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.Pyramide de chine.
.Les pyramides de Meroé - Soudan.
.Honduras: Copan.
.la Civilisations Du Soleil Pyramides De Mexico.
.la Civilisations Du Soleil Pyramides De Mexico(2).
.la Civilisations Du Soleil Pyramides De Mexico(3).
.en Bosnie.
Des archéologues ont entamé dans le centre de la Bosnie des travaux
d'excavations sur un site qui abriterait trois pyramides, les seules en
Europe. Des d'experts ont commencé à creuser à environ quatre kilomètres
de deux collines où seraient dissimulées les pyramides. Les
archéologues supposent qu'un passage souterrain mènerait vers l'enceinte
des "pyramides" (au nord de Sarajevo qui sort à peine d'une terrible
guerre). La population locale a rapidement rebaptisé ces collines les
pyramides du Soleil, de la Lune et du Dragon....PYRAMIDES EN BOSNIE.
.de Yonaguni (immergée dans la mer du Japon).
.Pérou.
La
cité perdue de Caral, au Pérou, apporte peut-être une explication à ce
changement. Ce documentaire passionnant redonne vie à la cité perdue
grâce à de superbes reconstitutions en 3D.
En 1994, l'archéologue Ruth
Shady, de l'université de Lima, pense avoir découvert des pyramides sous
les paysages péruviens. Grâce à sa persévérance, elle parvient à mettre
en oeuvre des fouilles.Petit à petit, les recherches mettent au jour
des pierres, des escaliers, des murs et même des bouts de cordes, qui
permettent une datation précise : la cité perdue aurait vu le jour près
de 2600 ans avant Jésus Christ.Si l'on en croit cette formidable
découverte, les pyramides de Caral seraient contemporaines à celles
d'Egypte.Grâce au travail de Ruth Shady, la preuve est enfin apportée
qu'une civilisation complexe a vu le jour en Amérique latine, à la même
époque qu'autour de la Méditerranée.Les archéologues mettent au jour de
nombreuses trouvailles et trésors utiles pour l'étude de cette
civilisation.
Par ailleurs, les
découvertes scientifiques permettent de penser que la cité de Caral
avait élaboré un savant système d'irrigation pour faire pousser du coton
et en faire commerce.Grâce à des images 3D saisissantes de réalisme, ce
documentaire exceptionnel questionne, entre autres, les origines des
grandes civilisations.
.Les pyramides oubliées de Caral(2).
.Les pyramides oubliées de Caral(3).
.Les pyramides oubliées de Caral(4).
.Les pyramides oubliées de Caral(5).
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.Le mystère des pyramides.
.Les pyramides inconnues dont personnes ne parlent.
.site qui compile les pyramides d'Éypte.
.Les pyramides du monde.
Créé pour vous présenter mon dernier livre,je vous présente 4500 articles sur le thème de mon livre :les Templiers,des sujets ésotériques,des textes rosicrusiens,les mérovingiens, saint-Graal,Nostradamus,Mary Magdalene.Le Baphomet et le Tau, Château de Saumur,la femme dans l'histoire templière. Trésor templier.Histoires, légendes de Belgique,de France et d'Europe et Celtiques. La spiritualité. Développement personnel.
mardi 14 mai 2013
De nombreuses similitudes déroutantes et non résolues relient les égyptiens et les pré-incas/incas de l'antiquité
Richard Cassaro, 5 novembre 2012
Les égyptiens (en Afrique) et les pré-incas/incas (en Amérique du
sud) de l'antiquité ont évolué de chaque côté du globe et n'ont jamais
été en contact ; pourtant les deux cultures montrent des réalisations
remarquablement identiques dans les domaines de l'art, de
l'architecture, du symbolisme, de la mythologie et de la religion. Les
spécialistes de l'ère victorienne, face à cette énigme, ont conclu que
les deux cultures devaient être les successeurs de la même civilisation
parente de l'Âge d'Or, l'Atlantide. Aujourd'hui, le parallèle
égyptien/inca n'est pas non seulement ignoré des érudits américains et
occidentaux, il a été carrément supprimé.
De nombreuses similitudes déroutantes et non résolues relient les égyptiens et les pré-incas/incas de l'antiquité – bien que les deux cultures aient évolué sur des régions opposées de la planète, séparées par des océans.
