mercredi 25 septembre 2013

Godefroy de Bouillon


Sources : Julien De Saeger


Statue de Godefroy de Bouillon Premier souverain du royaume de jérusalem (Bruxelles)

mardi 24 septembre 2013

The templars.

Templier Veritas
Le Templier est loup. Le loup solitaire n’est pas un tueur. Il ne se nourrit que pour apaiser sa faim. Il n’attaque pas ses semblables. Le loup solitaire fuit la société des siens, car il en connaît la bêtise et la férocité. Il fuit les prêtres et les pasteurs, et méprise les troupeaux qui les suivent, bêlants et béats, un sourire haineux sur les lèvres. Il entend, au loin, les aboyeurs à théories et à programmes, acclamés par des foules sans tête, des plèbes sans visage, prêtes à brûler un jour ce qu’elles ont adoré un autre, et se tourne d’un autre côté. Le loup solitaire n’aime pas les chiens qui montrent les dents ou se couchent au signal, pantins pavloviens qui n’ont pas même la fierté de ne pas quémander leur pain, qui n’ont pas même la dignité de remercier celui qui le leur donne. Le loup solitaire n’ignore pas ses faiblesses, mais il ne compte que sur ses forces.
Sans mépriser l’adversité, il n’en exagère pas le poids : il sait qu’aucun destin ne l’appelle et que l’histoire n’a pas plus d’envers que d’endroit. Le loup solitaire n’a pas besoin de bible, de coran, de missel ou de manifeste. Il méprise les mots d’ordre, les arguments, les prêches – tous ces crachats souillant la gratuité du monde. Le loup solitaire a de l’amitié pour lui-même, il ne s’adore pas. Il n’est au centre de rien, pas même de lui-même. Le loup solitaire ne connaît pas la foi ni le ressentiment. Il sait que le bien n’est pas séparé du mal, ni l’amour de la haine. Il se méfie des professeurs de vertu, des verseuses de bons sentiments et des éducateurs du peuple. Il croit que deux et deux font quatre, et que quatre et quatre font huit. Le vide des espaces infinis ne l’effraie pas. Il aime le sommeil et la veille, le jour et la nuit, le poème du temps, l’immobilité de la vie qui passe. Le sang baignant son âme est son vrai nom. Il garde le cœur ouvert et sage... -- http://www.avaaz.org/fr/petition/Interdire_les_tirs_contre_les_loups_en_France/?fbdm

lundi 23 septembre 2013

Le maître des Flandres.

LE MAÎTRE DE FLANDRE ( 2 ) - Texte de Rudy Cambier
Suite du feuilleton annoncé du texte inédit de Rudy Cambier. Nous remercions de tout coeur l'auteur de nous confier son texte.

" Tout à coup, sans la moindre raison raisonnable, Arnold me demanda : "Et Nostradamus, qu'est-ce que tu en penses ?" Ce à quoi je répondis sans méditer : "C'est de la merde". Et nous parlâmes d'autre chose.

Cette question existentielle de haute volée et la réponse puissamment philosophique n'étaient même pas un coq-à-l'âne avec retour de l'âne au coq : ça n'avait ni queue, ni tête, ni sens, ni cause, ni mobile, ni excuse. Près de vingt ans après les faits, Arnold ne comprend toujours pas pourquoi il a sorti impromptu cette phrase-là à ce moment-là, et de mon côté, je suis totalement incapable de trouver un semblant de motif pour m'en être souvenu. Même le mot "Nostradamus" ne revint pas de si tôt dans nos conversations.

