Richard Cassaro, 5 novembre 2012
Les égyptiens (en Afrique) et les pré-incas/incas (en Amérique du
sud) de l'antiquité ont évolué de chaque côté du globe et n'ont jamais
été en contact ; pourtant les deux cultures montrent des réalisations
remarquablement identiques dans les domaines de l'art, de
l'architecture, du symbolisme, de la mythologie et de la religion. Les
spécialistes de l'ère victorienne, face à cette énigme, ont conclu que
les deux cultures devaient être les successeurs de la même civilisation
parente de l'Âge d'Or, l'Atlantide. Aujourd'hui, le parallèle
égyptien/inca n'est pas non seulement ignoré des érudits américains et
occidentaux, il a été carrément supprimé.
De nombreuses similitudes déroutantes et non résolues relient les égyptiens et les pré-incas/incas de l'antiquité – bien que les deux cultures aient évolué sur des régions opposées de la planète, séparées par des océans.
Les spécialistes de l'ère victorienne pensaient que les deux cultures avaient hérité d'une même sagesse en provenance d'une source excessivement plus ancienne – une ''civilisation parente'' commune aujourd'hui perdu pour l'histoire. Pour les gens de l'époque victorienne cette hypothèse du parent commun expliquait bien les parallèles. Ils ont nommé ce parent commun ''Atlantide'', à la suite de Platon et des historiens classiques.
Aujourd'hui, ''l'establishment'' rejette l'Atlantide, avec une curieuse hostilité, tout en ignorant le parallèle entre les deux civilisations.
Pourtant ces parallèles n'étaient pas ignorés des victoriens. Effectivement, les esprits les plus brillants parmi ces érudits pensaient l'Atlantide bien réelle – et voici pourquoi :
Pyramides
Les deux civilisations pré-inca/inca et égyptienne... construisaient des pyramides de pierre et des pyramides à degré dans le désert le long de rivières, alignées sur les points cardinaux (voir la vidéo sur "la révélation des pyramides", où le regard du Sphinx est aligné sur Orion, note d'Hélios).
Momies
Les deux civilisations... momifiaient leurs morts, qui symbolisait la vie dans l'au-delà. Les momies étaient enterrées dans des pyramides, avec souvent des offrandes de nourriture et des objets personnels. Les deux cultures croyaient à une vie après la mort.
Momies avec les bras croisés
Les deux civilisations... croisaient les bras de leurs morts momifiés. C'était pour montrer l'état d'équilibre de celui pénétrant au royaume de la mort, comme celui vécu du vivant. Les deux bras montrent des opposés en équilibre, côté gauche et droit croisés.
Masques funéraires en or
Les deux civilisations... plaçaient des masques en or sur leur
défunts, symbolisant leur retour vers l'éternité, l'autre côté du voile,
la demeure élevée dans les cieux, qui est éternelle et spirituelle, à
la différence de la Terre, qui est temporaire et physique. Cela traduit
aussi au sens alchimique l'idée que, pendant leur séjour ici-bas, ces
âmes éternelles prenaient une forme humaine et la transformaient en or.
Colliers avec animaux en opposition
Les deux civilisations... paraient leurs défunts de colliers en or
avec les extrémités formées de têtes jumelles d'animaux regardant vers
l'extérieur, symbolisant nos pouvoirs humains/animaux en équilibre, dans
un état de paix égal. Cet état d'équilibre montre la réalisation d'une
transformation alchimique, d'où l'or.
Maçonneries de pierre similaires
Les deux civilisations... construisaient des maçonneries de pierre
très semblables d'apparence, jusque dans les détails des saillies ou
''bosses'' (voir détails). À quoi cela rime-t-il ? Comment l'expliquer ?
Précision dans le travail de la pierre
Les deux civilisations... créaient des découpes très précises dans
la pierre des maçonneries, ce qui fait qu'on peut à peine passer une
feuille de papier entre les pierres. Souvent aucune trace de mortier.
Ceci symbolise la quête d'une recherche de perfection ou d'une approche
de la perfection, qui mène un peu plus près de notre demeure spirituelle
et paradisiaque et source éternelle.
Portes trapézoïdales
Les deux civilisations...construisaient des portes trapézoïdales,
représentant une élévation spirituelle. Le trapézoïde est semblable au
triangle, qui dénote ascension et transcendance. La porte trapézoïdale
est courante dans de nombreuses cultures antiques. On relie ceci à une
sorte d'état futuriste de l'humanité qui s'est produit dans un lointain
passé, quand les gens étaient en paix et avaient atteint le nirvana ;
cette porte est le symbole de la grande sagesse possédée autrefois par
nos lointains ancêtres.