Les spécialistes de l'ère victorienne pensaient que les deux cultures avaient hérité d'une même sagesse en provenance d'une source excessivement plus ancienne – une ''civilisation parente'' commune aujourd'hui perdu pour l'histoire. Pour les gens de l'époque victorienne cette hypothèse du parent commun expliquait bien les parallèles. Ils ont nommé ce parent commun ''Atlantide'', à la suite de Platon et des historiens classiques.
Aujourd'hui, ''l'establishment'' rejette l'Atlantide, avec une curieuse hostilité, tout en ignorant le parallèle entre les deux civilisations.
Pourtant ces parallèles n'étaient pas ignorés des victoriens. Effectivement, les esprits les plus brillants parmi ces érudits pensaient l'Atlantide bien réelle – et voici pourquoi :
Pyramides
Les deux civilisations pré-inca/inca et égyptienne... construisaient des pyramides de pierre et des pyramides à degré dans le désert le long de rivières, alignées sur les points cardinaux (voir la vidéo sur "la révélation des pyramides", où le regard du Sphinx est aligné sur Orion, note d'Hélios).
Momies
Les deux civilisations... momifiaient leurs morts, qui symbolisait la vie dans l'au-delà. Les momies étaient enterrées dans des pyramides, avec souvent des offrandes de nourriture et des objets personnels. Les deux cultures croyaient à une vie après la mort.
Momies avec les bras croisés
Les deux civilisations... croisaient les bras de leurs morts momifiés. C'était pour montrer l'état d'équilibre de celui pénétrant au royaume de la mort, comme celui vécu du vivant. Les deux bras montrent des opposés en équilibre, côté gauche et droit croisés.
Masques funéraires en or
Les deux civilisations... plaçaient des masques en or sur leur
défunts, symbolisant leur retour vers l'éternité, l'autre côté du voile,
la demeure élevée dans les cieux, qui est éternelle et spirituelle, à
la différence de la Terre, qui est temporaire et physique. Cela traduit
aussi au sens alchimique l'idée que, pendant leur séjour ici-bas, ces
âmes éternelles prenaient une forme humaine et la transformaient en or.
Colliers avec animaux en opposition
Les deux civilisations... paraient leurs défunts de colliers en or
avec les extrémités formées de têtes jumelles d'animaux regardant vers
l'extérieur, symbolisant nos pouvoirs humains/animaux en équilibre, dans
un état de paix égal. Cet état d'équilibre montre la réalisation d'une
transformation alchimique, d'où l'or.
Maçonneries de pierre similaires
Les deux civilisations... construisaient des maçonneries de pierre
très semblables d'apparence, jusque dans les détails des saillies ou
''bosses'' (voir détails). À quoi cela rime-t-il ? Comment l'expliquer ?
Précision dans le travail de la pierre
Les deux civilisations... créaient des découpes très précises dans
la pierre des maçonneries, ce qui fait qu'on peut à peine passer une
feuille de papier entre les pierres. Souvent aucune trace de mortier.
Ceci symbolise la quête d'une recherche de perfection ou d'une approche
de la perfection, qui mène un peu plus près de notre demeure spirituelle
et paradisiaque et source éternelle.
Portes trapézoïdales
Les deux civilisations...construisaient des portes trapézoïdales,
représentant une élévation spirituelle. Le trapézoïde est semblable au
triangle, qui dénote ascension et transcendance. La porte trapézoïdale
est courante dans de nombreuses cultures antiques. On relie ceci à une
sorte d'état futuriste de l'humanité qui s'est produit dans un lointain
passé, quand les gens étaient en paix et avaient atteint le nirvana ;
cette porte est le symbole de la grande sagesse possédée autrefois par
nos lointains ancêtres.
Les deux civilisations...sculptaient des serpents jumeaux
symétriques au-dessus de la porte d'entrée trapézoïdale de leurs
temples. L'idée d'équilibrer des énergies opposées est certainement
présente ici, via ces animaux en situation d'équilibre symétrique. Cette
image d'opposés en équilibre semble être l'idéal enseigné à l'intérieur
des édifices dans lesquels on pénétrait en passant ces portes.
Crânes allongés
Les deux civilisations...allongeaient le crâne de leurs enfants
pour aiguiser les sens et améliorer la vision spirituelle. Cette
pratique qui semble bizarre n'a pas vraiment étonné les spécialistes
modernes, tout au moins pas autant qu'il le devrait.
