Créé pour vous présenter mon dernier livre,je vous présente 4500 articles sur le thème de mon livre :les Templiers,des sujets ésotériques,des textes rosicrusiens,les mérovingiens, saint-Graal,Nostradamus,Mary Magdalene.Le Baphomet et le Tau, Château de Saumur,la femme dans l'histoire templière. Trésor templier.Histoires, légendes de Belgique,de France et d'Europe et Celtiques. La spiritualité. Développement personnel.
jeudi 29 août 2013
Bernard de Claivaux:
Bernard de Claivaux:
Né au château de Fontaine, près de Dijon, Bernard entre à l'abbaye voisine de Cîteaux, fondée en 1098 par Robert de Molesmes. On le voit ci-dessous prendre avec ses compagnons l'habit monastique, en présence de l'abbé Harding et de ses parents. Bernard va donner une impulsion décisive à l'ordre des cisterciens qui se distingue de son aîné, celui de Cluny, par une plus grande austérité.
Lui-même participe à la fondation d'un nouveau monastère de l'ordre, à Clairvaux, en Bourgogne, et en devient l'abbé, d'où le nom sous lequel il va se rendre célèbre : Saint Bernard de Clairvaux. Les membres de l'ordre vont eux-mêmes être qualifiés de Bernardins aussi bien que de Cisterciens.
Doué d'une très forte personnalité, Saint Bernard sort de son abbaye pour participer aux grandes affaires de son siècle. Il conseille le pape, officialise au concile de Troyes (1128) l'ordre du Temple, obtient la condamnation du théologien Abélard, resté célèbre pour son idylle tragique avec sa jeune élève Héloïse, prêche la deuxième croisade sur la colline de Vézelay en 1146, tente enfin de lutter contre l'hérésie cathare dans le Midi toulousain. Soucieux de pauvreté évangélique, il s'oppose aussi à l'abbé Suger, promoteur de l'art dit gothique. Il a été proclamé Docteur de l'Église en 1830...
mardi 27 août 2013
La Dame de Montigny-le-Gannelon.
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lundi 26 août 2013
Un programme de recherche sur les caves anciennes de Paris
Sous les pavés, les caves !
Un programme de recherche sur les caves anciennes de Paris
Les vestiges les plus importants du Paris médiéval,
la ville de loin la plus peuplée d’Europe à compter du XIIIe siècle, ne sont pas les églises ni les fragments d’enceinte fortifiée, mais les caves de maisons qui
se comptent par centaines, voire par milliers.
Au cœur de la ville gît donc une mémoire inexploitée dont les capacités permettent de renouveler des pans entiers de son histoire.
C’est à cette tâche que s’est attelée récemment une équipe rassemblant différents acteurs de la recherche
et du patrimoine, institutionnels et associatifs, attentifs au patrimoine parisien et aux caves en particulier.
Le projet Les caves à Paris, présenté par Dany Sandron, Directeur du Centre André Chastel (UMR8150)
en partenariat avec le département Histoire de l’architecture et Archéologie de Paris, le service Patrimoines et Inventaire du conseil régional d’Ile-de-France et le centre de topographie parisienne, a été lauréat en 2011
de l’appel à projets Paris 2030.
Une équipe pluridisciplinaire
Si les caves ont été bouleversées, elles recèlent souvent paradoxalement des parties peu touchées, voire intactes. Elles ont été épargnées par les opérations de ravalement qui touchent les parties visibles de l’extérieur et sont restées à l’écart des mises au goût du jour, inévitables dans les étages supérieurs habités. Les caves anciennes conservent donc, en dépit de leurs transformations, des vestiges autrement mieux lisibles de leur mise en œuvre qui constituent un terrain d’investigation unique pour l’industrie du bâtiment, qu’on n’apprécie guère à ce jour pour le Paris médiéval qu’à travers l’exemple de l’architecture religieuse ou militaire ou l’étude à la source des carrières d’exploitation.
En effet, sous la voirie actuelle, elles conservent des dispositions antérieures aux mesures d’alignement qui se sont multipliées depuis l’époque moderne.