Ce qui aurait dû finir dans le néant qui digère nos incohérences quotidiennes déboucha en finale sur un coup de théâtre. Car, des semaines plus tard, en route pour aller chercher des lames de rabot au Brico régional, alors que je pilotais pépèrement le brave vieux clou qui me sert de voiture, je me dis brusquement et sans la moindre raison : "Pourquoi ai-je répondu ça à Arnold ? Je ne sais rien de Nostradamus. Ce dont je suis sûr, c'est d'avoir eu en main, chez deux ou trois bouquinistes, l'un ou l'autre machin dont le titre contenait le mot "Nostradamus", d'avoir ouvert la chose, d'avoir saisi une feuille dans la préface, d'avoir abandonné au bout d'une demi-page en concluant : "C'est mal écrit et l'auteur est un prétentieux crétin." Ayant songé cela sur fond sonore de moteur ronronnant, dans l'instant mon esprit l'oublia et passa à une autre songerie, autre chose de bien plus intéressant, sans doute la tache d'un champ de phacélies, ou deux vaches dans un pré, ou la couleur de la robe d'un cheval, ou le vol d'un oiseau, ou le port d'un arbre tortu.

Et voilà que plus tard, des semaines sans doute, je ne sais plus ni où ni quand, le fantasme revint rôder : "Pourquoi diable ai-je répondu ça à Arnold ? Je n'ai jamais lu les prophéties de Nostradamus". Et l'idée s'évanouit tout aussi vite. Le printemps s'alluma puis passa, l'été trépassa, l'automne s'installa, toutes saisons ponctuées par la surrection périodique de cette futilité qui affleurait sans règle ni régularité.

Et un jour de novembre, je décidai que c'en était assez. J'allais lire ces fameuses prophéties de Nostradamus. Vu qu'Arnold avait mis l'affaire sur le tapis, j'en conclus qu'il devait posséder les Prophéties, je téléphonai, tombai sur Mireille, sa femme, à qui je fis ma demande :
— Est-ce que tu pourrais me prêter ton bouquin des prophéties de Nostradamus ?
— Quel bouquin ? Nostradamus ? Je n'ai jamais vu ça chez nous. Attends, je demande à Arnold.
Un temps, puis :
— Non, on n'a jamais eu ça.

J'aurais dû m'en douter vu que le gars n'est pas à classer dans les évaporés permanents ou les acharnés de la fantaisie : directeur-adjoint d’un ministère de la Région wallonne au Royaume de Belgique, il était en charge de la sécurité des aérodromes et aéroports wallons.

En ce qui me concerne, si je ne suis pas un dépensier frimeur je n'ai pourtant rien d'un harpagon, mais acheter un de ces machins prophétiques au prix fort, pas question ! Je me serais même encore senti floué en déposant une aumône d'un quart d'euro dans la caisse d'un bouquiniste en échange de prophéties. Je décidai donc d'aller tenter ma chance à la bibliothèque d'Ath où l'emprunt, en ce temps-là, était gratuit. Gérard Demartin, un ami du temps de l’école, officiait derrière le comptoir. Il me dénicha dans la cave l'œuvre d'un certain Pichon, un livre qui s'appelait Nostradamus en clair. C'est ainsi que, refusant de débourser un quart d'euro pour faire mon achat, je dépensai trois euros d'essence pour ne pas avoir à payer un bouquin qui
m'aurait coûté le douzième de cette somme-là. Bah, les principes aussi ont leur prix !
Je rentrai dans mon Pays des Collines à mon train, celui d’un sénateur à la retraite, musant et musardant, réjoui par avance de la certitude que, sous peu, je saurais tout ce qu'il faut savoir sur Nostradamus, avec en prime la garantie de tout comprendre vu le titre du bouquin..."
( à suivre... )
1

Nostradamus, prophète ou chroniqueur ?



Quel est le véritable sens des centuries ?

