samedi 19 janvier 2013

La découverte qui aurait pu changer le monde.


Les secrets d'un patriarche :
« La découverte qui aurait pu changer le monde »
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, un ingénieur français découvrait l'influence du rayonnement cosmique sur le vivant ...
« La découverte qui aurait pu changer le monde »
Marcel Violet (1886 - 1973), ingénieur des Arts et Métiers et inventeur français, considéré comme le père du moteur à deux temps pour les automobiles.
Il s'est inspiré des travaux dans les années vingt du physicien et biologiste français, Georges Lakhowsky, l'un des premiers à étudier les relations entre les radiations cosmiques et les phénomènes vitaux, qui conclut que les rayonnements cosmo-telluriques ont une influence, bonne ou mauvaise, sur la vie.
Les expériences de Marcel Violet l'amènent à constater, à partir de 1938, l'existence d'un rayonnement pénétrant non lumineux qui, associé au rayonnement lumineux visible, en modifie profondément l'action.
Il expérimente que l'eau soumise à ce rayonnement donne des effets bénéfiques sur la santé et la croissance des plantes.
Après la Seconde Guerre mondiale, il consacre ses recherches à l'explication de ces phénomènes et invente notamment un procédé de traitement électro-vibratoire de l'eau (brevet FR1142722).
Energie vitale ?
C'est dans son livre (1) qu'il explique les résultats de ses recherches. En voici les extraits principaux concernant notre sujet :
« Ces diverses observations constituent une confirmation - sinon une preuve formelle - de la justesse de l'hypothèse de travail précédente. Elles semblent établir que le rôle fondamental de l'eau en biologie tient essentiellement à sa capacité d'absorber, puis de restituer, certains rayonnements capables par ailleurs de jouer un rôle strictement actif sur les substances vivantes.
Ces rayonnements constitueraient-ils donc "l'énergie vitale"? (...) La guerre survint et m'obligea à interrompre mes recherches pour me consacrer à d'autres occupations. J'avais cependant conservé la liaison avec les Officiers de la Section Technique de l'Armée et, lorsqu'en 1948, je reçus du général Sabatier son remarquable travail, ce fut pour moi un trait de lumière. (...)
Les extrapolations de Sabatier et la question qu'il posait : "Sommes-nous en présence des ondes biologiques ?" trouvaient leur réponse dans mes expériences. Nous touchions indiscutablement aux origines de la Vie et, peut-être, à la Vie elle-même.
Nous allons essayer d'exposer, en y mettant un peu d'ordre, tout un ensemble d'expériences qui ont eu lieu, dans un empirisme complet au début, puis s'ordonnant au fur et à mesure que les résultats apparaissaient, pour atteindre enfin le stade du contrôle systématique, en attendant celui de la connaissance scientifique complète. »
Essais sur le végétal…
Marcel Violet explique ensuite son procédé consistant, grosso modo, à capter des ondes et exposer de l'eau à leur rayonnement. Après de nombreux tâtonnements : « Le résultat fut immédiat. Je fus à même de produire une eau dont les effets accélérateurs sur la germination des graines permettaient des contrôles et des mesures. Nous sommes restés de longues années à utiliser le phénomène sans pouvoir l'expliquer. (...)
À la demande du ministère de l'Agriculture, il fut procédé à des essais systématiques de l'influence des ondes biologiques sur la croissance et la composition des plantes.
Différents procédés sont utilisés, notamment :
- Trempage des graines dans l'eau traitée par les ondes biologiques. Les graines séjournent en général quinze minutes dans l'eau avant d'être mises en terre. L'expérience était comparée à la croissance de plantes témoins dont les graines étaient simplement trempées dans de l'eau non traitée.
- Arrosage des plantes avec de l'eau traitée diluée.
- Traitement des plantes avec des gaz chargés d'ondes biologiques. Les expériences sont complétées par des expériences-témoins identiques, effectuées en même temps, mais avec de l'eau de même nature, non traitée.
Les premiers résultats ont déjà été enregistrés : Carottes de Croissy récoltées après huit semaines de végétation, en même temps que les témoins. Les témoins pèsent en moyenne 60 grammes. Les plantes traitées pèsent en moyenne 80 grammes, certains sujets exceptionnels atteignant 1 200 grammes.
L'analyse de la composition (minéraux, vitamines etc.) ne révèle aucune différence. La saveur et la consistance sont apparemment identiques.
Les carottes proviennent de graines d'un même paquet et ont été semées le même jour dans la même terre. La graine du 1 n'a pas été traitée. La graine du 3 a subi un trempage de huit heures dans l'Eau traitée agricole. La carotte 2 provient d'une plantation antérieure oubliée, elle est dure et non comestible, mais montre le développement maximum normal de cette variété.
