mardi 25 décembre 2012

Noël et chants de Noël au XVIe siècle.

Noël et chants de Noël au XVIe siècle : religieux, royal, politique badin ou villageois Le Moyen Age proprement dit ne nous fournit une moisson très abondante de Noëls, cependant qu’aux trois ou quatre siècles qui précédèrent la Renaissance, la fête de Noël était plus populaire que de nos jours. Sans doute parce que l’imprimerie n’était pas encore née et que nos plus anciens monuments littéraires étaient rédigés une multitude de patois. La Renaissance assiste à une profusion de chants populaires de Noël, tant des noëls patois que des noëls français qui exercent alors la verve poétique de nos ancêtres... > La suite sur http://bit.ly/tI9kvu

L'origine de la bûche de Noël.

Bûche de Noël (Origine et histoire de la) La bûche de Noël réunissait autrefois tous les habitants de la maison, tous les hôtes du logis, parents et domestiques, autour du foyer familial. La bénédiction de la bûche avec les cérémonies traditionnelles dont elle se parait n’était que la bénédiction du feu, au moment où les rigueurs de la saison le rendent plus utile que jamais... > La suite sur http://bit.ly/vS4B74

dimanche 23 décembre 2012

Le Petit Renne au nez rouge (Chants De Noël) - Vidéo Dailymotion

Le Petit Renne au nez rouge (Chants De Noël) - Vidéo Dailymotion
Confession.
Lors du procès, l’Inquisition reprocha aux templiers de ne se confesser qu’à des chapelains de l’Ordre. Elle y voyait la preuve de graves péchés gardés secrets. Cette accusation n’est pas justifiée. D’abord parce que la règle du Temple n’empêchaient par les templiers de se confesser à d’autres prêtres quand les circonstances l’imposaient. Ensuite, parce que le souci de conserver le secret des confessions au sein de l’Ordre s’explique parfaitement dans un contexte où le clergé était fortement hostile à l’Ordre du Temple. Enfin, parce que ce souci d’intimité existait dans toutes les congrégations, y compris chez les dominicains. Sources : chevalier du temple.

Cours de mathématiques au château de Guédelon par Hein Koenen

LOREENA MCKENNITT THE BOOK OF SECRETS

Origine du mot Noël.

Noël : origine du mot et signification des Noëls populaires d’autrefois On ignore l’origine du mot Noël, qui semble particulier à notre langue ; on ne le trouve ni dans la liturgie grecque, ni dans la liturgie latine, et, malgré sa désinence hébraïque, il est également étranger à l’hébreu. L’étymologie la moins improbable serait celle qui ferait dériver Noël du mot natale, nom latin de cette glorieuse fête... > La suite sur http://bit.ly/WxCF5N

samedi 22 décembre 2012

Le 22 décembre 1680 apparaissait la plus grande comète jamais vue de la terre.

22 décembre 1680 : apparition de la plus grande comète qu’on eût encore vue On avait aperçu la queue en Angleterre dès le 20 du même mois, peu après le coucher du soleil. Cette comète fut observée dans toute l’Europe. Par les premières observations qu’en fit le célèbre Cassini, il trouva tant de rapports et de conformités avec celle de l’année 1577... > La suite sur http://bit.ly/Zp2Z7N

Bonne soirée à tous.

Merry Christmas.

Paulo Cattani Diaceto First Christmas Trees in the White House Pierce's 1856 Christmas tree in the White House was put up for the enjoyment of the Sunday School students from the New York Avenue Presbyterian Church in Washington On that day President Pierce "passed out gifts around [the tree] to the children," according to the book We Were Marching on Christmas Day (shortened title) by Kevin Rawlings. Sadly, even though Pierce and his wife Jane had had three sons,all died in childhood, never seeing their father become president. Their last son Benny was killed in a train accident in January 1853. Christmas Tree During Benjamin Harrison's Administration The first Christmas tree put up for the joy of a president's immediate family was in 1889 during the administration of Benjamin Harrison. Among the really young Harrison relatives present were the two children of his daughter Mary and her husband James Robert McKee and the daughter of his son Russell and his wife. Also present, according to longtime White House employee William H. Crook, were Mrs. Mary Scott Dimmick, Mrs. Harrison's niece, and the Reverend Dr. Scott, Mrs. Harrison's father. President Harrison called on Henry Pfister, the White House's head gardener, to put up the tree. On Christmas Eve afternoon all children were barred from the combination family room and library on the second floor. Pfister and his staff went to work creating a tree thick with decorations and token gifts for the First Family's younger members and for members of the White House office staff as well. Late on Christmas Eve, President Harrison himself pitched in to help decorate. The room in which the tree stood was adorned with holly, ferns and mistletoe, according to an article on the White House Historical Association's website First – Hand Description of the Harrison Christmas Tree Crook saw the tree. (He worked without interruption for 12 presidents beginning with Lincoln as a bodyguard. Later he became chief clerk at the White House. Woodrow Wilson was the last president he served.) Writing in his book Memories of the White House (shortened title), Crook said that the Harrison tree was "truly the most beautiful I have ever seen, before or since." He further explained: "From topmost point to the floor it was laden with decorations, with toys innumerable for the children, and with gifts for the older ones." The tree aside, Crook noted that in the library were "scores if not hundreds" of gifts from strangers for the Harrisons. Interestingly, Crook wrote in his book that Benjamin Harrison was the first president to have a tree in the White House, never mentioning Pierce. But, of course, Pierce was president before Crook even became an employee at the White House in 1864. The White House Historical Association on its website said that Harrison was the first president to have a tree indoors, implying that the Pierce tree was outdoors. This writer found no other reference stating that the Peirce tree was displayed outdoors. Theodore Roosevelt Against Live Christmas Trees Beginning with the Harrisons, it became customary to have a Christmas tree in the White House. However, the tradition did not sit well with ardent conservationist Theodore Roosevelt, who was president from September 1901 to March 1909. He thought that the cutting down of trees for use at Christmas led to deforestation. Though Roosevelt forbade Christmas trees in the White House, one Christmas two of his son secretly brought in a tree and hid it in a closet. Division of Forestry chief Gifford Pinchot, a dedicated conservationist and Roosevelt confidant, defended the cutting down of trees for Christmas. Pinchot argued that doing so helped thin the forests. Roosevelt was not won over. After that first Christmas tree made its way into the Roosevelt White House, the president let his son Archie put up a holiday tree annually in his room. However, the White House tried to keep this fact from appearing in the newspapers.

*THE REAL SISSI* - Kaiserin Elisabeth von Österreich-Ungarn/Wiener Instr...

Joyeux Noël.

Laissez Noël pénètre dans votre cœur et votre volonté dernière tout au long de l'année ! Le sentiment d'unité du temple commence à être partagé par tous les esprits de l'humanité... De l'Assemblée internationale des Templiers vous souhaite Joyeux Noël!! Ordre du temple.

Where Are You Christmas? (Live in Concert) - ThePianoGuys

You Raise Me Up

L'origine du sapin et de l'arbre de Noël.

Sapin et arbre de Noël (Origine et histoire du) L’arbre de Noël est un petit arbuste vert, le plus ordinairement un sapin, aux branches duquel on attache les cadeaux que l’on veut distribuer aux enfants, à l’occasion de la fête. Il apparaît tout éclatant de lumières, tout chargé de jouets et de friandises. Ce sapin, qui reste vert au milieu du deuil de la nature et qui produit des fruits absolument inusités, fournit l’occasion de parler aux petits enfants du Christ qui, dans sa crèche, leur prêche la piété, l’obéissance, la pauvreté. Ils écoutent comme on écoute quand on est enfant : plus tard ils se souviendront... > La suite sur http://bit.ly/rxFHID

Bon samedi mes amis.

jeudi 20 décembre 2012

Bonne soirée mes amis.

