L’Ancien
Testament précise que l’Arche d’Alliance reposait dans le « Saint des
Saints » du Temple de Salomon, où seul le Grand Prêtre avait le droit de
pénétrer une fois l’an.
Le roi Salomon qui a fait construire le
premier Temple qui portait son nom, déclare que l’Arche résidait dans
l’obscurité (ROIS 8.(12,13)).
Plus tard, elle était devenue «
silencieuse », et chose « incroyable », il semblerait que les Hébreux
l’aient oubliée... puisqu’il est fait état de sa redécouverte (NdA), au
temps* du jeune roi Josias !
« ... J’ai trouvé le Livre de la Loi dans la maison de l’Eternel... »
ROIS 22.(8)
En 587 avant J.C., peu avant la prise de Jérusalem par le roi
Nabuchodonosor, l’Arche fut cachée, et si bien, qu’après l’exil à
Babylone qui dura 51 ans, (Le roi Perse Cyrus le Grand libéra les Juifs
et les autorisa à rentrer s’établir chez eux en -536), le Secret avait
été perdu. Aucun texte religieux Juif, connu, n’en fait plus mention
depuis...
Il est écrit que le prophète Jérémie l’aurait fait cacher
(-629) dans une caverne située sous le mont Nebo**, puis aurait fait
supprimer tous les témoins. (II MACCABEES, II, 4 à 7)
Une autre
version qui circulait à Jérusalem au XIIème siècle, rapportée dans « La
vision de Baruch », soutient au contraire que « Les Hébreux l’aurait
cachée précipitamment dans une caverne sous le Temple de Salomon » avant
que celui-ci ne soit détruit.
Ne s’agissant pas de la même époque, une version n’en exclut pas une autre...
LA QUESTE DES TEMPLIERS
Le comte Hugues de CHAMPAGNE, né en 1077, qui n’avait pas participé à
la première croisade, s’était rendu en Terre Sainte vers l’année 1104,
pour en revenir en 1108.
Selon Louis CHARPENTIER, il prit contact à
son retour, avec l’abbé de CITEAUX, et le monastère se mit à l’étude des
textes sacrés hébraïques ; il se fit même aider par des rabbins de
Haute BOURGOGNE, alors même que partout ailleurs, on les persécutait...
En 1114, Hugues de CHAMPAGNE retourna un an en Terre Sainte, et à son
retour offrit le val de l’abscinthe, où Bernard de FONTAINE fonda
l’Abbaye de CLAIRVAUX.
En 1118, Bernard de « CLAIRVAUX »
recruta en CHAMPAGNE, neuf parmi les meilleurs Chevaliers , pour leur
foi, leur bravoure et leur chasteté ; parmi ces neuf Chevaliers dont les
noms sont connus aujourd’hui, figurent Hugues de PAYNS (qui avait déjà
accompagné Hugues de CHAMPAGNE en pèlerinage), futur Grand Maître de
l’Ordre du Temple, ainsi que le propre oncle de Bernard de CLAIRVAUX,
André de MONTBARD, en qui il avait toute confiance.
Les neuf
Chevaliers sont partis pour JERUSALEM où ils retrouvèrent successivement
les Rois BAUDOIN (1er puis 2ème), avec un message de Bernard de
CLAIRVAUX.
Les autres chevaliers étaient : GONDEMARE, Godefroy de
SAINT-OMER, RORAL (ou ROSSAL), Payen de MONTDESIR, Geoffroy BISOL,
Archambaud de SAINT-AGNAN (ou de SAINT-ANIAN), et Godefroy.
* Avant la prise de Jérusalem. ** Nebo fut le nom d’ordre de Stanislas de Guaïta.
DECOUVERTE DE L’ARCHE
La première croisade avait vu Godefroy de BOUILLON élu ROI (en 1099)
par un collège secret ; mais il avait refusé de porter la couronne,
prétendant n’être que l’avoué du CHRIST, (plus digne que lui d’être le
Roi de JERUSALEM).
