vendredi 2 novembre 2012

Château de Fontainebleau.

Hervé Bertrand de Bretagne. Château de Fontainebleau.

AISHWARYA

Extrait du tour du monde en 10 contes. Il y a bien longtemps, dans un pays lointain, au pays des Blarat, en Inde, vivait un couple Rahman qui n'avait qu'une seule fille, AISHWARYA. Celle-ci était particulièrement jolie. Elle avait de longs cheveux noirs et brillants qui descendaient jusqu'à sa ceinture, des yeux d'un bleu profond et ses pieds et ses pieds étaient fins et d'un blanc éclatant. Elle n'était pas seulement très jolie, elle était aussi très gentille. Elle aidait ses parents lorsqu'elle le pouvait et aucun travail n'était jamais trop pénible pour elle. C'est pourquoi ses parents l'aimaient beaucoup. Ils l'avaient éduquée avec soin et la protégeaient du mieux qu'ils pouvaient, elle était cultivée et parlait couramment l'anglais, elle excellait dans la danse de l'Odissi et elle n'ignorait rien de la littérature. Pourtant, ils se faisaient beaucoup de soucis quant à son avenir. Un jour, il faudrait bien que leur fille se marie, mais où pourraient-ils trouver un bon mari pour elle ? Ils vivaient près de la rivière Kaveri. A des kilomètres à la ronde ne vivaient que de pauvres gens et ici et là un noble pauvre qui croulait sous les dettes. Mais, un bon mari qui travaillerait dur et qui aimerait leur fille de tout son coeur, ils n'en connaissaient pas. _ Si ça continue, elle sera encore seule lorsque nous mourrons, disait son père et sa mère en soupirant, lorsque leur fille était déjà allée se coucher. _ Si seulement, nous avions eu un fils, il serait resté près de nous après son mariage et il aurait repris nos affaires. Mais notre fille devra suivre son époux et vivre sous les ordres de sa belle-mère. Elle exercera son autorité sur notre Aishwarya, elle est si gentille. Si nous avions eu un fils, il nous aurait intégrés à son nouveau foyer. J'adore notre enfant, mais quels soucis que d'avoir une fille, poursuivaient-ils. Par un beau matin d'été, la jeune fille était occupée à laver le trottoir devant leur maison, lorsqu'un homme portant un panier plein de fruits vint à passer. Il avait déjà parcouru une longue route, car son panier était presque vide. (à suivre).

Le château de Saint-Martin-deToques (Aude).

Danielle Chaix LE CHÂTEAU DE SAINT-MARTIN-DE-TOQUES Xe-XIVe (AUDE) Un château imposant magnifiquement restauré. A gauche, la rampe d'accès qui donne sur une construction carrée. On remarque à droite la chapelle avec sa croix et son chœur voûté à l'est. La nef romane est orientée ouest-est. Vocabulaire Le mur qui sépare la tourelle en bas à droite et la tourelle dodécagonale (douze pan s) en haut à droite est une courtine, elle est percée en haut d'une fenêtre à meneau (une séparation au milieu). On devine en haut les créneaux (partie creuse) et les merlons (partie pleine) de la crénelure plutôt décorative. Les lices sont l'espace entre les deux enceintes. Description La première mention du site date de 978, indication d'une chapelle en 1157. Le château appartenait aux vicomtes de Narbonne. Préservé par la croisade, une famille italienne en devint propriétaire au XVIe siècle. Transformé en exploitation agricole dès le début du XVIIe siècle, il est abandonné et ruiné faute d'entretien. Le château occupe le sommet d'un rocher isolé bien visible depuis la route. Il se compose de deux enceintes concentriques, accessibles au moyen d'une rampe pavée de galets, que domine une construction carrée datée de 1617. On débouche alors dans les lices dont l'angle nord-est est occupé par la chapelle intégralement conservée à l'exception de la façade ouest disparue. On distingue encore le tracé de la première enceinte se terminant au sud-ouest par une sorte d'éperon, ou avancée de maçonnerie aux murs épais qui semble défendre une galerie naturelle. La deuxième enceinte est parsemée de ruines de bâtiments. A l'angle nord-est s'élève une tourelle dont le pan de courtine attenant est percée par une fenêtre moulurée à meneau du XVe siècle. L'angle nord-ouest, occupé par une tourelle dodécagonale, abritant une salle voûtée en coupole, soigneusement appareillée en grès, offre encore les vestiges bien visibles d'une crénelure aux merlons percés d'archères. La courtine adjacente s'interrompt pour laisser place à un mur en calcaire, surmontée de créneaux de mêmes dimensions que les merlons qui semblent plus décoratifs qu'efficaces. Enfin, les vestiges d'une tourelle de plan semi-circulaire sont visibles dans l'angle sud-ouest. Si la chapelle semble être l'édifice cité à la fin du XIIe siècle, en revanche les autres éléments de fortification doivent pouvoir être datés du XIVe siècle et plus tard. Le château, propriété privée est inscrit aux Monuments Historiques depuis 1926. Par : ‎[8] Bons-Chrétiens par: "Eric Cathare Phoenix"