Le Graal.

Susanne Tadic-Bialucha Graal est la littérature médiévale considère comme un objet miraculeux promesses et sacré de la félicité terrestre et céleste. En Gralsdichtung dit qu'il est symboliquement la combinaison idéale de l'terrestre et le divin. Toutefois, le Graal peut être trouvée que par des personnes choisies et d'éligibilité lui une inscription mystérieuse, qui révèlent que le digne. Le Graal, visibles à l'œil de chair une erreur En bref: trouver le Saint Graal est, de connaître le monde. Toute personne en possession du Saint-Graal est à voir à travers le monde et sont capables de s'élever au-dessus. Les propriétaires du Saint-Graal est, dit-on pas plus d'un serviteur du peuple, encore et encore la douleur et la mort, mettre les lois de la terre. Le Graal de disposer de moyens de ne plus être esclave de la Terre (Terra). Qui verra à travers les lois de la terre et elle vaincra, la Terre perd (Terra) leur autrement inévitable avec son cortège d'horreurs (la terreur). Un tel homme éclairé échappe aux plus grandes horreurs jamais, et cela se voit sur le Erdperspektive de la mort (physique). Pour échapper aux diktats de la mort et de devenir immortel, déplacé beaucoup d'esprits et a alimenté l'intérêt pour le Graal. Cette envie de l'immortalité a fait naître un certain nombre de légendes sur la recherche du Saint-Graal. La recherche de l'immortalité (physique) n'est que d'une version limitée du monde et est guidé par l'œil de la chair et non par les yeux de l'esprit. Par conséquent, il suppose qu'il s'agit d'un "terrestre", objet du monde et non de quelque chose «intellectuelle» comme une idée, un objectif global ou tout simplement un caractère archétypal. Que les auteurs de l'Écriture ou le poète représente une tâche difficile et presque impossible. Une version littéraire est une formation. Par une chose mentale dans l'image est nécessairement avoir recours à la forme. Quel que soit le poète choisit ce qu'elle devient ambigu et trompeur. Sinon, il est l'image du Saint-Graal. D'une part, il s'agit d'un tube ou d'une enveloppe, comme de la manière décrite ci-après. Pour d'autres, c'est une pierre, connue sous le nom "Pierre Philosophale" l'. Dans Parzival de Wolfram von Eschenbach, le Graal est interprété comme «la pierre aux propriétés miraculeuses." Il l'appelle "Lapsit Exillis". Dans beaucoup d'autres histoires, il est un merveilleux «élixir», une substance ou "Materia Prima", qui donne la vie éternelle. Dans la science d'aujourd'hui, nous pourrions dire «formule du monde" de le faire. Mais il ya toujours un dernier valide pour être reconnus forme, formalité ou formule - juste DAS, résultant grandi sous toutes ses formes. En réalité, il est une chose mentale à une forme minimale mais nécessaire de la part ou mieux, quelque chose qui la frontière entre le spirituel et le formulaire décrit. Si les manifestations littéraires sont donc pris dans leur choix sous forme littérale et trop concrète, la recherche du Graal passé de son sens réel. Le Graal et son symbolisme historique L'idée d'un Saint-Graal et son point de vue comme un objet provient des rapports crucifixion bibliques dans les évangiles du Nouveau Testament. Selon Joseph d'Arimathie * dans une tasse - ont pris le sang du Sauveur, qui doit être piloté par le côté soi-disant blessure causée par un mercenaire romain avec une lance - Saint Graal tard. Le bateau symbolise la capacité d'absorber le sang rédempteur * et donc le salut lui-même. Tout cela est symbolique. Enregistrement et réception des présuppose de rachat que l'on comprend le processus de la crucifixion dans son symbolisme et examine son contenu. Que le contenu, à savoir la loi du monde, délivrée par un homme éclairé (Jésus) et capté par un récepteur. Pour la collection est la coupe, le navire, appelé le Graal. Ici, le navire d'interception décrit dans la Bible n'est pas en tant que tels être mentionnés. Seule la littérature extra-biblique traiter avec lui, et selon elle, le navire n'est pas tout, mais le calice.

La loi de la polarité.

