dimanche 2 décembre 2012

La Belgique dans les centuries de Nostradamus.

CENTURIE I 1.52 Les deux malins de Scorpion conjoints, Le grand seigneur meurtri dedans sa salle: Peste à l’eglise par le nouveau roy joint, L’Europe basse & Septentrionale. 1.80 De la sixiesme claire splendeur celeste Viendra tonner si fort en la Bourgoigne: Puis naistra monstre de tres hideuse beste. Mars,Apvril,May,Juing grand charpin & rongne. 1.89 Touts ceux de Ilerde seront dedans Mosselle, Metans à mort tous ceux de Loyre & Seine: Secours marin viendra pres d’haulte velle Quand Hespagnols ouvrira toute veine. CENTURIE II 2.16 Naples,Palerme,Secille,Syracuses Nouveaux tyrans,fulgures feuz celestes: Force de Londres,Gand,Brucelles,& Suses Grand hecatombe,triumphe,faire festes. 2.17 Le camp du temple de la vierge vestale, Non esloigné d’Ethne & monts Pyrenées: Le grand conduict est caché dens la male North.getés fleuves & vignes mastinées. 2.34 L’ire insensée du combat furieux Fera à table par freres le fer luire Les despartir mort,blessé,curieux: Le fier duelle viendra en France nuire. 2.39 Un an devant le conflit Italique, Germain,Gaulois,Hespagnols pour le fort: Cherra l’escolle maison de republique, Ou,hors mis peu,seront suffoqués morts. 2.50 Belgique Quand ceux d'Ainault, de Gand & de Brucelles Verront à Langres le Siege devant mis Derrier leurs flancz seront guerres crueles, La plaie antique fera pis qu'ennemis. 2.67 Le blonde au nez forche viendra commetre Par le duelle & chassera dehors: Les exiles dedans fera remetre Aux lieux marins commetant les plus forts. 2.76 Foudre en Bourgoigne fera cas portenteux, Que par engin ne pourroit faire De leur senat sacriste fait boiteux Fera savoir aux ennemis l’affaire 2.99 Terroir Romain qu’interpretoit augure, Par gent Gauloyse sera par trop vexée: Mais nation Celtique craindra l’heure, Boreas,classe trop loing l’avoir poussée. CENTURIE III 3.07 Les fugitifs,feu du ciel sus les piques: Conflit prochain des corbeaux s’esbatans, De terre on crie aide secour celtiques, Quand pres des murs seront les combatans 3.08 Les Cimbres ioints avecques leurs voisins, Depopuler viendront presque l’Hespaigne: Gents amassés Guienne & Limosins Seront en ligue,& leur feront compaignie. 3.09 Bourdeaux,Rouen & la Rochele ioints Tiendront au tour la grand mer oceane: Anglois,Bretons & les Flamans conjoints Les chasseront iusques au-pres de Roane 3.18 Apres la pluie laict assés longuete, En plusieurs lieux de Reins le ciel touché Helasquel meurtre de seng pres d’eux s’apreste. Peres & filz rois n’oseront aprocher. 3.27 Prince Libyque puissant en Occident Francois d’Arabe viendra tant enflammer: Scavans aux letres fera condescendent, La langue Arabe en Francois translater. 3.46 Le ciel (de Plancus la cité) nous presaige Par clairs insignes & par estoiles fixes, Que de son change subit s’aproche l’aage, Ne pour son bien, ne pour ses malefices. 