Elles recèlent par conséquent des indices de la ville médiévale caractérisée par un réseau viaire relativement étroit, bien souvent élargi postérieurement. Le percement de nouvelles voies a pu créer des saignées dont les caves gardent mieux les cicatrices que les superstructures remaniées en façade. Les transformations qu’elles ont subies au cours des siècles nous renseignent donc aussi sur les rythmes imprimés au développement de la ville dans une tendance de fond à la densification de l’occupation du sol, dont le niveau de circulation a pu être relevé.
Aux caractéristiques architecturales, il faut ajouter l'aspect fonctionnel de ces espaces enterrés ou semi-enterrés où pouvaient être stockées différentes marchandises, à usage des habitants du lieu ou à des fins commerciales.Aux abords du parvis de Notre-Dame, le chapitre de lacathédrale fit en 1257 l'acquisition conjointement d'une boutique et d'une cave ; on peut penser que la seconde servait de magasin pour la première.
C'est une fonction traditionnellement évoquée pour les grands celliers d'abbayes, comme Ourscamp, concentrés sur la rive droite à proximité des points de débarquement sur la Seine où se concentrait une bonne partie de l'activité économique. Pour les caves non documentées, il faut vérifier si elles conservent des traces matérielles de productions artisanales que l'archéologie pourrait révéler et des analyses physico-chimiques définir.
Appendice souterrain des maisons, les caves sont une réalité ancienne du tissu parisien : on a retrouvé des vestiges de caves gallo-romaines, rues Amyot et Gay-Lussac, à Cluny et place de la Sorbonne, qui ne diffèrent guère de celles aménagées jusqu'au début du XXe siècle. Les caves médiévales sont nombreuses et comportent généralement deux ou trois niveaux, possèdent un puits à eau pour les besoins domestiques et communiquent les unes avec les autres pour permettre la fuite en cas d'incendie. Elles sont accessibles depuis la rue afin de faciliter la manutention des objets encombrants. La qualité décorative de ces ouvrages enfouis dans des sous-sols obscurs est comparable à celle des réalisations exposées au grand jour.
Comme tous les mondes enfouis, les caves fascinent en laissant entrevoir des origines lointaines, un sentiment exacerbé par la qualité des rares témoins accessibles, souvent liés à des établissements religieux, avec la conscience pleine de frustration que la plupart d'entre elles nous échappent. Plus rationnellement, elles nous offrent l'occasion de remonter le temps en explorant des structures qui peuvent superposer trois niveaux ou davantage.
Les premières couches qu'elles constituent échappent à l'homme de la rue, mais elles restent disponibles aux investigations de l'historien et de l'archéologue entre autres spécialistes.
L’ensemble des travaux effectués permettra aussi bien au chercheur, à l’amateur qu’aux différents responsables d’apprécier dans toute sa richesse ce patrimoine. Documentations historiques et archéologiques nourriront bases de données et produits modélisés mieux à même de rendre compte de la quantité comme de la qualité des ensembles relevés, à un moment où la pression immobilière s’exerce de manière accrue sur un patrimoine d’autant plus fragile qu’il est peu visible.
Qu’au cœur du Marais, au sein du quadrilatère des Archives nationales – lieu par excellence de la mémoire historique –, les caves d’un hôtel du XIVe siècle, celui du connétable de Clisson, aient été découvertes à l’occasion de la préparation de l’exposition "La demeure médiévale à Paris" (commissaires Etienne Hamon et Valentine Weiss) en dit long sur les ressources largement insoupçonnées que recèle le sous-sol parisien pour la connaissance de l’habitat,
de l’espace urbain et des activités qui s’y sont déployées.
Tous les éléments sont réunis pour une prise de conscience de ce patrimoine méconnu de la part de ses usagers et de ceux, responsables politiques, instances patrimoniales et chercheurs, qui doivent œuvrer à sa connaissance et à sa conservation.
Si vous avez observé ce type d'architecture chez vous, vos proches
ou vos voisins, vous pouvez contribuer au développement de cette étude.