Susanne Tadic-Bialucha La loi de la polarité En Graal rencontrent donc deux images, le calice de la Cène et la Crucifixion de la foule par le sang du Christ. La combinaison des deux est évidemment un fond et à peine un niveau historiquement authentique. * Contenu, mais les deux vont ensemble très bien. Le vin de l'Eucharistie était déjà le symbole du sang du Christ. Avec la crucifixion qui est arrivé, il était logique que la remise du vrai sang a été ajouté à cette coupe. Le calice et le sang du Rédempteur vont de pair et se connecter sur passive, réceptrice. Les victimes et recevant correspondent à l'archétype du féminin. Ce Nouveau Testament, point de vue chrétien sur le monde est à l'opposé de l'. Précédant leur Ancien Testament, point de vue juif, dans lequel le principe masculin de l'application et de la force caractérise le point de vue de la création Les deux se complètent mutuellement et essayer d'intégrer à sa manière la contrepartie et adversaires apparents. Émanant d'une affirmation de soi existant et la force du judaïsme décrit ostensiblement la volonté d'agir et son exécution, culminant, mais le contenu de la réception de la volonté de Dieu. * A l'inverse, en le laissant se produire et la faiblesse apparente décrit (action par l'inaction) sortant religion chrétienne ostensiblement la souffrance et la compassion, culmine dans le contenu conscient, mais l'application de la révélation divine par l'écoulement du sang. Les deux perspectives sont complémentaires, et les deux approches n'ont pas naturellement un peu de son intégration à leurs enseignements religieux tendre. Pour comprendre les disparus respectif et le transport il est converti en images et en symboles. Le Notwendigleit historique d'un Gralsdichtung Le Graal, ce qui précède est dans les textes bibliques, aucune attention particulière a été accordée à, ni être éclairés tout au long du premier millénaire. Comme par hasard, il était juste au moment de cette semaine, que les croisades avaient atteint un sommet et les Chevaliers atteint le sommet de leur puissance. Dans le 12ème et 13 Siècle est apparu simultanément en Europe sur plusieurs versions d'un Gralsgeschichte. Les légendes arthuriennes et du Graal ont été parmi les plus lus dans les âges élevés et à la fin du Moyen, de sorte que vous pouvez vraiment se connecter à leur nécessité intérieure. De toute évidence, le temps de pénétration agressive christianisme n'avait pas exactement ce que le Graal symbolise, à savoir la qualité rédemptrice féminin. Pour comprendre les risques associés aux images du Graal mieux, nous nous référons ici au poème le plus célèbre sur le Saint Graal, l'auteur de Wolfram von Eschenbach "Parzival" *: Parzival de Wolfram von Eschenbach Merlin avait créé la Table ronde, et a annoncé par le biais de ses membres, la vérité du Saint-Graal serait connu partout. Cette prophétie, le meilleur chevalier de la chrétienté ont été attirés dans l'orbite du Graal. Ils n'avaient qu'un seul but, car ils avaient juré de consacrer sa vie à la recherche de tous ces secrets abritant préciosité. Au contraire, ils ne se reposerait pas jusqu'à ce qu'ils l'avaient trouvé et révélé son secret. Le Graal - l'archétype du féminin Les Templiers (Templiers *) sont comme les «gardiens du Saint Graal." Comme compensatoire expiation de leurs péchés, ils prennent leurs aventures à la fois la victoire comme la défaite avec sérénité. C'est surprenant, parce que les gardiens du Graal sont en effet d'une pureté particulière. Cette contradiction apparente indique clairement que c'est à peu près le principe du recouvrement et non sur le concept le plus mal compris du péché. Malgré la sincérité des chevaliers du roi du Graal Amfortas souffre actuellement d'une blessure, parce qu'il n'a pas respecté la chasteté. C'est seulement le roi, pour montrer que quelque chose manque, sur lequel de haut niveau qui doit être fait pour intégrer les personnes disparues. Il n'est pas, par conséquent, être confisqués au profit de l'arrière-scène du développement précédent, mais au niveau des Chevaliers d'atteindre une nouvelle qualité, ce qui nécessite le féminin. En d'autres termes, il ne s'agit pas de retomber dans la nature primitive, qui est aussi un archétype féminin, mais après avoir atteint le sommet d'un point mâle de la femelle sur le niveau supérieur et de révéler une nouvelle expression. Sur la base des religions, cela signifie que l'étranger, en particulier le judaïsme à intégrer la religion de l'Ancien Testament, et non sur le point d'humilier, mais l'inclure à un niveau élevé dans un ensemble encore plus vaste chrétienne. Lorsque Amfortas a été blessé par le mépris du commandement de la chasteté, puis il a été blessé par la femelle. La femelle a blessé, a quelque chose à voir avec sa disparition et donc avec lui et sa vision elle-même Ce qui lui manque est élevé, la féminité bienveillant et fructueuse. Ce qu'il faut reconnaître et de s'y connecter. La chasteté est une offre de démarcation à l'inconscient, la nature dévorante, non pas contre l'archétype féminin en soi. Le Gralsgeschichte du christianisme rapporté par la «perte du Graal", et c'est son sens général, après la perte de l'énergie féminine. Ce sont variés et gradués et correspond à la faculté de connaissance et de conscience de la «chevalier» ou «roi». Il s'agit d'une expression de la nature qui veut toujours être redécouvert le plus élevé façon. La nature et le Graal est un symbole de la vie éternelle. En images Wolfram von Eschenbach, il est le navire de ce monde qui est alimenté (les dons de la Terre Mère) et la chaudière dans laquelle les morts sont ressuscités. C'est le parfait (la mère) la nature d'où tout vient et où tout retourne à naître hors de lui à nouveau - l'archétype féminin comme un cycle de naissance - la vie - la mort. La connaissance du Graal est comme une spirale, et n'a pas de fin. Elle apporte à la digne, en avant-conduite chevalier toujours de nouvelles connaissances et d'épanouissement. Il correspond à son échéance respective. * Seulement à partir de ce fait, il se réfère à la photo présentée par image Eschenbach d'un an de colombe ciel à venir, portant sur la mystérieuse "Dinc« l'hôte et ainsi renouvelé sa force, qui donne notamment des jeunes et des aliments dans chaque souhaité plénitude don *. Le Graal - le mystère central religieuse Dans Parzival de Wolfram von Eschenbach le Saint-Graal est l'institution centrale d'un mystère religieux. Parzival le Gralssucher veut sauver son exploration des Amfortas Roi en difficulté. Il veut) les personnes royales comprendre la nature de son (4) perfection propre. Dans quelle mesure le secret du Graal avec le symbolisme de la crucifixion et de la loi n "1 = 4" est le même que celui trouvé, nous - comme nous l'avons vu à travers le symbolisme nouveau - la Eschenbach texte est très clair. À un point critique, comme Perceval, se tient à la porte de l'* Graal lui poser deux questions: «Qui fait le Graal Quel est son secret?" Sur la première question, il répond: «toi, roi». Sur la deuxième question, "vous et votre pays, vous êtes là!" La question a d'abord examiné les connaissances, de savoir si le demandeur est bien conscient que tout sous la puissance de l'unité (King) est. Le deuxième problème est spécifique à cette demande et, quant à sa forme réelle (4) conséquence. La deuxième question, «Quel est son secret?" et la bonne réponse est "vous et votre pays, vous êtes là!" Mettez 1 = 4 est l'. Immédiat et visible dans l'image Le roi, l'unité, et le pays, le béton, sont inséparables. Ils ne font qu'un. Part correspondant à la création multiplicité divine ou brisement perfection tout aussi évident sont les différentes expressions d'un seul et la sagesse même. Une fois en possession de surmonter le connaisseur, la peur de la maladie et de la mort et renaît dans un nouveau niveau spirituel. Le but d'une quête du Graal est la reconnaissance et la compréhension de la formule originale, qui permet de détecter l'esprit moins lyriquement doué, rationnelle et scientifique dans les deux numéros 1 et 4, et de leur contexte. Le caractère abstrait de la synthèse a un avantage. Il se dissout dans le genre de mathématiques du béton, des images ding consolidés et toujours imparfaite - comme par exemple le Graal - et poussé à la position debout derrière leurs archétypes. Ceci est important, parce que tout dans ce monde est polaire et rien ne peut exister en dehors de la polarité. Toute représentation de la sagesse parfaite en elle-même est donc toujours un «sexe», pour laquelle il ya toujours un pôle opposé, «sexe opposé», ce qui conduit aux mêmes objectifs. Qui est capable d'abstraction, a potentiellement la capacité d'échapper à la guerre meurtrière avec son antithèse. Il se rend compte qu'il ne l'opposé peuvent former ensemble un ensemble plus vaste. Sans la polaire opposé, la perspective sexe opposé, il serait encore incomplète.

La Lance.

Susanne Tadic-Bialucha Le Lance - un complément nécessaire au Graal polaire La loi de la suivante polarité doit aussi être le Saint-Graal - qui est en Parzival de Wolfram von Eschenbach, un symbole de plénitude et de perfection - ont un pôle sexe opposé, ce qui représente également la perfection que le Graal lui-même, le Saint-Graal est le «recevoir» l' rédemption. Le bateau symbolise donc le «genre féminin» du salut, qui confronte inévitablement lui aussi polaire, de sexe masculin. Cela est symbolisé par un processus actif et de clivage. Symboliquement, ce serait une épée, une lance ou d'un clou. Navire (femelle) et l'épée (mâle) ne remplir que symboliquement vis et écrou le font pour le technicien. Dans leur rapport, ils sont nourris à leur véritable fonction. Ainsi, nous trouvons dans le contrepoint histoire crucifixion symbolique vers le Graal fait la lance du soldat romain du nom de Longinus, qui frappe le côté du Christ crucifié et le saignement blessure causé (Jn 19:34) Un autre, également le Saint Graal le symbole polaire sont l' quatre clous qui sont entraînés par les Crucified ses extrémités.

Rites Nazaréens.