Betteraves fourragères - La partie témoin a donné 99 tonnes l'hectare. Poids moyen, 2 kg. La partie dont les semences avaient subi le trempage, a donné 113 tonnes à l'hectare. Poids moyen 2,25 à 2,3 kg. La partie dont les semences avaient été traitées, mais qui avait en outre subi un arrosage à mi-végétation, a donné 126 tonnes à l'hectare. Poids moyen 2,4 kg avec des sujets atteignant 8 kg !
Les analyses très précises effectuées sur les différents sujets n'ont révélé aucune différence de composition.
Toute une série d'essais effectués sur les pommes de terre devaient conduire à des résultats tels que la conclusion qui en découle est d'une importance capitale dans l'évolution de la biologie.
Voici un résumé des premiers résultats d'essais entrepris en 1967 dans des cultures maraîchères en serres, dans l'Aisne. Les plantes ont été arrosées à l'eau électro-vibrée en dilution à 10%, deux fois à trois semaines d'intervalle après le semis. »
Ces pommes de terre ont été mises à germer ensemble. Les premières n'ont pas subi de traitement préalable. Les secondes ont été traitées par les procédés Marcel Violet.
Des arbustes de tomates.
Marcel violet présente ensuite les résultats sur les melons, les concombres, les salades, le céleri, avant d'arriver aux tomates…
Tomates - Il a déjà fait un rapport sur le comportement des plants de tomates arrosés à l'eau électro-vibrée. Au lieu de pousser en hauteur, elles se développent en largeur, formant des arbustes forts avec un tronc large de 2 cm de diamètre. L'abondance des grappes est spectaculaire. (...)
Les premières expériences de traitement de plantes comportèrent de nombreux échecs : selon l'électrode employée pour préparer l'eau, la croissance de telle ou telle espèce était améliorée, alors que d'autres restaient indifférentes et que d'autres encore se voyaient contrariées.
Le botaniste ou l'agronome, d'ailleurs, n'en seront guère surpris, connaissant l'extrême diversité des besoins minéraux dominants des différentes plantes. Le problème humain est d'ailleurs essentiellement différent du problème agricole puisque, en général - à tort ou à raison d'ailleurs - tandis que l'on recherche à stabiliser l'homme adulte.
Remarquons encore que la plante, immobile dans son environnement, est beaucoup plus influencée par une multitude de facteurs qu'elle y rencontre : composition du sol, climat, voisinages, etc.
C'est pourquoi les eaux utilisées en agriculture ne seront jamais les mêmes qu'en diététique. Seuls les établissements spécialisés pourront fabriquer une eau convenant à chaque usage envisagé, qu'il s'agisse de trempage de graines ou d'arrosage (sans matériel métallique, bien entendu).
Les perspectives d'utilisation de l'eau traitée dans le domaine agricole n'en sont pas moins fabuleuses.
Au cours de son assemblée annuelle de 1966, la FAO reconnaissait l'échec des techniques actuelles de fertilisation et de lutte contre les facteurs de destruction des récoltes et de moyens de production, notamment les maladies cryptogamiques et les parasites, face à la montée démographique.
« L'utilisation systématique de l'eau traitée semble offrir des perspectives fabuleuses... »
Dans ce domaine, l'utilisation systématique de l'eau traitée semble offrir des perspectives fabuleuses, puisque le traitement peut être effectué partout, ou presque et dans des conditions de rentabilité inespérées, par comparaison avec les autres techniques.
Peut-être une action vigoureuse dans ce sens pourrait-elle encore sauver des régions entières du développement actuel et surtout prochain, du paupérisme et de la misère physiologique. En tout cas, c'est la première chose à tenter ! »
Ainsi on peut constater qu'après la Seconde Guerre mondiale, des expériences sur l'agriculture et les végétaux ont été menées pendant près de vingt ans, certaines à l'initiative du gouvernement français, avec des résultats spectaculaires.
Pourtant, c'est la voie du tout-chimique qui fut choisie ensuite, reléguant aux oubliettes de l'histoire les travaux de ces précurseurs. Même si on comprend bien les (en)jeux à l'œuvre, au moins on sait à qui a profité et profite toujours le "crime"... ?
Notes :
1. Le Secret des Patriarches - L'énergie cosmique au service de la santé, Marcel Violet et Michel Rémy, éd. Vie et Action, 1968
Les travaux de Marcel Violet auraient peut-être pu avoir des répercussions exceptionnelles sur la santé et d'autres domaines.
Source Nexus N° 65
Cela n’est pas sans rappeler toutes ces fabuleuses découvertes qui pour la plupart sont restées lettres mortes, et qui pourtant pourraient changer complétement notre monde et notre société…
Ou ces fameuses découvertes qui ne sont presque pas connu du grand publique…

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Les tombes royales de la cité sumérienne Dour...

