samedi 19 janvier 2013

Antiquités : l'orpaillage.

Histoire: Antiquité

vers 1200 avant JC, Les marins Phéniciens parcourent la Méditerranée et pratiquent l'échange commercial: ils troquent marchandises diverses contre de l'or et de l'argent avec les peuples qu'ils visitent en Méditerranée. Selon Diodore de Sicile (Historien Grec, -45 à 20 après JC), ils auraient obtenu une telle quantité de métaux précieux de provenance pyrénéenne, qu'ils en auraient abandonné leurs ancres de plomb pour les remplacer par des ancres d'argent afin de rentabiliser la charge utile. Les Celtes exploitaient des mines d'or depuis l'Âge du Bronze (vers le XIIIe s. av. J.-C.) jusqu'à la conquête romaine. Les Lémovices, peuple Celte, occupaient la région minière au sud de Limoges et y pratiquèrent l'extraction minière de l'or dès le 6 ème siècle avant JC.
D'après Diodore de Sicile, l'orpaillage était productif et facile:
"En Gaule, on n'extrait point d'argent mais beaucoup d'or et la nature des lieux permet aux habitants de recueillir ce métal sans le travail du mineur. Les fleuves par leur cours et par leurs affluents qui touchent au pied des montagnes entraînent dans leurs alluvions de grandes quantités de métaux précieux. Les gens qui s'occupent de ce genre de travail brisent et mettent en bouillie les mottes de terre qui contiennent les grains d'or ensuite, cette bouillie lavée dans l'eau est mise en fusion par des fourneaux. Une si grande quantité d'or est amassée par ce procédé que non seulement les femmes mais les hommes s'en font des parures. Ainsi portent-ils des bracelets d'or aux poignets et aux bras, de gros colliers d'or autour du cou, et même des cuirasses d'or. Dans les temples et lieux sacrés de ce pays, on consacre en l'honneur des dieux beaucoup d'or répandu çà et là et quoique les gaulois soient très avares, personne n'y touche tant ils sont scrupuleux dans la religion."

Bracelets provenant de la tombe à char, lieu dit "La Butte" à Sainte-Colombe-sur Seine, (Côte-d'Or)
 Or, Hallstatt, VIe siècle av. J.C.
Musée des Antiquités Nationales (MAN) Saint-Germain-en-Laye

Sainte-Colombe-sur-Seine Bracelets

Boucles d'oreilles en or
sépulture à char du Tumulus de la Butte à Sainte-Colombe-sur-Seine (Côte d'Or)
 fouille de 1863
 Hallstatt, VIe siècle av.JC, diamètre environ 3 cm
 Musée d"archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye, Inv n° 18 267. 1-2

Boucles d'oreilles St Colombe

Ruelle d'or celte, Balesme, Haute Marne
Celt-Rouelle-d-Or-mod-S1-A
Comme en témoignent les historiens et géographes de l'antiquité, l'orpaillage était très productif ; il semble avoir été pratiqué sur tous les réseaux hydrographiques aurifères des Pyrénées, du Massif central, des Alpes, du Massif Armoricain et des Ardennes. Une étude archéologique des traces d'exploitations d'or alluvionnaire reste cependant à faire. Les auteurs anciens citent le Rhin, le Rhône, l'Ariège, le Tarn comme roulant des paillettes d'or, et affirment avoir installé des lavages sur ces diverses rivières.
Les Celtes gaulois qui maîtrisaient le fer comme aucun autre peuple, arboraient fièrement leur or: chaînes et torques d'or autour du cou, anneaux torsadés aux chevilles, bracelets aux bras, pendentifs, ceintures, coupes... La civilisation de la tène produit des ouvrages d'orfèvrerie exubérants, généreux et ostentatoires.
Antoine de Réaumur, 1718:

Torque d'or Gaulois de 762 g, (IIème Siècle AV. J.C)

Origine: Trésor de Tayac
L'or gaulois:
L'or était recherché et utilisé par les Gaulois, d'abord sous forme d'orpaillage puis des exploitations minières furent mises en place vers le 6 ème siècle av. JC.
Coupe d'une aurière gauloise à ciel ouvert:

Maquette de Béatrice Cauuet
Les travaux de recherche de l'archéologue Béatrice Cauuet montrent que les Gaulois et les Celtes, exploitaient habilement bon nombre de mines d'or à ciel ouvert et en galeries.
Des ruées vers l'or filonnien eurent lieu à l'époque gauloise.
Les fouilles des mines d'or du Limousin révèlent qu'en 400 an JC, les techniques minières gauloises étaient expertes. Les minerais extraits par abattage au feu étaient concassés et grillés avec du charbon de bois pour oxyder les sulfures, puis réduits en poudre ; l'or ainsi libéré était séparé du minerais dans des canaux de lavage tapissés de peaux de moutons. On le récupérait en brûlant ces peaux. Il était ensuite raffiné au creuset.
Fouilles d'une aurière gauloise:

Sur 9 sites aurifères, 250 mines d'or gauloises, ou supposées telles ont été inventoriées à ce jour en Limousin, regroupant 1207 aurières ayant pu produire en 500 ans près de 69 tonnes d'or, à partir de minerais d'une teneur de 20 g par tonne en moyenne.
Les premières monnaies d'or gauloises sont datées de 300 av JC, elles s'inspirent des Statères Grecs:
Monnaie d'or gauloise (IIIème siècle AV. J.C.)
Statères des Parisii
Ier siècle AV J.C.

or: 7,31 g diamètre maximum: 2,1 cm

Statère Vercingétorix
52 AV J.C.