L'eau du Lac Rites Nazaréens, Franc-Maçonnerie primitive et Saint Graal : AdoubementLancelothiramabifHolygrail Certains de mes lecteurs, amis ou nouveaux-venus, initiés ou non, s’étonneront que je parle autant de la Franc-Maçonnerie dans un blog destiné à parler de la descendance de Jésus et notamment de la famille des Porteurs du Saint Graal. Quand on lit « La Clé d’Hiram » de Robert Lomas et Christopher Knight, la relation entre la Franc-Maçonnerie et l’héritage Essénien est flagrant : Les termes, les traditions et l’organisation Qumranienne manifestent une appartenance implicite à une racine commune. Ce livre est excellent et décortique beaucoup de processus allant de l’Initiation de Compagnon à l’histoire même de la famille de Jésus. Ma famille est issue de la branche des Porteurs du Graal. La tradition maçonnique de ma famille est profondément ancrée et elle correspond à l’héritage de la filiation de Garin de Monglane l’initiateur des rites des premières guildes des tailleurs de pierre. Garin représente l'un des chaînons manquants entre la tradition anté-diluvienne de la Maçonnerie et la Franc-Maçonnerie spéculative instituée au XVIIIème siècle. Plusieurs auteurs se sont penchés sur les racines de la Franc-Maçonnerie et je ne me permettrais pas de les contredire, mais la théorie de Robert Lomas et Christopher Knight correspond à mon héritage familial, c’est pourquoi je la privilégie. Des frères Maçons de Robert Lomas et Christopher Knight confièrent des documents très anciens que les auteurs nommèrent « Testament Maçonnique » et qui permettent d’établir une chronologie stable des évènements liés à la tradition Maçonniques des rites Nazaréens. Ce Testament Maçonnique me permit de rassembler ces sources et d’établir les articles thématiques des Rites Nazaréens que vous trouverez dans ce blog. Les vrais Esséniens n’existent plus depuis bien longtemps. Ceux qui récupèrent cette appellation sur le net sont plus apparentés au New Age qu’à une réalité de lien historique, il convient donc de s’en méfier. En fait, les Esséniens de Qumran nous laissèrent un puissant héritage par les écrits qui furent retrouvés et qui permirent de reconstituer leur vie au sein de la communauté. Cette reconstitution est pourtant lacunaire car les rituels sacrés étaient tenus secrets. Ce qui rendait la communauté Essénienne sulfureuse aux yeux des autres juifs, c’est que la pratique était inconnue des autres courants religieux juifs. Les Esséniens vivaient à part et ce mystère entretenait toutes les spéculations. Les Esséniens pourraient être décrits avec des mots actuels comme des Juifs Orthodoxes, profondément respectueux de l’Etude de la Torah, la copiant pour mieux s’en imprégner, et se préparant au combat final entre les forces du Bien et les forces du Mal. Pour eux, le mal était profondément dans ce monde et c’était par la pureté de l’Etude de la Loi que les « Fils de la Lumière » pouvaient accéder à se libérer des forces du Mal et le vaincre. Ils attendaient le Messie et espéraient être là, fidèles, au moment de sa venue. Mais les Esséniens étaient plus que cela. Ils étaient unis par le lien indestructible de la Fraternité et pratiquaient des rites secrets, rituels de grades, rites de passages qui faisait d’eux un mouvement à part au sein du Judaïsme. Ces rites étaient appelés Nazaréens. Je ne sais pas si d’autres familles que celle des Desposyni restèrent dépositaires de ces rites. Ce que je sais c’est que la mienne le fut. Je suis dépositaire de cet héritage sacré. Jésus, Jacques son frère, Jean-Baptiste, Jean, André ses cousins, Joseph d’Arimatie son oncle et bien d’autres membres de la famille de Jésus reçurent leurs initiations Nazaréennes. Ils firent leurs études avec les Esséniens et partagèrent la vie de la communauté durant un temps. Jésus participa à ce mouvement avec un grand engagement et choisit ensuite d’être Rabbi itinérant pour porter la Bonne Nouvelle du Royaume de Dieu aux plus humbles et aux exclus. Ce choix de vie, Jésus le fit et je ne suis pas ici pour prêcher mais pour expliquer des faits. Jésus épousa Marie-Madeleine sa cousine qui était veuve de Jean-Baptiste. Il accomplit ainsi l’antique tradition du Lévirat et assura une descendance à son cousin défunt. Il adopta le fils de ce dernier (Yoanan) et lui conféra le droit d’aînesse sur les enfants à venir en changeant son prénom. Il devint Yeshuah-David c'est-à-dire Jésus l’Aîné. De son union avec Marie-Madeleine, Jésus eut deux enfants : une fille Sarah-Damaris qu’on appelle souvent la Princesse du Palmier parce que c’est la traduction de son prénom, et Yeshuah-Joseph qui veut dire Jésus le Cadet. Les trois enfants du couple reçurent l’héritage de la tradition Essénienne et furent initiés aux rites Nazaréens par les membres de leur famille en exil quand ils reçurent leur majorité spirituelle. C’est ainsi que les Rites Nazaréens furent transmis de manière plus ou moins altérée en fonction des tempéraments à tous les Desposyni des premières générations. Les Rites Nazaréens furent transportés en Angleterre, en Ecosse, en Germanie, en Inde, au Cachemire, au Tibet, au Japon, en Arménie, en Bulgarie, à Byzance et en France par les Descendants de Jésus mais aussi de Joseph d’Arimatie (en Grande Bretagne et en Bretagne principalement) qui à leur tour les transmirent aux générations suivantes. Toutefois, dans ce dédale de traditions, il n’y eut aucune coordination. Chacun pratiquait ce qui lui avait été légué et les traditions féminines étant différents des traditions masculines de grandes différences apparurent. C’est ainsi que les Reines d’Avalon conservèrent les Rituels Nazaréens Féminins et en furent les gardiennes, tandis que les Porteurs du Saint Graal se passant la tradition de pères en fils et donc les Rituels Nazaréens Masculins. L’éclatement de l’Eglise Desposynique ne détruisit pas l’usage des Rites initiatiques Nazaréens car les Porteurs du Saint Graal y veillaient. Le Porteur du Saint Graal de chaque génération était choisi parmi les Desposyni. Il devait être d’une grande moralité, avoir le cœur pur, ne pas verser le sang innocent, être Initié aux Rites Nazaréens et se consacrer au service du Saint Graal jusqu’à sa mort. L’élection du Porteur du Graal n’était donc pas systématique et on peut remarquer que même si la passation de pouvoir se fit toujours d’Homme à Homme, je devrais dire « de Frère Initié à Frère Initié » elle ne fut pas le monopole d’une seule famille au sein des Desposyni. On peut donc dire que si les Rites Nazaréens se transmettaient dans les familles Desposyni, il n’y avait jamais qu’un seul Porteur du Graal à chaque génération. Ainsi, à la génération de Garin de Monglane qui fut connu par la légende sous le nom de Perceval le Gallois, c’est Urien de Goure qui fut le Grand-Maître qui l’initia aux Rites Nazaréens. Les Rites Nazaréens ne sortaient donc plus à ma connaissance de la famille des Desposyni. Il est probable que d’autres familles descendantes d’Esséniens les firent perdurer mais ma famille n’en eut pas connaissance. Il serait intéressant que celles-ci se manifestent afin de se rendre compte de ce qu’est devenu entre leurs mains l’héritage des Rites Initiatiques Nazaréens. La particularité des Rites Nazaréens est qu’elle échappe complètement aux traditions juives connues. Elle s’apparente davantage aux Rites Initiatiques de la Franc-Maçonnerie de la Grande Loge Ecossaise. Comment cette passation se fit-elle ? Je ne me targue pas de connaître l’auguste Vérité, je ne puis que donner la version que je connais et espère contribuer à apporter ma modeste pierre à l’édifice des recherches faites sur les origines de la Franc-Maçonnerie. Galahad del Acqs (Gaahad Du Lac, le fils de Lancelot) mourût dans le palais Spirituel de Sarraz après avoir remis la coupe du Saint Graal aux messagers célestes. Bohort de Gaunes partit en Arménie et Garin de Monglane rentra chez lui. Le dernier Porteur du Saint Graal était Galahad et il venait de mourir. Parmi les trois derniers initiés de sa génération, Garin se trouva confronté à la dure réalité de laisser disparaître les Rites Initiatiques Nazaréens ou de les laisser disparaître avec lui. Il initia ses enfants qui perpétuèrent cette tradition initiatique en Suisse, mais il sentait que cela ne suffisait pas. Il prit une décision qui détermina la suite de sa vie : Il légua les Rites Initiatiques Nazaréens aux premières Guildes de Bâtisseurs Tailleurs de pierre au 7ème siècle de notre ère. Il fut assassiné pour avoir pris cette décision mais tous ses descendants chérirent sa mémoire de l’avoir fait. C’est ainsi que pour la première fois, les Rites Nazaréens s’ouvrirent au monde et furent confiés à des hommes dignes de les recevoir en dehors de la famille de Jésus. Quelques trois siècles plus tard, les Rites Nazaréens réapparurent dans l’Histoire et furent transmis par d’autres familles Desposyni sous diverses formes et notamment celle des premiers Grands Maîtres du Prieuré de Sion : Famille de Bar, d’Anjou et la famille Sinclair (Saint Claire, Sinclare). Le premier Saint Claire connu fut le fils de Richard 1er de Normandie et de Gunnor de Crépon né en 976 en Normandie. Richard 1er de Normandie était descendant de Jésus et Marie-Madeleine et il est fort possible que cette famille ait conservé les Rites avec fidélité puisqu’ils transparaissent dans l’édification de la Chapelle Rosslyn d’Ecosse qui fut édifiée au XVème siècle. Il est intéressant de remarquer que Catherine de Saint Clair épousa Hugues II de Payns Fondateur de l’Ordre du Temple. Le Clan Sinclair d’Ecosse deviendra protecteur des Loges d’Ecosse et le point d’ancrage de la tradition. La connexion se fait donc aisément entre Desposyni, Templiers, Rites Nazaréens, Prieuré de Sion, Famille des Porteurs du Graal de Suisse (à laquelle j’appartiens), premières Guildes des Tailleurs de pierre, Famille Sinclair d’Ecosse et Franc-Maçonnerie de Rite Ecossais, sans toutefois mettre tout le monde dans le même sac car chaque famille ou organisation privilégia une tradition rituelle plutôt qu’une autre. Je pense après ce long exposé, qui, j’espère n’aura pas été trop fastidieux, que vous comprendrez à quel point la Franc-maçonnerie est aussi chère à mon cœur que mon ascendance car elle manifeste le lien le plus proche que je connaisse des Rites Nazaréens qui me relient à ma famille.