LES TOMBES ROYALES DE LA CITE SUMERIENNE D OUR...


Le site est occupé pour la première fois à l'époque du grand mouvement de colonisation de la basse Mésopotamie, vers le milieu du VIe millénaire avant J.-C., et c'est sans doute, comme les autres habitats de cette région, une grosse communauté qui s'établit là, tout près du cours suivi par l'Euphrate à cette époque.
Elle subit au millénaire suivant une submersion importante et de longue durée aux traces de laquelle l'archéologue Woolley reconnaîtra le Déluge du mythe mésopotamien.

De la ville, consacrée au dieu-lune Nanna (appelé plus tard Sin), qui naît au IVe millénaire avant J.-C., on connaît d'abord les mystérieuses tombes royales (XXVIe s. avant J.-C.), édifiées à une période où l'on attribuait un pouvoir magique exceptionnel aux souverains, dont on préparait l'au-delà en accumulant dans leurs caveaux les trésors et les serviteurs.
Puis c'est l'époque de la Ire dynastie d'Our (XXVe s. avant J.-C.), qui domine une partie de Sumer. Les rois suivants passent sous la domination d'Akkad (XXIIIe s. avant J.-C.), de Lagash et d'Ourouk (XXIIe s. avant J.-C.). Our-Nammou fonde la IIIe dynastie d'Our (2111-2003 avant J.-C.) et un empire qui va dépasser les limites de la Mésopotamie.
Ce roi et ses premiers successeurs (Shoulgi, Amar-Souenna, Shou-Souenna) disposent de ressources immenses tirées de la gestion des biens des temples par les scribes du palais. Ils peuvent multiplier les constructions sacrées – des temples et les premières ziggourats – dans les cités de basse Mésopotamie et surtout dans leur capitale.
Mais l'empire d'Our s'effondre sous Ibbi-Souen, et les Élamites saccagent la grande cité (2003 avant J.-C.).
Our reste encore, pendant un siècle, le port du commerce avec Dilmoun, mais son rôle politique est terminé. Disputée entre Isin et Larsa, puis finalement dominée par Babylone, elle n'est plus qu'une ville sainte, dont les maîtres de la Mésopotamie, jusqu'à Cyrus, restaurent les sanctuaires.
Puis les rites cessent (IVe s. avant J.-C.) et la ville est abandonnée vers le IIe s. avant J.-C. Toutefois, son souvenir ne fut jamais oublié et fut, en particulier, conservé par certains textes bibliques qui y voyaient la patrie d'Abraham.
LES DÉCOUVERTES ARCHÉOLOGIQUES…

Le tell, qui porte le nom arabe d'al-Muqayyar, maintenant situé à 15 km au sud de l'Euphrate, est dominé par les vestiges de son énorme ziggourat (encore haute de 18 m), qui avaient attiré l'attention des voyageurs.
Le premier fouilleur, le Britannique J. E. Taylor, y trouve (1854-1855) les textes qui permettent d'y reconnaître « Our des Chaldéens », patrie d'Abraham, dont parle la Genèse. Puis, après le passage des Anglais R. Campbell Thompson (1918) et H. R. Hall (1919), les Britanniques du British Museum et les Américains de l'University Museum of Pennsylvania s'associent pour une fouille suivie (1922-1934), sous la direction de L. Woolley.
Entourée de remparts, la ville renferme en son centre un vaste ensemble religieux. Les périodes anciennes de son histoire ne sont connues que par des sondages profonds, qui ont livré essentiellement des inhumations (époques d'Obeïd, d'Ourouk et de Djemdet-Nasr, de 4000 à 3000 avant J.-C.).
Dans la partie méridionale de l'enceinte sacrée, une vaste nécropole fut exhumée, renfermant des centaines de tombes. Parmi celles-ci, seize tombes, datant de 2600-2500 avant J.-C., furent appelées « royales » par le fouilleur, en raison de la richesse du matériel qu'elles renfermaient.
Les chambres funéraires voûtées, construites en briques et en pierres, renfermaient de nombreux corps : personnages « royaux » environnés de leurs serviteurs.
Les défunts sont inconnus des listes dynastiques et sont probablement antérieurs à la Ire dynastie d'Our.
Les rites funéraires, caractérisés par d'imposants suicides collectifs de serviteurs, ne sont pas attestés par ailleurs. La richesse du matériel funéraire retrouvé n'a pas d'équivalent : vaisselle d'or et d'argent, bijoux de lapis-lazuli, instruments de musique ornés d'incrustations, témoins de l'opulence des dynastes sumériens d'Our et de l'extension de leur réseau commercial (lapis-lazuli d'Afghanistan, stéatite du centre du plateau iranien).