 Or 7,43 g
Provient du trésor de Pionsat (Puy-de-Dôme), 1852
 

Principaux gisements aurifères gallo-romains
et Tribus gauloises citées pour leur richesse en or:

 L'or de notre pays fut convoité et exploité par les Carthaginois: Les légendaires mines d'Hannibal (200 av JC) semblent être localisées dans la vallée de l'Arizacun-Bastan au pays basque. L'or gaulois était connu du monde antique et "Gallia aurifera" est souvent citée par les auteurs anciens, grecs et latins, ce qui éveilla la convoitise Romaine. Rome étant très pauvre en or, les conquêtes de la république romaine avaient pour but d'épuiser toutes les mines d'or en activité dans les régions conquises. Les peuples vaincus, fournissaient de nombreux esclaves déjà aguerris aux techniques d'extraction et d'exploitation de l'or. César dépouilla la Gaule, Néron planifia et organisa l'extraction du métal précieux en Bosnie, en Dalmatie, en Ibérie et en Transylvanie.
Des exploitations mécaniques des alluvions aurifères et des mines en roche étaient mises en service sur les points les plus riches. Esclaves, pompes puissantes, vis d'Archimède (Les Musées de Madrid et de Metz possèdent des spécimens miraculeusement conservés), dragues, canaux et mercure étaient utilisés.
Grâce à l'écrivain latin Pline (23 à 79 après JC), on sait que les romains extrayaient des mines de la péninsule Ibérique et de la Gaule environ 6500 kg d'or par an.
Les conquêtes des Romains permirent de récupérer aussi de "l'Or coronaire", terme désignant une offrande "bénévole et désintéressée" que les populations des pays conquis versaient à Rome en gage d'amitié (les dettes de César et de Rome furent épongées par l'or de la guerre des Gaules).
En réaction à ce pillage, les gaulois ont comblé, noyé et caché grand nombre de leurs exploitations minières de manière si efficace que l'on ne parvint à en retrouver les traces que de nos jours.
L'exploitation minière de l'or persista mais s'atténua donc à l'époque Gallo-romaine.
Les datation des poutres des anciennes aurières Gauloises montrent qu'elles étaient exploitées jusqu'en 280 pour la Mine de la Bellière et 480 (+ou- 100) pour la petite Faye (Creuse).
A la fin de l'empire romain décadent, la négligence et l'incompétence des cadres provoquèrent une baisse énorme de la production suivie d'une pénurie fatale qui causa la chûte de Rome par manque de liquidités pour payer des mercenaires...


-Theophraste Philosophe grec (371 à 287 av JC) signale les mines gauloises d'or et d'argent. -Posidonios Philosophe grec (135 à 50 av JC) indique que les Volques Tectosages dont la domination s'étendait jusqu'aux Pyrénées, exploitèrent les premières mines d'or de ces montagnes.
-Diodore de Sicile, Historien grec, (90 à 20 avant JC) décrit un orpaillage productif et facile dans les cours d'eau Gaulois près des montagnes, il rapporte la prolifération de parures ostentatoires ainsi que la sacralisation des offrandes d'or aux dieux par les Gaulois.
-Strabon Géographe grec ( 64 av JC à 21) écrit que les Tarbelles, peuplade vivant au pied des Pyrénées sont en possession des mines d'or les plus estimées car sans fouiller bien avant dans les terres on y trouve parfois des masses d'or qui sont assez grosses pour remplir la main, et n'ont besoin que d'un léger lavage. Le reste de la mine consiste en paillettes et pépites qu'un travail facile sépare des matières étrangères.
Il indique aussi que la domination des Arvernes s'étendait jusqu'à Narbonne et jusqu'aux frontières de Marseille. On dit que Luérius, père de Viticus, qui combattit contre Maximus et Domisius s'était tellement distingué par ses richesses et par son luxe que, pour en donner des preuves à ses amis, il se promenait dans le pays, assis sur un char, en jetant à droite et à gauche des pièces d'or et d'argent qu 'il ramassait à sa suite. Luérius devait être roi vers - 150 avant J.C.
-Pline l'ancien (23 à 79), naturaliste auteur Latin, qui fut gouverneur des provinces d'Espagne  (23 à 79 après JC) confirme la richesse en or de la Gaule décrite par Diodore de Sicile.
-Plutarque écrivain grec (50 à 120 après JC) écrit que Jules César conquit la Gaule avec le fer des romains et asservit la république avec l'or des Gaulois.


Documents anciens:


Sources http://www.arpaillage.fr/histoire/antiquité.html

Le triangle sacré du Québec.


LE TRIANGLE SACRE DU QUEBEC


LE TRIANGLE SACRE DU QUEBEC
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Ce triangle est une zone protégée et sacrée. Les points limitants cette zone se situe au Mont Saint-Hilaire (sud), à Chicoutimi (est) et à Kiamica (nord). Chacune de ces régions représente des points d’énergies telluriques puissants, tel un vortex. En d’autres mots, cette région est une porte grandiose qui joint d’autres dimensions et d’autres mondes parallèles.
Il y a plusieurs prophéties et histoires liées à ce triangle sacré. Apparemment que cet endroit a été le refuge de certains Atlantes à la suite de l’effondrement d’Atlantis, 12.000 ans passés, et que ces derniers auraient inséré des quartz et des cristaux à ces endroits de haute puissance spirituelle.
Il y aurait également des trésors qui ont été enfouis dans cette zone sacrée. Les quartz gigantesques des Atlantes seraient l’un de ces trésors. À cette époque, les Atlantes connaissaient les pouvoirs des pierres précieuses et les utilisaient pour la communication, l’énergie ou leur transport (vaisseau). Les Atlantes avaient des technologies très avancées, beaucoup plus que la technologie actuelle. Un autre trésor de cette zone est l’eau, c’est-à-dire l’eau qui est entrée en contact avec les quartz ou les cristaux. Cette eau miraculeuse permet de grandes transformations du corps humain et des cellules.
De plus, les Atlantes auraient enfoui des informations importantes concernant leur médecine et leur technologie dans des fissures terrestres ou surnaturelles à cet endroit. Ce triangle sacré serait est également entouré d’une aura dorée qui permet de transformer les gens à un niveau spirituel plus élevé. Par cette eau et cette couche dorée.
Un livre qui a été écrit sur le sujet, intitulé Aldaïra, par Bernard Gervès.

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Le Pic de Bugarach.

