Créé pour vous présenter mon dernier livre,je vous présente 4500 articles sur le thème de mon livre :les Templiers,des sujets ésotériques,des textes rosicrusiens,les mérovingiens, saint-Graal,Nostradamus,Mary Magdalene.Le Baphomet et le Tau, Château de Saumur,la femme dans l'histoire templière. Trésor templier.Histoires, légendes de Belgique,de France et d'Europe et Celtiques. La spiritualité. Développement personnel.
samedi 2 février 2013
Celtic mythology.
CAILLEACH
is a Goidelic word that literally means ‘veiled.’ As such it comes to
denote a woman who wore a veil and, by extension, eventually is used to
refer to a nun, an old woman or a hag. Inasmuch, it is sometimes
translated into English as ‘witch’ in certain contexts. In Irish and
Scottish mythology, the Cailleach Bheur is a divine hag, a creatrix, and
possibly an ancestral deity or deified ancestor. The word simply means
'old woman' in modern Scottish Gaelic, and has been applied to numerous
mythological figures in Ireland, Scotland, and the Isle of Man. The Old
Irish pronunciation is [ˈkalʲəx], the Old Irish plural cailleacha being
pronounced as [ˈkalʲəxə]. The Scottish Gaelic plural cailleachan is
pronounced /kaʎəxən/.
In the Inner Hebrides, where British
folks may say "How's the missus?" to a man, asking about his wife, in
the inner Hebrides it’s "How's the cailleach?" In Ireland, the word may
be used for a usually elderly divine wise woman, but in Western Scotland
it may refer to wise woman or goddess. The relatedness of the ethnonym
Callaeci may be contended.
CAILLEACH
est un mot gaélique qui signifie littéralement « voilé ». Comme tel, il
s'agit de désigner une femme qui portait un voile et, par extension,
par la suite, est utilisée pour désigner une religieuse, une vieille
femme ou une sorcière. Dans la mesure où, il est parfois traduit en
français par « sorcière » dans certains contextes. Dans la mythologie
irlandaise et écossaise, le Cailleach Bheur est une sorcière divine, une
créatrice et éventuellement, une divinité ancestrale ou ancêtre
divinisé. Simplement le mot signifie « vieille femme » en gaélique
moderne et a été appliqué à nombreuses figures mythologiques en Irlande,
l'Écosse et l'île de Man. La prononciation du vieil irlandais est
[ˈkalʲəx], le cailleacha pluriel de vieil irlandais étant prononcé comme
[ˈkalʲəxə]. La cailleachan du pluriel gaélique écossais est
prononcé/kaʎəxən /.
Dans l'archipel des Hébrides intérieures,
où les gens britanniques peuvent dire « Comment va la patronne? » à un
homme, poser des questions sur sa femme, dans les Hébrides intérieures,
il a « Comment va la cailleach? » En Irlande, le mot peut être utilisé
pour une femme sage divine habituellement âgée, mais dans l'ouest de
l'Écosse, il peut se référer à la sage femme ou une déesse. La parenté
de l'ethnonyme Gallaeci peut soutenir. (Traduit par Bing)
CAILLEACH
is a Goidelic word that literally means ‘veiled.’ As such it comes to
denote a woman who wore a veil and, by extension, eventually is used to
refer to a nun, an old woman or a hag. Inasmuch, it is sometimes
translated into English as ‘witch’ in certain contexts. In Irish and
Scottish mythology, the Cailleach Bheur is a divine hag, a creatrix, and
possibly an ancestral deity or deified ancestor. The word simply means
'old woman' in modern Scottish Gaelic, and has been applied to numerous
mythological figures in Ireland, Scotland, and the Isle of Man. The Old
Irish pronunciation is [ˈkalʲəx], the Old Irish plural cailleacha being
pronounced as [ˈkalʲəxə]. The Scottish Gaelic plural cailleachan is
pronounced /kaʎəxən/.
In the Inner Hebrides, where British folks may say "How's the missus?" to a man, asking about his wife, in the inner Hebrides it’s "How's the cailleach?" In Ireland, the word may be used for a usually elderly divine wise woman, but in Western Scotland it may refer to wise woman or goddess. The relatedness of the ethnonym Callaeci may be contended.