NOSTRADAMUS, PROPHETE OU CHRONIQUEUR,

C’est ce qu’affirment aujourd’hui de nombreux interprètes de ses textes.
Quel est le sens véritable de ses textes ? Récemment l’historien Roger Prévost a décrypté le sens véritable de plus de 300 quatrains, parmi lesquels celui qui annonçait la mort d’Henri II. Roger Prévost y voit une allusion à la bataille de Byzance, rendue possible par l’alliance de deux escadres, ou « classes ». La bataille avait opposé deux empereurs dont le vaincu devait avoir les yeux crevés. La scène se serait déroulée au palais de Topkapi où, se trouve la « cage d’or ». Une révélation de taille.
Les quatrains seraient donc, non pas des prédictions, mais des chroniques d’événements révolus !
C’est ce même travail de décryptage qu’a fait Rudy Cambier, auteur et philologue, spécialiste du moyen âge. Rudy Cambier a fait une découverte plus surprenante encore. Le véritable auteur des centuries serait Yves de Lessines, prieur de l’Abbaye cistercienne, de Cambron en Hainaut, au début du 14e siècle. Plus étonnant encore, les centuries auraient été écrites au 14e siècle et non pas au 16e siècle. Il se trouve que Nostradamus ait fait quelques séjours à l’abbaye de Cambron. Mais peut-être le fait le plus surprenant, les centuries font état d’un trésor caché, par les templiers en 1308, dans un champ de Wodecq en province de Hainaut, au lieu dit « Blanc Scourset » et à proximité d’une ancienne chaussée Brunehaut….
Autre découverte de Rudy Cambier, les centuries conduisent également aux « tables de la loi », elles sont gravées sur l’autel de l’église Saint-Martin à Moustier, à une dizaine de kilomètres de Wodecq. Ces tables comporteraient un cryptogramme indiquant l’endroit précis où, est enterré le trésor de Wodecq.
Un endroit précis dit « Croix-philosophale » semble être l’un des indices géographiques les plus intéressants révélés par les chercheurs.
Après accusation d’hérésie, de sodomie, de simonie et d’idolâtrie portée contre lui par le roi de France, l’ordre du temple aurait fait transporter 21 tonneaux en terre hennuyère, pour les enfuir en attendant des temps meilleurs.
On connaît la suite, l’ordre fut démantelé et les templiers qui ne tombèrent pas aux mains de Philippe le Bel fuirent au Portugal et en Ecosse et ne purent jamais revenir, ce qui laisse présumer de la présence encore actuellement de ce trésor à Wodecq.
Sources : France 2 Elodie Miolet (diffusion le 31 octobre dernier) ; Freddy Sosson et Charles Saint-André.
Annik Couppez Véronèse d’Olrac, auteur de La Gardienne de la 9e porte.

samedi 21 septembre 2013

Le mystère des momies celtes

- LE MYSTÈRE DES MOMIES CELTES DU XINJIANG -
Que font ces corps naturellement momifiés, de grands Indo-Européens, admirablement préservés malgré leurs 3 000 ou 4 000 ans d'âge (au temps des pharaons) et récemment découverts, dans une des régions les plus reculées du monde, le désert du Taklamakan, à l'ouest de la Chine ? Découvrez le mystère des momies blanches de Xinjiang... 