devinci-marie-madeleine.

Descendance de Jésus et Marie Madeleine, ma vérité devinci-marie-madeleine Ce site a été conçu dans le but de lever les zones d’ombres qui persistent concernant la descendance de Jésus et de Marie Madeleine son épouse. Trop de personnes remplissent les « blancs » de l’Histoire pour y engouffrer des anecdotes susceptibles d’ébranler les convictions de chacun. Quand j’ai commencé mes recherches, je les ai faites pour réfuter ou affirmer les « dires familiaux » qui existaient. Il faut dire que je n’ai pas été déçue. Au fil de mes lectures et de mes recherches, j’ai trouvé des auteurs qui avaient rassemblé un maximum d’informations et qui s’en servaient pour prouver que Jésus n’était qu’un homme comme les autres, qu’il avait eu une femme et qu’il n’avait pas ressuscité ! Moi, je ne mets pas en doute les dogmes de l’Eglise Catholique car il n’y a pas d’incompatibilité entre le fait que Jésus ait eu une femme et une lignée, qu’il ait été Rabbi prêcheur itinérant et qu’il ait ressuscité le troisième jour ! Les dires collectés dans ma famille, transmis de génération en génération sont compilés et accompagnés de textes dont les citations sont marquées dans la rubrique « Descendance de Jésus et de Marie Madeleine ». Vous trouverez sur ce site les liens généalogiques que j'ai collectés de ma partie des Descendants de Jésus, je n'y ai pas inclu toutes les grandes dynasties d'Europe mais toutes en font partie. Je ne cherche pas à convaincre qui que ce soit, ni à vendre un « best-seller », j’espère seulement rétablir enfin la vérité sur la famille de Jésus et démentir les bruits parfois salissants écrits sur la noble personne de l’Epouse de l’Agneau (Marie Madeleine). Je suis descendante en ligne directe des familles composées par les deux enfants de Jésus et Marie-Madeleine : Sarah-Damaris qui épousa Anthénor IV (ancêtre des Rois de France) et Yeshuah-Joseph (premier Porteur du Graal). Je désire par ce blog honorer leur mémoire et vous donner ce que j’ai reçu. Bonne lecture. L'eau du Lac

Garin vieillissant.

Livre des Descendants de Jésus et marie Madeleine Lundi 26 décembre 2011 Chapitre 23 : Garin vieillissant SarrasGarin jeûna trois jours et trois nuits, restant en prière dans le Palais Spirituel afin de connaître la volonté de Dieu le concernant. Une voix lui parvint : « Tu as bien fait, mon fils de me consulter. Va et porte les rites de tes pères aux artisans qui de leurs mains construisent et bâtissent, afin qu’ils apprennent également à construire l’Homme. Que les secrets ne soient révélés qu’à eux seuls tout comme ce fut aux bâtisseurs du Temple de Salomon. Va et restaure la Pierre et l’Homme avec le ciseau et l’équerre. Garin ferma le Palais Spirituel derrière lui et se mit en route. Soudain, il entendit un grand vent souffler impétueusement derrière lui. Il se retourna et vit le Palais Spirituel en flammes. Il comprit alors que le Seigneur après avoir enlevé la Sainte Coupe ne pouvait laisser son écrin sur la terre à la merci des hommes méchants. A son retour en France, Garin convoqua les Maîtres Nazaréens, tels qu’Urien de Goure et tous ses compagnons. Il leur donna le message de la volonté du Très-Haut et son intention de créer parmi le peuple une loge comprenant des bâtisseurs qui seraient assujettis aux rites nazaréens et recevraient les grades antiques tout comme eux l’avaient reçu lors de leurs initiations successives. Après de multiples délibérations, il fut conclu que l’entreprise était sage et que les rites légués par Dieu à Adam et Eve ne devaient pas disparaître mais au contraire être enfin transmis au monde et ne plus être la propriété de quelques hommes choisis de notre famille. Comment il le fit, on ne sait, mais Garin constitua la première Loge des Compagnons du Devoir et y remis tous les rites, signes et secrets sacrés de Dieu. Malheureusement, Garin paya de sa vie sa loyauté au dessein de Dieu. L’Eglise Romaine découvrit quelques années plus tard que les bâtisseurs de ses basiliques, chapelles et monastères possédaient désormais un savoir architectural nouveau. On ne sait comment les envoyés du Pape eurent connaissance de la parenté de Garin dans ce mouvement. Toujours est-il que l’évêque de Metz, Lancelin fit traduire Garin comme Apostat et lui confisqua ses terres. Ce dernier dût promettre de s’engager à la croisade pour lever la sanction. Mais l’évêque n’en avait pas fini avec lui. Il appela Guillaume l’Orgueilleux, de Monclin, le comte Fromont et son fils Fromondin. Il convoqua Garin dans un guet-apens. En pleine église, Garin se présenta. Le comte Guillaume frappa son compère dans le dos, lui donnant un grand coup de l’épieu poitevin. Garin tomba à terre. Mais Garin était une force de la nature, il se releva sur ses pieds et tira l’épée frappant de terribles coups. Quatorze personnes tombèrent sous ses coups. L’évêque Lancelin le frappa, ainsi que le vieux Fromont et son fils Fromondin lui infligeant la mort du valeureux et fidèle Hiram, le Bâtisseur. Recevant ces coups qui le distinguait dans sa mort comme le fidèle héritier des rites nazaréens, il ferma les yeux doucement et prononça dans un dernier râle : « Merci ». Garin venait de recevoir le baiser de paix de Jésus. L’Evêque fit alors entrer les paroissiens assemblés et un long sanglot de compassion s’éleva de la foule rassemblée, aimant son seigneur. Garin gisait là parmi ceux qu’il avait tués comme un chêne au milieu de petits arbres.

L'Arche d'Alliance.

