Les manuscrits de la mer
Morte, est un documentaire (0h49) sur la découverte des plus anciens
textes bibliques connus et sur un demi-siècle de recherche,
qui permettent d'affiner notre connaissance concernant la naissance
de la Bible.
Également appelés manuscrits de
Qumrân, cette série de parchemins et de fragments de papyrus bibliques a
été retrouvée entre 1947 et 1956 à proximité du site de
Qumrân, alors en Transjordanie. La découverte officielle de ces 900
manuscrits rédigés entre le IIIe siècle avant J.-C. et le 1er siècle
après J.-C. a été faite dans onze grottes où ils avaient
été entreposés.
Les manuscrits bibliques hébreux de
la mer Morte sont antérieurs de plusieurs siècles aux plus anciens
textes connus jusqu’alors et présentent un intérêt
considérable pour la science biblique. On estime aujourd'hui qu'il y
avait environ 850 rouleaux dont on a retrouvé plus de 15 000 fragments.
Ils ont été fréquemment attribués, mais sans preuve définitive, au groupe des Esséniens.
La découverte majeure de Qumrân est
le rouleau d'Isaïe A, devenu mondialement célèbre. C'est le plus ancien
manuscrit hébreu complet connu d'un livre biblique. Le
texte est écrit en 54 colonnes sur 17 feuilles de cuir cousues
ensemble bout à bout, d'une longueur totale d'environ 7,30 m. Il a été
confectionné au IIe siècle av. J.-C.
D'après un article du CNRS, les
manuscrits de la mer Morte auraient eu une double vie. À l'aide de
méthodes statistiques, un historien des religions a prouvé que
les fameux manuscrits de Qumrân ont en réalité deux origines
différentes. Depuis l'extraordinaire découverte, paléographes,
historiens des religions et autres spécialistes s'affrontent pour en
déterminer l'origine.
Si le mystère reste complet sur
l'identité des dépositaires et sur leurs motivations, on sait désormais
grâce à une méthode statistique que ces manuscrits
proviennent de deux fonds bien distincts. Une pièce à rajouter à ce
puzzle géant de dizaines de milliers de fragments de textes, que les
chercheurs ont rapidement identifiés : des textes
bibliques, des textes apocryphes déjà connus et de nouveaux textes
de nombreux courants sectaires coexistant à cette époque où le judaïsme
n'a rien d'une religion unifiée. "Différents types de
textes étaient représentés dans chaque grotte, explique Daniel
Stoekl Ben Ezra, historien des religions et chargé de recherche CNRS au
Centre Paul-Albert Février. La répartition étant à peu près
la même dans chacune, il a été admis depuis longtemps que l'ensemble
appartenait à un seul et même groupe".
Les manuscrits font encore parler
d'eux. Restait à comprendre comment les textes s'étaient retrouvés dans
ces grottes en plein désert. Ont-ils été transportés
depuis Jérusalem pour être mis à l'abri de l'attaque des troupes
romaines, entre 68 et 70 après J.-C., avant qu'elles n'assiègent la
ville pour la détruire ? C'est une théorie, mais l'absence de
textes pharisiens, courant sectaire pourtant largement représenté à
cette époque dans la capitale du judaïsme, semble alors inexplicable.
"L'étude des poteries, tombes et autres indices
archéologiques du site a plutôt conforté une majorité de chercheurs
dans l'hypothèse d'un groupe isolé, à l'identité encore discutée, vivant
sur place. Il aurait caché ses textes à la hâte dans
ces grottes, parfois très difficiles d'accès, au moment d'une
attaque", reprend Daniel Stoekl Ben Ezra.
"Mais quelque chose m'a toujours
semblé étrange dans tout cela car personne ne s'est jamais intéressé à
la répartition des textes selon leur âge… " Elle est
pourtant intrigante, deux des grottes contiennent en majorité des
manuscrits en moyenne antérieurs de cinquante ans à ceux des autres
grottes. "Or, on imagine mal les habitants de Qumrân prendre
le temps de classer leurs nombreux documents au moment de les
cacher… ", pointe le chercheur.