À partir de la IIIe dynastie d'Our, de grands bâtiments furent érigés : temple de Nanna, dont la ziggourat, en briques crues enfermées dans un coffrage de briques cuites, est une des mieux conservées de Mésopotamie, temple Giparku de la déesse Nin-Gal, épouse de Sin, entrepôt ou palais appelé « E.nun.mah », etc.
Au sud de l'enceinte sacrée, non loin de la nécropole du IIIe millénaire avant J.-C., se dresse encore l'hypogée du roi Shoulgi, l'un des plus célèbres de la IIIe dynastie d'Our, recouvert d'un bâtiment sans doute destiné au culte funéraire, agrandi par son fils Amar-Souenna. Contrairement à la nécropole royale du milieu du IIIe millénaire avant J.-C., les hypogées de la IIIe dynastie ont été retrouvés vides.
De l'époque des rois d'Isin et de Larsa datent les vastes quartiers d'habitations privées, au sud de l'enceinte sacrée, qui sont un excellent exemple d'une ville mésopotamienne au début du IIe millénaire avant J.-C., avec ses belles maisons et ses rues étroites. Le roi Nabuchodonosor avait entouré l'ensemble sacré d'une enceinte percée de vastes portes.

N'oublions pas non plus, les fameuses statuettes de Sumer représentants des formes réptiliennes et qui restent bien mysterieuses encure de nos jours.




Sumer n'a pas fini de livrer ses secrets à notre humanité...

Voir certains de ces mysteres ici ;

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La clé secrète du Vatican.

Z 102 LA CLEF SECRETE DU VATICAN

Publié le 27/11/2010 à 23:50 par virtuellife 
Pour moi c’est un sujet que j’ai trouvé vraiment des plus intéressant, et je tenais à le faire découvrir à ceux qui ne l’ auraient jamais lu encore, je l’ai recopié à la main comme un grand, la source en est la revue : Top Secret : http://www.topsecret.fr/FR/article.php
La clef secrète du Vatican...
Saint-Pierre, le ‘’ prince des apôtres ‘’ fut crucifié la tête en bas, à Rome le 13 octobre 64 sous le règne de Néron, dans un cirque romain qui se trouvait à l’emplacement exact du Vatican.
Son supplice eut lieu au pied de l’obélisque qui est aujourd’hui au centre de la place St-Pierre. Sa dépouille mortelle fut redécouverte en 1953.
C’est donc sur un haut lieu de sacrifices humains que fut érigé le Vatican, siège de la plus puissante organisation religieuse du monde.
Pour imager ce propos, qu’il nous soit permis d’ajouter que les fondations du Vatican reposent, au sens propre comme au sens figuré, sur l’acte sacrificiel de celui qui est présenté comme le premier pape de la chrétienté. Cette circonstance est assez troublante pour être signalée.
Rappelons que le sacrifice rituel a toujours été considéré par les sociétés ésotériques anciennes, comme étant le moyen le plus sur de s’attacher les faveurs des Dieux.
Pour bien comprendre la profondeur de ce qui est exposé ici, les lecteurs devront avoir connaissance de l’étendue du pouvoir effectif du Vatican, et de la position exacte qu’il occupe sur la pyramide tronquée, symbole de la réalité structurelle des hiérarchies sur et ‘’ au dessus ‘’ de la Terre.
Démonstration en a été faite de ce pouvoir, sans aucune ambiguité, à l’occasion par exemple des funérailles du pape Jean-Paul II. Mais la question du pouvoir du Vatican n’est pas le sujet qui occupe aujourd’hui l’article de Thierry Van De Leur.
Les Clefs de Saint-Pierre…
Le blason du Vatican arbore des clefs croisées, l’une d’or, l’autre d’argent, avec des mécanismes en haut et tournés du coté de l’écu, surmontées de la tiare papale sur champ rouge. Les clefs symbolisent les pouvoirs spirituels et temporels des papes. La tiare papale est surmontée de trois coronnes.
http://nsa16.casimages.com/img/2010/07/27/100727042124806785.jpg
Le Vatican recèle, on s’en doute, de nombreux mystères, le symbolisme y tient une place importante et contient des messages en rapport avec le passé et l’avenir de l’humanité. Messages qui ne demandent qu’à être déchiffrés.
La serrure…
En 1667, le Bernin dessina le plan de l’actuelle place St-Pierre, gigantesque ellipse de 240 m de large et 196 m de long dotée de 284 colonnes, 88 pilastres, et 140 statues de Saints, de 3 mètres…
Vue du ciel, la place a manifestement la forme d’un trou de serrure. Qui de nos jours a remarqué ce détail tellement symbolique ?
La colonnade recèle un autre petit secret : il y a entre l’obélisque et chacune des fontaines un disque de porphyre rouge incrusté dans le pavement. Ces disques indiquent les foyers de l’élipse que forme les colonnes, et à ces endroits, la colonnade semble n’ être constituée que d’une rangée de colonne, alors qu’il y en a quatre. Illusion voulue par le bernin.
Ainsi, si cette place St-Pierre est un ‘’ trou de serrure ‘’, alors la question est de savoir ou se trouve la clef ?
Les deux clefs…
En fait, il existe deux clefs, comme dans les armoiries du Vatican ! La clef ‘’ spirituelle ‘’, en or se trouve en permanence au bon endroit, dans l’axe de la serrure : elle est symbolisée par l’ obelisque égyptien qui se trouve au centre de la place, ce monolythe de granite rouge haut de 25.36 mètres pèse plus de 300 tonnes.