DESCENDANCE DE JESUS ET MARIE MADELEINE devinci-marie-madeleine Ma vérité n'est pas celle que vous trouverez dans les livres, elle est celle de ma famille, celle de la longue lignée des Descendants des Porteurs du Saint Graal. C'est un devoir de mémoire pour moi de vous les présenter. Je ne cherche à convaincre personne, je ne fais que révéler les secrets de notre famille car il est temps de le faire. Je transmets mes amitiés chaleureuses à tous ceux qui liront les pages de ce blog. L'eau du Lac Les Desposyni Mardi 18 décembre 2012 Salomon Borel et le Nom Ineffable archealliance   La nuit déploie son voile d’invisibilité sur la ville. Je presse le pas car il est tard. Encore quelques mètres et je retrouverai des visages fraternels. Je tourne le coin de la ruelle des Chats… Voilà, j’y suis. De nuit, il ne fait pas bon traverser la bonne ville de Troyes à pied, mais c’est fait, j’entre chez moi. Nous sommes le 24 du mois de Tévet 4955. Il y a encore quelques semaines, j’aurais dit le 15 Janvier de l’an de grâce 1195. Cette idée me fit sourire. Mon frère Guillaume était mort quatre ans auparavant devant Saint Jean d’Acre à la fin de la troisième Croisade. Guillaume, de trois ans mon aîné, avait quitté très jeune le Couvet, berceau familial, pour devenir Templier. Son idéal l’avait conduit jusque dans la commanderie de Narbonne. Quand nous étions enfants, Guillaume restait des heures durant plongé dans les annales familiales contant les évènements de la vie des Descendants du Christ. Taciturne, il sortait pourtant de sa réserve naturelle pour m’exprimer ses désirs infinis : « Tu comprends, je voudrais servir le Christ notre père . Je ne veux pas le servir comme les prêtres nous le présentent, je voudrais le servir en Vérité ». En Vérité… qu’entendait-il par cela ? Nous qui étions Descendants du Christ, nous le fruit de ses reins, comment pouvions-nous le servir plus en vérité qu’à travers les Rites Nazaréens pratiqués par Jésus lui-même ? La liturgie catholique nous présentait un Jésus dépourvu de toute sa consistance profonde, déformé par les conceptions des hommes. Nous, nous l’aimions et tâchions de conformer nos vies à la sienne en préservant ses secrets et ses rituels. Comment pouvions-nous le servir davantage ? Chaque jour était risqué : il fallait donner le change, faire semblant d’être un bon chrétien. Beaucoup de familles Desposyni avaient dû se cacher, changer de nom, oublier son passé pour vivre. Le Pape envoyait souvent des émissaires pour rechercher les Desposyni. Il s’était procuré au prix du sang les généalogies de beaucoup d’entre nous, et nous étions traqués. Mon père, descendant des Porteurs du Saint Graal, nous avait toujours enseigné notre filiation et le vrai Culte à rendre à Dieu. Il était toujours resté fidèle à l’héritage qu’il avait reçu de ses ancêtres, mais nous avait inculqué méfiance et respect du secret. La vie de notre famille dépendait de ce secret. Nous appartenions donc à l’Ordre Nazaréen. Mais mon frère Guillaume voulait malgré les réticences de mon Père suivre l’Eglise de Rome. Il était résolu à servir l’Ordre du Temple parce qu’il lui semblait le plus fidèle à la Vérité. Il faisait confiance à cet Ordre dont les principaux Grands-Maîtres avaient toujours été des Desposyni. Il avait foi en eux. Mon Père, lui, était méfiant. Il se doutait bien qu’un jour, quand Rome n’aurait plus besoin de l’Ordre du Temple, le Pape écraserait ce groupe d’Homme de Foi dédiés à la cause du Christ. Malgré tout, mon Père n’empêcha pas Guillaume de partir, il lui demanda seulement de changer son nom. Guillaume sourit et promit qu’en entrant à la Commanderie, il serait connu sous le nom de Borelli. « Non pas à nous Seigneur, non pas à nous, mais à Ton Nom seul, donne la gloire » : Ce sont les derniers mots que j’entendis de la bouche de mon frère qui éperonnait déjà son cheval et se dirigeait vers son destin, le cœur exalté. La mort de mon frère fut déterminante dans ma vie. Je venais de perdre mon modèle. J’avais toujours été pourtant plus hardi que lui, mais son image rassurante et posée m’apaisait beaucoup. Mon père Antonéus Borel était effondré, il venait de perdre l’année précédente son épouse, ma noble mère, et voilà qu’il perdait son aîné définitivement. Il s’était bien résolu à le laisser suivre son destin, mais il n’était pas prêt à l’enterrer, il était encore si jeune. Un père met tout ses espoirs dans ses fils, il n’est jamais prêt à les voir mourir. Ce n’est pas dans la logique des temps… Le parquet grince un peu mais ma propriétaire sait que je rentre tard les jours où je dois finir l’inventaire avant de rentrer. Je travaille pour Maître Rousselin, Marchand Drapier. J’ouvre le magasin, fais le compte des draperies, établis les commandes, enregistre les ventes, réponds aux demandes des clients exigeants et dresse avec soin l’inventaire chaque lundi soir. J’ai froid et la pièce est obscure. J’allume la chandelle posée sur la table. Une faible lumière perce l’obscurité, bientôt relayée par le feu de l’âtre que je m’empresse de réactiver. L’hiver est froid et pénétrant. Les vieilles pierres des murs de ma chambre sont noircies par la suif et le mauvais bois. Voilà déjà deux ans que j’ai quitté le château de mon père. Je sais que je dois y revenir pour devenir Maître et Seigneur du Couvet de Neuchâtel quand mon père sera passé à l’Orient Eternel, mais pour l’instant c’est la quête de la Vérité qui m’amène à Troyes. Rabbi Shlomo Ben Itzhak Ha Tzarfati que tous les cœurs juifs désignaient sous la douce abréviation de Rashi avait ouvert la voie du Talmud, de la Torah et du Tanakh par ses commentaires en langage Champenois. Pour la première fois un juif français expliquait en Français les belles pages des Ecrits Saints du Judaïsme. Cette nouveauté du cœur et de l’esprit avait permis aux juifs convertis de force au Christianisme de retrouver avec fierté leurs racines hébraïques. Le Rabbi était mort en 1105, mais sa yeshiva (Maison d’Etude) perdurait et perpétuait les enseignements du Maître grâce à la ténacité de son gendre Rabbi Chmouel ben Meïr (le RaChBaM). Le Rachbam était décédé également, mais ses disciples continuaient les recherches Tossafistes. Le disciple du Rachbam me reçut avec beaucoup d’attention. J’étais jeune et enfiévré. Je voulais retrouver mes racines Juives, faire corps avec la tradition, me fondre dans l’étude et trouver la Vérité. Il sourit, hochant la tête longuement en tirant sur la pointe de sa barbe : « Maître Rachi disait toujours que l’enseignant doit non seulement « transmettre le sens premier et son argumentation, mais également l'organiser, sans cela l'acquis ne subsistera pas". Es-tu prêt à apprendre, à étudier, à suivre cette méthode puis à l’enseigner plus tard telle que tu l’auras reçue ? L’enseignement meurt s’il n’est pas transmis. Sais-tu cela ? ». Je restais sans voix, le disciple du Rachbam allait m’accepter dans la Yeshiva, moi l’incirconcis, le chrétien en apparence mais Juif par la Noble ascendance du Roi David. Les premiers jours d’étude furent un cauchemar relatif car je devais lire en Hébreux le texte proposé avant d’étudier le commentaire en langue vulgaire. Les questions réponses entre le Maître et les Elèves étaient en Français, ce qui me permit de mieux pénétrer ce que j’avais lu dans le texte. Petit à petit les fenêtres de mon entendement s’ouvraient une par une et je parvins à trouver une vraie joie dans l’étude au bout de trois mois. Je vins trouver alors le disciple du Rachbam car je ressentais qu’il était absolument nécessaire pour que j’accomplisse mon destin de devenir Juif dans ma chair. Le disciple du Rachbam accéda à ma supplique et il m’accorda la grâce de revenir dans la Maison d’Israël en circoncisant ma chair. Je pris ce jour-là le prénom de Salomon. Le choix de ce prénom n’était pas pour moi anodin. Le Grand Roi Salomon avait organisé la construction du Temple de Jérusalem. J’avais été initié Nazaréen par mon Père, Vénérable de la Loge, j’avais franchi les étapes du Rite et je connaissais la signification du Temple. Je savais que j’honorerais la mémoire de ce prénom que Maître Rachi, aussi descendant du Roi David, avait porté avec honneur. Mais assez parler de moi. Ce soir, j’ai Tenue Nazaréenne à la Loge. Je dois faire vite car elle ne va pas tarder à commencer. J’ai mis ma tunique blanche de lin dans couture, mon tablier de Maître, ma Kippa, mon Tallit et mes gants d’agneau immaculés. Je dois me rendre à la Tenue qui a lieu à la crypte aménagée par le Roi Salomon sous le Saint des Saints du Temple de Jérusalem. Toutes nos Tenues ont lieu dans cet endroit sacré. Depuis les répressions terribles qu’avaient souffert les