Les deux civilisations...sculptaient des serpents jumeaux
symétriques au-dessus de la porte d'entrée trapézoïdale de leurs
temples. L'idée d'équilibrer des énergies opposées est certainement
présente ici, via ces animaux en situation d'équilibre symétrique. Cette
image d'opposés en équilibre semble être l'idéal enseigné à l'intérieur
des édifices dans lesquels on pénétrait en passant ces portes.
Crânes allongés
Les deux civilisations...allongeaient le crâne de leurs enfants
pour aiguiser les sens et améliorer la vision spirituelle. Cette
pratique qui semble bizarre n'a pas vraiment étonné les spécialistes
modernes, tout au moins pas autant qu'il le devrait.
[J'ai lu ailleurs que la forme des crânes provenait du fait que
certains égyptiens (comme Akhénaton, Néfertiti, leurs filles ou
Touthankamon) seraient d'origine extra-terrestre ?, note d'Hélios)
Radio du crâne de la momie de Touthankamon :
J'ajoute un extrait d'un article du magazine Morphéus :
La statue d’Akhenaton au Musée du Caire (fig. 5) est très
instructive. Elle révèle un crâne énorme sous la coiffe de pharaon.
Akhenaton a un cou long et très fin ainsi que de grandes oreilles.
Comparé au standard symbolisé par l’homme de Vitruve, aucune proportion
dite humaine ne correspond. La taille est très haute, le ventre est
volumineux, les bras et jambes sont très minces, biceps, triceps,
mollets sont maigres sans aucun rapport avec la musculature d’un homme
ordinaire. La chose la plus frappante est la largeur des hanches, aussi
larges que les épaules. Cette physionomie si particulière se retrouve
pour Nerfertiti, ses filles, le roi Tut, il s’agit donc bien d’une race
qui diffère génétiquement de l’homme moderne. On ne peut parler ici
d’une simple malformation. Nous avons à faire à une répartition
harmonieuse de proportions qui ne sont pas comparables au standard
humain moderne. Nous affirmons donc que pendant la 18e Dynastie
égyptienne, et très certainement à d’autres époques, une race différente
de l’homme dirigeait l’Égypte. Parler de Pharaon comme d’un Dieu n’être
pas pur hasard. Se retrouver face à un être de ce type devait être
impressionnant, suscitant peur et respect.
Si, comme le dit Connolly des crânes qu’il nomme pré-moderne furent
retrouvés au Pérou et au Tibet, c’est que la race d’Akhenaton fut
dominante dans ces régions à la même époque ou en d’autres temps. Comme
il s’agit d’une race dite divine par les hommes d’alors, ses facultés
supérieures lui ont permis de dominer le monde des hommes sur tous les
continents à une certaine époque. Les engins volants décrits dans les
textes sacrés amérindiens, védiques, tibétains ou égyptiens ont très
bien pu être le moyen dont cette race usa pour voyager et prendre en
main la destinée de la race humaine.
Le mystère aujourd’hui est de savoir ce qu’il advint de cette race
différente de l’humain ordinaire. Pourquoi n’est-elle pas toujours au
pouvoir ? Pourquoi nous cache-t-on son existence ? Demeure-t-elle
cachée, dirigeant en coulisses la géopolitique de notre monde
contemporain ? Ce qui est certain c’est qu’une certaine élite mondiale
nous cache sciemment des artefacts et antiquités essentiels pour
connaître notre lointain passé. Pourquoi ?]
Obélisques (avec hiéroglyphes)
Les deux civilisations...construisaient et érigeaient des
obélisques sacrés comme symboles du pouvoir masculin, fertilité,
naissance, longévité, force. On accordait un profond respect aux
obélisques ; c'étaient parmi les repères les plus révérés.
Temples anti-sismiques (avec inscriptions et dessins)
Les deux civilisations...construisaient des édifices antisismiques
avec la même conception de pente intérieure, qui ont résisté à l'épreuve
du temps.
Religion solaire
Les deux civilisations... utilisaient un symbolisme solaire comme
élément définitif de leurs religions, également identiques. En Égypte la
divinité solaire était Ra, au Pérou, c'était Inti. Dans les deux
cultures, vous êtes une divinité solaire ; le soleil est le symbole de
soi, de l'âme. Vous êtes le soleil. Vous êtes un soleil éternel divin.
Vous vous êtes volontairement incarné dans la matière, mais êtes
aujourd'hui devenu amnésique de votre vrai Soi spirituel, vous avez
perdu le chemin du retour à la maison.
Symbolisme solaire parallèle
Les deux civilisations ...employaient des divinités animales en
posture symétrique flanquant un emblème solaire central. Juste comme le
soleil trouve un juste milieu entre l'hiver et l'été, saisons de froid
extrême et de chaleur extrême...il est donc vital pour nos propres
soleils intérieurs (le soleil symbolisant notre âme éternelle ou Soi)
d'équilibrer nos énergies animales jumelles positives et négatives, nos
désirs, instincts, appétits, etc. pour rester en équilibre et en
harmonie avec la nature.