Initialement taillé au 1er siècle avant Jésus Christ à Héliopolis, pour le préfet romain en Egypte Caïus Cornelius Gallus, il sera transporté d’ Héliopolis à Rome en 37 sur l’ordre de Caligula qui le fera dresser au centre du cirque de Néron au pied de la colline du Vatican.
Cet obélisque ne porte aucune inscription hiéroglyphique. Caligula le dédia ‘’ au divin César Auguste ‘’. En 1586, le pape Sixte Quint ( pape de 1585 à 1590 ) fit déplacer l’obélisque devant la basilique St-Pierre. L’entreprise qui dura une année entière nécessita plus de 900 hommes et 150 cheveaux.
Anecdote : un silence complet avait été exigé durant l’erection de l’obélisque, sous peine de mort.
Le globe de César qui se trouvait sur la pointe de l’obélisque fut remplacé par une croix, reliquaire contenant ‘’ parrait -il ‘’ un morceau de la Sainte Croix.
Cet obélisque égyptien, comme tout les autres, symbolise un rayon de soleil pétrifié ! En général, ces colonnes possédaient toutes un pyramidion en or massif. Cet obélisque est également un gnomon qui projette son ombre sur un cadran à 8 sections.
Par son déplacement dans le trou de serrure virtuel crée par le Bernin, cette ombre symbolise les tours de clefs d’ouverture et de fermeture du Soleil…
L’obélisque de la place Saint-Pierre est à 2.5 km de la colonne de Trajan sur laquelle trone depuis le XVIe siècle, une statue de Saint-Pierre. En rejoignant ces deux colonnes, la ligne atteint l’endroit exact d’ou la Pape s’adresse aux chrétiens, sur le coté droit de la place St Pierre.
Ce point est également indiqué par la ligne qui rejoint la pyramide de Rome et cet obélisque. Reste donc à savoir ou se trouve la seconde clef. Symbole du pouvoir temporel, cette clef est la plus imposante, et aussi la plus ancrée dans la terre, contrairement à la clef obélisque qui se dresse vers les cieux. La seconde clef, est en fait la Basilique St-Pierre elle même…
En effet vu du ciel, on reconnaît nettement la section d’une clef spéciale… en forme de croix latine. D’un point de vue structurel, la Basilique s'inscrit parfaitement dans la place ‘’ trou de serrure ‘’ du Bernin. Tellement parfaitement qu’on peut même affirmer que l’axe de cette clef est matérialisé par la tombe de Saint-Pierre sous le dôme de la Basilique.
Si l’on superpose les plans de la ‘’ place serrure ‘’ et ceux de la ‘’ Basilique clef ‘’ , la tombe et l’obélisque ne font plus qu’un. Pour pouvoir ‘’ rentrer ‘’ la Basilique actuelle ou même l’ancienne, dans la ‘’ place serrure ‘’, il est obligatoire de faire coïncider la tombe et l’obélisque.
Ci dessus à gauche, le Vatican vu par satellite. La place Saint-Pierre apparait comme une '' serrure ". L'obélisque est la clef bien placée.
A droite, petit montage, la " clef Basilique St Pierre " est entrée dans la serrure. Il faut imaginer le manche de la clef, avec l'anneau, enfoncé verticalement sous la terre. Si l'on en croit le symbole, ce serait donc dans les entrailles de Rome que devrait se trouver le secret du pouvoir temporel...
Toujours par le jeu de la superposition, les deux fontaines, de part et d’autres de l’obélisque, correspondent aux branches droites et gauches de la croix latine qui servit de modèle à cette Basilique. Elles symbolisent probablement les clous dans les mains et le sang du Christ qui s ‘en échappe.
A 14 mètres de hauteur, les jets de ces fontaines évacuent pour plus de 2.3 millions de litres d’eau à l’heure.
La Basilique actuelle ( l’église la plus grande du monde ), inaugurée en 1626, a succédé à une autre construite au IV e siècle par l’empereur Constantin. Elle est batie sur l’emplacement exact et dans le même axe. Déjà, à l’époque, la Basilique de Constantin, était elle même construite sur les ruines du cirque de Néron. Le point exact ou se trouve à présent l’obélisque indiquait l’endroit ou mourrut Saint-Pierre, sur le coté droit du cirque.
Le grand secret du Vatican…
Concrétement, les deux clefs et la serrure ont été mis en place entre 1586 et 1626. Ils ouvrent le grand secret du Vatican !