Il met au point une étude
mathématique de la répartition des textes avec l'aide d'un statisticien.
Le Kruskal-Wallis Test qu'ils utilisent et la simulation
aléatoire qui leur permet de distribuer mille fois les textes dans
les onze grottes sont formels, une telle répartition est statistiquement
très improbable. "Il existait donc forcément deux
collections de livres distinctes, une jeune et une vieille”, conclut
le chercheur, dont les résultats sont publiés dans la revue Dead Sea
Discoveries.
(CNRS)
Les scientifiques tentent encore de
répondre aux questions que soulève cette incroyable découverte. Qui
étaient les habitants de Qumrân ? Les manuscrits leur
appartenaient-ils ? Pourquoi l'accès aux manuscrits découverts à
Qumrân fut-il limité ?
Le grand public aussi s'enflamme pour
le sujet. Pourquoi mit-on autant de temps à divulguer le contenu des
rouleaux ? Les manuscrits dévoilent-ils des épisodes
inconnus de la vie de Jean le Baptiste ou de Jésus ? Pourquoi
sont-ils encore aujourd'hui source d'ardentes polémiques ?
http://boutic.annik.1tpe.fr
.
Créé pour vous présenter mon dernier livre,je vous présente 4500 articles sur le thème de mon livre :les Templiers,des sujets ésotériques,des textes rosicrusiens,les mérovingiens, saint-Graal,Nostradamus,Mary Magdalene.Le Baphomet et le Tau, Château de Saumur,la femme dans l'histoire templière. Trésor templier.Histoires, légendes de Belgique,de France et d'Europe et Celtiques. La spiritualité. Développement personnel.
dimanche 3 février 2013
The templars.
Souviens-toi toujours de l’exemple des anciens Templiers et des principes de notre Charte.
Combats sans relâche pour les droits de la personne humaine et la défense des plus faibles et des opprimés.
Combats aussi pour la sauvegarde des valeurs humaines universelles.
Commence par t’améliorer toi-même avant de prétendre améliorer les autres et le monde autour de toi.
Conforme ta vie à tes convictions profondes, sans hypocrisie et en respectant toujours les convictions d’autrui.
Sois toujours franc dans tes propos et loyal dans ta conduite.
Sois toujours fidèle à tes engagements et honore la parole que tu as donnée.
Ne chéris vraiment rien autant que l’amitié et la fraternité.
Préfère toujours le dialogue et la concertation à l’affrontement et à la guerre.
Affronte avec courage toutes les difficultés, sachant que c’est d’abord en toi-même que tu trouveras la force nécessaire.
N’oublie jamais que tes droits et libertés s ‘arrêtent là où commencent ceux d’autrui.
N’oublie jamais que la valeur d’un être humain repose dans ce qu’il est vraiment, non dans ce qu’il possède ou paraît être.
Puissent de nombreux hommes et femmes de bonne volonté nous rejoindre,
en vue du développement de notre Alliance et bonheur de l’Humanité !
Souviens-toi toujours de l’exemple des anciens Templiers et des principes de notre Charte.
Combats sans relâche pour les droits de la personne humaine et la défense des plus faibles et des opprimés.
Combats aussi pour la sauvegarde des valeurs humaines universelles.
Commence par t’améliorer toi-même avant de prétendre améliorer les autres et le monde autour de toi.
Conforme ta vie à tes convictions profondes, sans hypocrisie et en respectant toujours les convictions d’autrui.
Sois toujours franc dans tes propos et loyal dans ta conduite.
Sois toujours fidèle à tes engagements et honore la parole que tu as donnée.
Ne chéris vraiment rien autant que l’amitié et la fraternité.
Préfère toujours le dialogue et la concertation à l’affrontement et à la guerre.
Affronte avec courage toutes les difficultés, sachant que c’est d’abord en toi-même que tu trouveras la force nécessaire.
N’oublie jamais que tes droits et libertés s ‘arrêtent là où commencent ceux d’autrui.
