions et des décorations du domaine de l'Abbé Saunière
(Mystères de Rennes-le-Château) lui-même sont autant d'indices pour
comprendre le stupéfiant message qu'il a confié à la pierre le soin de
révéler. Il nous renvoit par la Tradition locale vers un sanctuaire
souterrain secret, connu depuis les temps les plus anciens à Bugarach.
On raconte aussi que le fameux trésor de l’Abbé Saunière y serait caché
quelque part dans une des cavernes du pic. Le secteur est interdit de
survol et l'armée surveille le site. Depuis environ 1960 la montagne de
Bugarach semble être le théâtre de nombreuses et curieuses
investigations...
MYSTERES DE BUGARACH
Dans
l’Aude, ou généralement les pays de Corbières, Razès et Roussillon, le
nom de Bugarach intimement mêlé à des faits étranges. Son étymologie
proche de ‘Boulgre’ laisse supposer un lien secret avec les terribles
événements de la croisade contre les Albigeois. Plus loin la rumeur nous
entretient de faits mystérieux se déroulant au long des pentes du Pech
de Thauze. Le secteur de Bugarach apparaît aussi dans plusieurs affaires
locales plus connues, comme celles de Renne-le-Château,
Rennes-les-Bains dans lesquelles s’imbriquèrent de nombreux personnages
bien connus : les abbés Saunières, Boudet et tant d’autres familles tout
autant connues, celle d’Hautpoul par exemple qui furent seigneurs des
lieux. Histoire de trésors oubliés, d’énigmes insolubles et secrets
mortelles émaillent également ce pays aux ombres formidables.
Bugarach, peu à peu, disparaît sous un si épais rideau de fumée pour dissimuler quoi, qui, pourquoi et depuis quand ?
On
ne peut qu’être surpris du peu d’ouvrages (pour ne pas dire aucun)
totalement consacrés à la commune de Bugarach, son passé historique, ses
richesses archéologiques, curiosités naturelles ou anecdotiques. Cà et
là on doit se contenter de bribes mentionnant telles curiosités
minérales ou minières, et de petits chapitres relatant quelques épisodes
historiques de la région dans lesquels se distingue brièvement le nom
de Bugarach. Rien de bien complet ou constructif en la matière. Pourtant
cette commune, à l’environnement extraordinaire, doit disposer de toute
sa place dans les guides touristiques régionaux. Mais c’est aussi dans
les méandres de son passé historique, culturel et traditionnel que cette
terre formidable retiendra toute notre attention. En effet l’étude des
différentes voies de recherches sur le sujet nous ouvrent
progressivement de formidables possibilités de travaux jusqu’ici jamais
réalisés ou rassemblés en une seule étude. Ce qui semble, tout d’abord,
n’être qu’une succession de simples détails insolites, s’avère très vite
déboucher sur des possibilités dépassant largement nos premiers
espoirs.
Que
cette région soit liée au mystère de Rennes-le-Château, ou à un
ensemble plus large sur le plan de notre passé, le cheminement reste
entier. Nous ne pouvons laisser s’éteindre irrémédiablement ce qui
restent de témoignages laissés, comme autant de pièces d’un rébus engagé
il y a des siècles, en sauvegarde d’une révélation.
Que
s’est-il réellement passé dans cette région que certains ‘initiés’
voulurent occulter sans vouloir radicalement effacer? Il est certain
qu’un événement, un ‘savoir’ important y est encore terré. Cette lourde
connaissance fut sans doute sous la protection de plusieurs familles
locales impliquées dans les énigmes du Razès et d’autres endroits. Comme
en d’autres lieux, connus pour leurs mystères, des signes restent
visibles, des gravures, des dessins, des graffiti, des documents, des
légendes, des vestiges qu’ils soient seigneuriaux, religieux ou datant
de la nuit des temps. Ces ultimes témoins attestent d’un dépôt
traditionnel sans doute fabuleux, d’une mémoire, d’un vestige dont la
valeur est à la dimension des précautions assurant toujours sa
sauvegarde. Un étrange parcourt s’ouvre de grottes en châteaux, d’église
en ermitages, de rivière souterraine en mines occultées, de gravures en
images de lumière, d’écrits religieux en souvenirs d’une prétendue
Atlantide, de notaires oubliés en archives obscures, de philosophies
occultes en ésotérismes symboliques, des archives de St Polycarpe à
l’écrivain Jules Verne… tous ces relais conduisent jusqu’à l’ultime
révélation d’un voyage au centre du mystère !