3.53 Quand le plus grand emportera le pris De Nuremberg d’Auspurg,& ceux de Basle Par Aggripine chef Francqfort repris Transverseront par Flamans iusques en Gale. 3.57 Sept foys changer verrés gent Britannique Taintz en sang en deux cent nonante an: Franche non point par apui Germanique. Aries doute son pole Bastarnan. 3.67 Une nouvele secte de Philosophes Mesprisant mort,or,honneurs & richesses, Des monts Germains ne seront limitrophes: A les ensuivre auront apui & presses. 3.76 En Germanie naistront diverses sectes, S’approchans fort de l’heureux paganisme, Le cueur captif & petites receptes, Feront retour à payer le vray disme. CENTURIE IV 4.3 D'Arras & Bourges, de Brodes grans enseignes Un plus grand nombre de Gascons batre à pied, Ceulx long du Rosne saigneront les Espaignes : Proche du mont ou Sagonte s'assied. 4.19 Devant Rouan d’Insubres mis le siege, Par terre & mer enfermés les passages. D’Haynault,& Flandres,de Gand & ceux de Liege Par dons lænees raviront les rivages. 4.46 Bien defendu le faict par excelence, Garde toy Tours de ta proche ruine. Londres & Nantes par Reims fera defense Ne passés outre au temps de la bruine. 4.79 Sang Royal fuis, Monhuit, Mas, Esguillon, Remplis seront de Bourdelois les Landes, Navarre, Bygorre, poinctes & eguillons, Profonds de faim vorer de Liege glandes. 4.81 Pont on fera promptement de nacelles, Passer l’armee du grand Prince Belgique: Dans profondez & non loing de Brucelles, Outre passez, detranchez sept à picque. 4.89 Trente de Londres secret conjureront, Contre leur Roy, sur le pont l’entreprise: Luy, satallites la mort degousteront, Un Roy esleu blonde, natif de Frize. CENTURIE V 5.13 Par grand fureur le Roy Romain Belgique Vexer voudra par phalange barbare: Fureur grinssent, chassera gent Lybique Depuis Pannons iusques Hercules la hare. 5.14 Saturne & Mars en Leo Espaigne captiue, Par chef Lybique au conflict attrapé, Proche de Malthe, Herodde prinse viue, Et Romain sceptre sera par Coq frappé. 5.15 En navigant captif prins grand Pontife, Grans aprets faillir les clercs tumultuez: Second esleu absent son bien debife, Son favory bastard à mort tué. 5.43 La grand’ ruine des sacrez ne s’eslongne, Provence, Naples, Sicille, Seez & Ponce, En Germanie, au Rhin & la Cologne, vexez à mort par tous ceux de Magonce. 5.49 Nul de l’Espagne mais de l’antique France Ne sera esleu pour le tremblant nacelle: A l’ennemy sera faicte fiance, Qui dans son regne sera peste cruelle. 5.74 De sang Troyen naistra cœur Germanique Qui deviendra en si haute puissance: Hors chassera gent estrange Arabique, Tournant l’Eglise en pristine preeminence. 5.94 Translatera en la grand Germanie, Brabant & Flandres, Gand, Bruges, & Bolongne: La trefve fainte le grand duc d’Armenie, Assaillira Vienne & la Cologne. CENTURIE VI 6.12 Dresser copies pour monter à l’empire, Du Vatican le sang Royal tiendra: Flamans, Anglois, Espagne avec Aspire, Contre l’Italie & France contiendra. 6.30 Par l'apparence de faincte saincteté, Sera trahy aux ennemis le Siege. Nuict qu'on cuidoit dormir en seureté, Pres de Brabant marcheront ceux de Liege. 