Accueillez notre équipe de chercheurs
et découvrez si votre cave a appartenu à d'illustres propriétaires.
Participez à la mise en lumière des derniers vestiges de la Capitale au Moyen Âge.
Parisiennes, Parisiens, votre témoignage est précieux pour l'histoire.
Si vous souhaitez obtenir plus d'informations, n'hésitez pas à nous contacter au 01 30 70 00 52 oucavesmedievales@templedeparis.fr
Flavius Josèphe est un historien judéen d'origine juive sur lequel les chrétiens aiment s'appuyer pour prouver l'existence de Jésus
Flavius Josèphe, dont les historiens s'appuient pour prouver l'existence de Jésus, aurait été Paul de Tarse
Paul de Tarse (Saint Paul pour les chrétiens) a-t-il existé ? Comme pour Jésus, il n'existe quasiment aucune trace historique de son existence, à part bien entendu les écrits qui lui sont attribués. Or c'est à lui qu'on doit la fondation de l'Église catholique, que ne souhaitait pourtant pas Jésus. Paul de Tarse a-t-il existé, et si oui n'était-il pas une personne ayant existé sous un autre nom ? L'historien Francesco Carotta répond à cette question dans son livre (non encore traduit en français) Jesus was Caesar : pour lui pas de doute, Paul de Tarse n'était autre que Flavius Josèphe.
Flavius Josèphe est un historien judéen d'origine juive sur lequel les chrétiens aiment s'appuyer pour prouver l'existence de Jésus. En effet il est le seul historien à peu près contemporain de Jésus à le citer nommément dans un de ses ouvrages. Or si Flavius Josèphe était Paul de Tarse, qui a fait passer le christianisme d'une secte à une religion, on comprendrait mieux pourquoi il aurait été le seul à parler de Jésus. C'est sur cette piste inédite et passionnante que l'historien italien Franscesco Carotta nous emmène, voici la traduction du passage de son livre Jesus was Caesar où il démontre le rapprochement biographique entre les deux hommes :
"Ce qui est frappant dans la comparaison structurelle de la seconde partie des Actes avec l'autobiographie de Flavius Josèphe, c'est leur similarité. Les principaux personnages des deux œuvres persécutent au départ leurs adversaires (dans le cas de Flavius Josèphe ceux qui sont loyaux à Rome, dans le cas de Paul les chrétiens) et les deux rejoignent plus tard le camp de leurs adversaires. Les deux sont déchirés entre le fait de vivre auprès de Dieu et celui de mourir avec mérite. Les deux ont " l'urgence du départ", c'est-à-dire de se suicider, pourtant les deux décident "de rester dans la chair" : Flavius Josèphe avec les Vespasiens, attendant la gloire suprême, à savoir le fait que Vespasianus devienne empereur, et Paul "d'être avec le Christ", "pour que ta gloire soit grande". (1)
Les deux tombent de cheval sur le chemin de Damas. Les deux sont en conflit avec les autorités centrales de Jérusalem. Les deux débattent vigoureusement du fait de circoncire les disciples non-juifs (dans le cas de Paul avec le chef des apôtres, Simon bar Jonas, dans le cas de Flavius Josèphe avec le chef des rebelles, Simon bar Joras). Les deux ont un supérieur dont le nom est Titus (le fils de Vespasianus à qui la charge de Flavius Josèphe a été confiée, et également l'évêque de Paul, le mot grec pour évêque et supérieur étant le même : episkopos).
Les deux entreprennent le même voyage à Rome, qui est interrompu par la même tempête sur la mer. Les deux sont pris en charge par un bateau venant d'Alexandrie via Cyrene et les deux arrivent à Puteoli. Puis Flavius Josèphe se rend au palace de Néron et c'est à ce moment que les Actes se terminent abruptement et de façon incompréhensive, comme si la damnatio memoriae (la damnation de la mémoire) qui était imposée à Néron après son meurtre avait interdit à l'auteur de nous dire que Flavius Josèphe / Paul avait été reçu amicalement, en particulier par la "craintive de Dieu" Poppée, femme de Néron. Il fallait qu'il soit cru que Paul avait souffert le martyr sous Néron. [...]