LE PIC DE BUGARACH


LE PIC DE BUGARACH

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Le Mystère de la Montagne aux Fées
Le Pic de Bugarach est le point culminant des Corbières avec 1231mètres. De nombreux témoignages (certains très anciens) font état d’apparations ou de lumières nocturnes s’ échappant ou entrant dans cette montagne. On parle d’ovnis, de lumières étranges, etc. Des satellites on détectent sous le Pic de Bugarach, d’étranges cavités ainsi qu’un immense dôme et on ignore toujours actuellement ce qui se trouvent à l’intérieur et aussi comment y accéder. Les avions survolant cette région on comme consigne de ne pas passer au dessus de cette zone, car tous les instruments se dérèglent sans aucune explication.
Le Pic de Bougarach a inspiré Steven Spielberg dans "Rencontre du 3me Type"
L'étude des constructions et des décorations du domaine de l'Abbé Saunière (Mystères de Rennes-le-Château) lui-même sont autant d'indices pour comprendre le stupéfiant message qu'il a confié à la pierre le soin de révéler. Il nous renvoit par la Tradition locale vers un sanctuaire souterrain secret, connu depuis les temps les plus anciens à Bugarach. On raconte aussi que le fameux trésor de l’Abbé Saunière y serait caché quelque part dans une des cavernes du pic. Le secteur est interdit de survol et l'armée surveille le site. Depuis environ 1960 la montagne de Bugarach semble être le théâtre de nombreuses et curieuses investigations...
MYSTERES DE BUGARACH
Dans l’Aude, ou généralement les pays de Corbières, Razès et Roussillon, le nom de Bugarach intimement mêlé à des faits étranges. Son étymologie proche de ‘Boulgre’ laisse supposer un lien secret avec les terribles événements de la croisade contre les Albigeois. Plus loin la rumeur nous entretient de faits mystérieux se déroulant au long des pentes du Pech de Thauze. Le secteur de Bugarach apparaît aussi dans plusieurs affaires locales plus connues, comme celles de Renne-le-Château, Rennes-les-Bains dans lesquelles s’imbriquèrent de nombreux personnages bien connus : les abbés Saunières, Boudet et tant d’autres familles tout autant connues, celle d’Hautpoul par exemple qui furent seigneurs des lieux. Histoire de trésors oubliés, d’énigmes insolubles et secrets mortelles émaillent également ce pays aux ombres formidables.
Bugarach, peu à peu, disparaît sous un si épais rideau de fumée pour dissimuler quoi, qui, pourquoi et depuis quand ?
On ne peut qu’être surpris du peu d’ouvrages (pour ne pas dire aucun) totalement consacrés à la commune de Bugarach, son passé historique, ses richesses archéologiques, curiosités naturelles ou anecdotiques. Cà et là on doit se contenter de bribes mentionnant telles curiosités minérales ou minières, et de petits chapitres relatant quelques épisodes historiques de la région dans lesquels se distingue brièvement le nom de Bugarach. Rien de bien complet ou constructif en la matière. Pourtant cette commune, à l’environnement extraordinaire, doit disposer de toute sa place dans les guides touristiques régionaux. Mais c’est aussi dans les méandres de son passé historique, culturel et traditionnel que cette terre formidable retiendra toute notre attention. En effet l’étude des différentes voies de recherches sur le sujet nous ouvrent progressivement de formidables possibilités de travaux jusqu’ici jamais réalisés ou rassemblés en une seule étude. Ce qui semble, tout d’abord, n’être qu’une succession de simples détails insolites, s’avère très vite déboucher sur des possibilités dépassant largement nos premiers espoirs.
Que cette région soit liée au mystère de Rennes-le-Château, ou à un ensemble plus large sur le plan de notre passé, le cheminement reste entier. Nous ne pouvons laisser s’éteindre irrémédiablement ce qui restent de témoignages laissés, comme autant de pièces d’un rébus engagé il y a des siècles, en sauvegarde d’une révélation.
Que s’est-il réellement passé dans cette région que certains ‘initiés’ voulurent occulter sans vouloir radicalement effacer? Il est certain qu’un événement, un ‘savoir’ important y est encore terré. Cette lourde connaissance fut sans doute sous la protection de plusieurs familles locales impliquées dans les énigmes du Razès et d’autres endroits. Comme en d’autres lieux, connus pour leurs mystères, des signes restent visibles, des gravures, des dessins, des graffiti, des documents, des légendes, des vestiges qu’ils soient seigneuriaux, religieux ou datant de la nuit des temps. Ces ultimes témoins attestent d’un dépôt traditionnel sans doute fabuleux, d’une mémoire, d’un vestige dont la valeur est à la dimension des précautions assurant toujours sa sauvegarde. Un étrange parcourt s’ouvre de grottes en châteaux, d’église en ermitages, de rivière souterraine en mines occultées, de gravures en images de lumière, d’écrits religieux en souvenirs d’une prétendue Atlantide, de notaires oubliés en archives obscures, de philosophies occultes en ésotérismes symboliques, des archives de St Polycarpe à l’écrivain Jules Verne… tous ces relais conduisent jusqu’à l’ultime révélation d’un voyage au centre du mystère !
Cependant n’oublions jamais que ce cheminement parsemé de pièges redoutables peut, certes conduire au ‘savoir’, mais aussi se refermer mortellement sur l’imprudent ou le sacrilège. A l’image de certaines questes médiévales nous pouvons accéder à quelques châteaux ‘Périlleux’, à quelques coupes d’immortels secrets, à quelques tables où un treizième siège vide attend le téméraire ou l’inconscient. Il y a ‘quelque chose’ dans le passé de Bugarach qui justifia de telles précautions. Un ‘quelque chose’ défiant le temps et l’espace. Un ‘quelque chose’ à la fois sacré, occulte et hermétique. Un ‘quelque chose’ ouvert sur des dimensions qui nous sont inconnues ou difficiles à admettre.
L'AFFAIRE BETTEX
Daniel Bettex, citoyen suisse et chercheur passionné par les cathares, étudia le secteur de Bugarach peu prospecté à l'époque. C’est d’abord l’étude d’anciens registres sur la région qui débouche sur un intérêt qui va grandissant sur les ressources minières et souterraines de la commune et ses environs. Bettex reconstitue, sur le terrain, une étrange chronologie depuis des documents retrouvés par un Universitaire.