In the Inner Hebrides, where British folks may say "How's the missus?" to a man, asking about his wife, in the inner Hebrides it’s "How's the cailleach?" In Ireland, the word may be used for a usually elderly divine wise woman, but in Western Scotland it may refer to wise woman or goddess. The relatedness of the ethnonym Callaeci may be contended.
CAILLEACH
est un mot gaélique qui signifie littéralement « voilé ». Comme tel, il
s'agit de désigner une femme qui portait un voile et, par extension,
par la suite, est utilisée pour désigner une religieuse, une vieille
femme ou une sorcière. Dans la mesure où, il est parfois traduit en
français par « sorcière » dans certains contextes. Dans la mythologie
irlandaise et écossaise, le Cailleach Bheur est une sorcière divine, une
créatrice et éventuellement, une divinité ancestrale ou ancêtre
divinisé. Simplement le mot signifie « vieille femme » en gaélique
moderne et a été appliqué à nombreuses figures mythologiques en Irlande,
l'Écosse et l'île de Man. La prononciation du vieil irlandais est
[ˈkalʲəx], le cailleacha pluriel de vieil irlandais étant prononcé comme
[ˈkalʲəxə]. La cailleachan du pluriel gaélique écossais est
prononcé/kaʎəxən /.
Dans l'archipel des Hébrides intérieures, où les gens britanniques peuvent dire « Comment va la patronne? » à un homme, poser des questions sur sa femme, dans les Hébrides intérieures, il a « Comment va la cailleach? » En Irlande, le mot peut être utilisé pour une femme sage divine habituellement âgée, mais dans l'ouest de l'Écosse, il peut se référer à la sage femme ou une déesse. La parenté de l'ethnonyme Gallaeci peut soutenir. (Traduit par Bing)
Dans l'archipel des Hébrides intérieures, où les gens britanniques peuvent dire « Comment va la patronne? » à un homme, poser des questions sur sa femme, dans les Hébrides intérieures, il a « Comment va la cailleach? » En Irlande, le mot peut être utilisé pour une femme sage divine habituellement âgée, mais dans l'ouest de l'Écosse, il peut se référer à la sage femme ou une déesse. La parenté de l'ethnonyme Gallaeci peut soutenir. (Traduit par Bing)
Le mystère des puits templiers; pièges infranchisables.
Bonsoir à tous,
Ces jours-ci, c'est le moment, c'est l'instant !
C'est en se servant de l'eau qu'Yves de Lessines a tendu un piège mortel à ceux qui tenteraient de voler la sauvegarde de l'Ordre du Temple enterrée au Blanc Scourchet à Wodecq. Les grandes pluies de ces jours-ci permettent de comprendre "de visu" et à l'évidence comment fonctionne le piège.
Pour ceux que cela intéresse, c'est ces jours-ci qu'il faut venir voir. Sauf ce samedi après 15 heures car Julien sera seul de garde et il ne pourra pas assumer de visites. Si possible annoncez-vous au 068 44 82 31 ou au 0496 02 40 48 ou 0032 496 02 40 48.
Amitiés,
Rudy.
P.S. : Cette occurrence est rare et, évidemment, imprédictible. L'invitation est donc lancée à l'impromptu et la réception se fera bien entendu à la bonne franquette, sans chichis et sans tralala. Donc, si vous voulez boire, apportez votre (vraie) bière et si vous pensez que vous aurez faim, n'oubliez pas votre boîte à tartines.
Sources José Vandekerkove.