Cependant n’oublions jamais que ce cheminement parsemé de pièges
redoutables peut, certes conduire au ‘savoir’, mais aussi se refermer
mortellement sur l’imprudent ou le sacrilège. A l’image de certaines
questes médiévales nous pouvons accéder à quelques châteaux ‘Périlleux’,
à quelques coupes d’immortels secrets, à quelques tables où un
treizième siège vide attend le téméraire ou l’inconscient. Il y a
‘quelque chose’ dans le passé de Bugarach qui justifia de telles
précautions. Un ‘quelque chose’ défiant le temps et l’espace. Un
‘quelque chose’ à la fois sacré, occulte et hermétique. Un ‘quelque
chose’ ouvert sur des dimensions qui nous sont inconnues ou difficiles à
admettre.
L'AFFAIRE BETTEX
Daniel
Bettex, citoyen suisse et chercheur passionné par les cathares, étudia
le secteur de Bugarach peu prospecté à l'époque. C’est d’abord l’étude
d’anciens registres sur la région qui débouche sur un intérêt qui va
grandissant sur les ressources minières et souterraines de la commune et
ses environs. Bettex reconstitue, sur le terrain, une étrange
chronologie depuis des documents retrouvés par un Universitaire.
Depuis
ces constats et documentations Daniel Bettex estime d’abord possible
l’existence sous le mont Bugarach, d’un de ces fameux accès au mythique
monde souterrain… ensuite d’en réaliser la localisation, et enfin d’en
assurer le dégagement. Il note également que la tradition de l’ouverture
(obstruée) concernant ‘Pech de Thauze’ débouche sur un cours d’eau
souterrain paisible, profond mais praticable. Il affirme qu’il serait
également question à cet endroit d’une sorte de quai ou embarcadère
attestant que ‘l’ouverture’, dans ce secteur, ne résulterait pas d’un
accident géologique mais serait bel et bien la réalisation d’une ‘halte’
intentionnelle. Il faut, jusqu’à ce stade, faire la part des choses et
préciser que nous sommes encore dans le domaine du Folklore et de la
Tradition mythique. Cette précision est indispensable car voici
maintenant que se profile, discrètement colportée à voix basse par
quelques inconditionnels du trésor de Rennes sur cette région, l’aura
mystérieuse de la fameuse Arche d’Alliance dont le prétendu dépôt serait
curieusement sous Bugarach !…
Il
existe des photos prises par D. Bettex, montrant quelques tracés
découverts, au sein d’une cavité, sur plusieurs pierres dans la montagne
de ‘Tauze’. Il faut bien admettre que ces clichés montrent en premier
plan divers graffiti parmi lesquels on distingue une sorte de ‘coffre’
sur un brancard (rappelant une sorte d’Arche). En arrière plan de cette
vue un paysage correspond effectivement à la campagne de Bugarach. On
murmure alors que Bettex cherchait cette fameuse relique des temps
bibliques qu’il aurait située, grâce à ces photographies, avec précision
sous le mont de Bugarach ! Des rumeurs pas très sérieuses, précisent
également que le général Moshe Dayan (Israel) se serait personnellement
intéressé aux recherches de Daniel Bettex.
