Ces jours-ci, c'est le moment, c'est l'instant !
C'est en se servant de l'eau qu'Yves de Lessines a tendu un piège mortel à ceux qui tenteraient de voler la sauvegarde de l'Ordre du Temple enterrée au Blanc Scourchet à Wodecq. Les grandes pluies de ces jours-ci permettent de comprendre "de visu" et à l'évidence comment fonctionne le piège.
Pour ceux que cela intéresse, c'est ces jours-ci qu'il faut venir voir. Sauf ce samedi après 15 heures car Julien sera seul de garde et il ne pourra pas assumer de visites. Si possible annoncez-vous au 068 44 82 31 ou au 0496 02 40 48 ou 0032 496 02 40 48.
Amitiés,
Rudy.
P.S. : Cette occurrence est rare et, évidemment, imprédictible. L'invitation est donc lancée à l'impromptu et la réception se fera bien entendu à la bonne franquette, sans chichis et sans tralala. Donc, si vous voulez boire, apportez votre (vraie) bière et si vous pensez que vous aurez faim, n'oubliez pas votre boîte à tartines.
Sources José Vandekerkove.
Encore un ouvrage sur les Templiers… ‘’C'est une véritable obsession’’, diront certains… Certes… Mais c'est toujours sur le chemin de ma quête concernant le 'Blanc Scourchet’ à Ellezelles… Tout indice, toute clé, sont toujours les bienvenus quels qu'ils soient… Même si ils ne servent pas immédiatement, ils peuvent être une petite pièce d'un immense puzzle… Une pierre à l'édifice… Cistercien ou Templier… Bien entendu… J Voici donc un passage qui pourrait nous servir. Il concerne la désobstruction d'un puits, probablement comblé à l'approche de la fin de l'Ordre du Temple : «… À ceci, on ajoute que le système d'étanchéité a parfaitement bien fonctionné… Ceci, à l'évidence, nous montre d'abord toute l'ingéniosité des techniciens du Temple, et ensuite, permet d'exclure, de ce phénomène, la moindre idée de hasard en la matière… On constate que le puits, avec sa cache, est resté sec sept cents ans, jusqu'au moment où il est violé sans ménagement, ou plutôt devrions-nous dire à l'instant où les précautions d'usage ne sont pas respectées, car inconnues. Pour nous, et quelques autres observateurs, il est impossible de supposer une simple coïncidence remettant le puisard en eau juste après que soient enlevés les madriers du faux plancher bloquant les gravats sur la cache. Cette soudaine arrivée d'air, ou tout système mis en place par les ‘pionniers’ templiers pour inonder la place en cas d'intrusion, de déplacement de madriers par exemple, n'est-il pas là pour rendre la cache, et son contenu inaccessible ? C'est une question à laquelle seuls les sapeurs du Temple disposaient des éléments nécessaires pour y répondre. Nous nous demandons si, aujourd'hui, avec nos moyens et notre technique prétendue avancée, nous serions capables d'une telle prouesse hydraulique… »
Autre livre : LE DERNIER TEMPLIER DE RUDY CAMBIER PARU AUX EDITIONS LOUISE COURTEAU.
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