dimanche 1 septembre 2013

Séances dédicaces.

19 octobre, à 10:30 – 20 octobre, à 18:30
Description


Le second salon du livre neuf de Blegny-Mine se tiendra sur le site de l'ancien charbonnage, un lieu touristique incontournable de la région Liégeoise.

http://www.lartdelivre.sitew.be/

L'idée est de faire coexister tous les métiers du livre au sein d'un même lieu. Ecrivains, illustrateurs, dessinateurs, éditeurs, libraires, bibliothécaires, relieurs, imprimeurs, mais aussi des métiers connexes tels que fabricants de meubles de bibliothèques, de sièges de lecture, etc...

Une centaine d'exposants seront présents sur plus de 640 m².

L'endroit bénéficie d'une superbe infrastructure et d'un parking gigantesque.

Entrée : 2 € mais il sera possible de vous la faire rembourser.
Comment ? Chaque visiteur payant recevra 2 tickets d'une valeur d'un euro pièce à dépenser chez les auteurs participants à cette action. Libre à l'auteur d'accepter une réduction de 1€ ou 2€ par livre.
Une fois les tickets échangés, les auteurs participants pourront à leur tour récupérer cet effort sous forme d'une réduction au bar.

Découvrez les écrits de la saison littéraire 2013, les nouveaux talents et profitez d'une pause autour d'un bon verre en vous restaurant au goût des spécialités locales dans une ambiance festive et bon enfant.

Blegny-Mine Officiel
Rue Lambert Marlet, 23, 4670 Blegny
Afficher le plan · Itinéraire

samedi 31 août 2013

The templars



Chapelle hospitalière du XIIème de Pallier

Chapelle hospitalière du XIIème de Pallier

Mis à jour : il y a 6 heures · Pris à Gentioux
L'église Sainte-Madeleine de Pallier (lieu-dit « Paillier ») est située à Gentioux-Pigerolles (Genciòus en occitan) dans le département de la Creuse. À proximité de la maison de notaire royal, c'était une dépendance de l'ancienne commanderie de Charrières au temps des Hospitaliers et qui a peut-être auparavant appartenu aux templiers. La maison de notaire, classée monument historique depuis 1996, est un bâtiment qui fut construit à l'initiative d'Alexis Jabouille, notaire royal, en 1760. Il avait une vocation agricole jusqu'aux années 1980 du XXe siècle.

Situé juste au-dessus, la chapelle date du XIIe siècle, elle est juste à côté du cimetière où l'on peut voir des dalles funéraires gravées de la croix de Malte. On peut y voir aussi une croix avec le Christ d'un côté et la Vierge Marie de l'autre.

vendredi 30 août 2013

Dynamisez vos chakras.


le sol de l’ancienne cathédrale et église d’Alet.

Albert Fagioli nous dévoile les richesses  enfouies     dans le sol  de l’ancienne cathédrale et église d’Alet.

 p1060028-1.jpg  La journée de prospection sur le site de Rennes le-Château, en mai 2009, aurait laissé un gout d’inachevé pour Albert Fagioli, si, sur le dscf1246-2.jpgchemin 
du retour,en empruntant  la grand rue Nicolas Pavillon qui  traverse Alet-les-Bains, et passant devant les ruines de l’ancienne cathédrale, il n’avait fait une courte halte.
   En cette fin de journée, où le soleil rasant avant de disparaître derrière le pic de Brau , le spectacle n’en était que plus beau. A. Fagioli ne se lassait pas de regarder et de photographier ces murs de pierres, ces rosaces et les très belles sculptures des chapiteaux.µ
   Hélas, Metz est à 950 kilomètres d’Alet. Durant tout le voyage, il n’a certainement pas cessé de refaire par la pensée les relevés effectués dans l’église et le cimetière de Rennes-le-Château, mais voilà il avait déjà un autre projet en tête. Son sixième sens devait faire effet et il savait qu’une fois chez lui, il allait prendre un peu de  temps, sur ses recherches sur  Rennes pour étudier le site d’Alet.
    Une nouvelle fois il allait me mettre à contribution pour lui décrire sommairement l’histoire de cet  édifice et des personnages illustres qui y ont siégé. 
   
 p1060622.jpg Les mois ont passé et en avril 2010, Il adresse un courrier à la Mairie d’Alet et  à la Drac de Montpellier, leur faisant part de ses recherches sur les archives et d’après les plans cadastraux, et leur confirmait la présence de cavités ou cryptes sous l’église et l’abbaye ainsi que les emplacements de souterrains.
   De retour à Rennes en Août 2013 pour quelques jours de vacances en gite à Saint-Polycarpe, il programme la journée  du jeudi 1er août  à Rennes-le-Château, (à voir sur le site)
   Il prend rendez-vous avec M. Jean Denis Alandry, Maire d’Alet, qui le reçoit, et lui fait part du résultat de ses recherches et lui confirme la présence de cavités ou cryptes dans le sous sol de l’église Saint André, et dans la nef de la cathédrale, et  enfin de  souterrains.