Daniel
Bettex met longtemps pour situer précisément, après de nombreuses
réflexions, le lieu de ses recherches. Une fois le secteur déterminé, il
envisage, afin de pouvoir travailler tranquillement, de taire
radicalement l’endroit. Puis il entreprend d’amener le matériel qui lui
sera nécessaire pour ses travaux, tout en brouillant les pistes. Bettex
cherchait en réalité une ancienne cavité perdue dans les flancs du Mont
Bugarach.. Il apparaîtra, également, que ces travaux étaient connus d’un
autre petit groupe sur lequel nous savons peu de choses. Daniel Bettex
avait visiblement besoin d’une information supplémentaire située dans le
village de Bugarach, et plus précisément d’un élément tenu dans les
gravures situées dans les restes du château lui-même.
Puis
vers 1988 tout ira très vite. L’homme, d’habitude d’un calme dont il ne
départit jamais, est dans un état d’excitation inhabituel. Il affirme
être quasiment arrivé au bout de son travail de terrassement et tout au
plus quatre à cinq jours le séparent du but final et que la richesse est
pour bientôt! C'est à partir de ce moment que Daniel Bettex aura de
très graves ennuis de santé !
Les
versions concernant la fin de sa vie divergent. Pour certains
l’aboutissement du dégagement de cette galerie mystérieuse dans la
montagne sera une mort violente et, apparemment, rien d‘autre. Pour
d’autres, épuisé et affaibli il se retire dans son pays natal et y
décède rapidement de problèmes cardio-vasculaires. D’autres rumeurs
affirment un décès foudroyant sur les lieux du site. Ici on dit qu’il
serait mort dans la galerie, écrasé par une masse de terre. Là on
explique qu’il aurait été retrouvé, dans une cavité, totalement inanimé
et qu’à la suite il serait décédé d’une inexplicable déshydratation. De
ce côté on apprend encore qu’il serait sorti de sa grotte et se serait
effondré tout à coup dans le jardin d’une des premières maisons de
Bugarach, terrassé par une violente crise cardiaque.
Après
le décès de ce chercheur, des rumeurs circulèrent dans des milieux
ésotériques très fermés. Ainsi, pour certains, les investigations se
déroulaient dans une mine comblée, pour d’autres dans une grotte très
basse. En vérité, aujourd’hui plus personne ne sait vraiment de quoi il
retournait à propos de cette galerie assez profonde.
Lucienne
Julien, secrétaire générale de la Société du Souvenir et des Etudes
Cathares qui connaissait très bien Bettex, propose de faire reprendre
les recherches plusieurs mois après ce décès sur le site désigné, par un
groupe de membres de la Société. A cet effet elle contacte les services
compétents, c’est à dire le ministère de la Culture de l’époque. Elle
doit écrire plusieurs fois pour obtenir enfin une réponse consternante
et sans appel. Le ‘service compétent’ lui explique laconiquement qu’il
est hors de question que quiconque reprenne à son compte de telles
recherches… et, de plus, qu’il est formellement interdit de poursuivre
ce genre de travaux à Bugarach. Lucienne Julien apprendra que des
gravats et du béton auraient été coulés (comme pour les fouilles sous le château du village) afin d’obstruer à jamais ‘une’ cavité...
LE MYTHE DE L'AGARTHA ET BUGARACH
Sur
le plan légendaire, il est question du mythe de la terre creuse, de
l’Agartha et surtout des traditions liées à d’étranges réseaux
souterrains, formés de cheminements naturels ou aménagés selon les
lieux. A propos du cataclysme engloutissant l’Atlantide, plusieurs
traditions tenaces affirment qu’une partie des aménagements
‘sous-continentaux’ aurait échappé à la destruction. Au fond de ses
cavités oubliées, parfois inondées, repose tout ou partie des secrets de
cette civilisation légendaire.