[J'ai lu ailleurs que la forme des crânes provenait du fait que
certains égyptiens (comme Akhénaton, Néfertiti, leurs filles ou
Touthankamon) seraient d'origine extra-terrestre ?, note d'Hélios)
Radio du crâne de la momie de Touthankamon :
J'ajoute un extrait d'un article du magazine Morphéus :
La statue d’Akhenaton au Musée du Caire (fig. 5) est très
instructive. Elle révèle un crâne énorme sous la coiffe de pharaon.
Akhenaton a un cou long et très fin ainsi que de grandes oreilles.
Comparé au standard symbolisé par l’homme de Vitruve, aucune proportion
dite humaine ne correspond. La taille est très haute, le ventre est
volumineux, les bras et jambes sont très minces, biceps, triceps,
mollets sont maigres sans aucun rapport avec la musculature d’un homme
ordinaire. La chose la plus frappante est la largeur des hanches, aussi
larges que les épaules. Cette physionomie si particulière se retrouve
pour Nerfertiti, ses filles, le roi Tut, il s’agit donc bien d’une race
qui diffère génétiquement de l’homme moderne. On ne peut parler ici
d’une simple malformation. Nous avons à faire à une répartition
harmonieuse de proportions qui ne sont pas comparables au standard
humain moderne. Nous affirmons donc que pendant la 18e Dynastie
égyptienne, et très certainement à d’autres époques, une race différente
de l’homme dirigeait l’Égypte. Parler de Pharaon comme d’un Dieu n’être
pas pur hasard. Se retrouver face à un être de ce type devait être
impressionnant, suscitant peur et respect.
Si, comme le dit Connolly des crânes qu’il nomme pré-moderne furent
retrouvés au Pérou et au Tibet, c’est que la race d’Akhenaton fut
dominante dans ces régions à la même époque ou en d’autres temps. Comme
il s’agit d’une race dite divine par les hommes d’alors, ses facultés
supérieures lui ont permis de dominer le monde des hommes sur tous les
continents à une certaine époque. Les engins volants décrits dans les
textes sacrés amérindiens, védiques, tibétains ou égyptiens ont très
bien pu être le moyen dont cette race usa pour voyager et prendre en
main la destinée de la race humaine.
Le mystère aujourd’hui est de savoir ce qu’il advint de cette race
différente de l’humain ordinaire. Pourquoi n’est-elle pas toujours au
pouvoir ? Pourquoi nous cache-t-on son existence ? Demeure-t-elle
cachée, dirigeant en coulisses la géopolitique de notre monde
contemporain ? Ce qui est certain c’est qu’une certaine élite mondiale
nous cache sciemment des artefacts et antiquités essentiels pour
connaître notre lointain passé. Pourquoi ?]
Obélisques (avec hiéroglyphes)
Les deux civilisations...construisaient et érigeaient des
obélisques sacrés comme symboles du pouvoir masculin, fertilité,
naissance, longévité, force. On accordait un profond respect aux
obélisques ; c'étaient parmi les repères les plus révérés.
Temples anti-sismiques (avec inscriptions et dessins)
Les deux civilisations...construisaient des édifices antisismiques
avec la même conception de pente intérieure, qui ont résisté à l'épreuve
du temps.
Religion solaire
Les deux civilisations... utilisaient un symbolisme solaire comme
élément définitif de leurs religions, également identiques. En Égypte la
divinité solaire était Ra, au Pérou, c'était Inti. Dans les deux
cultures, vous êtes une divinité solaire ; le soleil est le symbole de
soi, de l'âme. Vous êtes le soleil. Vous êtes un soleil éternel divin.
Vous vous êtes volontairement incarné dans la matière, mais êtes
aujourd'hui devenu amnésique de votre vrai Soi spirituel, vous avez
perdu le chemin du retour à la maison.
Symbolisme solaire parallèle
Les deux civilisations ...employaient des divinités animales en
posture symétrique flanquant un emblème solaire central. Juste comme le
soleil trouve un juste milieu entre l'hiver et l'été, saisons de froid
extrême et de chaleur extrême...il est donc vital pour nos propres
soleils intérieurs (le soleil symbolisant notre âme éternelle ou Soi)
d'équilibrer nos énergies animales jumelles positives et négatives, nos
désirs, instincts, appétits, etc. pour rester en équilibre et en
harmonie avec la nature.
Animal sur le front
Les deux civilisations...mettaient ''un motif animal sur le front''
pour évoquer le pouvoir du Troisième Oeil. Les deux cultures avaient
compris que nous pouvons créer un était semblable à la transe où nous
''éveillons'' ce qu'on appelle ''l'oeil de l'esprit'', ''l'oeil
intérieur'', ou ''troisième œil'', symbole d'illumination spirituelle
existant près du front au-dessus et entre les deux yeux – exactement où
sont représentés les animaux dans la photo ci-dessus.