6.47 Entre deux monts les deux grands assemblez, Delaisseront leur simulté secrette : Brucelle & Dolle par Langres accablez, Pour à Malignes executer leur peste. 6.83 Celuy qu’aura tant d’honneur & caresses, A son entree de la Gaule Belgique. Un temps apres fera tant de rudesses, Et sera contre à la fleur tant bellique. CENTURIE VII 7.29 Le grand Duc d’Albe se viendra rebeller, A ses grands peres fera le tradiment: Le grand de Guise le viendra debeller, Captif mené & dressé monument. CENTURIE VIII 8.49 Satur au bœuf, ioüe en l'eau, Mars en fleiche, Six de Feurier mortalité donra, Ceux de Tardaigne à Bruge si grand breche, Qu'à Ponteroso chef Barbarin mourra. 8.63 Quand l’adultere blessé sans coup aura, Meurdry la femme & le fils par despit, Femme assommee l’enfant estranglera: Huict captifs prins, s’estouffer sans respit. 8.69 Aupres du ieune le vieux ange baisser, Et le viendra surmonter à la fin: Dix ans esgaux aux plus vieux rabaisser, De trois deux l’vn huictiesme seraphin. CENTURIE IX 9.18 Le lys Dauffois portera dans Nansi, Iusques en Flandres electeur de l’Empire Neufve obturee au grand Montmorency, Hors lieux prouvez delivre à clere peyne. 9.40 Pres de Quintin dans la forest bourlis, Dans l’Abaye seront Flamens tranchés: Les deux puisnais de coups my estourdis, Suitte oppressee & gardes tous achés. 9.49 Gand & Bruceles marcheront contre Anvers, Senat de Londres mettront à mort leur Roy. Le sel & vin luy seront à l’envers, Pour eux avoir le regne en desarroy. 9.59 A la Ferté prendra la Vidame, Nicol tenu rouge qu’auoit produit la vie: La grand Loyse naistra que fera clame, Donnant Bourgongne à Bretons par enuie. 9.89 Sept ans sera Philipp. fortune prospere, Rabaissera des Arabes l’effort, Puis son midy perplex rebors affaire Ieune ognion abismera son fort. CENTURIE X 10.31 Le sainct Empire viendra en Germanie Ismaëlites trouveront lieux ouverts, Asnes voudront aussi la Carmanie Les soustenans de terre tous couverts. 10.50 La Meuse au iour terre de Luxembourg, Descouurira Saturne & trois en lurne: Montaigne & pleine, ville cité & bourg, Lorrain deluge, trahison par grand hurne 10.52 Au lieu où Laye & Scelde se marient, Seront les nopces de long temps maniees : Au lieu d'Anvers où la crappe charient, Ieune viellesse consorte intaminee. 10.54 Nee en ce monde par concubine fertive, A deux haut mise par les tristes nouvelles, Entre ennemis sera prinse captive, Et amenee à Malings & Bruxelles. 10.62 Pres de Sorbin pour assaillir Ongrie, L’heraut de Bruges les viendra advertir: Chef Bisantin, Sallon de Sclavonie, A loy d’Arabes les viendra convertir. 10.72 L’an mil neuf cens nonante neuf sept mois, Du ciel viendra un grand Roy d’effrayeur: Resusciter le grand Roy d’Angolmois, Avant apres Mars regner par bonheur. 10.83 De batailler ne sera donné signe, Du parc seront contraints de sortir hors: De Gand l’entour sera cogneu l’enseigne, Qui fera mettre de tous les siens à morts.