Flavius Josèphe était au départ amical envers Rome (son voyage à Rome et la visite dans la maison de Néron). Il devint par la suite l'un des chefs rebelles de la guerre juive (il avait un commandement en Galilée). Après avoir rusé pour encourager ses camarades à se suicider, il fut retenu prisonnier et changea pour le camp de Vespasianus, le général de Néron de lignée ordinaire qu'il déclara être le Messie attendu. Flavius Josèphe fut emprisonné par Vespasianus dans un premier temps, avant d'être appelé pour servir dans la guerre juive en tant que double traître. Après la mort de Néron, il fut glorifié comme prophète de l'accession au pouvoir de Vespasianus. Donc après la fin de la guerre il ne fut pas enchaîné, obligé de participer au triomphe ni exécuté dans le Mamertinum comme Simon. A la place, il eut ses quartiers dans le palace de Vespasianus, où tous les instruments du temple avaient été déménagés dans une chapelle privée.
A partir de là il chercha, par tous les moyens de propagande possibles, à ce que les Romains convertissent les juifs et - comme nous le suspectons maintenant, car si Jésus était César, Flavius Josèphe était Paul - pour que les juifs de la diaspora suivent ce nouveau messie." p. 331-332
(1) Pour Flavius Josèphe, cf. BJ 3.8.I-9, en particulier 3.8.5 et 3.8.9, et SUET. Vesp. 4 et 5 : cf note 296.
Pour Paul cf Phil. I:21-24.
source : http://www.enquete-debat.fr/archives/flavius-josephe-etait-il-paul-de-tarse-53276
Paul de Tarse (Saint Paul pour les chrétiens) a-t-il existé ? Comme pour Jésus, il n'existe quasiment aucune trace historique de son existence, à part bien entendu les écrits qui lui sont attribués. Or c'est à lui qu'on doit la fondation de l'Église catholique, que ne souhaitait pourtant pas Jésus. Paul de Tarse a-t-il existé, et si oui n'était-il pas une personne ayant existé sous un autre nom ? L'historien Francesco Carotta répond à cette question dans son livre (non encore traduit en français) Jesus was Caesar : pour lui pas de doute, Paul de Tarse n'était autre que Flavius Josèphe.
Flavius Josèphe est un historien judéen d'origine juive sur lequel les chrétiens aiment s'appuyer pour prouver l'existence de Jésus. En effet il est le seul historien à peu près contemporain de Jésus à le citer nommément dans un de ses ouvrages. Or si Flavius Josèphe était Paul de Tarse, qui a fait passer le christianisme d'une secte à une religion, on comprendrait mieux pourquoi il aurait été le seul à parler de Jésus. C'est sur cette piste inédite et passionnante que l'historien italien Franscesco Carotta nous emmène, voici la traduction du passage de son livre Jesus was Caesar où il démontre le rapprochement biographique entre les deux hommes :
"Ce qui est frappant dans la comparaison structurelle de la seconde partie des Actes avec l'autobiographie de Flavius Josèphe, c'est leur similarité. Les principaux personnages des deux œuvres persécutent au départ leurs adversaires (dans le cas de Flavius Josèphe ceux qui sont loyaux à Rome, dans le cas de Paul les chrétiens) et les deux rejoignent plus tard le camp de leurs adversaires. Les deux sont déchirés entre le fait de vivre auprès de Dieu et celui de mourir avec mérite. Les deux ont " l'urgence du départ", c'est-à-dire de se suicider, pourtant les deux décident "de rester dans la chair" : Flavius Josèphe avec les Vespasiens, attendant la gloire suprême, à savoir le fait que Vespasianus devienne empereur, et Paul "d'être avec le Christ", "pour que ta gloire soit grande". (1)
Les deux tombent de cheval sur le chemin de Damas. Les deux sont en conflit avec les autorités centrales de Jérusalem. Les deux débattent vigoureusement du fait de circoncire les disciples non-juifs (dans le cas de Paul avec le chef des apôtres, Simon bar Jonas, dans le cas de Flavius Josèphe avec le chef des rebelles, Simon bar Joras). Les deux ont un supérieur dont le nom est Titus (le fils de Vespasianus à qui la charge de Flavius Josèphe a été confiée, et également l'évêque de Paul, le mot grec pour évêque et supérieur étant le même : episkopos).