Symbole de la croix (chakana/ankh)
Les deux civilisations... utilisaient un motif en escalier, qui
symbolise l'ascension graduelle que fait l'initié pendant son voyage
depuis l'homme inférieur vers l'être humain ascensionné. Rome n'a pas
été construite en un jour ; vous ne découvrez pas votre ''Christ
intérieur'' ou votre ''Bouddha intérieur'' en un jour. L'ascension
demande du temps et de l'effort.
Temples tryptiques à trois entrées (indiquant la même religion)
Les deux civilisations...bâtissaient des temples tryptiques
identiques. Le tryptique est un phénomène architectural mondial qui orne
les façades de temples, et symbolise la même religion universelle
pratiquée dans tout le monde antique. La religion est basée sur la même
formule ''d'équilibre des opposés''. Les portes extérieures jumelles
symbolisent les opposés (le côté droit/gauche de notre soi inférieur
temporaire) alors que la porte du milieu symbolise le point central
d'éternité (le Soi supérieure éternel centré). Les temples tryptiques
devinrent plus tard héritage des constructeurs des cathédrales
gothiques, les francs-maçons.
Attaches métalliques
Les deux civilisations...gravaient des pierres qui étaient fermement reliées et ajustées à l'aide d'attaches métalliques. Quelles sont les chances que cette technique ait évolué, après des millions d'années d'évolution de l'humanité, dans la même durée temporelle exacte (plus ou moins 1000 ans) sur des côtés opposés du globe ?
Symbole du bâton d'or
Les deux civilisations...révéraient le ''symbole du bâton d'or", qui n'est rien d'autre que la croix oubliée de l'antique religion décrite ci-dessus. Pas documentée pour l'instant par les érudits, on trouve le symbole du bâton d'or partout dans l'ancien monde; il symbolise l'être humain parfait.
Édifices (résistant aux séismes) inclinés vers l'intérieur
Les deux civilisations...construisaient des tombes et des temples d'aspect semblable inclinés vers l'intérieur.
Sarcophages à forme humaine
Les deux civilisations...ont créé des sarcophages anthropomorphiques pour les défunts et ont conçu ces sarcophages pour qu'ils ressemblent à un dieu local ou à un héros qui a défié la mort et qui a vécu pour en parler. C'est l'exemple à suivre donné aux masses, car nous devons tous défier la mort (à la fin) en cherchant et découvrant la vraie éternité intérieure.
Le cercle solaire du troisième oeil sur le front
Image du soleil associée au troisième oeil
Les deux civilisations... peignaient le troisième oeil avec une image du soleil. Le soleil est un oeil dans le ciel, de nombreuses civilisations anciennes ont dépeint le soleil comme un oeil, pas juste les égyptiens et les incas.
Symboles de l'oeil unique
Les deux civilisations...représentaient des symboles de l'oeil solaire, associant le soleil avec un oeil et vice versa. Les deux cultures savaient que l'oeil unique (oeil de l'esprit ou 3ème oeil) voit le soleil intérieur (l'âme intérieure).
Les deux civilisations...construisaient leurs temples les plus importants à l'aide de pierres énormes pesant chacune des centaines de tonnes.
Pirogues en roseau
Les deux civilisations...construisaient des bateaux en roseau de conception identique.
Divinités flottantes
Les deux civilisations... dépeignaient des divinités qui flottent.
Symboles phalliques
Les deux civilisations...représentaient des symboles phalliques et les associaient à la fertilité.
Spirales
Les deux civilisations...représentaient des spirales pour symboliser nos entrées/sorties du monde matériel/spirituel, lequels monde inclut les deux facettes de notre être éternel.
Temples élaborés
Les deux civilisations...concevaient et construisaient des temples d'aspect semblable (à droite le temple de Deir El Bahari, de la reine Hatchepsout)
Serpents symétriques en équilibre
Les deux civilisations...utilisaient la symétrie dans la majorité de leur art, avec un équilibre droite/gauche. On utilisait souvent des serpents en posture symétrique.
Maîtrise dans la construction
Les deux civilisations...avaient toutes deux une maîtrise identique dans le travail de la pierre.
Art symétrique
Les deux civilisations...montraient un art ressemblant qui accentuait la symétrie et les symboles ésotériques.