Le combat du dragon.

LE COMBAT DU DRAGON (Mons) On peut voir à la bibliothèque de Mons, la tête du dragon qui répandit jadis la terreur aux environs du village de Wasmes. Tout le monde déplorait le sort d'une malheureuse dame que le monstre avait un jour arrachée du château d'un seigneur aussi admiré pour ses hauts faits d'armes, qu'estimé et honoré pour sa loyauté. Déjà maint chevalier du Hainaut s'était dévoué pour la délivrance de la victime, mais aucun n'en était revenu, et leurs crânes placés à l'ouverture de l'antre était un terrible épouvantait pour d'autres. Le monstre n'en devenait que plus cruel, et après chaque combat, il sortait de sa grotte dévorait des troupeaux entiers, et malheur à ceux qui se trouvaient sur son passage; il les emportait dans son affreux repaire pour les y engloutir. Enfin un noble templier du nom de Gilles de Chin demanda à ses supérieurs la permission de combattre le monstre et de délivrer la malheureuse captive. Le comte Baudouin IV se trouvait dans ce moment à la maison de l'ordre; entendant cette demande il défendit au supérieur de l'accorder, car il aimait trop le chevalier pour permettre qu'il s'exposât à un tel danger. En vain le chef lui représenta-t-il en termes très-persuasifs, les souffrances de la jeune fille et le désespoir du père, en vain lui rappela-t-il que Gilles avait vaincu un énorme lion en Afrique, tout fut inutile, Baudouin persista dans son refus. Enfin Gilles de Chin parut devant lui, et la pieuse assurance du chevalier, son courage inébranlable et sa noble exaltation parvinrent enfin à déterminer Baudouin qui consentit au combat. Les supérieurs approuvèrent avec joie le désir du chevalier, le prieur lui donna la bénédiction, devant tous les chevaliers agenouillés dans le choeur. Gilles s'inclina une dernière fois devant l'autel de la Vierge et se rendit ensuite dans la cour ou l'attendaient son coursier et ses chiens. Tous les chevaliers l'accompagnèrent jusqu'à la porte; ils pensaient bien ne pins jamais le revoir et les vieillards récitaient déjà le De profundis pour le repos de son âme. Armé de courage il se dirigea vers la retraite du dragon. Bientôt le monstre s'élança vers lui, les chiens voulurent l'attaquer, mais Gilles en fuyant rappelle ses chiens qui accourent en grondant non sans jeter maint regard du côté du dragon. Le monstre voyant qu'il ne peut atteindre le chevalier se replie et rentre dans son antre. A peine y est-il que les chiens viennent le tirer de son repos, et il reparaît plus terrible à l'entrée. Irrité, il se précipite sur le chien le plus proche qui paie sa témérité de sa vie, mais aussitôt les autres accablent le monstre de tous côtés et principalement dans la partie molle du ventre, qu'à chaque instant il découvrait. Chaque morsure dans cette partie lui arrachait un rugissement et il ouvrait son énorme gueule. Jusqu'alors Gilles avait laissé combattre ses chiens seuls; enfin un coup d'éperon lait avancer son cheval jusque près de la caverne, soudain l'animal se cabre et veut rebrousser chemin; cependant Gilles s'arrête et d'un bras vigoureux plonge sa lance dans la gueule du monstre qui saigne et écume de rage. Le héros pique de nouveau le flanc de son coursier, mais ne pouvant le faire avancer il saute à terre, tire son glaive à deux tranchants et le plonge dans le ventre du dragon qui tombe épuisé et râlant sur le sol. Le chevalier se jette alors à genoux pour remercier Dieu de cette victoire. Ayant pénétré alors dans l'antre, il y trouva mollement couchée sur un lit de mousse la jeune demoiselle pale et maigre comme un cadavre. La vue du chevalier, semble la ranimer, mais lorsqu'il lui eut annoncé qu'il venait de tuer le dragon et qu'elle était libre, elle joignit les mains et adressa au ciel une prière de remerciement; elle suivit alors le chevalier devant la grotte ou gisait le dragon. Le chevalier monta à cheval et courut chercher quelques laboureurs des environs; ceux-ci dételèrent leurs chevaux qu'ils attachèrent au corps du dragon et le traînèrent jusqu'à la maison de l'ordre. D'autres ayant formé avec des branches d'arbres une espèce de brancard, la jeune dame s'y plaça et on la porta à la suite du dragon. Gilles fermait cette marche triomphale. Nous passons sous silence la joie du comte, le bonheur du père de la jeune fille, les exclamations des chevaliers, et les remerciements de tous les habitants. Le seigneur Gilles vécut encore honoré et béni de tous; il mourut à Rollecourt, percé d'un coup de lance. On lui a élevé dans la principale église de Mons un magnifique monument en marbre, où il est représenté, les mains jointes, en grandeur naturelle couvert de son casque et de son armure. En commémoration de ce combat, une procession a lieu encore tous les ans à Wasmes ainsi qu'à Mons, et dans cette dernière ville on représente le combat du dragon. On y célèbre aussi chaque année le 12 Août, anniversaire de la mort du chevalier, une messe pour le repos de son âme. (NDLRB : Gilles de Chin, personnage historique bien réel, fut tué le 12 août 1137 lors du siège du château de Rocourt par l'armée flamande. On rapporta son corps à l'abbaye de Saint-Ghislain en Belgique et on l’inhuma dans l’église abbatiale)

The templars

photo Suzanne Tadic-Bialucha.