des
récits font état de plusieurs accès retrouvés fortuitement, ou
‘formellement’ situés, donnant accès à différentes versions de l’Agartha
! On retrouve ces légendes dans des provinces très éloignées les unes
des autres comme la Haute Loire (Pradelles), l’Ariège (Miglos), le
Massif du Pilat (Annonay), la Bourgogne, la Savoie (le Bourget du Lac),
l’Ardèche (St Pierreville) les Alpes Maritimes (Falicon), la Provence
(plateau du Clansaye, Baux de Provence), les Cévennes (Le Temple !) pour
citer seulement les plus connus. La surprise est, parfois, d’autant
plus grande que ces récits merveilleux sont minutieusement relatés par
des personnes n’ayant aucune notion de ce que sont l’Atlantide,
l’Agartha et leurs mythes essentiels.
plus d'articles sur mon autre blog: http://lavraierealite.eklablog.com
Secrets non révélés, sous Gizeh...
D’énormes secrets, non révélés, sous Gizeh… !
Un archéologue égyptien admet que les pyramides contiennent de la technologie extraterrestre…
Le
28 novembre 2010, dans une déclaration choc, le chef du Département
Archéologique de l’Université du Caire, le Dr Ala Shaheen dit à un
auditoire : qu’il pourrait y avoir une théorie comme quoi les
extraterrestre ont aidé les anciens Égyptiens à construire la plus
ancienne des pyramides d’Égypte, comme celle de Gizeh.
Interroger
par M. Marek Novak, un délégué de la Pologne lui a posé la question est
ce que la pyramide pourrait contenir de la technologie
extraterrestre, ou même un OVNI ?
Le Dr Shaheen, rerstant vague a répondu :
« Je ne peux pas confirmer ou nier, mais il y a quelque chose à l’intérieur de la pyramide qui « n’est pas de ce monde ».
Les
délégués à la conférence sur l’architecture égyptienne antique ont été
choqués, mais le Dr Shaheen a refusé de commenter ou d’apporter des
précisions sur l’ovni ou les extraterrestre.
Michael Cohen
Or,
fait étrange, il y a plusieurs années, en 1961, les russes avaient
lancés un projet, le projet Isis, afin de récupérer les connaissances
cachées dans la grande pyramide. Ces connaissances auraient été stocker
dans une bibliothèque appelé la chambre des connaissances.
Finalement les équipes russes auraient récupéré des documents ainsi que le corps d’un extraterrestre.
Beaucoup
d’entre vous ont sans doute déjà visionné ce reportage, lien ci -
dessous, je ne me prononcerai pas sur la réalité ou pas de cette
histoire, mais cela vient corroborer les dires du Dr Ala Shaheen, et
aussi ce que beaucoup soupçonnent de longue date.
On
sait aussi, mais beaucoup moins, qu’il existe également sous les
pyramides un vaste complexe, et des vestiges gênants d’une science
très avancée, comme le prouve le Nexus n° 33.
Extrait :
Le Sphinx et les Pyramides ne sont que la partie visible d’un fabuleux iceberg…
Dans
son étude célèbre, Des Mystères, en particulier ceux d’Egypte, de
Chaldée et d’Assyrie, Jamblique, un Syrien du quatrième siècle très
représentatif de l’Ecole d’Alexandrie dans les matières mystique et
philosophique, rapporta cette observation au sujet de l’entrée de la
Grande Pyramide par le corps du Sphinx :
Cette
entrée, aujourd’hui obturée par le sable et les décombres, peut être
retrouvée entre les pattes avant du colosse accroupi. Elle était
autrefois fermée par une grille de bronze dont seuls les Mages pouvaient
actionner le mécanisme caché. Elle était protégée par la vénération
publique, et une sorte de terreur sacrée maintenait son inviolabilité
mieux que ne l’aurait fait une protection armée.
Dans
le ventre du Sphinx étaient creusées des galeries menant à la partie
souterraine de la Grande Pyramide. Ces galeries s’entrecroisaient le
long du parcours vers la Pyramide avec un tel art que, quiconque s’y
engageant sans guide retournait inévitablement à son point de départ.