Les momies celtes du Xinjiang
La découverte de cadavres de type européen à des milliers de kilomètres de distance permet d’entrevoir l’existence d’un lien jusque-là inconnu entre l’Orient et l’Occident à l’âge du bronze.
L’homme a des cheveux d’un brun roux parsemés de gris, des pommettes saillantes, un long nez, des lèvres pleines et une barbe rousse. Quand il vivait, il y a 3 000 ans, il mesurait près de 2 mètres. Il a été enterré dans une tunique rouge croisée et des chausses à carreaux. On dirait un Européen de l’âge du bronze. En fait, il a tout d’un Celte – même son ADN le dit.
Mais il ne s’agit pas là d’un habitant primitif du centre de l’Ecosse. C’est le cadavre momifié de l’homme de Cherchen, découvert dans les étendues désolées du désert du Taklamakan, dans le Xinjiang, région inaccessible de l’ouest de la Chine. Il repose désormais dans un nouveau musée de la capitale provinciale d’Urumqi. Dans la langue que parlent les Ouïgours du Xinjiang, Taklamakan signifie : “on entre pour ne pas ressortir”.
Ce qu’il y a d’extraordinaire, c’est que l’homme de Cherchen a été retrouvé – ainsi que les momies de trois femmes et d’un bébé – sur un site funéraire situé à des milliers de kilomètres à l’est des principales implantations celtiques, en France et dans les îles Britanniques. Les tests d’ADN confirment que, tout comme des centaines d’autres momies du bassin du Tarim, dans le Xinjiang, il est originaire d’Europe. Personne ne sait comment il est arrivé là, ni pourquoi, ni combien de temps les siens et lui y ont vécu. Mais, comme le laisse entendre le nom du désert, il n’en est jamais ressorti.
Carte de Xinjiang
L’une des femmes partageant sa tombe a des cheveux châtain clair qui donnent l’impression d’avoir été brossés et tressés hier à peine, pour ses funérailles. Son visage est orné de symboles peints, et sa magnifique robe funéraire rouge n’a rien perdu de son éclat au fil des trois millénaires durant lesquels cette grande femme aux traits fins a reposé sous le sable de la route de la soie.
Les corps sont nettement mieux conservés que les momies égyptiennes, et le spectacle des nourrissons a quelque chose de poignant. Le bébé a été enveloppé dans une somptueuse étoffe brune attachée par des cordelettes rouges et bleues, et on a placé une pierre bleue sur chaque œil. A ses côtés se trouvait un biberon doté d’une tétine fabriquée avec le pis d’une brebis. A partir de la momie, le musée a reconstitué l’aspect de l’homme de Cherchen et son mode de vie. Les ressemblances avec les Celtes de l’âge de bronze traditionnel sont frappantes. Les analyses ont par ailleurs montré que le tissage des étoffes était comparable à celui des vêtements portés par les mineurs de sel vivant en Autriche en 1300 av. J.-C.
Un peuple pacifique et égalitaire
À leur apogée, vers 300 av. J.-C., l’influence des Celtes s’étendait de l’Irlande au sud de l’Espagne, à l’ouest, ainsi qu’à la vallée du Pô, à la Pologne, à l’Ukraine et à la plaine centrale de Turquie, à l’est. Mais ces momies semblent suggérer que les Celtes avaient pénétré profondément en Asie centrale, atteignant les marches du Tibet. Les Celtes se sont installés peu à peu en Bretagne [la Grande-Bretagne actuelle] entre 500 et 100 av. J.-C. On ne peut pas à proprement parler d’invasion organisée : ils sont arrivés à des époques différentes, et sont considérés comme un groupe de peuples vaguement liés par une même langue, une même religion et une même culture. Ceux de Cherchen étaient apparemment pacifiques : les sépultures contenaient fort peu d’armes, et les indices qui attestent l’existence de castes sont rares. Avec ses 4 000 ans, la Beauté de Loulan est encore plus ancienne que les trouvailles de Cherchen. Elle a de longs cheveux blonds et fait partie d’une série de momies découvertes près de la ville de Loulan. L’une d’entre elles était la momie d’un enfant de 8 ans drapé dans une étoffe de laine à motifs, fermée par des boutons en os. Les traits de la Beauté de Loulan sont nordiques. Elle était âgée de 45 ans à sa mort, et a été enterrée avec un panier de vivres pour sa vie dans l’au-delà, panier qui contenait du blé, des peignes et une plume.
Au cours des vingt-cinq dernières années, le désert du Taklamakan a rendu des centaines de cadavres desséchés. Les découvertes effectuées dans le bassin du Tarim comptent parmi les plus importantes du quart de siècle écoulé. “A partir des alentours de 1800 av. J.-C., les plus anciennes momies du bassin du Tarim sont exclusivement caucasoïdes”, déclare le Pr Victor Mair, de l’université de Pennsylvanie, fasciné par ces momies depuis qu’il les a aperçues, en 1988, presque oubliées, dans l’arrière-salle de l’ancien musée. Le sujet l’obsède, et il n’a reculé devant rien, même pas les pires imbroglios politiques, pour en savoir toujours plus sur ces personnes remarquables.
Il explique que des immigrants d’Asie de l’Est sont arrivés dans les régions orientales du bassin du Tarim il y a à peu près 3 000 ans. Les Ouïgours, eux, sont arrivés après l’effondrement du royaume ouïgour d’Orkhon, situé en Mongolie actuelle, vers l’an 842.
Les momies blanches de Chine
Cette partie de l’antique route de la soie est l’une des contrées les plus désolées du monde. C’est l’endroit le plus éloigné de la mer de toute la planète, et la Chine l’a choisi pour y procéder à ses essais nucléaires. Des camps de travail y sont éparpillés un peu partout – qui oserait s’en évader ? Mais cet éloignement est une bénédiction pour les archéologues. Du fait de l’extrême sécheresse des sols alcalins, les corps ont échappé à la décomposition. Ils ont beau être là depuis des milliers d’années, la moindre fibre parfaitement conservée des vêtements a fait l’objet d’une politisation incessante.