N’oublie jamais que la valeur d’un être humain repose dans ce qu’il est vraiment, non dans ce qu’il possède ou paraît être.
Puissent de nombreux hommes et femmes de bonne volonté nous rejoindre, en vue du développement de notre Alliance et bonheur de l’Humanité !
Combats sans relâche pour les droits de la personne humaine et la défense des plus faibles et des opprimés.
Combats aussi pour la sauvegarde des valeurs humaines universelles.
Commence par t’améliorer toi-même avant de prétendre améliorer les autres et le monde autour de toi.
Conforme ta vie à tes convictions profondes, sans hypocrisie et en respectant toujours les convictions d’autrui.
Sois toujours franc dans tes propos et loyal dans ta conduite.
Sois toujours fidèle à tes engagements et honore la parole que tu as donnée.
Ne chéris vraiment rien autant que l’amitié et la fraternité.
Préfère toujours le dialogue et la concertation à l’affrontement et à la guerre.
Affronte avec courage toutes les difficultés, sachant que c’est d’abord en toi-même que tu trouveras la force nécessaire.
N’oublie jamais que tes droits et libertés s ‘arrêtent là où commencent ceux d’autrui.
N’oublie jamais que la valeur d’un être humain repose dans ce qu’il est vraiment, non dans ce qu’il possède ou paraît être.
Puissent de nombreux hommes et femmes de bonne volonté nous rejoindre, en vue du développement de notre Alliance et bonheur de l’Humanité !
Dans l'ombre des Templiers.
CHAPITRE II
8) Une nuit, je fus réveillé en sursaut après un épouvantable cauchemar
qui me tourmenta pendant des jours. Cet étrange rêve commença dans une
vaste salle voûtée, au plafond soutenu par des arcs romans. Les images
défilèrent devant moi, tandis que j’observais la présence de chevaliers
habillés de noir qui veillaient leur compagnon disparu.
J’assistais
en toute quiétude à cette cérémonie secrète, essayant de me rapprocher
le plus possible du défunt, de manière à apercevoir son visage. Dès que
je fus près de lui, un grand effroi s’empara de tout mon être, étant
donné que ce mort, c’était moi !… Je peux vous certifier, que ces hommes
sombrement vêtus ne s’intéressaient même pas à moi, puisqu’ils priaient
pour l’autre, celui qui était moi !
Les décors changèrent
spontanément, et je me revoyais répétant sans cesse les mêmes gestes,
que j’avais déjà fait, il y a quelques mois de cela. La scène était
toujours la même, puisque je me retrouvais devant le même cimetière
!... Celui de Saint-Léger !
Peu à peu, je devinais
l’existence des Hospitaliers qui me relatèrent les exploits de leurs
aïeuls, lorsque fut créé, l’Ordre de l’Hôpital de
Saint-Jean-de-Jérusalem, il y a de cela plusieurs siècles. Cependant,
il y avait aussi les autres, ceux que l’on nommait les Templiers.
Ceux-là attendaient dans l’ombre que la justice leur soit rendue, que
l’église de Rome reconnaisse ses fautes et efface son mépris et sa
haine, contre ces chevaliers dévoués qui servirent jusqu’à la fin une
cause qu’ils croyaient bonne et juste. Parfois lorsque que je reposais,
Hospitaliers et Templiers envahissaient mon esprit afin de m’octroyer
par leur sagesse et leur bonté, les enseignements nécessaires afin de
continuer à écrire leur histoire.
Je passais le reste de la
nuit à relire les écrits de la veille, me disant qu’il était peut-être
préférable de chercher du côté de la chapelle, parce qu’en définitive,
jusqu’à ce jour, je n’avais pas encore trouvé l’emplacement d’un
prétendu cimetière. Depuis toutes ces années, bon nombre de visiteurs
foulaient ce sol sans savoir qu’ils marchaient sur des pierres tombales.
9) Au petit jour, je décidais de me rendre à la chapelle avec
Jack, espérant découvrir ce que je cherchais depuis bien longtemps ;
l’existence de sépultures anciennes. La première chose que je remarquais
en arrivant sur les lieux, c’est que la porte n’était pas entrebâillée
comme l’autre fois, elle était bien fermée, ce qui d’un côté me rassura.