Depuis ces constats et documentations Daniel Bettex estime d’abord possible l’existence sous le mont Bugarach, d’un de ces fameux accès au mythique monde souterrain… ensuite d’en réaliser la localisation, et enfin d’en assurer le dégagement. Il note également que la tradition de l’ouverture (obstruée) concernant ‘Pech de Thauze’ débouche sur un cours d’eau souterrain paisible, profond mais praticable. Il affirme qu’il serait également question à cet endroit d’une sorte de quai ou embarcadère attestant que ‘l’ouverture’, dans ce secteur, ne résulterait pas d’un accident géologique mais serait bel et bien la réalisation d’une ‘halte’ intentionnelle. Il faut, jusqu’à ce stade, faire la part des choses et préciser que nous sommes encore dans le domaine du Folklore et de la Tradition mythique. Cette précision est indispensable car voici maintenant que se profile, discrètement colportée à voix basse par quelques inconditionnels du trésor de Rennes sur cette région, l’aura mystérieuse de la fameuse Arche d’Alliance dont le prétendu dépôt serait curieusement sous Bugarach !…
Il existe des photos prises par D. Bettex, montrant quelques tracés découverts, au sein d’une cavité, sur plusieurs pierres dans la montagne de ‘Tauze’. Il faut bien admettre que ces clichés montrent en premier plan divers graffiti parmi lesquels on distingue une sorte de ‘coffre’ sur un brancard (rappelant une sorte d’Arche). En arrière plan de cette vue un paysage correspond effectivement à la campagne de Bugarach. On murmure alors que Bettex cherchait cette fameuse relique des temps bibliques qu’il aurait située, grâce à ces photographies, avec précision sous le mont de Bugarach ! Des rumeurs pas très sérieuses, précisent également que le général Moshe Dayan (Israel) se serait personnellement intéressé aux recherches de Daniel Bettex.
Daniel Bettex met longtemps pour situer précisément, après de nombreuses réflexions, le lieu de ses recherches. Une fois le secteur déterminé, il envisage, afin de pouvoir travailler tranquillement, de taire radicalement l’endroit. Puis il entreprend d’amener le matériel qui lui sera nécessaire pour ses travaux, tout en brouillant les pistes. Bettex cherchait en réalité une ancienne cavité perdue dans les flancs du Mont Bugarach.. Il apparaîtra, également, que ces travaux étaient connus d’un autre petit groupe sur lequel nous savons peu de choses. Daniel Bettex avait visiblement besoin d’une information supplémentaire située dans le village de Bugarach, et plus précisément d’un élément tenu dans les gravures situées dans les restes du château lui-même.
Puis vers 1988 tout ira très vite. L’homme, d’habitude d’un calme dont il ne départit jamais, est dans un état d’excitation inhabituel. Il affirme être quasiment arrivé au bout de son travail de terrassement et tout au plus quatre à cinq jours le séparent du but final et que la richesse est pour bientôt! C'est à partir de ce moment que Daniel Bettex aura de très graves ennuis de santé !
Les versions concernant la fin de sa vie divergent. Pour certains l’aboutissement du dégagement de cette galerie mystérieuse dans la montagne sera une mort violente et, apparemment, rien d‘autre. Pour d’autres, épuisé et affaibli il se retire dans son pays natal et y décède rapidement de problèmes cardio-vasculaires. D’autres rumeurs affirment un décès foudroyant sur les lieux du site. Ici on dit qu’il serait mort dans la galerie, écrasé par une masse de terre. Là on explique qu’il aurait été retrouvé, dans une cavité, totalement inanimé et qu’à la suite il serait décédé d’une inexplicable déshydratation. De ce côté on apprend encore qu’il serait sorti de sa grotte et se serait effondré tout à coup dans le jardin d’une des premières maisons de Bugarach, terrassé par une violente crise cardiaque.
Après le décès de ce chercheur, des rumeurs circulèrent dans des milieux ésotériques très fermés. Ainsi, pour certains, les investigations se déroulaient dans une mine comblée, pour d’autres dans une grotte très basse. En vérité, aujourd’hui plus personne ne sait vraiment de quoi il retournait à propos de cette galerie assez profonde.
Lucienne Julien, secrétaire générale de la Société du Souvenir et des Etudes Cathares qui connaissait très bien Bettex, propose de faire reprendre les recherches plusieurs mois après ce décès sur le site désigné, par un groupe de membres de la Société. A cet effet elle contacte les services compétents, c’est à dire le ministère de la Culture de l’époque. Elle doit écrire plusieurs fois pour obtenir enfin une réponse consternante et sans appel. Le ‘service compétent’ lui explique laconiquement qu’il est hors de question que quiconque reprenne à son compte de telles recherches… et, de plus, qu’il est formellement interdit de poursuivre ce genre de travaux à Bugarach. Lucienne Julien apprendra que des gravats et du béton auraient été coulés (comme pour les fouilles sous le château du village) afin d’obstruer à jamais ‘une’ cavité...
LE MYTHE DE L'AGARTHA ET BUGARACH
Sur le plan légendaire, il est question du mythe de la terre creuse, de l’Agartha et surtout des traditions liées à d’étranges réseaux souterrains, formés de cheminements naturels ou aménagés selon les lieux. A propos du cataclysme engloutissant l’Atlantide, plusieurs traditions tenaces affirment qu’une partie des aménagements ‘sous-continentaux’ aurait échappé à la destruction. Au fond de ses cavités oubliées, parfois inondées, repose tout ou partie des secrets de cette civilisation légendaire.
des récits font état de plusieurs accès retrouvés fortuitement, ou ‘formellement’ situés, donnant accès à différentes versions de l’Agartha ! On retrouve ces légendes dans des provinces très éloignées les unes des autres comme la Haute Loire (Pradelles), l’Ariège (Miglos), le Massif du Pilat (Annonay), la Bourgogne, la Savoie (le Bourget du Lac), l’Ardèche (St Pierreville) les Alpes Maritimes (Falicon), la Provence (plateau du Clansaye, Baux de Provence), les Cévennes (Le Temple !) pour citer seulement les plus connus. La surprise est, parfois, d’autant plus grande que ces récits merveilleux sont minutieusement relatés par des personnes n’ayant aucune notion de ce que sont l’Atlantide, l’Agartha et leurs mythes essentiels.