Les
antiques cylindres scellés des Sumériens racontent que la demeure
secrète des Anunnakis était “un lieu souterrain… où l’on pénètre par
un tunnel dont l’entrée est cachée par le sable ainsi que par ce qu’ils
nommaient Huwana… dont les dents sont semblables à celles d’un dragon,
et la face, à celle d’un lion”.
Ce
texte ancien remarquable, dont il ne reste malheureusement que des
fragments, ajoutait que “Il (Huwana) ne peut ni avancer, ni reculer”,
mais qu’en grimpant sur lui par l’arrière, le passage vers “la demeure
secrète des Anunnakis” n’était plus bloqué.
Les
notes sumériennes fournissent une description probable du Sphinx de
Gizeh, et si cette grande créature était construite pour garder ou
obturer d’anciens escaliers et des passages inférieurs menant aux
parties souterraines au-dessous et alentour, alors, ce symbolisme
était parfaitement opportun.
Ces
quelques dernières années un séismographe sophistiqué et un équipement
radar pénétrant le sol (GPR) établirent l’exactitude de ces plans.
L’Égypte utilise aussi avec succès des satellites de pointe afin de
repérer les cités enfouies sous la surface du sol à Gizeh et
ailleurs.
Le
nouveau système de repérage fut lancé début 1998 et permit de
déterminer avec précision l’emplacement de 27 sites non encore
fouillés sur 5 secteurs. Neuf de ces sites sont situés sur la rive Est
de Louxor, les autres à Gizeh, Abou Rawash, Sakkarah, et Dashour.
Les
clichés du secteur de Gizeh montrent une masse presque incompréhensible
constituée d’un entrelacs de tunnels et de salles en réseau, se
recoupant et s’entortillant réciproquement comme un treillis s’étendant à
travers tout le plateau.
Avec
cet important travail d’étude depuis l’espace, les égyptologues sont
capables de déterminer l’emplacement d’un site majeur, son entrée
probable et la taille des salles avant de commencer les fouilles.
L’attention
est attirée sur trois lieux secrets : un endroit dans le désert à
quelques centaines de mètres en direction de l’ouest/sud-ouest de
l’emplacement originel de la Pyramide Noire, autour de laquelle on
construit actuellement un ensemble d’enceintes de béton, haute de sept
mètres et couvrant huit kilomètres carrés ; l’ancienne grande route
qui reliait le temple de Louxor à Carnac; et le “Chemin d’Horus” à
travers le nord Sinaï.
Ceci n’est qu’un tout petit extrait de ce sujet, à voir ici, il est passionnant :
Il
n’est nul doute, que dans les pyramides, et sous ces pyramides,
existent bel et bien des secrets cachés par les autorités, nous
vivons dans un monde de mensonges constant, la vérité de notre monde sur
Terre, sous terre, et dans l’espace, est falsifié…Mais jusqu’à quand ?
Un mur autour des pyramides …
En 2002, de manière presque inaperçue par le public mondial, un vaste mur de béton,
surmonté d'une grille, a été érigé autour du terrain de Gizeh. Dès
le début, Armin Risi a observé la construction. Voici son premier
rapport de la situation.
En
mars 2002, j'ai entendu pour la première fois parler qu'un mur serait
construit autour du plateau des pyramides et le terrain environnant.
Des amis de retour d'Egypte, avaient vu les fondations ainsi que les
premières parties du mur. Quand le petit groupe privé de touristes
voulait suivre la ligne des fondations qui conduit jusqu'au désert,
il en a été empêché par des gardiens armés.
On leur a interdit de faire d'autres photos, ce qui nous a tous rendus encore plus curieux. Qu'est-ce qui se passait ici ?
Un mur mystérieux, une cadence élevée de travail…
Apparemment,
tout d'abord ce sont les fondations qui ont été érigées environ ½ mètre
dans le sol, entremêlées d'une suite d'une double rangée de tiges en
acier (avec tous les 10 cm deux des tiges en face). Pourquoi ce mur en
béton doit-il être tellement renforcé ? Et pourquoi sur une longueur
de plusieurs kilomètres ?