membres de la famille de Jésus et l’exil de ses descendants vers l’Occident, nous avions appris à maîtriser nos esprits et à nous retrouver à la crypte grâce à notre pensée souveraine. Le voyage ne prenait que quelques minutes. Je m’assis, les mains à plat sur mes genoux. Je dois réguler ma respiration jusqu’à ce qu’elle ne devienne plus qu’un mince filet de souffle vital. Je visualise ce filet comme une fine lumière argentée qui s’exhale de mon corps relâché. Soudain, mon cœur double ses palpitations, mon esprit se fait léger, ma respiration s’active au rythme de mon cœur, j’avance dans le dédale des couloirs souterrains sous le Temple de Jérusalem détruit, je connais bien ces couloirs qui, à l’image de l’intérieur d’une pyramide, descendent dans les entrailles de la roche, puis parfois montent à pic. Le chemin est gravé dans ma mémoire. Quand j’ai été reçu Compagnon, j’ai appris à maîtriser ma pensée, à la diriger dans l’espace, à transmuter mon corps et à dissocier mon corps physique de mon corps éthérique. J’arrive enfin dans une petite salle exigüe et circulaire. Sur le sol au dallage autrefois noir et blanc, il y a au milieu une dalle ronde, lourde clef en pierre vissée dans le sol sur laquelle est gravé un triangle entouré de trois séries de trois rayons. Je dois dévisser la dalle et descendre dans le trou béant qui la remplace. Le tunnel qui suit est très bas de plafond, et il faut baisser la tête et courber le dos pour l’emprunter et passer par la porte basse. Maintenant, je suis dans un tunnel obscur que je reconnais. Enfin, j’arrive à la porte ouvrant sur la Loge. Je frappe trois coups sur la lourde porte de bois de cèdre du Liban : « Qui va là ? » Demande le Frère Tuileur. « L’Homme n’est qu’un mendiant sur la terre » dis-je. Pas de réponse. Je frappe à nouveau trois coups. « Qui va là ? » Demanda le Frère Tuileur. « Je n’ai pas de place où reposer ma tête » dis-je. Pas de réponse. Je frappe encore trois coups. « Viens mon F.°. entre dans la paix de ton Maître » Me dit le Frère Tuileur en ouvrant la porte. Je lui présente alors le jeton de la Loge, et nous effectuons l’accolade rituelle. « Comment vas-tu Très Cher Frère Salomon ? » me dit-il. « Bien mon Très Cher Frère et Toi ? La route est-elle rude et le chemin étroit ? » répondis-je « Il l’est en vérité », me répond le Tuileur qui me fait pénétrer. La Loge est plongée dans l’obscurité, seule la Ménorah à l’Orient scintille doucement. Petit à petit la Loge se remplit. Un à un, les Desposyni pénètrent dans le Sanctuaire. Nos Tenues ne durent pas plus d’une heure car étant donné l’effort mental que le voyage astral nécessite, il n’est pas raisonnable de s’éloigner plus longtemps de son corps physique. Un Frère a quitté nos rangs, il y a deux mois. Il s’était attardé dans le dédale de pierres, au sortir de la Tenue. Il chercha la pierre d’angle de la fondation du monde. Durant sa tentative, son âme s’est perdue, elle était restée trop longtemps éloignée de son corps physique. Il est devenu fou. Certains disent qu’il aurait pu même en mourir car l’envoi de l’âme dans un lieu éloigné du corps physique n’est pas sans risque ni danger. Autre particularité de notre présence en Loge est que l’esprit ne pouvant se focaliser que sur une personne à la fois, notre vision mentale ne peut embrasser toute la salle comme avec nos yeux physiques. Nous savons que nous sommes tous présents quand notre Vénérable Maître s’en informe et qu’il lui est répondu par l’affirmative. A l’ouverture de nos travaux, notre Vénérable Maître prend un temps avant la venue au plateau de l’Orateur et nous informe que je dois me présenter devant tous sur le pavage mosaïque afin d’y être interrogé. Surpris, je me lève malhabilement à cause de la semi-obscurité de la pièce et de la lumière quasi-aveuglante des colonnes. « Frère Salomon, tu a recherché la Lumière de la Vérité jusque dans les textes sacrés. Ta quête t’a conduit à la Maison d’Etudes. Nous avons jugé que tu étais digne de recevoir notre confiance. Si tes yeux sont ouverts, si ton cœur est pur, ce soir tu ne périras pas face à la Divine Présence. Nous allons te faire pénétrer dans le Saint des Saints ». Je ne sais pas quoi dire car quiconque pénétre dans le Naos sans y être autorisé par Dieu périt par la seule vision incandescente de l’Arche Sainte de Salomon. Je prononce malgré mon appréhension les paroles rituelles : « Je suis la Force, Je désire la Sagesse, Mes yeux s’emplissent de Beauté ». Chacune de mes phrases sont ponctuées par les coups de maillets du Vénérable et de ses Surveillants. L’inquiétude monte en moi mais j’élève bien haut mes mains au-dessus de ma tête et prononce : « J’élève mes mains vers le Dieu de ma Joie, J’exprime ma joie sur le Mont Moriah, Grâce et Paix m’accompagneront tous les jours de ma vie ». « A qui frappe… » Le Second Surveillant me répond : « On ouvrira » « Qui cherche… » Le Premier Surveillant me répond : « Trouve ». « A qui demande… » Le Vénérable de la Loge me répond : « On donnera ». Il frappe ensuite trois coups de maillet repris par les Surveillants de la Loge. « Entre mon Frère, mais auparavant courbe la tête, incline-toi Roi Pêcheur, devant l’Arche Sainte, elle te sanctifiera et tu recevras le Nom ineffable. A qui sait le déchiffrer, le Nom ineffable sera révélé ». Les Lévites attachés au service du Voile ouvrent alors le premier rideau de l’Arche Sainte. Je protège mes yeux de mes mains enroulées dans mon tallit. Le deuxième rideau s’ouvre et tous mes Frères et Sœurs font l’ovation à l’Arche Sainte d’Alliance. Puis je m’avance seul devant le troisième rideau. Lorsqu’il s’ouvre, je la vois, dans toute sa splendeur et l’émotion me gagne. Sur le côté gauche de l’Arche Sainte, il y a une colonne sur laquelle repose le cube d’agate sur lequel Enoch a gravé autrefois le Nom ineffable de Dieu. Je m’avance encore touchant presque le voile et là je lis et j’en comprends la quintessence. Quelqu’un tambourine brusquement à la porte de ma chambre, je suis tiré immédiatement hors de la Loge par cette intervention inopinée et mon esprit réintégre mon corps aussi vite que le vent fait tourbillonner les feuilles mortes en automne. "Qui est-ce ?" Demandé-je, encore sous le choc de la vision du Nom Ineffable de Dieu. « Il faut partir, la foudre est tombée sur la maison de Jehan, il ne tardera pas à arriver ici ». Maître Pierre est derrière ma porte. « J’arrive ! ». Avant de sortir de chez moi, je dois dissimuler mes vêtements de l’Ordre Nazaréen. Si le feu vient à détruire tout ce que je possède, je dois sauver mes biens les plus précieux. Je remonte ma tunique de lin au-dessus de mes chausses, mets mon tablier et ma kippa sous ma chemise et j’enroule mon tallit autour de mes reins. Ainsi, il ressemble à une large ceinture rayée de laine. Après avoir éteint ma chandelle, je dévale l’escalier déjà empuanti de fumée noire. Où est ma logeuse ? La porte de son habitation en-dessous de chez moi est ouverte et son lit est vide. Elle doit être sortie dans la panique du feu. La ruelle est en pleine agitation. Entre les sauveteurs, les rescapés, les évacués, les voleurs attirés par l’agitation et les badauds, une cohue indescriptible envahit le pavé. Je n’ai pas loin à aller pour être d’office enrôlé parmi les sauveteurs volontaires ; Tous se passent des seaux d’eau, des marmites, des chaudrons dans un semblant d’ordre que la panique défait à chaque effondrement de toiture. Cette chaîne humaine me fait penser à la Chaîne d’Union à laquelle ce soir je n’ai pas pu participer. Mais mon cœur est extraordinairement détaché de l’incendie qui rougeoie la nuit et de la fournaise qu’il produit. Mon cœur est encore dans la crypte, même si mon esprit a rejoint son corps. J’ai lu par les yeux de mon esprit le Nom ineffable de Dieu. J’ai le sentiment que ma vie s’en est trouvée changée. Ce n’est qu’au matin que l’incendie s’arrête non de notre fait mais parce qu’il n’a plus rien à brûler. Nous avons assisté impuissants à la disparition de nos maisons de bois. Seuls les soubassements de pierre ont résisté, mais les pierres ont subi de tels degrés de calcination qu’elles s’effritent comme du sable ! Noir de suif et de fournaise, je quitte mes compagnons d’infortune pour aller respirer un peu d’air frais. Mes errements m’amènent non loin de la porte Est de la ville. L’Orient… au loin, le soleil commence sa course glorieuse, indifférent en apparence aux préoccupations des pauvres hères que nous sommes. Il faut que je fasse un brin de toilette avant de rejoindre la Yeshiva. Je vais à la fontaine. L’eau est fraîche et vivifiante. Après une toilette du visage et des mains bien nécessaires, j’entre dans la Yeshiva