Son frère, BAUDOIN 1er, qui lui succéda, portera
la couronne royale, puis logea à leur expresse demande les neuf
Chevaliers dans les anciennes écuries du Temple de SALOMON, situées
EXACTEMENT sous l’ancien Temple ; c’est pour cela qu’on appela les
premiers Templiers :
« Pauvres chevaliers du Christ et du Temple de Salomon ».
Les neuf Chevaliers sont partis officiellement pour protéger la route
des pélerins, mais on ne les verra pas, (et ils sont si peu nombreux)
accomplir cette mission.
Pendant les neuf ans de leur présence, ils
restèrent extrêmement discrets, et s’attelèrent à la tâche gigantesque
de pratiquer des fouilles dans l’enceinte des anciennes écuries qui
pouvaient contenir plus de 2000 chevaux.
A la fin de 1126, ils
furent rejoints par le Comte de CHAMPAGNE, qui avait abandonné
définitivement pour sa mission, sa famille, ses titres et tout ce qu’il
possèdait (alors qu’il était aussi puissant que le Roi de France).
En 1127, les dix chevaliers sont repartis au complet et définitivement,
ce qui prouve que leur recherche a abouti. Ils ont discrètement ramené
et escorté l’Arche, remise à Bernard de Clairvaux après une courte
visite chez le Pape, à Rome. (Demande d’aide de Baudoin II).
L’Arche rejoignit le St Sépulcre dans la « Forêt d’Orient », en
Champagne ; cette forêt qui était un vaste labyrinthe truffé de
souterrains et constellé de marais, représentait une citadelle
inexpugnable de l’Ordre du Temple, et le plus adéquat des endroits pour
dissimuler un Secret...
C’est ce que rapporte dans les «
Préliminaires » à la création de l’Ordre du Temple, rédigés par Bernard
de Clairvaux, une phrase à double sens dont il avait le secret...
« Bien a œuvré DAMEDIEU avec nous et notre Seigneur JESUS-CHRIST ;
lequel a mandé ses amis de la Sainte Cité de JERUSALEM, en la Marche* de
France et de Bourgogne... ».
Qui doit se lire :
Bien a
œuvré DAME-DIEU ; avec nous EST notre Seigneur JESUS-CHRIST ; lequel a
mandé ses amis de la Sainte Cité de JERUSALEM, en la Marche* de France
et de Bourgogne...
* C’est à dire en forêt d’Orient.
Le roi Salomon qui a fait construire le premier Temple qui portait son nom, déclare que l’Arche résidait dans l’obscurité (ROIS 8.(12,13)).
Plus tard, elle était devenue « silencieuse », et chose « incroyable », il semblerait que les Hébreux l’aient oubliée... puisqu’il est fait état de sa redécouverte (NdA), au temps* du jeune roi Josias !
« ... J’ai trouvé le Livre de la Loi dans la maison de l’Eternel... »
ROIS 22.(8)
En 587 avant J.C., peu avant la prise de Jérusalem par le roi Nabuchodonosor, l’Arche fut cachée, et si bien, qu’après l’exil à Babylone qui dura 51 ans, (Le roi Perse Cyrus le Grand libéra les Juifs et les autorisa à rentrer s’établir chez eux en -536), le Secret avait été perdu. Aucun texte religieux Juif, connu, n’en fait plus mention depuis...
Il est écrit que le prophète Jérémie l’aurait fait cacher (-629) dans une caverne située sous le mont Nebo**, puis aurait fait supprimer tous les témoins. (II MACCABEES, II, 4 à 7)
Une autre version qui circulait à Jérusalem au XIIème siècle, rapportée dans « La vision de Baruch », soutient au contraire que « Les Hébreux l’aurait cachée précipitamment dans une caverne sous le Temple de Salomon » avant que celui-ci ne soit détruit.
Ne s’agissant pas de la même époque, une version n’en exclut pas une autre...
LA QUESTE DES TEMPLIERS
Le comte Hugues de CHAMPAGNE, né en 1077, qui n’avait pas participé à la première croisade, s’était rendu en Terre Sainte vers l’année 1104, pour en revenir en 1108.
Selon Louis CHARPENTIER, il prit contact à son retour, avec l’abbé de CITEAUX, et le monastère se mit à l’étude des textes sacrés hébraïques ; il se fit même aider par des rabbins de Haute BOURGOGNE, alors même que partout ailleurs, on les persécutait...