Et
pourquoi les premières parties du mur, ont-elles été érigées à des
angles très éloignés du plateau ou ni des touristes ni même les gens
du pays se rendent ? Est-ce que l'on voulait cacher le plus longtemps
possible ce que l’on recherche par ici ?
La
visite suivante en juillet 2002 montrait que le mur grandissait à une
cadence alarmante. Ici, on travaillait 24 heures par jour ! Et au
sommet du mur d'une hauteur d'environ 4 mètres, se dressaient des tiges
en fer de 3 mètres.
Lors
des visites en décembre 2002 et février 2003, on pouvait constater ce
que cette construction signifiait : entre-temps le mur avait atteint
le plateau des pyramides et sur les tiges en fer des grilles avaient été
fixées.
En
avril 2002 j'avais informé le chercheur bien connu, le professeur Jim
Hurtak, de cette construction. A cette époque, il n'en avait pas
encore entendu parler, mais il envoya un collaborateur qui confirma la
chose et ramena de nombreuses photos. Sur son site web, le professeur
Hurtak publia l'estimation que le terrain emmuré aurait une
superficie d'environ 8 km2.
De
plus, il relata que "l'installation du mur est tellement gigantesque
que dans ce but quelques bâtiments et logements de village ont
certainement dû être démolis et enlevés. De ce fait, il faut supposer
que ce n'est pas seulement l'intérêt des touristes qui est en jeu.
Ce
que nous avons ici est un plan plus grand, bien réfléchi qui inclut
également les sites environnants et doit sécuriser probablement des
tombes souterraines, tunnels et couloirs…etc
Le financement de ce mur viendrait des USA, il est question, entre autre, de „Stanford University“
Quelles
sont les motivations ? On sait que pendant les dernières années, de
nombreuses fouilles ont eu lieu sur le plateau de Gizeh. Ainsi, le
sol a été "radiographié" par sonde acoustique et les pyramides étaient
plusieurs fois fermées quelques mois. En février 2003, les trois
pyramides étaient fermées aux touristes. Pour des travaux de
rénovation !
Serait-on
en train de faire des recherches à l'intérieur ? Ou les rumeurs
concernant des souterrains et espaces sous le plateau sont-elles
fondées ? Des fouilles sont-elles programmées dont le public ne doit
rien savoir ?
Ce
ne sont que des spéculations, mais en tout cas cela vaut la peine de
garder sous surveillance cette région dans un proche avenir surtout
par des chercheurs indépendants.
Armin Risi
Il
parraitrait, selon plusieurs témoins, que depuis la construction de ce
mur, les excavations en sous-sol vont bon train sur le site fermé et
isolé des curieux, des bruits de grosses machineries sont également
entendu, mais nul ne sait de quoi il s’agit réellement !
Une
zone ou personne n'avait accès jusqu’à présent, a été découverte
également, les États-Unis exercent une surveillance accrue sur une
structure interne de la pyramide. La chose la plus étonnante est que
dans cette salle découverte il y avait une signature thermique
importante, de la chaleur ... Et on mentionne la présence d’une
«entité».
Des
forces spéciales ont été déployées aux alentours, et aux environ des
22, 23 avril cette entité inconnue est apparut, très grande, et étant
vêtue d'or, portant une coiffe d'oiseaux. En consultant nos amis de la
Geomatrix Gizeh, il semblerait que ce soit Thoth !
D’autres infos complémentaires ici :
Et ici : 'The Giza Geomatrix' - Giza Map
Thôt :
Dans
la mythologie égyptienne, Thot est le dieu lunaire. Représenté comme un
ibis au plumage blanc et noir ou comme un babouin, Thot capte la
lumière de la lune, dont il régit les cycles, à tel point qu'il fut
surnommé « le seigneur du temps ».