Patiemment, je commençais à sonder le sol avec une barre à mine tout
autour de l’édifice. Elle allait me servir ensuite de levier pour
décoller les lourdes dalles et à déplacer les blocs de grès. Maintes
fois, je tombais sur ce que je croyais être des pierres tombales, je
plantais à côté de celles-ci de petits drapeaux de marquage. Cela me
prit beaucoup de temps…
Mes efforts furent récompensés… En
effet, ce fut vers le milieu de l’après-midi que je soulevais
respectueusement les premières pierres tumulaires qui portaient une
croix gravée… J’étais dans le carré des religieux !... Mais alors, ces
tombes n’appartenaient ni aux Templiers ni aux Hospitaliers ! En
général, les uns comme les autres étaient inhumés dans leurs abbayes
respectives lorsqu’ils dépendaient d’une commanderie. A Pinaudier, il y
avait bien une abbaye qui appartenait aux chevaliers de Malte !...
Pourtant les Templiers avaient aussi fondé un établissement à Pinaudier,
mais s’agissait-t-il à l’époque de leur propre abbaye ?... Peut-être la
même que celle des Hospitaliers ?
La réponse me fut donnée,
lorsque je redressais une autre pierre sépulcrale, portant une simple
croix à branches égales gravée. Il s’agissait bien de la signature des
Templiers ! Avant les guerres de religion, seuls les hommes d’église
pouvaient être enterrés à Saint-Léger. Après le conflit, le site reçut
alors toutes les dépouilles mortelles des fidèles des environs, puis
l’édifice servit par la suite d’église paroissiale.
Je
m’attaquais ensuite au carré des non religieux, et cela ne fut pas une
mince affaire !... Je venais de comprendre que la commune avait
entrepris, il y a quelques années, d’élargir le sentier qui montait
jusqu’à la chapelle. Ils creusèrent avec un bulldozer l’étroit chemin
détruisant tombes et stèles sur une grande partie de l’ancien cimetière.
Les ossements se retrouvèrent pêle-mêle à hauteur de couches
différentes. Des tombes furent écrasées sous le poids de la machine et
des stèles funéraires se brisèrent. Les ouvriers retournèrent toutes les
dalles pour que les gens ne puissent pas voir les inscriptions.
Certaines allaient servir de marches pour faciliter la montée des
personnes âgées, et leur permettre d’arriver jusqu’à la chapelle sans
encombre.
Les jours passèrent et mes recherches continuèrent
bon train. Parfois je partageais mon maigre repas avec Jack qu’il
engloutissait à toute vitesse, puis nous rentrions nous à la tombée de
la nuit, satisfait et heureux d’avoir passé une bonne journée pleine
d’émotion.
LA SUITE DIMANCHE…
8) Une nuit, je fus réveillé en sursaut après un épouvantable cauchemar qui me tourmenta pendant des jours. Cet étrange rêve commença dans une vaste salle voûtée, au plafond soutenu par des arcs romans. Les images défilèrent devant moi, tandis que j’observais la présence de chevaliers habillés de noir qui veillaient leur compagnon disparu.
J’assistais en toute quiétude à cette cérémonie secrète, essayant de me rapprocher le plus possible du défunt, de manière à apercevoir son visage. Dès que je fus près de lui, un grand effroi s’empara de tout mon être, étant donné que ce mort, c’était moi !… Je peux vous certifier, que ces hommes sombrement vêtus ne s’intéressaient même pas à moi, puisqu’ils priaient pour l’autre, celui qui était moi !
Les décors changèrent spontanément, et je me revoyais répétant sans cesse les mêmes gestes, que j’avais déjà fait, il y a quelques mois de cela. La scène était toujours la même, puisque je me retrouvais devant le même cimetière !... Celui de Saint-Léger !