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Secrets non révélés, sous Gizeh...


D’énormes secrets, non révélés, sous Gizeh… !
Un archéologue égyptien admet que les pyramides contiennent de la technologie    extraterrestre…
Le 28 novembre 2010, dans une déclaration choc, le chef du Département Archéologique de    l’Université du Caire, le Dr Ala Shaheen dit à un auditoire : qu’il pourrait y avoir une théorie comme quoi les extraterrestre ont aidé les anciens Égyptiens à construire la plus ancienne    des pyramides d’Égypte, comme celle de Gizeh.
Interroger par M. Marek Novak, un délégué de la Pologne lui a posé la question est ce que la    pyramide pourrait contenir de la technologie extraterrestre, ou même un OVNI ?
Le Dr Shaheen, rerstant vague a répondu :
« Je ne peux pas confirmer ou nier, mais il y a    quelque chose à l’intérieur de la pyramide qui « n’est pas de ce monde ».
Les délégués à la conférence sur l’architecture égyptienne antique ont été choqués, mais le Dr    Shaheen a refusé de commenter ou d’apporter des précisions sur l’ovni ou les extraterrestre.
Michael Cohen
Or, fait étrange, il y a plusieurs années, en 1961, les russes avaient lancés un projet, le    projet Isis, afin de récupérer les connaissances cachées dans la grande pyramide. Ces connaissances auraient été stocker dans une bibliothèque appelé la chambre des connaissances.
Finalement les équipes russes auraient récupéré des documents ainsi que le corps d’un    extraterrestre.
Beaucoup d’entre vous ont sans doute déjà visionné ce reportage, lien ci - dessous, je ne me    prononcerai pas sur la réalité ou pas de cette histoire, mais cela vient corroborer les dires du Dr Ala Shaheen, et aussi ce que beaucoup soupçonnent de longue date.
On sait aussi, mais beaucoup moins, qu’il existe également sous les pyramides un vaste complexe,    et des vestiges gênants d’une science très avancée, comme le prouve le Nexus n° 33.
Extrait :
Le Sphinx et les Pyramides ne sont que la partie visible d’un fabuleux iceberg…
Dans son étude célèbre, Des Mystères, en particulier ceux d’Egypte, de Chaldée et d’Assyrie,    Jamblique, un Syrien du quatrième siècle très représentatif de l’Ecole d’Alexandrie dans les matières mystique et philosophique, rapporta cette observation au sujet de l’entrée de la Grande    Pyramide par le corps du Sphinx :
Cette entrée, aujourd’hui obturée par le sable et les décombres, peut être retrouvée entre les    pattes avant du colosse accroupi. Elle était autrefois fermée par une grille de bronze dont seuls les Mages pouvaient actionner le mécanisme caché. Elle était protégée par la vénération publique,    et une sorte de terreur sacrée maintenait son inviolabilité mieux que ne l’aurait fait une protection armée.
Dans le ventre du Sphinx étaient creusées des galeries menant à la partie souterraine de la    Grande Pyramide. Ces galeries s’entrecroisaient le long du parcours vers la Pyramide avec un tel art que, quiconque s’y engageant sans guide retournait inévitablement à son point de    départ.
Les antiques cylindres scellés des Sumériens racontent que la demeure secrète des Anunnakis    était “un lieu souterrain… où l’on pénètre par un tunnel dont l’entrée est cachée par le sable ainsi que par ce qu’ils nommaient Huwana… dont les dents sont semblables à celles d’un dragon, et la    face, à celle d’un lion”.
Ce texte ancien remarquable, dont il ne reste malheureusement que des fragments, ajoutait que    “Il (Huwana) ne peut ni avancer, ni reculer”, mais qu’en grimpant sur lui par l’arrière, le passage vers “la demeure secrète des Anunnakis” n’était plus bloqué.
Les notes sumériennes fournissent une description probable du Sphinx de Gizeh, et si cette    grande créature était construite pour garder ou obturer d’anciens escaliers et des passages inférieurs menant aux parties souterraines au-dessous et alentour, alors, ce symbolisme était    parfaitement opportun.
Ces quelques dernières années un séismographe sophistiqué et un équipement radar pénétrant le    sol (GPR) établirent l’exactitude de ces plans. L’Égypte utilise aussi avec succès des satellites de pointe afin de repérer les cités enfouies sous la surface du sol à Gizeh et    ailleurs.
Le nouveau système de repérage fut lancé début 1998 et permit de déterminer avec précision    l’emplacement de 27 sites non encore fouillés sur 5 secteurs. Neuf de ces sites sont situés sur la rive Est de Louxor, les autres à Gizeh, Abou Rawash, Sakkarah, et Dashour.
Les clichés du secteur de Gizeh montrent une masse presque incompréhensible constituée d’un    entrelacs de tunnels et de salles en réseau, se recoupant et s’entortillant réciproquement comme un treillis s’étendant à travers tout le plateau.
Avec cet important travail d’étude depuis l’espace, les égyptologues sont capables de déterminer    l’emplacement d’un site majeur, son entrée probable et la taille des salles avant de commencer les fouilles.
L’attention est attirée sur trois lieux secrets : un endroit dans le désert à quelques centaines    de mètres en direction de l’ouest/sud-ouest de l’emplacement originel de la Pyramide Noire, autour de laquelle on construit actuellement un ensemble d’enceintes de béton, haute de sept mètres et    couvrant huit kilomètres carrés ; l’ancienne grande route qui reliait le temple de Louxor à Carnac; et le “Chemin d’Horus” à travers le nord Sinaï.
Ceci n’est qu’un tout petit extrait de ce sujet, à voir ici, il est passionnant :
Il n’est nul doute, que dans les pyramides, et sous ces pyramides, existent bel et bien des    secrets cachés par les autorités, nous vivons dans un monde de mensonges constant, la vérité de notre monde sur Terre, sous terre, et dans l’espace, est falsifié…Mais jusqu’à quand ?
Un mur autour des pyramides …
En 2002, de manière presque inaperçue par le public mondial, un vaste mur de béton, surmonté    d'une grille, a été érigé autour du terrain de Gizeh. Dès le début, Armin Risi a observé la construction. Voici son premier rapport de la situation.
En mars 2002, j'ai entendu pour la première fois parler qu'un mur serait construit autour du    plateau des pyramides et le terrain environnant. Des amis de retour d'Egypte, avaient vu les fondations ainsi que les premières parties du mur. Quand le petit groupe privé de touristes voulait    suivre la ligne des fondations qui conduit jusqu'au désert, il en a été empêché par des gardiens armés.
On leur a interdit de faire d'autres photos, ce qui nous a tous rendus encore plus curieux.    Qu'est-ce qui se passait ici ?
Un mur mystérieux, une cadence élevée de travail…
Apparemment, tout d'abord ce sont les fondations qui ont été érigées environ ½ mètre dans le    sol, entremêlées d'une suite d'une double rangée de tiges en acier (avec tous les 10 cm deux des tiges en face). Pourquoi ce mur en béton doit-il être tellement renforcé ? Et pourquoi sur une    longueur de plusieurs kilomètres ?
Et pourquoi les premières parties du mur, ont-elles été érigées à des angles très éloignés du    plateau ou ni des touristes ni même les gens du pays se rendent ? Est-ce que l'on voulait cacher le plus longtemps possible ce que l’on recherche par ici ?
La visite suivante en juillet 2002 montrait que le mur grandissait à une cadence alarmante. Ici,    on travaillait 24 heures par jour ! Et au sommet du mur d'une hauteur d'environ 4 mètres, se dressaient des tiges en fer de 3 mètres.
Lors des visites en décembre 2002 et février 2003, on pouvait constater ce que cette    construction signifiait : entre-temps le mur avait atteint le plateau des pyramides et sur les tiges en fer des grilles avaient été fixées.
En avril 2002 j'avais informé le chercheur bien connu, le professeur Jim Hurtak, de cette    construction. A cette époque, il n'en avait pas encore entendu parler, mais il envoya un collaborateur qui confirma la chose et ramena de nombreuses photos. Sur son site web, le professeur Hurtak    publia l'estimation que le terrain emmuré aurait une superficie d'environ 8 km2.
De plus, il relata que "l'installation du mur est tellement gigantesque que dans ce but quelques    bâtiments et logements de village ont certainement dû être démolis et enlevés. De ce fait, il faut supposer que ce n'est pas seulement l'intérêt des touristes qui est en jeu.
Ce que nous avons ici est un plan plus grand, bien réfléchi qui inclut également les sites    environnants et doit sécuriser probablement des tombes souterraines, tunnels et couloirs…etc
Le financement de ce mur viendrait des USA, il est question, entre autre, de „Stanford    University“
Quelles sont les motivations ? On sait que pendant les dernières années, de nombreuses fouilles    ont eu lieu sur le plateau de Gizeh. Ainsi, le sol a été "radiographié" par sonde acoustique et les pyramides étaient plusieurs fois fermées quelques mois. En février 2003, les trois pyramides    étaient fermées aux touristes. Pour des travaux de rénovation !
Serait-on en train de faire des recherches à l'intérieur ? Ou les rumeurs concernant des    souterrains et espaces sous le plateau sont-elles fondées ? Des fouilles sont-elles programmées dont le public ne doit rien savoir ?

