Créé pour vous présenter mon dernier livre,je vous présente 4500 articles sur le thème de mon livre :les Templiers,des sujets ésotériques,des textes rosicrusiens,les mérovingiens, saint-Graal,Nostradamus,Mary Magdalene.Le Baphomet et le Tau, Château de Saumur,la femme dans l'histoire templière. Trésor templier.Histoires, légendes de Belgique,de France et d'Europe et Celtiques. La spiritualité. Développement personnel.
mardi 4 décembre 2012
Le souterrain de Rennes-le-Château.
Arrière de l'autel de l'église sainte Marie-Madeleine de Rennes-le-Château - Gazette de Rennes-le-Château ©
"Faisant suite à un article du 18 janvier 1966 paru dans La Dépêche du Midi, un deuxième volet s’ouvre quelques jours plus tard, dans le même quotidien du 25 janvier, sur l’histoire du trésor de l’abbé Saunière. Y sont notamment évoquées les fouilles entreprises sur place par un chercheur parisien à partir du parchemin de Dominique de Mirepoix n’hésitant pas pour arriver à ses fins à défigurer le site.
Rappelons que le parchemin en question avait été réalisé par deux habitants du village quelques jours seulement avant sa découverte par Rolland Domergue." (Patrick Mensior)
Puits dans l'église de Notre-Dame de Marseille.
Vidéo de 1966
Puits dans l'église de Notre-Dame de Marceille - Gazette de Rennes-le-Château ©
"Images furtives de la Vierge Noire avant son vol et du curé de l'époque." (Arcadya)
La petite écurie du Roy à Versailles.
LA PETITE ECURIE DU ROY à VERSAILLES
Aucun des douze millions de visiteurs qui se pressent tous les ans au château ne connaît ce lieu. En exclusivité, Le Figaro Magazine vous fait découvrir la Petite Écurie du roi, qui recèle une collection exceptionnelle de 5000 sculptures et moulages d'après l'antique.
Un lieu inconnu au cœur même de Versailles? On n'ose y croire. D'autant qu'il ne s'agit pa
s de quelque modeste édifice accolé aux dépendances du bâtiment, mais d'une construction du grand Jules Hardouin-Mansart lui-même: l'ancienne Petite Écurie du roi. À l'intérieur: une admirable collection de sculptures et de moulages historiques d'après l'antique. En termes savants, on appelle cela une «gypsothèque». Un endroit où 5000 chefs-d'œuvre se tiennent sagement en rangs serrés, tous siècles mélangés, où la mythologie côtoie la religion et l'histoire, où les bustes des grands hommes regardent vers les nymphes. C'est l'un des plus beaux endroits de Versailles, le plus onirique aussi, et le plus secret. Fermé au public depuis trente ans, il va être possible de le visiter sur réservation*. Mais avant même son ouverture, nous l'avons photographié: voici un Versailles jamais vu.
La longue histoire de cette gypsothèque est superbe. Si l'on y voit tant de chefs-d'œuvre, c'est qu'elle réunit trois fonds importants: la collection de moulages du Louvre, celle de l'École des beaux-arts et celle de l'Institut d'art et d'archéologie qui dépend de la Sorbonne. Il y a là des pièces très anciennes qui attestent du goût de Louis XIV pour l'antique. C'était un dogme pour le roi que la perfection des anciens: on ne peut, comme l'écrira La Bruyère, les égaler qu'en les imitant. Colbert impose aux pensionnaires de l'Académie de France à Rome leur stricte copie. Si bien que peu à peu affluent à Paris les moulages de plâtre et, à Versailles, les répliques de pierre ou de marbre. Ces copies favorisent la mainmise de l'État sur les arts et sont la règle dans les manufactures, celle des Bâtiments du roi et celle des Meubles de la Couronne: ainsi, rien ne s'oppose à l'étatisation générale du monde artistique. Mais les collections royales s'enrichissent de manière spectaculaire, on en a ici la preuve.