Encore un ouvrage sur les Templiers… ‘’C'est une véritable obsession’’, diront certains… Certes… Mais c'est toujours sur le chemin de ma quête concernant le 'Blanc Scourchet’ à Ellezelles… Tout indice, toute clé, sont toujours les bienvenus quels qu'ils soient… Même si ils ne servent pas immédiatement, ils peuvent être une petite pièce d'un immense puzzle… Une pierre à l'édifice… Cistercien ou Templier… Bien entendu… J Voici donc un passage qui pourrait nous servir. Il concerne la désobstruction d'un puits, probablement comblé à l'approche de la fin de l'Ordre du Temple : «… À ceci, on ajoute que le système d'étanchéité a parfaitement bien fonctionné… Ceci, à l'évidence, nous montre d'abord toute l'ingéniosité des techniciens du Temple, et ensuite, permet d'exclure, de ce phénomène, la moindre idée de hasard en la matière… On constate que le puits, avec sa cache, est resté sec sept cents ans, jusqu'au moment où il est violé sans ménagement, ou plutôt devrions-nous dire à l'instant où les précautions d'usage ne sont pas respectées, car inconnues. Pour nous, et quelques autres observateurs, il est impossible de supposer une simple coïncidence remettant le puisard en eau juste après que soient enlevés les madriers du faux plancher bloquant les gravats sur la cache. Cette soudaine arrivée d'air, ou tout système mis en place par les ‘pionniers’ templiers pour inonder la place en cas d'intrusion, de déplacement de madriers par exemple, n'est-il pas là pour rendre la cache, et son contenu inaccessible ? C'est une question à laquelle seuls les sapeurs du Temple disposaient des éléments nécessaires pour y répondre. Nous nous demandons si, aujourd'hui, avec nos moyens et notre technique prétendue avancée, nous serions capables d'une telle prouesse hydraulique… »
Autre livre : LE DERNIER TEMPLIER DE RUDY CAMBIER PARU AUX EDITIONS LOUISE COURTEAU.
Ces jours-ci, c'est le moment, c'est l'instant !
C'est en se servant de l'eau qu'Yves de Lessines a tendu un piège mortel à ceux qui tenteraient de voler la sauvegarde de l'Ordre du Temple enterrée au Blanc Scourchet à Wodecq. Les grandes pluies de ces jours-ci permettent de comprendre "de visu" et à l'évidence comment fonctionne le piège.
Pour ceux que cela intéresse, c'est ces jours-ci qu'il faut venir voir. Sauf ce samedi après 15 heures car Julien sera seul de garde et il ne pourra pas assumer de visites. Si possible annoncez-vous au 068 44 82 31 ou au 0496 02 40 48 ou 0032 496 02 40 48.
Amitiés,
Rudy.
P.S. : Cette occurrence est rare et, évidemment, imprédictible. L'invitation est donc lancée à l'impromptu et la réception se fera bien entendu à la bonne franquette, sans chichis et sans tralala. Donc, si vous voulez boire, apportez votre (vraie) bière et si vous pensez que vous aurez faim, n'oubliez pas votre boîte à tartines.
Sources José Vandekerkove.
Encore un ouvrage sur les Templiers… ‘’C'est une véritable obsession’’, diront certains… Certes… Mais c'est toujours sur le chemin de ma quête concernant le 'Blanc Scourchet’ à Ellezelles… Tout indice, toute clé, sont toujours les bienvenus quels qu'ils soient… Même si ils ne servent pas immédiatement, ils peuvent être une petite pièce d'un immense puzzle… Une pierre à l'édifice… Cistercien ou Templier… Bien entendu… J Voici donc un passage qui pourrait nous servir. Il concerne la désobstruction d'un puits, probablement comblé à l'approche de la fin de l'Ordre du Temple : «… À ceci, on ajoute que le système d'étanchéité a parfaitement bien fonctionné… Ceci, à l'évidence, nous montre d'abord toute l'ingéniosité des techniciens du Temple, et ensuite, permet d'exclure, de ce phénomène, la moindre idée de hasard en la matière… On constate que le puits, avec sa cache, est resté sec sept cents ans, jusqu'au moment où il est violé sans ménagement, ou plutôt devrions-nous dire à l'instant où les précautions d'usage ne sont pas respectées, car inconnues. Pour nous, et quelques autres observateurs, il est impossible de supposer une simple coïncidence remettant le puisard en eau juste après que soient enlevés les madriers du faux plancher bloquant les gravats sur la cache. Cette soudaine arrivée d'air, ou tout système mis en place par les ‘pionniers’ templiers pour inonder la place en cas d'intrusion, de déplacement de madriers par exemple, n'est-il pas là pour rendre la cache, et son contenu inaccessible ? C'est une question à laquelle seuls les sapeurs du Temple disposaient des éléments nécessaires pour y répondre. Nous nous demandons si, aujourd'hui, avec nos moyens et notre technique prétendue avancée, nous serions capables d'une telle prouesse hydraulique… »
Autre livre : LE DERNIER TEMPLIER DE RUDY CAMBIER PARU AUX EDITIONS LOUISE COURTEAU.
http://boutic.annik.1tpe.fr
La vie inconnue de Jésus.