C’est la clef d’or spirituelle ( obélisque ) qui est révélatrice du grand secret du Vatican. En effet, l’obélisque de la place Saint-Pierre semble détenir le grand secret temporel de l’eglise. Pour s’en convaincre, il faut se référer à la prophétie des papes, publiée pour la 1ere fois en 1595 par le bénedictin Arnold de Wion.
L’œuvre est attribuée à Saint Malachie d’Armagh, évêque d’Irlande né en 1094 et morten 1148 à Clairvaux. Cependant certains chercheurs pensent au contraire que l’ouvrage fut écrit quelques siècles plus tard, par un autre rédacteur illustre, grand ami des papes, lequel aurait rédigé les prophéties quelques mois seulement avant leur première publication.
Quoi qu’il en soit, la prophétie des papes désigne 111 papes sur une période débutant à partir du pontificat de Célestin II (1113-14). A chacun des ces papes, la prophétie attribue une devise censée le caractériser. Force est de constater que de nombreuses devises se sont révélées spéctaculairement exactes.
A ce jour le Vatican n’a jamais condamné cette prophétie, de plus nombreux sont les souverains pontifes qui firent frapper des médailles à leur éffigie avec la devise que leur avait attribuée Malachie.
Cerise sur le gateau : à Rome, dans l’église Saint-Paul hors les murs, les successeurs de Saint-Pierre figurent dans des médaillons en céramique, il ne reste plus que deux places vacantes correspondant aux deux derniers papes.
Dernièrement, début 2005, un des médaillons vierges, s’est descellé à plusieurs reprises, à la stupéfaction des ouvriers chargés de le re-fixer !
Quel rapport avec l’obélisque du Vatican… ?
Dans un geste symbolique, surement dicté par un mystérieux cahier des charges clérical , ce monument fut érigé le 10 septembre 1586 dans l’axe de la basilique et de la tombe de Saint-Pierre, pendant le pontificat de Sixte Quint ( 1585 - 1590). La notion d’ axe a une importance majeure dans toute cette histoire !
Sur cet axe, par exemple, au début de la nef, est inséré dans le pavement le large disque de porphyre rouge sur lequel Charlemagne s’agenouilla la nuit de noël de l’an 800 quand le pape Léon III le couronna empereur d’Occident. D’autres souverains suivirent cette étrange pratique…
C’est donc le pape Sixte Quint qui fit poser cet axe symbolique au milieu de la place Saint-Pierre pour marquer une période bien précise en rapport avec la prophétie de Saint-Malachie : Son pontificat… charnière !
En effet, dans sa prophétie, Malachie, a attribué au 73e pape de sa liste, le pape Sixte Quint, la devise la plus compréhensive de toutes : ‘’ Axis in médiatatae signi ‘’ , qui signifie ‘’ Axe à la moitié du signe ‘’ ou plus probablement ‘’ Axe au milieu du présage ‘’.
Cette devise a mis la puce à l’oreille d’un interprète génial, Raoul Auclair qui commença alors à analyser mathématiquement ces prophéties : il arriva à la conclusion que la moitié du pontificat de Sixte Quint ( entre 1587 - 1588 ) correspondait à la moitié de la prophétie dont la durée totale serait donc de 888 années.
La moitié ( 444 années ) fut l’occasion d’un geste symbolique : la pose, à partir de 1586, d’une série de 4 obélisques dont le 1er et le plus symbolique au milieu de la place Saint-Peirre. Le second fut érigé en 1587, il s’agit de l’obélisque de la place de l’Esquilin ( piazza de l’ Esquilino), devant le chevet de la basilique Sainte-Marie-Maajeure.
En 1588, se fut l’obélisque de la place Saint-Jean de Latran provenant de Karnak, dédié aux pharaons Touthmôsis III et IV. En 1589 , enfin ce fut le tour de l’obélisque de la piazza del Popolo, provenant d’ Héliopolis et dédié à Séthi 1er et Ramsès II.
Ces monuments sont placés de telle sorte que chacune des lignes qui les rejoignent à l’obélisque de Saint-Pierre passe par la grande entrée de la colonnade du Bernin ( la serrure ) . Autrement formulé , on peut penser que si l’obélisque est l’ axe de la clef, les quatres monuments réunis représente la clef entière qui pénètre dans la serrure.
Mais revenons à la prophétie…