Ce ne sont que des spéculations, mais en tout cas cela vaut la peine de garder sous surveillance    cette région dans un proche avenir surtout par des chercheurs indépendants.
Armin Risi

Il parraitrait, selon plusieurs témoins, que depuis la construction de ce mur, les excavations    en sous-sol vont bon train sur le site fermé et isolé des curieux, des bruits de grosses machineries sont également entendu, mais nul ne sait de quoi il s’agit réellement !

Une zone ou personne n'avait accès jusqu’à présent, a été découverte également, les États-Unis exercent une surveillance accrue sur une structure interne de la pyramide. La chose la plus étonnante est que dans cette salle    découverte il y avait une signature thermique importante, de la chaleur ... Et on mentionne la présence d’une «entité».

Des forces spéciales ont été déployées aux alentours, et aux environ des 22, 23 avril cette    entité inconnue est apparut, très grande, et étant vêtue d'or, portant une coiffe d'oiseaux. En consultant nos amis de la Geomatrix Gizeh, il semblerait que ce soit Thoth !

D’autres infos complémentaires ici :


Thôt :
Dans la mythologie égyptienne, Thot est le dieu lunaire. Représenté comme un ibis au plumage    blanc et noir ou comme un babouin, Thot capte la lumière de la lune, dont il régit les cycles, à tel point qu'il fut surnommé « le seigneur du temps ».

Inventeur de l'écriture et du langage, il est la « langue d'Atoum » et le dieu des scribes.    Incarnation de l'intelligence et de la parole, il connaît les formules magiques auxquelles les dieux ne peuvent résister. Selon la légende, celui qui était capable de déchiffrer les formules    magiques du Livre de Thot pouvait espérer surpasser même les dieux.

Le respect que Thot inspire lui vient de son savoir illimité. Toutes les sciences sont en sa    possession : Il connaît tout et comprend tout. En tant que détenteur de la connaissance, il est chargé de la diffuser. C'est pourquoi il a inventé l'écriture. Les anciens égyptiens pensaient que    le savoir et la connaissance leur avaient été transmis par des livres et des écrits que Thot avait volontairement abandonnés dans des temples.