Animal sur le front
Les deux civilisations...mettaient ''un motif animal sur le front''
pour évoquer le pouvoir du Troisième Oeil. Les deux cultures avaient
compris que nous pouvons créer un était semblable à la transe où nous
''éveillons'' ce qu'on appelle ''l'oeil de l'esprit'', ''l'oeil
intérieur'', ou ''troisième œil'', symbole d'illumination spirituelle
existant près du front au-dessus et entre les deux yeux – exactement où
sont représentés les animaux dans la photo ci-dessus.
Symbole de la croix (chakana/ankh)
Les deux civilisations... utilisaient un motif en escalier, qui
symbolise l'ascension graduelle que fait l'initié pendant son voyage
depuis l'homme inférieur vers l'être humain ascensionné. Rome n'a pas
été construite en un jour ; vous ne découvrez pas votre ''Christ
intérieur'' ou votre ''Bouddha intérieur'' en un jour. L'ascension
demande du temps et de l'effort.
Temples tryptiques à trois entrées (indiquant la même religion)
Les deux civilisations...bâtissaient des temples tryptiques
identiques. Le tryptique est un phénomène architectural mondial qui orne
les façades de temples, et symbolise la même religion universelle
pratiquée dans tout le monde antique. La religion est basée sur la même
formule ''d'équilibre des opposés''. Les portes extérieures jumelles
symbolisent les opposés (le côté droit/gauche de notre soi inférieur
temporaire) alors que la porte du milieu symbolise le point central
d'éternité (le Soi supérieure éternel centré). Les temples tryptiques
devinrent plus tard héritage des constructeurs des cathédrales
gothiques, les francs-maçons.
Attaches métalliques
Les deux civilisations...gravaient des pierres qui étaient fermement reliées et ajustées à l'aide d'attaches métalliques. Quelles sont les chances que cette technique ait évolué, après des millions d'années d'évolution de l'humanité, dans la même durée temporelle exacte (plus ou moins 1000 ans) sur des côtés opposés du globe ?
Symbole du bâton d'or
Les deux civilisations...révéraient le ''symbole du bâton d'or", qui n'est rien d'autre que la croix oubliée de l'antique religion décrite ci-dessus. Pas documentée pour l'instant par les érudits, on trouve le symbole du bâton d'or partout dans l'ancien monde; il symbolise l'être humain parfait.
Édifices (résistant aux séismes) inclinés vers l'intérieur
Les deux civilisations...construisaient des tombes et des temples d'aspect semblable inclinés vers l'intérieur.
Sarcophages à forme humaine
Les deux civilisations...ont créé des sarcophages anthropomorphiques pour les défunts et ont conçu ces sarcophages pour qu'ils ressemblent à un dieu local ou à un héros qui a défié la mort et qui a vécu pour en parler. C'est l'exemple à suivre donné aux masses, car nous devons tous défier la mort (à la fin) en cherchant et découvrant la vraie éternité intérieure.
Le cercle solaire du troisième oeil sur le front
Image du soleil associée au troisième oeil
Les deux civilisations... peignaient le troisième oeil avec une image du soleil. Le soleil est un oeil dans le ciel, de nombreuses civilisations anciennes ont dépeint le soleil comme un oeil, pas juste les égyptiens et les incas.
Symboles de l'oeil unique
Les deux civilisations...représentaient des symboles de l'oeil solaire, associant le soleil avec un oeil et vice versa. Les deux cultures savaient que l'oeil unique (oeil de l'esprit ou 3ème oeil) voit le soleil intérieur (l'âme intérieure).
Les deux civilisations...construisaient leurs temples les plus importants à l'aide de pierres énormes pesant chacune des centaines de tonnes.
Pirogues en roseau
Les deux civilisations...construisaient des bateaux en roseau de conception identique.
Divinités flottantes
Les deux civilisations... dépeignaient des divinités qui flottent.
Symboles phalliques
Les deux civilisations...représentaient des symboles phalliques et les associaient à la fertilité.
Spirales
Les deux civilisations...représentaient des spirales pour symboliser nos entrées/sorties du monde matériel/spirituel, lequels monde inclut les deux facettes de notre être éternel.
Temples élaborés
Les deux civilisations...concevaient et construisaient des temples d'aspect semblable (à droite le temple de Deir El Bahari, de la reine Hatchepsout)
Serpents symétriques en équilibre
Les deux civilisations...utilisaient la symétrie dans la majorité de leur art, avec un équilibre droite/gauche. On utilisait souvent des serpents en posture symétrique.