Les deux entreprennent le même voyage à Rome, qui est interrompu par la même tempête sur la mer. Les deux sont pris en charge par un bateau venant d'Alexandrie via Cyrene et les deux arrivent à Puteoli. Puis Flavius Josèphe se rend au palace de Néron et c'est à ce moment que les Actes se terminent abruptement et de façon incompréhensive, comme si la damnatio memoriae (la damnation de la mémoire) qui était imposée à Néron après son meurtre avait interdit à l'auteur de nous dire que Flavius Josèphe / Paul avait été reçu amicalement, en particulier par la "craintive de Dieu" Poppée, femme de Néron. Il fallait qu'il soit cru que Paul avait souffert le martyr sous Néron. [...]
Flavius Josèphe était au départ amical envers Rome (son voyage à Rome et la visite dans la maison de Néron). Il devint par la suite l'un des chefs rebelles de la guerre juive (il avait un commandement en Galilée). Après avoir rusé pour encourager ses camarades à se suicider, il fut retenu prisonnier et changea pour le camp de Vespasianus, le général de Néron de lignée ordinaire qu'il déclara être le Messie attendu. Flavius Josèphe fut emprisonné par Vespasianus dans un premier temps, avant d'être appelé pour servir dans la guerre juive en tant que double traître. Après la mort de Néron, il fut glorifié comme prophète de l'accession au pouvoir de Vespasianus. Donc après la fin de la guerre il ne fut pas enchaîné, obligé de participer au triomphe ni exécuté dans le Mamertinum comme Simon. A la place, il eut ses quartiers dans le palace de Vespasianus, où tous les instruments du temple avaient été déménagés dans une chapelle privée.
A partir de là il chercha, par tous les moyens de propagande possibles, à ce que les Romains convertissent les juifs et - comme nous le suspectons maintenant, car si Jésus était César, Flavius Josèphe était Paul - pour que les juifs de la diaspora suivent ce nouveau messie." p. 331-332
(1) Pour Flavius Josèphe, cf. BJ 3.8.I-9, en particulier 3.8.5 et 3.8.9, et SUET. Vesp. 4 et 5 : cf note 296.
Pour Paul cf Phil. I:21-24.
source : http://www.enquete-debat.fr/archives/flavius-josephe-etait-il-paul-de-tarse-53276
« Le Suaire de Jésus de Nazareth » — Barbara Frale — Éditions Bayard – Montrouge - 2011 (2009 pour l'édition italienne originale) - 504 (421) pages – ISBN : 978-2-227-47616-5
Commentaire public :
<< L'historienne Barbara Frale, médiéviste et paléographe ayant accès aux archives vaticanes, a choisi un titre le plus neutre possible et évite soigneusement de se prononcer sur le caractère religieux de l'objet étudié. Elle confirme la remise en question de la datation au ‘’Carbone 14’’, car les prélèvements de tissus n'ont pas respecté un protocole strict (il y aurait même des contradictions dans les différents rapports ;-). Puis elle s'acharne sur les textes ‘’fantômes’’, filigranes visibles depuis les progrès de l'imagerie d'investigation. Les mots et les bribes de phrases nous restituent partiellement les transferts d'écritures administratives, inscrites initialement sur des bandelettes (ou papyrus) au premier siècle en Palestine (langues, style, etc.). Il s'agirait principalement du prénom et du lieu de naissance de l'individu, ainsi que la date à laquelle la famille pouvait venir rechercher les ossements, 12 mois après la mort… Les autres indices montrent que cet homme a été torturé puis crucifié et sa dépouille récupérée par un homme riche (exceptionnelle qualité du tissu du linceul en ‘’lin retors’’).
Et après ?… >>.
Sources Pierre P.
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