Le hiéroglyphe d'Aton
Les deux civilisations... représentaient leur divinité solaire comme un cercle avec un point au milieu, qui était également le symbole du Soi dans les deux cultures.
Preuve de l'Atlantide
Les incas et les égyptiens ont à l'évidence de profondes
similitudes. Ayant révélé nombre de ces parallèles, les érudits de
l'époque victorienne pensaient que les deux cultures descendaient de la
même culture mère de l'âge d'or, l'Atlantide.
À la suite de Platon et de certains historiens classiques, ils imaginaient que l'Atlantide avait sombré dans l'océan atlantique après une sorte de catastrophe de type déluge, mais qu'elle avait laissé derrière elle des avant-postes des deux côtés de l'atlantique qui préservait sa culture.
Ni les égyptiens ni les incas n'étaient en contact mutuel, ils partageaient pourtant un héritage commun.
Les érudits de l'occident et les institutions universitaires sont de grossiers ignorants de l'Atlantide. Pire, ils ont supprimé la preuve et le mystère entourant ces nombreux parallèles culturels bizarres incas/égyptiens (peut-être parce qu'ils savaient que ces parallèles mèneraient à l'Atlantide).
Il faut nous souvenir que ces parallèles égyptiens/incas étaient clairs comme de l'eau de roche pour les érudits victoriens passés. Grâce au bénéfice de cette perspective, nous pouvons voir comment des parallèles n'ont pas juste été ignorés des érudits occidentaux, mais qu'ils ont été carrément supprimés.
Pourquoi les érudits suppriment-ils cette preuve ?
Dissimulation
Ces érudits – historiens et archéologues de renom – qui sont
fondamentalement honnêtes et travailleurs, ont assumé la tâche
extraordinairement laborieuse d'exhumer des artefacts de notre passé
ancien.
Le problème est qu'ils sont bloqués dans un paradigme particulier qui considère notre société comme le point culminant et le pinacle de l'histoire humaine. Ils voient l'histoire comme un processus d'évolution direct, depuis l'homme des cavernes jusqu'à la civilisation actuelle hautement technologique, qui pour eux est la plus élaborée.
Ils sont à 100 % coincés dans cette idée d'évolution sur la façon dont avance l'histoire et il est donc très difficile pour eux d'accepter que très loin dans le passé ait existé une civilisation de l'âge d'or qui était bien plus avancée que la nôtre – spirituellement, psychologiquement, techniquement – et capable de faire des choses impossibles de nos jours.
L'évolution de la culture est une lentille à travers laquelle ils voyaient la réalité, et ils ont donc écarté toute preuve d'anomalies ou trouvé plausibles des explications pour toute preuve qui ne cadre pas avec cette réalité.
De plus, être ''érudit'' ou ''universitaire'' est un métier, une profession qui fait partie d'une plus grande structure. Si vous voulez trouver du travail en tant qu'érudit ou universitaire et si vous voulez être publié ou gagner une subvention de recherche ou évoluer dans le métier il faut absolument acheter sa mentalité ; cela veut dire acheter le paradigme d'évolution. Sinon, vous ne serez pas embauché et vous ne monterez pas en grade.
C'est une manière simple de contrôler la recherche dans le passé de l'humanité. Mais contrôlée par qui et pourquoi ?
Le gouvernement invisible
En contrôlant les institutions académiques majeures et les médias de masse, un groupe élitiste immensément riche de familles puissantes cache avec succès les vérités historiques et spirituelles de notre passé antique. Le but de ce groupe est de maintenir un système mondial secret de tyrannie économique et politique établis par leurs prédecesseurs il y a plus d'un siècle, nommé autrefois le ''gouvernement invisible'' par des dirigeants américains influents.
Plus précisément, cette élite cache le fait qu'a existé autrefois sur terre dans une lointaine préhistoire une civilisation hautement sophistiquée de l'âge d'or. Cette civilisation s'est terminée brusquement, mais a laissé derrière elle une doctrine spirituelle très avancée dont ont hérité plus tard les premières civilisations connues, toutes descendantes de l'âge d'or.
Si un jour cette doctrine devenait largement connue, les gens se réapproprieraient leur propre spiritualité et l'éternité de leur nature profonde et se réveilleraient pour briser les chaînes de leur esclavage et détrôneraient le gouvernement invisible, organisation maléfique et malveillante qui a opprimé pendant des siècles les masses et caché la vraie réalité de la vie sur terre.
SOURCE
Traduit par Hélios
le château de Montal dans le Lot.