Il préside à l'audition des morts au tribunal d'Osiris, et c'est Anubis qui pèse et juge les    âmes en les comparant au poids d'une plume. Lors de son combat avec Seth, Horus perdit son œil, mais le retrouva par la suite grâce à Thot. Appelé « Oudjat », cet œil représente la victoire de    l'ordre (légitime, Horus étant l'héritier du défunt Osiris) sur le chaos (Seth, qui perturbe l'ordre dynastique, et par conséquent l'ordre du monde).

On ne peut également s’empêcher de re-penser aux écrits et aux dires d’ Edgar    Cayce !

Edgar Cayce, né en 1877 et mort en 1945, son oeuvre est considérable. Elle se compose d'environ    14 256 lectures, c'est à dire, de consultations et d'analyses données au cours d'une sorte de sommeil très spécial, apparenté à une transe médiumnique.

"Bientôt viendra le temps des grands changements ; et dans trois endroits différents, on    exhumera les archives atlantes. Le Temple de l'Atlantide surgira à nouveau. C'est alors qu'on mettra à jour le temple, ou plutôt la salle des archives en Egypte, ainsi que les archives qui    avaient été cachées au coeur du pays atlante : elles pourront y être retrouvées (...) Ces archives forment un tout"

A propos de la découverte de cette salle des Archives en Egypte à Gizeh, Cayce dit encore    :

"En ce qui concerne les archives (géo)physiques, il sera nécessaire d'attendre que s'accomplisse    le temps de la désintégration de ce qui a été fait par les volontés égoïstes du monde. Car rappelez-vous que ces archives ont été réunies dans l'optique des changements mondiaux".

Un autre homme, Giordano Bruno, fut lui aussi l'un des premiers à oser dire que l'univers était    infini et qu'il existait d'innombrables mondes habités ...

Giordano Bruno est le premier à postuler, contre la doctrine de l'Église de l'époque,    résultat : Il fut brulé par l’église !!

À la lecture de sa condamnation au bûcher, Bruno commente : « Vous éprouvez sans doute plus de    crainte à rendre cette sentence que moi à la recevoir. ». Le 17 février 1600, il est mis nu, la langue entravée par un mors de bois l'empêchant de parler et de crier, sur le Campo Dei Fiori et    supplicié sur le bûcher devant la foule des pèlerins venus pour le Jubilé.

Tout semble lié au final, et tous les mystères et secrets qui nous entourent, aussi bien sur    terre que sous terre, et même dans l’espace, seraient tous reliés par un fil mystèrieux…

Il n’est nul doute, que dans les pyramides, et sous ces pyramides, existent bel et bien des    secrets cachés par les autorités, nous vivons dans un monde de mensonges constant, la vérité de notre monde, sur Terre, sous terre, et dans l’espace, est falsifiée et mensogère…
Mais jusqu’à quand ?

A vous de juger comme toujours…
Source: le blog de merlin

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La découverte qui aurait pu changer le monde.