<<< Nicolas Notovich nous raconte l'histoire incroyable qu'il a vécue
lors d'un voyage au Tibet à la fin du XIXe siècle. La première moitié de
l'ouvrage est consacrée au récit de son cheminement à travers l'Inde jusqu'aux
montagnes sacrées. C'est lors d'un séjour dans un monastère tibétain qu'il
apprend l'existence de nombreux manuscrits faisant état de récit de la vie d'un
certain ‘’Issa, très saint homme’’… L'auteur
retranscrit méticuleusement la traduction des principaux versets, puis nous fait
part de son commentaire. Il insiste particulièrement sur les épisodes de la fin
de la vie de Jésus, tels qu'ils ont été rapportés en Inde par les voyageurs de
commerce dans les années qui suivirent sa crucifixion. Il faut, dès lors, ne pas
s'étonner des critiques virulentes de la part de l'Église catholique lorsque
l'on peut résumer ainsi le dernier paragraphe : « Pilate, sentant la récupération de la
condamnation d'un innocent et la montée de l'insurrection, aurait fait
disparaître le corps… Mais, mal lui en prit, puisque les apôtres ont alors pu
faire croire au miracle… ».
Roman ou réel récit
d'aventure, je laisse aux historiens le soin de faire des recherches nécessaires
pour confirmer la totale véracité de cet ouvrage.
>>>.
Sources Pierre P.
http://boutic.annik.1tpe.fr
http://boutic.annik.1tpe.fr
Le citron congelé : incroyable. À vous d'en déterminer l'efficacité !
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vendredi 1 février 2013
Derivazione dell'alfabeto segreto dalla Croce delle Beatitudini
Derivazione dell'alfabeto segreto dalla Croce delle Beatitudini
Si noterà, esaminando la figura 2 riportata sopra, che le lettere A, B,
C, D sono formate dagli angoli retti che limitano l’estremità di ogni
braccio della croce grande. Le lettere E, F, G, H sono formate dai
quattro triangoli che formano la piccola croce interna. Le lettere I (o
J), K, L, M sono formate dai quadrilateri ottenuti completando il
tracciato di questa piccola croce con quello dei quattro angoli retti
periferici. La lettera N è al centro, ripetuta due volte dall’incrocio
delle otto diagonali dell’ottagono regolare che circoscrive la figura.
Le altre lettere sono costituite dagli stessi elementi presi però con un
ordine un po’ differente e aggiungendovi un punto all’interno.
Orientando la croce nel modo su indicato, si nota che le lettere sono
state scelte nell’ordine seguente:
Angoli retti periferici senza punto interno
A in alto
B a destra
C in basso
D a sinistra
Angoli retti periferici con punto interno
O in alto
P a destra
Q in basso
R a sinistra
Triangoli senza punto interno
E a sinistra
F a destra
G in basso
H in alto
Triangoli con punto interno
S in alto
T a destra
U in basso
V a sinistra
Considerando allo stesso modo le altre lettere formate con i
quadrilateri definiti come è stato detto prima, si nota che le lettere I
o J, K, L, M senza punto interno, corrispondono alle lettere X, Y, W, Z
con il punto interno. La figura 2 mostra i gruppi di lettere
corrispondenti ad ogni braccio della croce. Sembra che l’ordine in cui
sono stati scelti gli elementi da abbinare alle lettere abbia un senso
esoterico e che, nel suo insieme, la croce templare sia un pentacolo,
ossia uno schema che riassume una dottrina. In tal caso sarebbe affine a
quelle figure chiamate "ruote pentacolari" e di cui la croce gammata e
la Clavicola di Phu-Hi sono un esempio.
L’ottonario,
simboleggiato dall’ottagono e dalle otto punte della “croce delle
Beatitudini”, evoca il doppio quaternario attivo e passivo, che riassume
l’equilibrio costruttivo delle forme, dei temperamenti e delle energie
cosmiche. L’enneade, rappresentata dalle otto punte della stella e dalla
N posta al centro, richiamerebbe, secondo l’esoterismo dei numeri, il
concetto che il numero nove è quello dell’armonia del trimundio, quello
dell’unione della vita animale, di quella spirituale e di quella
emotiva; il 9, inoltre, secondo la cabala ebraica, corrisponde alla
lettera “teth” () dell’alfabeto. Il suo nome divino è Tehor, che
significa "Prudenza". Si può ulteriormente sottolineare che la N
centrale ricorda molto la posizione della stessa in un altro enigmatico
simbolo che venne adottato dai Templari, il Quadrato Magico del "SATOR",
e che spesso, nei quadrati di origine templare, questa "N" viene
rappresentata rovesciata.