En 1114, Hugues de CHAMPAGNE retourna un an en Terre Sainte, et à son retour offrit le val de l’abscinthe, où Bernard de FONTAINE fonda l’Abbaye de CLAIRVAUX.
En 1118, Bernard de « CLAIRVAUX » recruta en CHAMPAGNE, neuf parmi les meilleurs Chevaliers , pour leur foi, leur bravoure et leur chasteté ; parmi ces neuf Chevaliers dont les noms sont connus aujourd’hui, figurent Hugues de PAYNS (qui avait déjà accompagné Hugues de CHAMPAGNE en pèlerinage), futur Grand Maître de l’Ordre du Temple, ainsi que le propre oncle de Bernard de CLAIRVAUX, André de MONTBARD, en qui il avait toute confiance.
Les neuf Chevaliers sont partis pour JERUSALEM où ils retrouvèrent successivement les Rois BAUDOIN (1er puis 2ème), avec un message de Bernard de CLAIRVAUX.
Les autres chevaliers étaient : GONDEMARE, Godefroy de SAINT-OMER, RORAL (ou ROSSAL), Payen de MONTDESIR, Geoffroy BISOL, Archambaud de SAINT-AGNAN (ou de SAINT-ANIAN), et Godefroy.
* Avant la prise de Jérusalem. ** Nebo fut le nom d’ordre de Stanislas de Guaïta.
DECOUVERTE DE L’ARCHE
La première croisade avait vu Godefroy de BOUILLON élu ROI (en 1099) par un collège secret ; mais il avait refusé de porter la couronne, prétendant n’être que l’avoué du CHRIST, (plus digne que lui d’être le Roi de JERUSALEM).
Son frère, BAUDOIN 1er, qui lui succéda, portera la couronne royale, puis logea à leur expresse demande les neuf Chevaliers dans les anciennes écuries du Temple de SALOMON, situées EXACTEMENT sous l’ancien Temple ; c’est pour cela qu’on appela les premiers Templiers :
« Pauvres chevaliers du Christ et du Temple de Salomon ».
Les neuf Chevaliers sont partis officiellement pour protéger la route des pélerins, mais on ne les verra pas, (et ils sont si peu nombreux) accomplir cette mission.
Pendant les neuf ans de leur présence, ils restèrent extrêmement discrets, et s’attelèrent à la tâche gigantesque de pratiquer des fouilles dans l’enceinte des anciennes écuries qui pouvaient contenir plus de 2000 chevaux.
A la fin de 1126, ils furent rejoints par le Comte de CHAMPAGNE, qui avait abandonné définitivement pour sa mission, sa famille, ses titres et tout ce qu’il possèdait (alors qu’il était aussi puissant que le Roi de France).
En 1127, les dix chevaliers sont repartis au complet et définitivement, ce qui prouve que leur recherche a abouti. Ils ont discrètement ramené et escorté l’Arche, remise à Bernard de Clairvaux après une courte visite chez le Pape, à Rome. (Demande d’aide de Baudoin II).
L’Arche rejoignit le St Sépulcre dans la « Forêt d’Orient », en Champagne ; cette forêt qui était un vaste labyrinthe truffé de souterrains et constellé de marais, représentait une citadelle inexpugnable de l’Ordre du Temple, et le plus adéquat des endroits pour dissimuler un Secret...
C’est ce que rapporte dans les « Préliminaires » à la création de l’Ordre du Temple, rédigés par Bernard de Clairvaux, une phrase à double sens dont il avait le secret...
« Bien a œuvré DAMEDIEU avec nous et notre Seigneur JESUS-CHRIST ; lequel a mandé ses amis de la Sainte Cité de JERUSALEM, en la Marche* de France et de Bourgogne... ».
Qui doit se lire :
Bien a œuvré DAME-DIEU ; avec nous EST notre Seigneur JESUS-CHRIST ; lequel a mandé ses amis de la Sainte Cité de JERUSALEM, en la Marche* de France et de Bourgogne...
* C’est à dire en forêt d’Orient.