Mirepoix

Danial Chaix. MIREPOIX (ARIÈGE) Descriptif La ville, qui dépendait du comte de Foix, fut vite gagnée par le catharisme et on y dénombrait de nombreuses maisons de parfaits. Un concile en 1206 rassembla 600 cathares. Mirepoix fut prise en 1209 par Simon de Montfort qu'il donna à un de ses lieutenants Guy de Lévis. Le seigneur des lieux Pierre Roger de Mirepoix joua un grand rôle dans la défense lors du siège de Montségur qui appartenait à son beau-père Raymond de Péreille. En 1279 après l'effondrement du barrage de Puivert, la ville fut détruite. Jean de Lévis reconstruisit une nouvelle ville sur le plan d'une bastide. Afin de mieux asseoir la religion catholique, on construisit la cathédrale Saint-Maurice. Commencée en 1343 l'église ne reçut ses voûtes d'ogives qu'en 1865. L'élégante flèche gothique fut commencée, quant à elle, en 1506. La place principale, du Général Leclerc, est entourée de maisons des XIIIe-XVe dont le premier étage s'avance sur des couverts en charpente.

Les Habsburg.

Louis XX Le 2 novembre 1755, au palais de la Hofburg, à Vienne, naissance de la princesse Maria Antonia Josepha Johanna von Habsburg-Lothringen, archiduchesse d'Autriche. La petite Marie Antoinette est le quinzième enfant sur seize que compte la famille impériale, elle deviendra reine de France, par son mariage avec Louis XVI. Ses parrain et marraine sont le roi Joseph Ier de Portugal et son épouse la reine Marie Anne Victoire d'Espagne. Détail du portrait de famille de Martin van Meytens.

jeudi 1 novembre 2012

La légende de Morgause.

Morgause qui est aussi appelée Anna dans les premiers récits, est fille du duc de Gorlois de Tintagel et d'Ygraine, donc Elle est la demi-sœur d'Arthur. Parfois dans certains récits il y a confusion entre Morgause et Morgane. Le roi Uther Pendragon la donna en mariage à son vassal le roi Lot d'Orcanie pour récompenser ses prouesses au combat. Le couple eut quatre fils et une fille. Gauvain, dans "les enfances de Gauvain", Lot apparaît comme son page avec qui elle a une aventure dont Gauvain sera le fruit. Agravain, dénonça avec Mordred les relations entre Lancelot et la reine Guenièvre. Lancelot se vengea en le tuant lors du procès de Guenièvre. Gareth surprit sa mère au lit avec Lamorak le gallois, il les tua tous les deux; puis il se fit tuer par Lancelot. Gahéris. Clarissant selon Chrétien de Troyes. De son union incestueuse avec Arthur qui ne savait pas qu'il était son demi-frère, elle donna naissance à Mordred. Morgause par FNB Morgause fut tuée par son fils Gareth parce qu'elle avait une relation avec Lamorak, dont le père, Pellinore, avait massacré Lot. Sources Copyright © Mythologica.fr 2001 - 2009

La rose.

La rose, symbole de la vie nouvelle, peut devenir tout a' fait consciente en l’ homme.Mais avant que les
mains ne s’en saisissent, il faut avoir perdu l’ habitude de vouloir s’en emparer. ß La voix du silence Photo Pentagramme