Si nous prenons comme référence l’érection de l’obélisque sur la place Saint-Pierre comme point de repère de la moitié de la prophétie, alors la seconde période de 444 ans amènera la fin de la prophétie de Saint-Malachie aux alentours de 2031.
Cela laisse une période de 25 ans durant laquelle doivent se succéder les deux derniers chefs de l’église prédit par la prophétie : le pape nouvellement élu, et son successeur, un mystérieux ‘’ Pierre le Romain ‘’.
Une telle cohérence entre le nombre de pape et la durée de la période ne peut que troubler le lecteur. Cela d’autant plus que l’année 2031 se trouve être très proche de l’anniversaire du bimillénaire de la mort du Christ.
Or, une tradition rapportée par St-Justin, St-Irénée, St-Anastase, St-Hilaire, St-Jérome, et St-Augustin, les pères de l’église, assigne justement à l’église une longévité de 2000 ans à la suite de quoi viendra ‘’ une fin des temps ‘’, ou ‘’ fin de notre monde ‘’, une date butoir qui laissera place à un changement radical.
Peut-on imaginer l’existence d’un ‘’ mandat ‘’ occulte de l’église, comme un pacte d’une durée limitée à 2000 ans, et dont les papes seuls, une fois élus, découvriraient le secret ?
Peut-on imaginer dans ce cas, qu’un pape ait voulu rendre public une trame codée de ce contrat, et qu’il ait passé ‘’ commande ‘’ de la prophétie des papes à un rédacteur de confiance, quelque soit son nom. Ainsi la prophétie des papes ne serait pas une prophétie à proprement parler, mais plutôt la transcription cryptée des clauses d’un contrat fantastique que l’église aurait passé avec celui dont elle aurait reçu les clefs du pouvoir.
Dans cette perspective, le Vatican serait non pas soumis aux fils d’un mystérieux ‘’ destin ‘’ inéluctable, mais en réalité, il serait tenu de respecter, de suivre à la lettre, et de se conformer à des clauses contractuelles… Ceci expliquerait alors la précision inouïe de la prophétie des papes…
Cette interprétation a certe de quoi donner le vertige, mais ne dit-on pas que les papes une fois élus, doivent s’isoler un moment dans une petite salle secrète de la bibliothèque du Vatican ? Une salle souterraine qui ne contiendrait qu’un seul livre et dont ils seraient les seuls à détenir la clef ?
Ne dit-on pas que certains d’entre eux sont ressortis de cette salle en proie à une très vive émotion ? C’est en tout cas ce que raconte la rumeur, alimentée par le secret absolue qui règne autour de l’élection de chaque nouveau pape.
Quoi qu’il en soit, le rédacteur de la prophétie n’a pas pu inventer cette période de deux millénaires ! En effet pendant les 444 premières années de sa prophétie, 72 souverains pontifes se sont succédés ; pendant la même durée de 444 ans qui a suivi, la prophétie n’en a prévu que 40 !
Comment l’auteur savait il que trois ou quatre siècles plus tard, la durée de vie allait s’accroître progressivement, entrainant une durée de règne pontifical presque doublée ?
Cette précision visionnaire est peut-être le plus grand mystère des prophéties de Malachie. En tous cas, s’il ne devait en rester qu’un, ce serait sans doute celui-là…
La prophétie et la période à venir…
Que dit la prophétie sur la période à venir ?
Le texte a assigné au nouveau pape, Benoit XVI, 111e pape de la prophétie, la devise suivante : ‘’ De gloria olivae ‘’ …. de la gloire de l’olivier.
Quel est le lien entre ce pape d’origine allemande et l’olivier ? A n’en pas douter, l’avenir nous le dira, car c’est sous ce signe que Joseph Ratzinger devra honorer sa part du contrat.
Puis, sans numéro, arrive enfin ‘’ Pierre le Romain ‘’ dont on sait ceci : ‘’ Pendant la dernière persécution de la sainte église romaine, siégera Pierre le Romain qui paitra ses brebis au milieu de grandes tribulations, passées lesquelles la ville aux sept collines sera détruite et le juge terrible jugera son peuple ‘’…
Aucune mention de date…
Ainsi, d’après les prophéties, l’Eglise se terminera avec certain ‘’ Pierre le Romain ‘’, la boucle est bouclée, Pierre qui a été chargé de fonder l’Eglise , a également la tâche de la délier.
Fin.
Jean Paul II lui même n’était pas à l’abri des critiques, voici quelques exemples de photos qui ont franchement défrayé la chronique en leur temps.