Inventeur
de l'écriture et du langage, il est la « langue d'Atoum » et le dieu
des scribes. Incarnation de l'intelligence et de la parole, il
connaît les formules magiques auxquelles les dieux ne peuvent résister.
Selon la légende, celui qui était capable de déchiffrer les formules
magiques du Livre de Thot pouvait espérer surpasser même les dieux.
Le
respect que Thot inspire lui vient de son savoir illimité. Toutes les
sciences sont en sa possession : Il connaît tout et comprend tout. En
tant que détenteur de la connaissance, il est chargé de la diffuser.
C'est pourquoi il a inventé l'écriture. Les anciens égyptiens pensaient
que le savoir et la connaissance leur avaient été transmis par des
livres et des écrits que Thot avait volontairement abandonnés dans des
temples.
Il
préside à l'audition des morts au tribunal d'Osiris, et c'est Anubis
qui pèse et juge les âmes en les comparant au poids d'une plume. Lors
de son combat avec Seth, Horus perdit son œil, mais le retrouva par la
suite grâce à Thot. Appelé « Oudjat », cet œil représente la victoire
de l'ordre (légitime, Horus étant l'héritier du défunt Osiris) sur le
chaos (Seth, qui perturbe l'ordre dynastique, et par conséquent l'ordre
du monde).
On ne peut également s’empêcher de re-penser aux écrits et aux dires d’ Edgar Cayce !
Edgar
Cayce, né en 1877 et mort en 1945, son oeuvre est considérable. Elle se
compose d'environ 14 256 lectures, c'est à dire, de consultations et
d'analyses données au cours d'une sorte de sommeil très spécial,
apparenté à une transe médiumnique.
"Bientôt
viendra le temps des grands changements ; et dans trois endroits
différents, on exhumera les archives atlantes. Le Temple de
l'Atlantide surgira à nouveau. C'est alors qu'on mettra à jour le
temple, ou plutôt la salle des archives en Egypte, ainsi que les
archives qui avaient été cachées au coeur du pays atlante : elles
pourront y être retrouvées (...) Ces archives forment un tout"
A propos de la découverte de cette salle des Archives en Egypte à Gizeh, Cayce dit encore :
"En
ce qui concerne les archives (géo)physiques, il sera nécessaire
d'attendre que s'accomplisse le temps de la désintégration de ce qui a
été fait par les volontés égoïstes du monde. Car rappelez-vous que ces
archives ont été réunies dans l'optique des changements mondiaux".
Un
autre homme, Giordano Bruno, fut lui aussi l'un des premiers à oser
dire que l'univers était infini et qu'il existait d'innombrables
mondes habités ...
Giordano Bruno est le premier à postuler, contre la doctrine de l'Église de l'époque, résultat : Il fut brulé par l’église !!
À
la lecture de sa condamnation au bûcher, Bruno commente : « Vous
éprouvez sans doute plus de crainte à rendre cette sentence que moi à
la recevoir. ». Le 17 février 1600, il est mis nu, la langue entravée
par un mors de bois l'empêchant de parler et de crier, sur le Campo Dei
Fiori et supplicié sur le bûcher devant la foule des pèlerins venus
pour le Jubilé.
Tout
semble lié au final, et tous les mystères et secrets qui nous
entourent, aussi bien sur terre que sous terre, et même dans
l’espace, seraient tous reliés par un fil mystèrieux…
Il
n’est nul doute, que dans les pyramides, et sous ces pyramides,
existent bel et bien des secrets cachés par les autorités, nous
vivons dans un monde de mensonges constant, la vérité de notre monde,
sur Terre, sous terre, et dans l’espace, est falsifiée et mensogère…
Mais jusqu’à quand ?
A vous de juger comme toujours…
Source: le blog de merlin
plus d'articles sur mon autre blog: http://lavraierealite.eklablog.com
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