En Chine, on affirme traditionnellement que, deux siècles avant la naissance du Christ, l’empereur Wu Di envoya un émissaire vers l’ouest afin d’établir une alliance contre les Huns, alors installés en Mongolie. La route qu’emprunta Zhang Qian, l’ambassadeur, à travers l’Asie devint plus tard la route de la soie. Des siècles plus tard, Marco Polo fit le chemin inverse et l’ouverture de la Chine commença. La seule idée que des Blancs aient pu s’installer dans une région de Chine des milliers d’années avant les premiers contacts de Wu Di avec l’Occident et les voyages de Marco Polo a des conséquences politiques considérables. Quant au fait que ces Européens auraient vécu dans la province rétive du Xinjiang des centaines d’années avant les Asiatiques de l’Est, c’est une hypothèse explosive.


Les momies regroupées sur des critères politiques

Ji Xianlin, historien chinois, dans sa préface au livre de l’archéologue Wang Binhua, Les Sépultures antiques du Xinjiang, traduit par Mair, affirme que la Chine “soutient et admire” les recherches effectuées par des spécialistes étrangers sur les momies. “Toutefois, en Chine même, un petit groupe de séparatistes ethniques ont profité de cette occasion pour fomenter des troubles et se comportent comme des bouffons. Certains se présentent comme les descendants de ces antiques ‘Blancs’ et n’ont d’autre but que de diviser la patrie. Mais ces actes pervers sont voués à l’échec.”

Il n’est donc pas surprenant que le gouvernement n’ait que lentement fait part de ces découvertes historiques d’une grande importance, craignant d’attiser les courants séparatistes dans le Xinjiang. La Beauté de Loulan est ainsi revendiquée par les Ouïgours, qui ont fait d’elle leur figure emblématique, que célèbrent des chants et des portraits. Même si les tests génétiques démontrent désormais qu’en réalité elle était européenne.

Reconstitution du visage d'une momie blanche


En tout, on recense 400 momies à divers stades de dessèchement et de décomposition. A cela s’ajoutent des milliers de crânes. Les momies ont de quoi occuper les scientifiques pendant longtemps. Seules quelques-unes des mieux conservées sont présentées dans le nouveau et impressionnant musée du Xinjiang. Les travaux sur ce dernier avaient commencé en 1999, mais avaient été interrompus en 2002 à l’issue d’un scandale de corruption et de l’emprisonnement d’un ancien directeur, impliqué dans un trafic d’antiquités. L’institution a enfin ouvert ses portes pour le cinquantième anniversaire de l’annexion de la région par la Chine, et les momies sont présentées dans des vitrines de verre. On trouve dans la même salle des momies han [l’ethnie dominante en Chine], beaucoup plus récentes. Elles sont tout aussi intéressantes, mais ne font que susciter la confusion, puisque les momies se retrouvent ainsi regroupées. La decision est logique sur le plan politique.

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Auteur: Clifford Coonan, The Independent

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Dernière modification: Dimanche 9 Septembre 2007