Jean Paul II en visite sur le site du sermon de la montagne, le trône pontifical arbore une croix renversée… ! sans aucun doute possible, c’était la un choix volontaire…
Cela arriva plus souvent qu’on l’imagine d’ailleurs…
http://www.bibleetnombres.online.fr/images27/trone_jp_II_2000.jpg
http://www.bibleetnombres.online.fr/images27/trone_jp_II_2000s.jpg
http://esaie.free.fr/images/catho/papecroixrenversee.jpg
Voyage de Jean Paul II en Pologne, on y voit le Christ crucifié face contre la croix !
Cette photo représente le summum du blasphème pour les croyants, et ce fut la première et dernière fois que l’on vit le pape avec cette croix pontificale !?
Que penser également de cette ‘’ étoile noire ‘’ étrange œuvre appartenant et tronant en plein cœur du Vatican… !
Le pape Sixte - Quint un pape hors norme…
Le pape Sixte-Quint qui désigne la moitié de la prophétie des papes ne pouvait pas être un pape ordinaire. L’histoire raconte ceci à son sujet : Véritable force de la nature, pour être élu, il monta toute une comédie.
Il fit semblant d’être aveugle et complétement infirme. Tenant la tête continuellement penchée comme un vieillard, il ne marchait qu’en s’appuyant lourdement sur un bâton, n’ayant plus la force de se soutenir et manquant de s’écrouler à chaque pas.
Il parlait d’une voix imperceptible. Pris d’épouventable quintes de toux ; il donnait véritablement l’impression d’être sur le point de mourir. Cette comédie dura 13 années et tout le monde avait peu à peu fini par y croire.
Lorsque le conclave eut lieu, les cardinaux, ne parvenant pas à se mettre d’accord sur un candidat, décidèrent de gagner du temps en portant leur voix sur un homme qui semblait ne plus avoir qu’un souffle de vie et ne paraissait guère dangereux.
Lorsqu’ils eurent tous votés et qu’on annonça la nouvelle au futur Sixte-Quint , celui ci se redressa brusquement, jeta ses béquilles et entonna un Te Deum d’une voix de stentor qui terrifia tous les cardinaux.
Le règne du pape le plus étonnant de l’histoire commençait par un drôle de ‘’ miracle ‘’. Il mourut le 27 août 1590…
La prophétie des papes, une précision fantastique ?
Comme semble le prouver les exemples qui suivent, certaines devises utilisées par Malachie pour dépeindre en deux mots les pontificats des 111 papes de sa liste ne peuvent pas être une coïncidence !
Le premier pape répertorié, Célestin II qui est défini par les mots ‘’ Ex Castro Tiberi ‘’ c’est-à-dire ‘’ Du Château de Tibre ‘’, venait effectivement de la petite ville de Citta Di Castello ( Château ), placée sur le bord du Tibre.
Pie VII : ‘’ Aigle ravisseur ‘’ , fut dépouillé de ses états par Napoléon (l’Aigle Impérial ).
Grégoire VII : ‘’ de Balnès en Etrurie ‘’ était religieux camaldule dont la maison mère se trouvait à Balnès.
Pie IX : ‘’ Croix venant de la Croix ‘’, fut chassé de ses états par la maison de Savoie dont les armes portent la croix de Savoie.
Léon XIII : ‘’ La lumière dans le ciel ‘’ ses armoiries portaient une comète !
Benoit XV : ‘’ La religion décimée ‘’, régna pendant la 1er guerre mondiale.
Paul VI : ‘’ la fleur des fleurs ‘’ né à Florence dont les armoiries portent un Lys rouge…
Jean Paul 1er : ‘’ De la moitié de la Lune ‘’ , meurt le 28 septembre au milieu du mois lunaire, après 33 jours de règne !
Jean Paul II : ‘’ De Dolore Solis ‘’ ( du travail du Soleil ) Naquit un jour d’éclipse solaire, le 18 mai 1920. Il est à l’origine de la première réunion internationale inter-religieuse, réunissant plus de 194 chefs de religions.
Il parcourut plus de 129 pays pendant son pontificat, plus de cinq cents millions de personnes ayant pu le voir durant cette période. Il béatifia 1 340 personnes et canonisa 483 saints, soit plus que pendant les cinq siècles précédents…
La foule innombrable des fidèles lui rendant un vibrant hommage lors de sa mort, réclama la béatification immédiate, afin que son nom demeure marqué en toute lettre dans l’histoire.
Qu’en sera-t-il de Benoit XVI lequel se voit attribué la devise ‘’ De gloria olivae ‘’ , ‘’ de la gloire de l’olivier ‘’… ?