En France, le château de Montal dans le Lot.
De style première Renaissance, il est composé de deux ailes encadrant
la cour d'honneur et possède trois tours rondes et une tour carrée. Les
toitures sont revêtues d'ardoise selon la mode en vigueur lors de leur
restauration
C'est Jeanne de Balzac d'Entraygues qui décide la
construction du château au tout début du XVIème. Entre 1519 et 1534,
elle transforma la demeure médiévale préexistante dans le style
renaissance. En 1771, le comte Jean-Jacques de Plas de Tanes acquiert le
château et la seigneurie. Mais son fils, Antoine, devra abandonné son
domaine à la Révolution. e château, proposé sans succès à la vente en
janvier 1793, sert d'auberge. Rendu au comte à son retour, le château
n'est plus habitable. Il va alors passer entre différentes mains
jusqu'au début du XXème. Entre 1908 et 1913, Maurice Fenaille entreprend
la restauration du château. Grâce à ses relations et à sa fortune, il
retrouve, achète ou fait réaliser des copies des éléments dispersés dans
le monde et le garnit de mobilier d'époque. Le 13 septembre 1913, en
présence du président Raymond Poincaré et d'Anatole de Monzie, il fait
don du château réhabilité à l'État français avec usufruit pour lui et
ses trois filles.
Pour l'anecdote c'est à Montal que fut caché la Joconde entre 1943 et juin 1945, date de sa réintégration au Louvre...
De style première Renaissance, il est composé de deux ailes encadrant la cour d'honneur et possède trois tours rondes et une tour carrée. Les toitures sont revêtues d'ardoise selon la mode en vigueur lors de leur restauration
C'est Jeanne de Balzac d'Entraygues qui décide la construction du château au tout début du XVIème. Entre 1519 et 1534, elle transforma la demeure médiévale préexistante dans le style renaissance. En 1771, le comte Jean-Jacques de Plas de Tanes acquiert le château et la seigneurie. Mais son fils, Antoine, devra abandonné son domaine à la Révolution. e château, proposé sans succès à la vente en janvier 1793, sert d'auberge. Rendu au comte à son retour, le château n'est plus habitable. Il va alors passer entre différentes mains jusqu'au début du XXème. Entre 1908 et 1913, Maurice Fenaille entreprend la restauration du château. Grâce à ses relations et à sa fortune, il retrouve, achète ou fait réaliser des copies des éléments dispersés dans le monde et le garnit de mobilier d'époque. Le 13 septembre 1913, en présence du président Raymond Poincaré et d'Anatole de Monzie, il fait don du château réhabilité à l'État français avec usufruit pour lui et ses trois filles.
Pour l'anecdote c'est à Montal que fut caché la Joconde entre 1943 et juin 1945, date de sa réintégration au Louvre...
lundi 13 mai 2013
Les cathares étaient partagés au sujet de l'ancien testament.
Les cathares, critiques sur l'ancien testament.
Les cathares étaient partagés au sujet de l'ancien testament. Dans
l'ensemble, ils n'avaient pas réellement de dogme. Ils avaient certes
établi certains traités, mais lesquels pouvaient se contredire.
Le responsable d'un article était moins l'Église cathare que l'auteur,
et l'Église n'était pas réellement unie, si ce n'est par l'état d'esprit
de ses fidèles.
À l'époque clef du catharisme (XI-XIIIe siècle),
il y avait une opposition entre dualistes mitigés et absolus, et les
cathares pouvaient rejeter l'Ancien Testament (absolus) aussi bien
qu'ils pouvaient l'admettre en partie (mitigés). Les vaudois, qui
s'apparentaient aux cathares, reconnaissaient les livres sapientiaux.
Jean Duvernoy répertorie les livres de l'Ancien Testament reconnus par
les dualistes mitigés : Les seize prophètes, les Psaumes, les cinq
livres de Salomon. Certains, même, reconnaissent tout Esdras.
En réalité, il y avait autant de formes et de dénominations du
catharisme que de lieux : les albigeois en Languedoc, les patarins en
Lombardie, les Katharer en Rhénanie, les bogomiles en Bosnie etc...
Ils étaient éloignés d'une doctrine commune, et c'était leur avantage et leur désavantage.