Maîtrise dans la construction
Les deux civilisations...avaient toutes deux une maîtrise identique dans le travail de la pierre.
Art symétrique
Les deux civilisations...montraient un art ressemblant qui accentuait la symétrie et les symboles ésotériques.
Le hiéroglyphe d'Aton
Les deux civilisations... représentaient leur divinité solaire comme un cercle avec un point au milieu, qui était également le symbole du Soi dans les deux cultures.
Preuve de l'Atlantide
Les incas et les égyptiens ont à l'évidence de profondes
similitudes. Ayant révélé nombre de ces parallèles, les érudits de
l'époque victorienne pensaient que les deux cultures descendaient de la
même culture mère de l'âge d'or, l'Atlantide.
À la suite de Platon et de certains historiens classiques, ils imaginaient que l'Atlantide avait sombré dans l'océan atlantique après une sorte de catastrophe de type déluge, mais qu'elle avait laissé derrière elle des avant-postes des deux côtés de l'atlantique qui préservait sa culture.
Ni les égyptiens ni les incas n'étaient en contact mutuel, ils partageaient pourtant un héritage commun.
Les érudits de l'occident et les institutions universitaires sont de grossiers ignorants de l'Atlantide. Pire, ils ont supprimé la preuve et le mystère entourant ces nombreux parallèles culturels bizarres incas/égyptiens (peut-être parce qu'ils savaient que ces parallèles mèneraient à l'Atlantide).
Il faut nous souvenir que ces parallèles égyptiens/incas étaient clairs comme de l'eau de roche pour les érudits victoriens passés. Grâce au bénéfice de cette perspective, nous pouvons voir comment des parallèles n'ont pas juste été ignorés des érudits occidentaux, mais qu'ils ont été carrément supprimés.
Pourquoi les érudits suppriment-ils cette preuve ?
Dissimulation
Ces érudits – historiens et archéologues de renom – qui sont
fondamentalement honnêtes et travailleurs, ont assumé la tâche
extraordinairement laborieuse d'exhumer des artefacts de notre passé
ancien.
Le problème est qu'ils sont bloqués dans un paradigme particulier qui considère notre société comme le point culminant et le pinacle de l'histoire humaine. Ils voient l'histoire comme un processus d'évolution direct, depuis l'homme des cavernes jusqu'à la civilisation actuelle hautement technologique, qui pour eux est la plus élaborée.
Ils sont à 100 % coincés dans cette idée d'évolution sur la façon dont avance l'histoire et il est donc très difficile pour eux d'accepter que très loin dans le passé ait existé une civilisation de l'âge d'or qui était bien plus avancée que la nôtre – spirituellement, psychologiquement, techniquement – et capable de faire des choses impossibles de nos jours.
L'évolution de la culture est une lentille à travers laquelle ils voyaient la réalité, et ils ont donc écarté toute preuve d'anomalies ou trouvé plausibles des explications pour toute preuve qui ne cadre pas avec cette réalité.
De plus, être ''érudit'' ou ''universitaire'' est un métier, une profession qui fait partie d'une plus grande structure. Si vous voulez trouver du travail en tant qu'érudit ou universitaire et si vous voulez être publié ou gagner une subvention de recherche ou évoluer dans le métier il faut absolument acheter sa mentalité ; cela veut dire acheter le paradigme d'évolution. Sinon, vous ne serez pas embauché et vous ne monterez pas en grade.
C'est une manière simple de contrôler la recherche dans le passé de l'humanité. Mais contrôlée par qui et pourquoi ?
Le gouvernement invisible
En contrôlant les institutions académiques majeures et les médias de masse, un groupe élitiste immensément riche de familles puissantes cache avec succès les vérités historiques et spirituelles de notre passé antique. Le but de ce groupe est de maintenir un système mondial secret de tyrannie économique et politique établis par leurs prédecesseurs il y a plus d'un siècle, nommé autrefois le ''gouvernement invisible'' par des dirigeants américains influents.
Plus précisément, cette élite cache le fait qu'a existé autrefois sur terre dans une lointaine préhistoire une civilisation hautement sophistiquée de l'âge d'or. Cette civilisation s'est terminée brusquement, mais a laissé derrière elle une doctrine spirituelle très avancée dont ont hérité plus tard les premières civilisations connues, toutes descendantes de l'âge d'or.
Si un jour cette doctrine devenait largement connue, les gens se réapproprieraient leur propre spiritualité et l'éternité de leur nature profonde et se réveilleraient pour briser les chaînes de leur esclavage et détrôneraient le gouvernement invisible, organisation maléfique et malveillante qui a opprimé pendant des siècles les masses et caché la vraie réalité de la vie sur terre.
SOURCE
Traduit par Hélios
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