L'autre source de la gypsothèque de Versailles est l'École des beaux-arts. Les moulages étaient accumulés dans les salles entourant la vaste cour vitrée aménagée par Duban au XIXe siècle. Ils seront en partie saccagés en mai 1968, comme les témoignages d'un enseignement académique honni, et couverts de graffitis, dont certains seront laissés bien visibles lors de la restauration des moulages. On a en effet estimé qu'ils faisaient partie de l'histoire des œuvres et de celle de l'enseignement des arts. Ce fonds témoigne d'une fascination pour l'art romain et les grands modèles venus d'Italie, bien avant ceux de la Grèce que les archéologues ne mettent au jour qu'à la fin du XVIIIe siècle. C'est d'abord l'art grec classique puis l'art grec archaïque, révélé par les fouilles de Délos, d'Olympie et de Delphes, qui sont connus à une époque où le voyage en Grèce reste encore rare. Ce n'est qu'autour de 1930 que ces moulages seront un temps exposés au Louvre sur les paliers de l'escalier de La Victoire de Samothrace, où Debussy les vit et où la Colonne des danseuses de Delphes lui inspira une ode. Comme le souligne Jean-Luc Martinez, conservateur général du patrimoine et responsable de la gypsothèque du Louvre à Versailles: «La présence dans les mêmes murs des moulages et des marbres originaux montre l'importance que revêtaient alors ces plâtres, parfois présents dans les salles en complément des originaux.» Aujourd'hui, plus aucun musée ne se permettrait cette confusion.
Les moulages retrouvent donc avec la gypsothèque de Versailles leur vocation première: être un conservatoire de formes et de civilisations disparues. Le cadre qui les abrite est l'un des plus beaux bâtiments du XVIIe siècle français. Construite par Hardouin-Mansart en 1678, la Petite Écurie témoigne de la science de l'architecte pour la maîtrise des volumes et de l'espace. Il faisait, disait-on, preuve de promptitude dans la conception, de rapidité dans l'exécution. Il avait la réputation d'être hardi sur les chantiers, docile juste ce qu'il fallait devant le roi, doué pour imaginer l'accord qui «va de soi» entre le beau et l'utile. Les volumes grandioses qu'il a su donner à la Petite Écurie allaient la désigner pour accueillir la gypsothèque en 1970. Puis il fallut aménager les galeries dans l'intention d'y recevoir un public désireux de découvrir l'originalité comme l'importance historique et artistique de l'ensemble. Les visiteurs qui le voudront pourront désormais voir les moulages présentés sur 2500 mètres carrés, révélant l'importance de ces œuvres dans l'affirmation de l'art exemplaire qu'est le classicisme français.
Louis XIV collectionneur d'antiques
Amateur passionné, le roi avait rassemblé un magnifique ensemble de statues antiques. Elles sont à nouveau réunies à Versailles le temps d'une exposition, qui, selon Catherine Pégard, présidente de l'Établissement public du château de Versailles, évoque «un style associé à un lieu de pouvoir». Elle ajoute: «La passion de Louis XIV pour la collection fut une aubaine magnifique pour les plus grands artistes dont les chefs-d'œuvre allaient parfois surpasser leurs modèles antiques.» Versailles, nouvelle Rome, telle était l'ambition du souverain pour qui l'Antiquité était la référence suprême. L'exposition, qui rappelle cette référence, réunit plus de 200 œuvres parmi lesquelles les antiques les plus illustres, de retour à Versailles pour la première fois depuis la Révolution. L'antique, c'est d'abord un ensemble de peintures et de sculptures qui sont les témoignages recherchés des brillantes civilisations disparues.