Les secrets d'un patriarche :
« La découverte qui aurait pu changer le monde »
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, un ingénieur français découvrait l'influence du rayonnement cosmique sur le vivant ...
« La découverte qui aurait pu changer le monde »
Marcel Violet (1886 - 1973), ingénieur des Arts et Métiers et inventeur français, considéré comme le père du moteur à deux temps pour les automobiles.
Il s'est inspiré des travaux dans les années vingt du physicien et biologiste français, Georges Lakhowsky, l'un des premiers à étudier les relations entre les radiations cosmiques et les phénomènes vitaux, qui conclut que les rayonnements cosmo-telluriques ont une influence, bonne ou mauvaise, sur la vie.
Les expériences de Marcel Violet l'amènent à constater, à partir de 1938, l'existence d'un rayonnement pénétrant non lumineux qui, associé au rayonnement lumineux visible, en modifie profondément l'action.
Il expérimente que l'eau soumise à ce rayonnement donne des effets bénéfiques sur la santé et la croissance des plantes.
Après la Seconde Guerre mondiale, il consacre ses recherches à l'explication de ces phénomènes et invente notamment un procédé de traitement électro-vibratoire de l'eau (brevet FR1142722).
Energie vitale ?
C'est dans son livre (1) qu'il explique les résultats de ses recherches. En voici les extraits principaux concernant notre sujet :
« Ces diverses observations constituent une confirmation - sinon une preuve formelle - de la justesse de l'hypothèse de travail précédente. Elles semblent établir que le rôle fondamental de l'eau en biologie tient essentiellement à sa capacité d'absorber, puis de restituer, certains rayonnements capables par ailleurs de jouer un rôle strictement actif sur les substances vivantes.
Ces rayonnements constitueraient-ils donc "l'énergie vitale"? (...) La guerre survint et m'obligea à interrompre mes recherches pour me consacrer à d'autres occupations. J'avais cependant conservé la liaison avec les Officiers de la Section Technique de l'Armée et, lorsqu'en 1948, je reçus du général Sabatier son remarquable travail, ce fut pour moi un trait de lumière. (...)
Les extrapolations de Sabatier et la question qu'il posait : "Sommes-nous en présence des ondes biologiques ?" trouvaient leur réponse dans mes expériences. Nous touchions indiscutablement aux origines de la Vie et, peut-être, à la Vie elle-même.
Nous allons essayer d'exposer, en y mettant un peu d'ordre, tout un ensemble d'expériences qui ont eu lieu, dans un empirisme complet au début, puis s'ordonnant au fur et à mesure que les résultats apparaissaient, pour atteindre enfin le stade du contrôle systématique, en attendant celui de la connaissance scientifique complète. »
Essais sur le végétal…
Marcel Violet explique ensuite son procédé consistant, grosso modo, à capter des ondes et exposer de l'eau à leur rayonnement. Après de nombreux tâtonnements : « Le résultat fut immédiat. Je fus à même de produire une eau dont les effets accélérateurs sur la germination des graines permettaient des contrôles et des mesures. Nous sommes restés de longues années à utiliser le phénomène sans pouvoir l'expliquer. (...)
À la demande du ministère de l'Agriculture, il fut procédé à des essais systématiques de l'influence des ondes biologiques sur la croissance et la composition des plantes.
Différents procédés sont utilisés, notamment :
- Trempage des graines dans l'eau traitée par les ondes biologiques. Les graines séjournent en général quinze minutes dans l'eau avant d'être mises en terre. L'expérience était comparée à la croissance de plantes témoins dont les graines étaient simplement trempées dans de l'eau non traitée.
- Arrosage des plantes avec de l'eau traitée diluée.
- Traitement des plantes avec des gaz chargés d'ondes biologiques. Les expériences sont complétées par des expériences-témoins identiques, effectuées en même temps, mais avec de l'eau de même nature, non traitée.
Les premiers résultats ont déjà été enregistrés : Carottes de Croissy récoltées après huit semaines de végétation, en même temps que les témoins. Les témoins pèsent en moyenne 60 grammes. Les plantes traitées pèsent en moyenne 80 grammes, certains sujets exceptionnels atteignant 1 200 grammes.
L'analyse de la composition (minéraux, vitamines etc.) ne révèle aucune différence. La saveur et la consistance sont apparemment identiques.
Les carottes proviennent de graines d'un même paquet et ont été semées le même jour dans la même terre. La graine du 1 n'a pas été traitée. La graine du 3 a subi un trempage de huit heures dans l'Eau traitée agricole. La carotte 2 provient d'une plantation antérieure oubliée, elle est dure et non comestible, mais montre le développement maximum normal de cette variété.
Betteraves fourragères - La partie témoin a donné 99 tonnes l'hectare. Poids moyen, 2 kg. La partie dont les semences avaient subi le trempage, a donné 113 tonnes à l'hectare. Poids moyen 2,25 à 2,3 kg. La partie dont les semences avaient été traitées, mais qui avait en outre subi un arrosage à mi-végétation, a donné 126 tonnes à l'hectare. Poids moyen 2,4 kg avec des sujets atteignant 8 kg !
Les analyses très précises effectuées sur les différents sujets n'ont révélé aucune différence de composition.
Toute une série d'essais effectués sur les pommes de terre devaient conduire à des résultats tels que la conclusion qui en découle est d'une importance capitale dans l'évolution de la biologie.
Voici un résumé des premiers résultats d'essais entrepris en 1967 dans des cultures maraîchères en serres, dans l'Aisne. Les plantes ont été arrosées à l'eau électro-vibrée en dilution à 10%, deux fois à trois semaines d'intervalle après le semis. »
Ces pommes de terre ont été mises à germer ensemble. Les premières n'ont pas subi de traitement préalable. Les secondes ont été traitées par les procédés Marcel Violet.
Des arbustes de tomates.
Marcel violet présente ensuite les résultats sur les melons, les concombres, les salades, le céleri, avant d'arriver aux tomates…
Tomates - Il a déjà fait un rapport sur le comportement des plants de tomates arrosés à l'eau électro-vibrée. Au lieu de pousser en hauteur, elles se développent en largeur, formant des arbustes forts avec un tronc large de 2 cm de diamètre. L'abondance des grappes est spectaculaire. (...)
Les premières expériences de traitement de plantes comportèrent de nombreux échecs : selon l'électrode employée pour préparer l'eau, la croissance de telle ou telle espèce était améliorée, alors que d'autres restaient indifférentes et que d'autres encore se voyaient contrariées.
Le botaniste ou l'agronome, d'ailleurs, n'en seront guère surpris, connaissant l'extrême diversité des besoins minéraux dominants des différentes plantes. Le problème humain est d'ailleurs essentiellement différent du problème agricole puisque, en général - à tort ou à raison d'ailleurs - tandis que l'on recherche à stabiliser l'homme adulte.
Remarquons encore que la plante, immobile dans son environnement, est beaucoup plus influencée par une multitude de facteurs qu'elle y rencontre : composition du sol, climat, voisinages, etc.
C'est pourquoi les eaux utilisées en agriculture ne seront jamais les mêmes qu'en diététique. Seuls les établissements spécialisés pourront fabriquer une eau convenant à chaque usage envisagé, qu'il s'agisse de trempage de graines ou d'arrosage (sans matériel métallique, bien entendu).
Les perspectives d'utilisation de l'eau traitée dans le domaine agricole n'en sont pas moins fabuleuses.
Au cours de son assemblée annuelle de 1966, la FAO reconnaissait l'échec des techniques actuelles de fertilisation et de lutte contre les facteurs de destruction des récoltes et de moyens de production, notamment les maladies cryptogamiques et les parasites, face à la montée démographique.
« L'utilisation systématique de l'eau traitée semble offrir des perspectives fabuleuses... »
Dans ce domaine, l'utilisation systématique de l'eau traitée semble offrir des perspectives fabuleuses, puisque le traitement peut être effectué partout, ou presque et dans des conditions de rentabilité inespérées, par comparaison avec les autres techniques.
Peut-être une action vigoureuse dans ce sens pourrait-elle encore sauver des régions entières du développement actuel et surtout prochain, du paupérisme et de la misère physiologique. En tout cas, c'est la première chose à tenter ! »
Ainsi on peut constater qu'après la Seconde Guerre mondiale, des expériences sur l'agriculture et les végétaux ont été menées pendant près de vingt ans, certaines à l'initiative du gouvernement français, avec des résultats spectaculaires.
Pourtant, c'est la voie du tout-chimique qui fut choisie ensuite, reléguant aux oubliettes de l'histoire les travaux de ces précurseurs. Même si on comprend bien les (en)jeux à l'œuvre, au moins on sait à qui a profité et profite toujours le "crime"... ?
Notes :
1. Le Secret des Patriarches - L'énergie cosmique au service de la santé, Marcel Violet et Michel Rémy, éd. Vie et Action, 1968
Les travaux de Marcel Violet auraient peut-être pu avoir des répercussions exceptionnelles sur la santé et d'autres domaines.
Source Nexus N° 65
Cela n’est pas sans rappeler toutes ces fabuleuses découvertes qui pour la plupart sont restées lettres mortes, et qui pourtant pourraient changer complétement notre monde et notre société…
Ou ces fameuses découvertes qui ne sont presque pas connu du grand publique…

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