    Une visite sur le site est programmée par la mairie pour le jeudi 8 août à 10h. M. Le Maire pris par ses occupations s’excuse de ne pouvoir participer et délègue deux de ses adjoints ; MM Jean Jacques Hortoul et Paul Couret.
   Retenu  pour raison familiale, je ne peux les suivre dans la visite, mais je suis en possession du dossier, ayant suivi les recherches de M. Fagioli depuis 2010 auquel s’ajoute  le compte rendu qu’il me fit à mon domicile au retour d’Alet .
   cryptealeteglise-1.jpg 
Dans l’église Saint-André d’Alet,  A. Fagioli détecte une cavité circulaire de 7.85 m soit environ 48 m2 et 3 souterrains qui arrivent dans cette zonep1060523.jpg(leur profondeur  n’a pas été mesurée, ainsi que les points terminaux).
   



 cathedrale-alet.jpg
Dans l’abbaye une cavité d’environ 11.6O m sur 8.60 m (soit environ 100 m2) qui doit se situer entre 8 et 1O m de profondeur (pour le plafond cryptes-alet-les-bains.jpgde la voûte).
   Sur le croquis est également signalé un autre départ de souterrain, proche de la cavité (en rouge sur le croquis) sa profondeur se situerait entre 18 et 20 mètres.
   Il semblerait, que les deux cavités soient reliées par un souterrain.
  Lors de son contact en 2010 avec le maire Jean Denis Alandry, Albert Fagioli dans son rapport lui signale la présence d’une dizaine de males contenant des archives vieilles de plus de deux siècles.
 Que nous disent les archives
    Lorsque le clergé fut contraint de s'exiler, la loi du 26 août 1792 exigeant la déportation de tout réfractaire quel qu'il soit interdisait qu'ils emportent quoi que ce soit avec eux. Le clergé de France fut donc contraint de cacher archives et fortune personnelle.
    Les historiens rapportent que l'abbé Antoine Bigou, dernier curé de Rennes-le-Château sous l’ancien régime, avant son exil et à la demande de son évêque et de son archevêque aurait caché les fortunes personnelles et les bibliothèques de l’évêque d’Alet, Mgr de La Cropte de Chantérac, et de l’archevêque de Narbonne, Mgr Richard Dillon, et de quelques autres personnalités ecclésiastiques locales.
   Les cavités détectées  par A .Fagioli, ne pourraient-elles abriter ces archives ou celles encore plus anciennes, ou les trésors de la cathédrale ?
    La réponse ne peut-être confirmée que par les autorités compétentes, en ouvrant  un chantier officiel de fouilles sur les sites d’Alet et non loin de là à Rennes-le-Château.    Voilà un enrichissement archéologique et historique non négligeable et complémentaire, dont l’arrière pays audois aurait tout à gagner.
      Texte et photos ©  André Galaup
     la presse en parle
   journal-ind-midi-libre.jpg  alet-2-2.jpg  Journal L'Indépendant et Midi-Libre du mardi 20 Août 2013
Date de dernière mise à jour : Mardi, 20 Août 2013

Serions-nous tous des Martiens ?

Serions-nous tous des Martiens ?

Le 29 août à 16h37 par charentelibre.fr et AFP
     
 
 
Si la vie est née sur Terre, c'est grâce à du  métal provenant tout droit de Mars, livré directement sur notre planète par une  météorite, selon une nouvelle théorie présentée jeudi par un chercheur.
vue de la planète mars prise le 01 décembre 2003 depuis la sonde Mars Express de l'Agence spatiale européenne (ESA) à quelque 5,5 millions de kilomètres.
vue de la planète mars prise le 01 décembre 2003 depuis la sonde Mars Express de l'Agence spatiale européenne (ESA) à quelque 5,5 millions de kilomètres.. PHOTO/AFP
Cet ingrédient vital s'est présenté à nous sous une forme oxydée de  molybdène, un métal utilisé de nos jours dans des alliages pour les outils de  bricolage ou les couronnes dentaires.

Mais à l'époque reculée où la vie est apparue sur Terre, ce molybdène oxydé  a servi à empêcher les molécules de carbone - briques élémentaires de toute  forme de vie - de se dégrader et de finir en goudron, estime Steven Brenner,  enseignant à l'Institut Westheimer pour la Science et la Technologie à  Gainesville (Etats-Unis).

"C'est seulement lorsque le molybdène est très fortement oxydé qu'il  devient capable d'influencer la formation d'une vie primitive", précise dans un  communiqué M. Brenner, qui présente sa théorie jeudi lors d'une conférence  internationale consacrée à la géochimie à Florence, en Italie.

"Cette forme de molybdène ne pouvait pas être présente sur Terre à l'époque  où les premiers éléments de la vie sont apparus, parce qu'il y a trois  milliards d'années, la surface de la Terre ne contenait que très peu d'oxygène,  contrairement à Mars", explique-t-il.

A l'époque, le système solaire était particulièrement agité et la Terre  était sans cesse bombardée par des comètes et astéroïdes. Notre voisine Mars  également, ce qui explique comment des débris martiens ont pu se retrouver  projetés dans l'espace pour finir leur course sur notre planète, piégés par son  champ de gravité.

Des analyses récemment effectuées sur une météorite martienne y ont montré  la présence de molybdène ainsi que de bore, un métalloïde qui aurait contribué  à protéger l'ARN, un précurseur primitif de l'ADN, de la corrosion.

"Il semble qu'on accumule les preuves selon lesquelles nous sommes en  réalité tous des Martiens et que la vie a débuté sur Mars avant de venir sur  Terre à bord d'un rocher", résume M. Brenner.

"C'est un coup de chance, car la Terre est de loin la meilleure des deux  planètes pour héberger de la vie. Si nos hypothétiques ancêtres martiens  étaient restés sur Mars, on ne serait peut-être pas là pour en parler", conclut  le chercheur.

D'autres théories expliquent l'apparition de la vie sur Terre par de l'eau  apportée sur la planète bleue par des comètes, composées de glace et de  poussières cosmiques héritées de la formation du système solaire.

Une autre hypothèse, baptisée "panspermie", suggère que des bactéries  embarquées comme passagers clandestins sur des astéroïdes aient fini par  s'écraser sur Terre pour y proliférer dans ses océans chauds et accueillants.