En tout cas, ils avaient le courage de remettre en cause ce qui ne leur
paraissait pas digne d'être dans la Bible, plutôt que de vouer une
adoration à un texte sans savoir pourquoi. Les cathares prétendaient
notamment que l'ancien testament était parfois violent, contrairement à
ce que Dieu devait être. Voici un exemple de cette violence :
«Moïse s'irrita contre les chefs de l'armée, les commandants de milliers
et les commandants de centaines, qui revenaient du combat.
Et Moïse leur dit :
Comment! Vous avez laissé en vie toutes les femmes! Ce sont elles
pourtant qui, sur le conseil de Balaam, ont entraîné les fils d'Israël à
être infidèles à Yahvé, à cause de Phogor, si bien que le fléau s'est
abattu sur l'assemblée. Maintenant donc tuez tout mâle parmi les petits
enfants, tuez aussi toute femme qui a connu la couche d'un homme.»
Nombres, 31.14-17
Voir également Exode 23.26-27, Deutéronome 2.32-34, 3.3-7 et 20.10-17,
Lévitique 26.7-8 et Nombres 15.32-35 et 23.55-56 pour les passages les
plus violents.
Si ces textes avaient été écrits en vue
d'exploiter d'autres peuples, de faire régner un tyran et de séduire les
fanatiques, ils n'auraient pas été écrits autrement.
Si l'on doute qu'ils soient divins, il n'est pas douteux qu'ils soient politiques et fanatiques.
Et en l'occurrence, cette politique de massacres profitait aux ancêtres
présumés des Hébreux, qui voyaient là un moyen d'occuper une terre et
de tirer partie du pillage. Mais le problème dépasse également le cadre
politique.
Il révèle un manque de distance à l'égard des
textes car, par la suite, des religieux qui n'étaient plus Hébreux, et
dont les intérêts n'étaient donc plus défendus par ces quelques textes
de la Bible, reconnurent pourtant ces passages.
Cela témoigne
d'une foi aveugle et d'une compréhension littérale, lorsque Jésus
annonce : «Je ne suis pas venu abroger la loi, mais l'accomplir.»
(Matthieu 5.17).
Il serait plus logique qu'il parle de la loi du cœur et non de celle des écrits car il dit aussitôt après :
«Si votre justice ne dépasse pas celle des scribes et des pharisiens, non, vous n'entrerez pas dans le royaume de Dieu» (5.20).
Or, si l'on croit que la loi, c'est la Torah, cette loi est la même
entre pharisiens et disciples du Christ. Ce n'est donc pas la loi écrite
mais celle du cœur.
D'ailleurs, Jésus, qui observait la loi
du cœur, faisait certainement le ménage parmi les textes car il explique
que «si le sel n'a plus de saveur, on ne peut lui redonner de goût».
(Matthieu 5.13-16 et Luc 14.34).
Le sel ayant perdu son goût
désigne les écrits s'étant écartés de la loi du cœur ou bien les
religions n'exigeant aucune transformation, aucun effort, que de ce fait
Jésus dénonçait.
La religion montre un chemin, il ne suffit
pas de dire «j'y suis». De ce fait, dans sa façon d'aller vers «Dieu»
(amour, pauvreté, chasteté, simplicité), Jésus entendait être «salé»
(Marc 9.49-50) et c'est seulement de cette façon qu'il comptait
accomplir la loi : dans le fond, garanti par ses actes de détachement et
de justice, et non dans la forme...
Les cathares étaient partagés au sujet de l'ancien testament. Dans l'ensemble, ils n'avaient pas réellement de dogme. Ils avaient certes établi certains traités, mais lesquels pouvaient se contredire.
Le responsable d'un article était moins l'Église cathare que l'auteur, et l'Église n'était pas réellement unie, si ce n'est par l'état d'esprit de ses fidèles.
À l'époque clef du catharisme (XI-XIIIe siècle), il y avait une opposition entre dualistes mitigés et absolus, et les cathares pouvaient rejeter l'Ancien Testament (absolus) aussi bien qu'ils pouvaient l'admettre en partie (mitigés). Les vaudois, qui s'apparentaient aux cathares, reconnaissaient les livres sapientiaux.
Jean Duvernoy répertorie les livres de l'Ancien Testament reconnus par les dualistes mitigés : Les seize prophètes, les Psaumes, les cinq livres de Salomon. Certains, même, reconnaissent tout Esdras.
En réalité, il y avait autant de formes et de dénominations du catharisme que de lieux : les albigeois en Languedoc, les patarins en Lombardie, les Katharer en Rhénanie, les bogomiles en Bosnie etc...
Ils étaient éloignés d'une doctrine commune, et c'était leur avantage et leur désavantage.