Connaît-on exactement l'année de la fondation de l'ordre ?

Susanne Tadic-Bialucha L'année de fondation de l'Ordre n'est pas exactement connue. Communément appelé 1118, il est parlé dans une 1117ème papier de Noël D'autres représentations faudra attendre 1120 ou 1121 à l'année de fondation. Les documents du Moyen Age sont souvent pas très précis. Il y avait de toute façon Hugues de Paynes, Godefroy de Saint-Omer et sept autres tiges de France, chevalier, dont il était d'abord nécessaire de protéger les pèlerins chrétiens sur les routes de Palestine. Raids bédouins ont été là à ce moment-là ne sont pas rares. Apparemment, le groupe peu de chevalier avait d'abord des moyens financiers limités. Joint au début avec deux cavaliers sur un cheval symbolisant la pauvreté qui foule chevalier. Cela a été, cependant, devenir riche rapidement, et en partie par le butin de guerre, mais surtout par l'héritage des chrétiens pieux. Un protégé importante du nouvel ordre dès la tendance au fanatisme Bernard de Clairvaux, les croisades pour un besoin divine a eu lieu. Bernhard était ce que nous appellerions aujourd'hui un fondamentalistes agressifs. Qu'il possédait l'intelligence, comme les revendications Eglise, peut-être une autre affaire. Certainement contribué à l'intercession de saint Bernard de Clairvaux les jeunes religieux à ses débuts. Le soutien de la instruite Harding Stephen aurait pu être bénéfique. Important pour la poursuite du développement, cependant, était particulièrement l'avénement de Hugues I de Champagne, qui était 1125. Cette connexion a ouvert plus de portes au jeune religieux. Les Templiers - entre-temps aussi se faire appeler ainsi (Chevaliers du Temple) - étaient une formation militaire puissante et influente. Ils ont pris part à de nombreuses batailles importantes et toujours avérée particulièrement courageux, même si tous les combats victorieux couru. Les Templiers avaient également insérer une amère défaite. Comme en 1300 pour résister aux armées relativement petites croix chrétienne de la suprématie arabe ne pouvait plus être soumis aux Templiers de retour vers l'Europe. Là, ils avaient à l'expulsion des Maures de part de l'Espagne. Pendant ce temps, les Templiers, cependant, était également devenir un facteur économique important. Tout à fait honnête "banquiers" qui ne s'est pas intéressé, ils jouissaient d'une bonne réputation, non seulement chrétiens, mais aussi les marchands musulmans cherché cette coopération. Templiers y compris inventé un papier spécial, qui était le voyageur d'aujourd'hui de vérifier utilisés. Ils ont aussi celui qui est prévu . tout nouveau système monétaire qui permettrait d'éviter l'abus de l'argent serait-il passé, il aurait renversé la balance du pouvoir fondamentalement -. change la spéculation et, aujourd'hui, serait impossible, en plus de crises financières telles idées des Templiers sont journal télévisé d'aujourd'hui. Vers 1300, les Templiers avaient environ 15.000 membres, et il avait près de 10.000 emplacements dans de nombreux pays d'Europe et de l'Orient. Les plus importants étaient le siège est à Paris, la branche de Londres et le Tempelhove règlement (Berlin). De la France, en commençant, en 1312 mis fin au pouvoir des Templiers, comme il le dit très endettés roi Philippe IV a refusé d'accepter et aussi n'était pas disposé à lui prêter de l'argent. Grâce au principe de l'intérêt sans «prêt et de l'allocation Schenk" les Templiers avaient fait le «banquier» de leurs ennemis temps. Ceux-ci, dont Philippe