mercredi 27 février 2013

The templars.

Nulla si ottiene senza sacrificio e senza coraggio.
Se si fa una cosa apertamente, si può anche soffrire di più,
ma alla fine l’azione sarà più efficace.
Chi ha ragione ed è capace di soffrire alla fine vince.

Rien n'est fait sans sacrifice et sans courage.
Si vous faites une chose, vous pouvez aussi souffrir davantage, mais en fin de compte, l'action sera plus efficace.
Qui a raison et est capable de souffrir à la gagne de fin. (Traduit par Bing)

Chapelle Saint Thomas.


HAUTEFAGE LA TOUR

Chapelle Saint Thomas.
Sous l'ancien régime, Saint Thomas, était une cure, d'abord de l'archiprêtre d'Agen, ensuite de l'archiprêtre de Villeneuve, à la nomination de l'évêque. Primitivement, les paroisses de Bonneval et de Saint Thomas formaient deux rectories (bureau du recteur) indépendantes. Elles furent unies par Nicolas de Villars.
Ce prélat (dignitaire ecclésiastique) dit en effet dans ses mémoires:
Le rectum du lieu (de Saint Thomas) lors d'une visite à Penne en 1792 me présenta la pauvreté de la rectorie Saint Thomas et que je voulusse; unir Saint Jean de Bonneval. Ce que je lui promis.
Depuis la réunion étant faites. Les constitutionnels, dans leur projet de circonscription de 1792 suppriment l'église de Saint Thomas et furent de Bonneval une succursale de Saint Just.
A l'organisation de 1803 l'église de Bonneval fut érigée en succursale du canton de Penne. Celle de Saint Thomas, d'abord supprimé, reçut le titre d'annexe par décret du 17 avril 1806.

Sous l'ancien régime et depuis l'union, la messe et les vêpres étaient célébrées les dimanches et les fêtes alternativement de quinze en quinze dans les deux paroisses. Il y avait deux confréries, l'une de Saint Jean à Bonneval et l'autre de Saint Roch à Saint Thomas. De nos jours l'adoration perpétuelle se célèbre le huit mars.

Démographie:
En 1843 trois cent quatre vingt quinze âmes. En 1919 cent quatre vingt six âmes.

Croix les Bordiers.

LAROQUE

Croix les Bordiers

Calvaire Saint Amans.

SAINT SARDOS

Calvaire Saint Amans
Calvaire vient du latin "calvarius. Le calvaire représente Jésus en croix.
C'est le lieu de prière. Quelquefois implantés pour marquer des événements marquants comme les grandes pestes ou les guerres.

L'église dépendait, tout comme la commanderie de Dominipech à Saint-Salvy, du Temple d'Agen

ST VINCENT-DE-DOMINIPECH

L'église dépendait, tout comme la commanderie de Dominipech à Saint-Salvy, du Temple d'Agen ; une première campagne de construction a lieu au XIIIe siècle: reste de gros appareil sur le mur nord, banc dans la première travée, construction du chevet à cinq pans au XVe siècle ; réaménagement du choeur à la fin du XVIIe siècle avec la mise en place d'une clôture de choeur et de la chaire à prêcher et construction de la chapelle sud. La sacristie, aujourd'hui ruinée, date du XIXe siècle.
Dépendant également de la commanderie Brulhes ou de nos jours Temple-sur-Lot, on trouve celle de Dominipech, sur la colline qui séparte Saint-Salvy de Lacépède. Dominipech (le coteau qui domine), si puissant jadis, n'est même plus une commune. L'église qui a dû être magnifique jadis est abandonnée.

Les Templiers de la Maison du Temple d'Argentens, près de Nérac, sont positionnés à Port-Sainte-Marie depuis le début du 13e siècle.


PORT-SAINTE-MARIE

Église Saint Vincent du Temple - XIIIe siècle

Les Templiers de la Maison du Temple d'Argentens, près de Nérac, sont positionnés à Port-Sainte-Marie depuis le début du 13e siècle. Ils y construisent une église durant la 2e moitié du 13e siècle, après 1274 d'après G. Grézolle. Elle se compose de deux parties distinctes caractérisées par l'emploi de la brique puis de la pierre, correspondant à deux campagnes de travaux assez proches l'une de l'autre.
La partie Est, probablement la plus ancienne, comporte trois travées en brique terminées par un chevet plat, disposition classique des édifices du Temple depuis le 12e siècle. Il semble que les Templiers entreprennent un programme ambitieux de construction (ou de re-construction ?) de l'église par l'Ouest durant le 4e quart du 13e siècle, selon un parti comparable à celui de la salle basse de la Sainte Chapelle de Paris: un large vaisseau flanqué de collatéraux très étroits voûtés d'ogives reposant sur des colonnettes adossées aux contreforts et reliées par des arcs aux piliers supportant les voûtes de la nef. Seules deux travées ont été édifiées, les travaux étant sans doute interrompus lors de l'échange de biens effectué en 1297 avec le prieuré fontevriste du Paravis (canton de Lavardac). Une clef de voûte représente un chevalier, en armes monté sur un cheval caparaçonné, dont le heaume se rapproche, selon G. Tholin, de ceux adoptés sous Philippe le Bel.
A l'occasion du transfert en 1609 du service de l'ancienne église Saint-Vincent, située hors les murs, à celle du Temple, le maître-autel, jusqu'alors dédié à saint Antoine, est placé sous l'invocation de saint Vincent. Le percement du portail occidental date du 18e siècle. Destruction d'un bâtiment accolé au Sud, mentionné sur le cadastre de 1826 à l'emplacement de l'actuelle sacristie, à l'occasion des travaux relatifs au passage de la voie ferrée vers le milieu du 19e siècle.
Eglise désaffectée en 1882 et restauration intérieure (voûtes, enlèvement des badigeons et peintures) en 1938, d'après un projet des architectes J. Kaeherling et G. Rapin.
Les deux premières travées de nef et la tour-clocher sont construites en pierre de taille avec des lancis de brique à mi-hauteur.

Quelques vestiges des temps romains : ancienne voie à Clermont Dessous et Port Sainte Marie,

PORT SAINTE-MARIE

On a décelé quelques vestiges des temps romains : ancienne voie à Clermont Dessous et Port Sainte Marie, avec passage de la Garonne au guet de Thouars où la voie romaine rejoignait la fameuse Ténarèze.
A Port Sainte Marie, l’église paroissiale du XVe était dédiée à la vierge, patronne de la ville. Les mariniers se plaçaient sous la protection de Sainte Catherine : à voir dans l’église Notre Dame (voir photo), « le bateau des processions ».
Ailleurs dans la ville, existaient deux confréries de pénitents (blancs et gris) apparues au XVIIe, dont les bâtons de procession sont exposés dans l’église Notre Dame.
De la ville du Moyen Age subsistent encore quelques quartiers avec maisons à colombages et fenêtres à meneaux.
N’oublions pas enfin que Port Sainte Marie reçut en ses murs la Reine Mère Catherine de Médicis qui y séjourna quelques semaines et sa fille la Reine Margot venue de Nérac.