Peu à peu, je devinais l’existence des Hospitaliers qui me relatèrent les exploits de leurs aïeuls, lorsque fut créé, l’Ordre de l’Hôpital de Saint-Jean-de-Jérusalem, il y a de cela plusieurs siècles. Cependant, il y avait aussi les autres, ceux que l’on nommait les Templiers. Ceux-là attendaient dans l’ombre que la justice leur soit rendue, que l’église de Rome reconnaisse ses fautes et efface son mépris et sa haine, contre ces chevaliers dévoués qui servirent jusqu’à la fin une cause qu’ils croyaient bonne et juste. Parfois lorsque que je reposais, Hospitaliers et Templiers envahissaient mon esprit afin de m’octroyer par leur sagesse et leur bonté, les enseignements nécessaires afin de continuer à écrire leur histoire.
Je passais le reste de la nuit à relire les écrits de la veille, me disant qu’il était peut-être préférable de chercher du côté de la chapelle, parce qu’en définitive, jusqu’à ce jour, je n’avais pas encore trouvé l’emplacement d’un prétendu cimetière. Depuis toutes ces années, bon nombre de visiteurs foulaient ce sol sans savoir qu’ils marchaient sur des pierres tombales.
9) Au petit jour, je décidais de me rendre à la chapelle avec Jack, espérant découvrir ce que je cherchais depuis bien longtemps ; l’existence de sépultures anciennes. La première chose que je remarquais en arrivant sur les lieux, c’est que la porte n’était pas entrebâillée comme l’autre fois, elle était bien fermée, ce qui d’un côté me rassura. Patiemment, je commençais à sonder le sol avec une barre à mine tout autour de l’édifice. Elle allait me servir ensuite de levier pour décoller les lourdes dalles et à déplacer les blocs de grès. Maintes fois, je tombais sur ce que je croyais être des pierres tombales, je plantais à côté de celles-ci de petits drapeaux de marquage. Cela me prit beaucoup de temps…
Mes efforts furent récompensés… En effet, ce fut vers le milieu de l’après-midi que je soulevais respectueusement les premières pierres tumulaires qui portaient une croix gravée… J’étais dans le carré des religieux !... Mais alors, ces tombes n’appartenaient ni aux Templiers ni aux Hospitaliers ! En général, les uns comme les autres étaient inhumés dans leurs abbayes respectives lorsqu’ils dépendaient d’une commanderie. A Pinaudier, il y avait bien une abbaye qui appartenait aux chevaliers de Malte !... Pourtant les Templiers avaient aussi fondé un établissement à Pinaudier, mais s’agissait-t-il à l’époque de leur propre abbaye ?... Peut-être la même que celle des Hospitaliers ?
La réponse me fut donnée, lorsque je redressais une autre pierre sépulcrale, portant une simple croix à branches égales gravée. Il s’agissait bien de la signature des Templiers ! Avant les guerres de religion, seuls les hommes d’église pouvaient être enterrés à Saint-Léger. Après le conflit, le site reçut alors toutes les dépouilles mortelles des fidèles des environs, puis l’édifice servit par la suite d’église paroissiale.
Je m’attaquais ensuite au carré des non religieux, et cela ne fut pas une mince affaire !... Je venais de comprendre que la commune avait entrepris, il y a quelques années, d’élargir le sentier qui montait jusqu’à la chapelle. Ils creusèrent avec un bulldozer l’étroit chemin détruisant tombes et stèles sur une grande partie de l’ancien cimetière. Les ossements se retrouvèrent pêle-mêle à hauteur de couches différentes. Des tombes furent écrasées sous le poids de la machine et des stèles funéraires se brisèrent. Les ouvriers retournèrent toutes les dalles pour que les gens ne puissent pas voir les inscriptions. Certaines allaient servir de marches pour faciliter la montée des personnes âgées, et leur permettre d’arriver jusqu’à la chapelle sans encombre.
Les jours passèrent et mes recherches continuèrent bon train. Parfois je partageais mon maigre repas avec Jack qu’il engloutissait à toute vitesse, puis nous rentrions nous à la tombée de la nuit, satisfait et heureux d’avoir passé une bonne journée pleine d’émotion.
LA SUITE DIMANCHE…
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