IV était dépendante compris que c'était le roi de France en suggérant consultant sur les Templiers nationaux aspirent à un Etat à eux, semblable à l'connexe avec les chevaliers Templiers allemands en Prusse opérationnel. Il n'existe aucune preuve que cela fait si sage. Le «Nouvel Empire», qui en tant que concept a joué un rôle dans l'Ordre du Temple, n'était que pour une distance de ces jours, futurs attendus (probablement à notre époque). Comme les Templiers depuis la fin des Croisades n'avaient aucune capacité militaire plus (cession, sauf dans Allemagne, en coopération avec les croisés allemands, où vous avez planifié ensemble, même pousser plus loin dans Europe de l'Est), il était facile pour le roi de France à tendre les mains à la richesse des Templiers. Et c'est la vraie raison de l'attaque de l'Ordre était. L' accusations d'hérésie, etc pour avoir simplement servi de prétexte. sur les détails, nous sommes encore à venir. Avec la condamnation et l'incendie de la dernière James Grand Maître de Molay 1314 a terminé l'histoire des Templiers, même si elles se trouvent en Allemagne et en Italie ainsi qu'au Portugal et en Espagne pourrait encore tenir pendant un certain temps. Les derniers secrets des Templiers grands gardé la "Section des sciences Secret" de l'Ordre, dont le siège est à Vienne. Qu'est devenu le trésor légendaire des Templiers, personne ne sait. La plupart des il n'était nulle part. Étudiant de l'histoire suggèrent maintenant, les trésors les plus importants étaient intangibles. Il doit exister des preuves que les manuscrits originaux des Templiers de l'apôtre Jean (Jovien) ont eu qu'il avait remis à Marcion (Marcion). Marcion créé en II.Jahrhundert connu une forte communauté chrétienne primitive, ce sera encore plus proche de parler. Il a été assassiné, et ses disciples persécutés cruellement. Les restes de leurs connaissances a pu se former plus tard, le fondement de la foi des Cathares. Pour lutter contre elle n'a pas participé, les Templiers. C'est probablement ce qui avait de bonnes raisons. Par les Cathares, les Templiers semblent être arrivés à des écrits qui ont été sur la base de Marcion. Cela a eu raison particulièrement bonne si profond, car il fragmenté le contenu des notes à partir du 1er Siècle, a confirmé que certains Templiers avaient été trouvés à Jérusalem. Provenant d'autres sources devraient utiliser ces connaissances sera bientôt renforcée. De toutes les publications les plus populaires au sujet des Templiers est lu peu ou rien, parce qu'il ne rentrait pas dans l'image souhaitée de nos jours. Il est certain que l'ordre des Templiers fut peu de temps après sa création n'est plus spirituellement homogène dans la cohésion, mais n'a apparemment pas la peine. De nombreux Templiers menant a rejeté l'Ancien Testament que l'on appelle vieillesse. Ils étaient convaincus que l'Evangile de Jésus-Christ avait déjà été déformée dans les premiers temps. Christ n'était donc pas le fils de Yahvé, mais tout à fait le contraire qui s'est produit dans ce Éternel, qui n'est autre que le diable (voir par B.Johannes 8,44). Cela se manifeste également dans le symbolisme des Templiers: l'apparence d'un ange déchu avec une tête de diable dit que l'église, qui a dit le Satan (= Yahvé) à Dieu le Père, et le pentagramme inversé signifiait l'abandon du Pentateuque (les cinq livres de Moïse). En tant que tel il n'y avait vraiment l'hérésie aux Templiers, mais pas dans la forme sous laquelle il a été plus tard les a accusés en premier lieu.