En tout cas, ils avaient le courage de remettre en cause ce qui ne leur paraissait pas digne d'être dans la Bible, plutôt que de vouer une adoration à un texte sans savoir pourquoi. Les cathares prétendaient notamment que l'ancien testament était parfois violent, contrairement à ce que Dieu devait être. Voici un exemple de cette violence :
«Moïse s'irrita contre les chefs de l'armée, les commandants de milliers et les commandants de centaines, qui revenaient du combat.
Et Moïse leur dit :
Comment! Vous avez laissé en vie toutes les femmes! Ce sont elles pourtant qui, sur le conseil de Balaam, ont entraîné les fils d'Israël à être infidèles à Yahvé, à cause de Phogor, si bien que le fléau s'est abattu sur l'assemblée. Maintenant donc tuez tout mâle parmi les petits enfants, tuez aussi toute femme qui a connu la couche d'un homme.»
Nombres, 31.14-17
Voir également Exode 23.26-27, Deutéronome 2.32-34, 3.3-7 et 20.10-17, Lévitique 26.7-8 et Nombres 15.32-35 et 23.55-56 pour les passages les plus violents.
Si ces textes avaient été écrits en vue d'exploiter d'autres peuples, de faire régner un tyran et de séduire les fanatiques, ils n'auraient pas été écrits autrement.
Si l'on doute qu'ils soient divins, il n'est pas douteux qu'ils soient politiques et fanatiques.
Et en l'occurrence, cette politique de massacres profitait aux ancêtres présumés des Hébreux, qui voyaient là un moyen d'occuper une terre et de tirer partie du pillage. Mais le problème dépasse également le cadre politique.
Il révèle un manque de distance à l'égard des textes car, par la suite, des religieux qui n'étaient plus Hébreux, et dont les intérêts n'étaient donc plus défendus par ces quelques textes de la Bible, reconnurent pourtant ces passages.
Cela témoigne d'une foi aveugle et d'une compréhension littérale, lorsque Jésus annonce : «Je ne suis pas venu abroger la loi, mais l'accomplir.» (Matthieu 5.17).
Il serait plus logique qu'il parle de la loi du cœur et non de celle des écrits car il dit aussitôt après :
«Si votre justice ne dépasse pas celle des scribes et des pharisiens, non, vous n'entrerez pas dans le royaume de Dieu» (5.20).
Or, si l'on croit que la loi, c'est la Torah, cette loi est la même entre pharisiens et disciples du Christ. Ce n'est donc pas la loi écrite mais celle du cœur.
D'ailleurs, Jésus, qui observait la loi du cœur, faisait certainement le ménage parmi les textes car il explique que «si le sel n'a plus de saveur, on ne peut lui redonner de goût». (Matthieu 5.13-16 et Luc 14.34).
Le sel ayant perdu son goût désigne les écrits s'étant écartés de la loi du cœur ou bien les religions n'exigeant aucune transformation, aucun effort, que de ce fait Jésus dénonçait.
La religion montre un chemin, il ne suffit pas de dire «j'y suis». De ce fait, dans sa façon d'aller vers «Dieu» (amour, pauvreté, chasteté, simplicité), Jésus entendait être «salé» (Marc 9.49-50) et c'est seulement de cette façon qu'il comptait accomplir la loi : dans le fond, garanti par ses actes de détachement et de justice, et non dans la forme...
"Sibylle de Jérusalem"
Un petit hommage à une femme "Sibylle de Jérusalem"
Sibylle de Jérusalem, reine de Jérusalem de 1186 à 1187, est une fille
d'Amaury Ier de Jérusalem et d'Agnès de Courtenay. Elle était sœur de
Baudouin IV le lépreux.
Naissance : 1160, Jérusalem
Décès : 25 juillet 1190, Acre
Parents : Agnès de Courtenay, Amaury Ier de Jérusalem
Frères et sœurs : Baudouin IV de Jérusalem
Enfant : Baudouin V de Jérusalem
Sibylle de Jérusalem, reine de Jérusalem de 1186 à 1187, est une fille d'Amaury Ier de Jérusalem et d'Agnès de Courtenay. Elle était sœur de Baudouin IV le lépreux.
Naissance : 1160, Jérusalem
Décès : 25 juillet 1190, Acre
Parents : Agnès de Courtenay, Amaury Ier de Jérusalem
Frères et sœurs : Baudouin IV de Jérusalem
Enfant : Baudouin V de Jérusalem
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