Anche l'Esagramma, nel simbolismo di
questa figura, sarebbe richiamato dal raggruppamento per sei delle
lettere di ciascun braccio della croce. D’altra parte c’è chi sostiene
che la pianta della chiesa del Tempio era stata concepita ispirandosi
alla forma di questo pentacolo, e che nelle piante delle chiese templari
di forma ottagonale è facilmente inseribile questa figura, le cui linee
andranno a cadere in punti importanti al suo interno. Comunque sia, si
può dire che questa croce, insieme all’alfabeto segreto, costituisce un
corpo di dottrina segreta di origine orientale.
Si noterà, esaminando la figura 2 riportata sopra, che le lettere A, B, C, D sono formate dagli angoli retti che limitano l’estremità di ogni braccio della croce grande. Le lettere E, F, G, H sono formate dai quattro triangoli che formano la piccola croce interna. Le lettere I (o J), K, L, M sono formate dai quadrilateri ottenuti completando il tracciato di questa piccola croce con quello dei quattro angoli retti periferici. La lettera N è al centro, ripetuta due volte dall’incrocio delle otto diagonali dell’ottagono regolare che circoscrive la figura. Le altre lettere sono costituite dagli stessi elementi presi però con un ordine un po’ differente e aggiungendovi un punto all’interno. Orientando la croce nel modo su indicato, si nota che le lettere sono state scelte nell’ordine seguente:
Angoli retti periferici senza punto interno
A in alto
B a destra
C in basso
D a sinistra
Angoli retti periferici con punto interno
O in alto
P a destra
Q in basso
R a sinistra
Triangoli senza punto interno
E a sinistra
F a destra
G in basso
H in alto
Triangoli con punto interno
S in alto
T a destra
U in basso
V a sinistra
Considerando allo stesso modo le altre lettere formate con i quadrilateri definiti come è stato detto prima, si nota che le lettere I o J, K, L, M senza punto interno, corrispondono alle lettere X, Y, W, Z con il punto interno. La figura 2 mostra i gruppi di lettere corrispondenti ad ogni braccio della croce. Sembra che l’ordine in cui sono stati scelti gli elementi da abbinare alle lettere abbia un senso esoterico e che, nel suo insieme, la croce templare sia un pentacolo, ossia uno schema che riassume una dottrina. In tal caso sarebbe affine a quelle figure chiamate "ruote pentacolari" e di cui la croce gammata e la Clavicola di Phu-Hi sono un esempio.
L’ottonario, simboleggiato dall’ottagono e dalle otto punte della “croce delle Beatitudini”, evoca il doppio quaternario attivo e passivo, che riassume l’equilibrio costruttivo delle forme, dei temperamenti e delle energie cosmiche. L’enneade, rappresentata dalle otto punte della stella e dalla N posta al centro, richiamerebbe, secondo l’esoterismo dei numeri, il concetto che il numero nove è quello dell’armonia del trimundio, quello dell’unione della vita animale, di quella spirituale e di quella emotiva; il 9, inoltre, secondo la cabala ebraica, corrisponde alla lettera “teth” () dell’alfabeto. Il suo nome divino è Tehor, che significa "Prudenza". Si può ulteriormente sottolineare che la N centrale ricorda molto la posizione della stessa in un altro enigmatico simbolo che venne adottato dai Templari, il Quadrato Magico del "SATOR", e che spesso, nei quadrati di origine templare, questa "N" viene rappresentata rovesciata.
Anche l'Esagramma, nel simbolismo di questa figura, sarebbe richiamato dal raggruppamento per sei delle lettere di ciascun braccio della croce. D’altra parte c’è chi sostiene che la pianta della chiesa del Tempio era stata concepita ispirandosi alla forma di questo pentacolo, e che nelle piante delle chiese templari di forma ottagonale è facilmente inseribile questa figura, le cui linee andranno a cadere in punti importanti al suo interno. Comunque sia, si può dire che questa croce, insieme all’alfabeto segreto, costituisce un corpo di dottrina segreta di origine orientale.
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