Louis XIV, comme tous les souverains d'Europe, cherche à les acquérir (Vénus pudique, dite aussi Vénus Médicis, un titre qui souligne sa prestigieuse provenance) ou à les faire copier (Bacchus enfant). Ces statues sont ensuite installées à Versailles dans les grands appartements et les jardins. Elles donnent l'image d'une Antiquité recomposée à la gloire du roi, mais elles jouent aussi le rôle de modèles pour les créateurs appelés à collaborer au grand chantier versaillais. Quant aux peintures, leur faculté persuasive les rend précieuses: le mythe du héros et du Roi-Soleil, auquel Versailles va vouer son hymne immense, sera forgé à des fins politiques (François Lemoyne, L'Apothéose d'Hercule). Durant ce long siècle dédié au classicisme inspiré de l'antique, à peine entend-on un murmure qui, contre le consensus général, réhabilite l'imagination aux côtés de la raison et soutient que «la poésie est plus vraie que l'histoire». Celui qui l'affirme s'appelle Nicolas Poussin.
Sources : www.lefigaro.frPhoto : RAPHAEL GAILLARDE/Le Figaro Magazine
lundi 3 décembre 2012
Fontaine Saint-Patrocle de Colonbier
Fontaine_Saint_Patrocle___Colombier_8aOutre l’église, la dévotion à saint Patrocle se centre sur la fontaine. Cette eau, toujours fraîche, est réputée avoir des vertus thérapeutiques. La légende rapporte que celui-ci manquant d’eau lorsqu’il construisit le monastère, il lança un marteau de telle force qu’il retomba à près de 300 mètres en créant la source. D'autres appellent l'endroit "le marteau de Thor". Pourtant, c'est Sucellus, le dieu gaulois, qui aurait été le mieux placé : "Sucellus, dieu au maillet et au chaudron, protecteur de la fécondité, il fait jaillir les sources sylvestres en frappant le sol de sa masse. Il a été assimilé à Sylvain ou à Vulcain. On le représente sous la forme d'un vieillard ou d'un homme d'âge mûr, vêtu à la gauloise d'une tunique à capuche, de braies et de bottes, et portant un maillet et parfois un chaudron, souvent accompagné d'un chien. Il est souvent accompagné de la déesse Nantosvelta. Contrairement aux autres dieux gaulois, qui ont leur équivalent en Irlande et au pays de Galles, on ne le trouve qu'en Gaule. "
La source est réputée pour la guérison des maladies de peau et pour que les jeunes filles à marier trouvent un partenaire. Il suffit pour celà qu'elles trempent leur pied droit deux fois dans le dernier bassin. Une procession à la fontaine a lieu le dernier Dimanche de Juillet. Le pélerinage à Saint Patrocle, survivance probable d'un culte gaulois, n'a cessé qu'en 1970.
Né dans la région de Bourges, Patrocle s'intruisit très vite dans les sciences, les lettres sacrées et profanes. L'évêque de Bourges l'ordonna diacre à l'âge de vingt-cinq ans, puis archidiacre. On le considérait comme l'un des hommes les plus saints et les plus cultivés de son époque.
Devenu le précepteur des fils de Clodomir, roi des Francs, il eut pu vivre à la cour, être l'un des conseillers du royaume. Les honneurs ne le tentaient pas, une existence fastueuse ne convenait pas à son caractère. Le clergé séculier lui parut même trop attaché aux biens de ce monde. Il avait l'ardent désir de se consacrer uniquement à Dieu et il se retira dans la solitude, pour y vivre, prier, méditer. Légende de Saint Patrocle
Fontaine_Saint_Patrocle___Colombier_5aIl s'arreta à Neris où il construisit une maison, un oratoire et une école. Les guérisons qu'il opérait lui valurent le renom de sainteté. Cherchant la solitude, il partit avec sa bêche et sa hache à deux tranchants, et s'installa en ermite à la Celle, dans la forêt. Dix ans plus tard, il repartit pour Colombier où il fondit un monastère. Le monastère fut vendu au prieuré de Souvigny au XIème siècle.
Fontaine_Saint_Patrocle___Colombier_2aNous avons donc là un saint portant la francisque, ou le marteau cher aux dieux nordiques, une source miraculeuse, c'est à dire de l'eau chargée, l'ermitage dans la forêt, la biche compagne du saint... Voilà bien des ingrédients laissant paraitre un fond de druidisme. Quand à la forme de la fontaine elle-même, avec ses trois bassins, rond, carré et rectangulaire, nous y voici plongés. Les ondes de forme des bassins font le reste.