Magnifique.

Chateau de Bussiere

samedi 1 décembre 2012

Marciny, l'un des 3 plus importants monastères clunisiens féminins du Moyen-âge.

Marcigny Marcigny_30Marcigny ne possède plus de son glorieux passé que quelques souvenirs. Le prieuré de la Trinité, fondé en 1054 par l’abbé de Cluny Hugues de Semur, fut l’un des trois plus importants monastères clunisiens féminins du Moyen-âge. Marcigny_planSeules les femmes de haute noblesse y étaient admises, comme ce fut le cas pour Hermengarde, sœur d’Hugues et première prieure, Aremburge de Vergy, sa mère, Raingarde de Semur, sa nièce, mère de Pierre le Vénérable. Il y eut aussi Adèle d'Angleterre, fille de Guillaume le Conquérant, les saintes Véraise et Frédoline, filles de rois d'Espagne, Mathilde de Boulogne, femme d'Etienne de Blois, roi d'Angleterre, la sœur de saint Anselme de Cantorbéry. Marcigny_31Un petit prieuré adjacent fut construit pour les moines devant s’occuper des questions spirituelles (la messe) et temporelles (administration), mais la prieure gardait toute autorité sur l’ensemble des monastères, masculins et féminins. Parmi les premiers administrateurs, on compte Geoffroy de Semur, le frère d’Hugues, Rainald de Semur, son neveu (qui deviendra plus tard abbé de Vézelay et archevêque de Lyon), Hugues, un autre neveu. Hugues laissa une prière pour les filles de Marcigny. Edifiant… Je vous laisse lire entre les lignes : « Ô bon Jésus, ô Jésus très clément, Vous qui avez honoré la pécheresse Marie après qu’elle eut souillé son âme et son corps, et l’avez glorifiée, si bien qu’au jour de votre Résurrection elle obtint d’être l’Apôtre des Apôtres et le premier témoin de votre Résurrection. Accordez à tous ceux qui procureront en votre Nom quelque consolation ou quelque aide à ces moniales qui se sont volontairement faites pauvres pour Vous, de partager au jour de la résurrection le même sort que celui de Marie-Madeleine. Et s’il arrivait que quelqu’un s’oppose à elles au point de les empêcher de Vous servir dans la paix, s’il ne se corrigeait pas en venant à résipiscence par une satisfaction convenable, qu’il éprouve votre vengeance et votre puissance de juge en ce siècle comme dans le siècle futur. » Marcigny_7En 1056, Hugues fit construire l’église priorale, dédiée à la Vierge, sur le même modèle que celle d’Anzy-le-Duc. Le prieuré prit de l’importance, même si le nombre de moniales, par décret, ne put dépasser 99, la centième place ou "centesima" étant réservée à la Vierge. Il reçut d’illustres voyageurs, comme le cardinal de Richelieu en 1642. C’est après la révolution que le prieuré fut vendu comme bien national et tout fut détruit. L'église Saint-Nicolas Marcigny_8Cette église fut construite pour les moines vers 1130, alors que l'église principale de Marcigny le fut pour les moniales. Elle fut agrandie en 1378, puis affectée à la paroisse en 1620. Marcigny_9De roman il ne reste que le chevet semi-circulaire et la partie centrale de la façade, très abimée. Marcigny_17Les nefs latérales quand à elles furent ajoutées en 1820. Marcigny_10Le portail central est encadré par une archivolte à triple voussure. Au tympan, saint Nicolas. Marcigny_15A sa droite, le portail fait en 1820 reprend sur ses chapiteaux quelques thèmes de style roman. Marcigny_12 Marcigny_19A l'intérieur, seuls les piliers de la croisée du transept aportent un peu de lecture. Nous retrouvons notre loup vert, l'ouvert, passant la tête entre les feuillages. Il nous montre, côté lunaire, la marche à suivre pour atteindre la lumière. Marcigny_20Des feuilles de chélidoine, symbole de l'accès à la lumière, sortent des fleurs tripartites épanouies, peut-être la représentation du corps, de l'âme et de l'esprit. Marcigny_18Le griffon, côté solaire, déploie ses ailes vers le ciel et regarde vers le choeur, vers l'endroit où se passe la transformation. Marcigny_planSeules les femmes de haute noblesse y étaient admises, comme ce fut le cas pour Hermengarde, sœur d’Hugues et première prieure, Aremburge de Vergy, sa mère, Raingarde de Semur, sa nièce, mère de Pierre le Vénérable. Il y eut aussi Adèle d'Angleterre, fille de Guillaume le Conquérant, les saintes Véraise et Frédoline, filles de rois d'Espagne, Mathilde de Boulogne, femme d'Etienne de Blois, roi d'Angleterre, la sœur de saint Anselme de Cantorbéry.