On peut voir, dans le premier bassin de forme ronde, l'eau qui bouillonne.
Fontaine_Saint_Patrocle___Colombier_10al'endroit a été christianisé, mais de très beaux arbres entourent encore cette fontaine miraculeuse qui se déverse dans le champ en contrebas.
Fontaine_Saint_Patrocle___Colombier_12a
A la fontaine Saint-Patrocle, christianisation d'un ancien culte païen, probablement à Dispater, l on trouve donc les restes bien conservés des captages gallo-romains de la source.
Le captage de la source est un puits gaulois de madriers, comme à Voingt.
Posté par madame_dulac à 19:14 - Colombier et la fontaine Saint Patrocle (03-Allier
Reliquaire du Saint-Sang
LE MIRACLE DU SAINT-SANG A BOIS-SEIGNEUR-ISAAC
Parmi les multiples reliques et signes qui confortent, encore souvent, la foi du monde chrétien, - ossements de saints, morceaux de la Sainte-Croix, linceuls et autres restes matériels que l’on propose avec gravité à la prière des croyants -, il en est un qui attire spécialement l’attention : le sang du Christ.
L’auteur de ces lignes n’y accorde pas une importance particulière sur le plan théologal, mais il lui faut bien admettre que ces reliques et signes font partie de la réflexion métaphysique de l’être humain, et, à ce titre, même peut-être un peu dévalués sur le plan philosophique ou intellectuel, ces reliques, ces signes, ce sang du Christ, méritent mieux que le simple dédain.
En Belgique, on connaît quelques histoires ou légendes d’hosties qui, mordues par quelque mécréant, se mettent à restituer… le sang du Christ. Tous les Belges ont entendu cela un jour ou l’autre, historiettes généralement invérifiables que l’on retrouve d’ailleurs dans beaucoup de pays du monde chrétien. Ces historiettes pourraient bien ressembler à ce que nous nommons, de nos jours, des « légendes urbaines », ou, sur la Toile, des « hoax ».
On mord dans l’hostie comme on mord dans un bifteck, et voilà que l’hostie, comme le bifteck, saigne. Miracle !
On en pensera ce que l’on voudra. Et de toute façon, les voies du Saigneur (sic) sont dites impénétrables. Heureusement d’ailleurs…
Bref, le sang du Christ a, depuis longtemps, enflammé l’imagination des Chrétiens. Depuis les Evangiles, l’on sait que Jésus, un beau soir, bénit une quelconque vinasse et dit ensuite à ses disciples : « Buvez, ceci est mon sang ».
Très peu de temps après, le gaillard se retrouve sur une croix romaine, souffrant mille maux, désespéré presque, hurlant à son géniteur céleste : « Père, pourquoi m’as-tu abandonné ? »
Un centurion romain, un certain Longinus, finit par le faire taire : il lui donne un coup de lance dans le flanc, qui met un terme au supplice.
Le sang du Christ jaillit. On dit que ce sang sortant du cœur du Christ fut recueilli dans une coupe, laquelle coupe devint, dans les légendes ultérieures, le Saint-Graal.
Le Saint-Graal, le mythe, l’obsession, des légendes du cycle arthurien, j’ai nommé l’affaire des Chevaliers de la Table Ronde, Lancelot, Perceval, le roi Arthur, Merlin l’Enchanteur, et tutti quanti.
Bref et rebref, le sang du Christ devient une sorte de symbole du Christianisme même, de son message de régénération, de renaissance, de force. Le Christ est mort sur la Croix mais il est ressuscité, donc son sang – qui peut le plus peut le moins – est un symbole de régénérescence, et, dirons même certains, de vie éternelle.
Le Christ a bien réussi sa mission. Il donne l’Espoir. Ce n’est pas rien.
On me dira que la légende du dieu Mithra –autre apporteur d’espoir et grand concurrent du Christ en ces vieilles époques - fait aussi appel au don du sang, mais… mais… le sang du Christ vaut nettement plus que le sang d’un taureau, convenons-en. Inutile de s’expliquer là-dessus, chacun comprendra la nuance.
Et, de fil en aiguille, ce mythe du sang christique n’arrête plus de hanter l’imaginaire chrétien. Le Saint-Graal, les hosties, etc, etc. Jusqu’au moment ou de petites histoires, de petits miracles courants en ces temps-là, deviennent des « points de fixations », qui s’amplifient, qui drainent des foules, qui mettent souvent le Vatican dans l’embarras, celui-ci devant bien statuer, à la longue, sur ce qui est miracle ou ce qui ne l’est pas.
En Belgique, à part quelques hosties mâchonnées hâtivement de ci de là, il n’y a que deux lieux où l’on vénère – mais à sa juste valeur… et qui suis-je pour en parler ? -, le sang du Christ.
A Bruges d’abord. J’en parle dans mon article « Les Templiers de Bruges ».
Et ensuite, à Bois-Seigneur-Isaac, c’est le propos du présent article.
Le 5 juin de l’an 1405, à la suite d’une série d’apparitions du Christ, une hostie laisse s’écouler du sang… Des miracles s’ensuivent, le mythe du « précieux sang » se répand, attire les foules. Des processions sont organisées. Le nouveau lieu saint devient lieu de pèlerinage.
Il n’est pas dans mon propos de confirmer ou d’infirmer ces faits. Après tout, « que chacun se fasse sa religion »… Mais la croyance qui se développe là, fût-elle un simple « événement sociologique », met à nouveau en avant cette tendance, ce besoin qu’a l’être humain de rattacher sa vie à une transcendance, à quelque chose qui le dépasse. A ce titre, l’histoire du Miracle du Saint-Sang de Bois-Seigneur-Isaac mérite l’attention, quelle que soit la signification qu’on veuille bien lui donner.
Bois-Seigneur-Isaac est une petite localité du Brabant dit wallon, proche de Nivelles. Le lieu qui actuellement constitue le réceptacle symbolique « d’un certain miracle du sang du Christ » en 1405, est l’abbaye de Bois-Seigneur-Isaac, monastère de Saint-Charbel , située rue A. De Moor n° 2 à 1421 Ophain- Bois-Seigneur Isaac.
Après avoir été augustinienne puis prémontrée, cette abbaye est actuellement (en 2012) le lieu de méditation et de prière de moines chrétiens d’Orient, maronites libanais pour tout dire.
Je vous renvoie maintenant à un texte de 1706 (dans sa réédition de 1739), à lire ci-dessous, baignant dans la religiosité certes un peu « passée de mode » de ce temps-là, mais qui ne saurait mieux décrire cette ambiance chrétienne « totale » que nous ne connaissons plus et qui fait néanmoins partie de nos racines.
Cette histoire invite-t-elle à la prière ou au doute philosophique ? A ce sujet, je joue mon joker.
Charles Saint-André
Lame en acier damas.
Lame en acier damas :
Si l'on en croit d'anciens grimoires, les forgerons arabes utilisaient des procédés quelque peu empiriques pour obtenir l'acier damas:
"Il faut chauffer l'acier jusqu'à ce qu'il ne brille plus, tout comme le soleil se lève dans le désert.
il faut ensuite le refroidir à la couleur pourpre royale et le plonger ensuite dans le corps d'un esclave musclé qui transmettra ainsi sa force à la lame".
(je vous déconseille, de tenter l'expérience )☺☺☺
L'acier damas est en fait un acier à haute teneur en carbone, à qui une série de martelage et de tempes spéciales dans une saumure tiède a donné une structure en mille-feuille comportant des inclusions de particules de diamant; son nom vient de ses moirures qui le font ressembler au tissus venant de Damas.
Templier Véritas...
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