L'église Sainte-Marie-Madeleine de Neuilly-en-Donjon.

L’église Sainte-Marie-Madeleine de Neuilly-en-Donjon
Historique Neuilly_en_Donjon_0La présence de statuettes en bronze de Cérès, Mars et Hercule indique que l’endroit était fréquenté par les gallo-romains. Neuilly (Nulhi, Nuilliacus, ecclesia de Nulleyo au XIVe siècle) provient du nom latin Novellius ou Nobilis, propriétaire des terres, Donjon fut rajouté plus tard et provient de la châtellenie du Donjon dont la commune dépendait. La bourgade fut réellement créée lors des invasions Vikings, quand les habitants d’Avrilly, au bord de la Loire, se réfugièrent sur les hauteurs. Neuilly_en_Donjon_12Les villageois firent appel aux constructeurs de la rive droite pour la construction de leur église, vers 1140, c’est pour cette raison qu’elle se rapproche des églises du Brionnais, comme Montceaux-l’Etoile. Là, un bel exemple de retournement. Neuilly_en_Donjon_17Elle fut dédiée à Marie-Madeleine et dépendait à l'origine du diocèse d'Autun. Elle fut placée sous le patronage du prieuré de Marcigny. D'importants travaux de rénovation (toiture, charpente, façade occidentale et portail) furent entrepris entre 2008 et 2010, dont une partie à la charge de la petite commune. Un mécène américain les prit alors en charge. L’extérieur Neuilly_en_Donjon_9L’église est construite en blocs irréguliers de grès et de granite reliés par un épais mortier. Les plus belles pierres furent gardées pour les angles, les parties basses de la façade et pour le portail. La toiture est surmontée d’un petit clocher en bâtière. Neuilly_en_Donjon_7 Neuilly_en_Donjon_6La façade ouest est constituée d'un mur avec fronton triangulaire, d'une fenêtre romane dans sa partie haute et d'un portail finement taillé, étudié plus loin. Deux voussures forment l'arc du tympan. Neuilly_en_Donjon_8L’abside en hémicycle présente un seul modillon centré. Il est la représentation d’un Baphomet qui est, comme le dit Fulcanelli, «l’hiéroglyphe complet de la science, figurée ailleurs dans la personnalité du dieu Pan (tout, universel), image mythique de la nature en pleine activité». Neuilly_en_Donjon_Baphomet_aApporté en occident par les Templiers, c’est l’image synthétique de toute leur science et de leur tradition. L’intérieur Neuilly_en_Donjon_14Très sobre, sans aucun motif architectural particulier, il se compose d’une nef unique charpentée, d’une travée de chœur voûtée en berceau et d’une abside en cul-de-four. Neuilly_en_Donjon_16La nef initiale ne possédait que 4 fenêtres toujours visibles et 3 portes. Au XIXe siècle, une voûte en plâtre la surmontait, ce qui provoqua la perte des fenêtres romanes, remplacées par de larges baies ouvertes. L’église fut entièrement rénovée en 2010, l’intérieur enduit, ce qui le rend plat. Neuilly_en_Donjon_19Avant 1950, l'église possédait un autel en bois et l'office se déroulait normalement, face à l'est, dos à l'assistance. Il fut remplacé par un autel en pierre pas trop moche présentant un bas-relief très moche. http://fr.wikipedia.org/wiki/Neuilly-en-Donjon http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89glise_Sainte-Marie-Madeleine_de_Neuilly-en-Donjon http://www.art-roman.net/neuillyendonjon/neuillyendonjon.htm http://www.donjonvallibre.com/tourisme_1.asp?ref_com=9 http://mydas.ath.cx/bourgogneromane/edifices/neuillyendonjon.htm http://www.jacquet.fr/references/eglise-saintemariemadeleine-de-neuillyendonjon http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/ccmed_0007-9731_1965_num_8_31_1349