Une vérité que vous ne trouverez pas dans les livres.

DESCENDANCE DE JESUS ET MARIE MADELEINE devinci-marie-madeleine Ma vérité n'est pas celle que vous trouverez dans les livres, elle est celle de ma famille, celle de la longue lignée des Descendants des Porteurs du Saint Graal. C'est un devoir de mémoire pour moi de vous les présenter. Je ne cherche à convaincre personne, je ne fais que révéler les secrets de notre famille car il est temps de le faire. Je transmets mes amitiés chaleureuses à tous ceux qui liront les pages de ce blog. L'eau du Lac L'univers de la famille du Saint Graal arbredesgenerations Entrez dans cet univers touchant, aux connections étonnantes et aux personnages réels et pourtant légendaires. Laissez-vous porter. Lisez l'Histoire du Livre des Descendants de Jésus et Marie Madeleine. Ce livre est en train d'être traduit en anglais. Découvrez la Chronologie des évènements de la famille de Jésus et sa naissance jusqu'à la fin de l'épopée épique de la Quête du Saint Graal. Suivez le cheminement initiatique des Rites Nazaréens et comprenez à quel point les enseignements de Jésus en étaient indissociables. Les Desposyni sont tous descendants de Jésus et Marie Madeleine, mais tous ne sont pas descendants directs des Porteurs du Saint Graal, cette histoire de famille s'inscrit dans les coulisses de la grande Histoire, celle où des familles entières disparaissent de la scène au nom de la raison d'Etat. Une famille qui est peut-être la vôtre sans que vous le sachiez déjà. Pour le savoir, cliquez sur les liens généalogiques proposés et découvrez si vous êtes un... Desposyni. juan de joanes la cene avec marie madeleine Plus

Descendance de Jésus et Marie Madeleine.

DESCENDANCE DE JESUS ET MARIE MADELEINE devinci-marie-madeleine Ma vérité n'est pas celle que vous trouverez dans les livres, elle est celle de ma famille, celle de la longue lignée des Descendants des Porteurs du Saint Graal. C'est un devoir de mémoire pour moi de vous les présenter. Je ne cherche à convaincre personne, je ne fais que révéler les secrets de notre famille car il est temps de le faire. Je transmets mes amitiés chaleureuses à tous ceux qui liront les pages de ce blog. L'eau du Lac Qui je suis... et ma famille Mercredi 2 mai 2012 Plusieurs Chevaliers de l’Ordre du Temple dans ma famille : templier.jpg Les deux fils de Domicile et Agricola Borel : Armand et Antonéus donnèrent le jour à des Chevaliers du Temple. Issue du seul fils d’Antonéus qui ne choisit pas de devenir Templier, Salomon, j’honore la mémoire de ces jeunes hommes courageux, qui armés de la Foi et de leur idéal luttèrent vaillamment et servir le Christ avec tout l’engagement de leur coeur. Leurs destins furent pour chacun différent mais aucun ne démérita à sa tâche et à son engagement. Armand Borel né en 1154 au couvet de Neuchâtel épousa Dame Guicharde née en 1160 en Savoie. Elle mit au monde 4 garçons qui devinrent tous Templiers : Armand et ses deux frères quittèrent leur Savoie natale, ajoutèrent un d à leur nom pour entrer en vie religieuse et devinrent chevaliers Templiers. Ils sont connus dans le Cartulaire de Richerenches dans le midi de la France et y sont rescencés en 1207. Armand de Bordellis, né en 1180 en Savoie Herbert de Bordellis, né en 1184, Chevalier du Temple, enregistré dans le cartulaire de Richerenches en 1207.et décédé en Judée Guichard de Bordelis, né en 1187 Chevalier du Temple, connu dans le cartulaire de Richerenches. Mort en Allemagne lors d’un de ses voyages avec les Chevaliers du Temple. Ugo de Bordellis, né en 1192, Chevalier Templier spécialiste des chevaux. Enfin Antonéus Borel, né en 1150 en Suisse eut pour fils le Prêtre Templier Guillaume Borelli, né en 1172 au Couvet et qui donna sa vie dans la bataille à Saint Jean d’Arcre en en 1191.

Hommage aux Templiers

The Graal.

Mena Mancinelli

mercredi 19 décembre 2012

Commanderie de Coulommiers.

Chevalier du Temple Commanderie de Coulommiers La commanderie fut fondée entre 1172 et 1173 sur des terres offertes par Henri, comte palatin de Troyes en Champagne. Elle est en effet mentionnée dans un acte de confirmation de donation du comte Henri écrit à une date comprise entre le 8 avril 1173 et le 23 mars 1174. Par contre cette maison du Temple n'est pas mentionnée dans les rôles des fiefs du comté de Champagne vers 1172. La fondation a eu lieu entre ces dates. ... Sa principale activité était la culture des céréales : froment, avoine. La vie au sein de la communauté de Coulommiers était secouée par des contentieux avec le comte Thibaud IV (comte de Champagne de 1201 à 1253). En effet, celui-ci s'inquiétait fortement de la montée en puissance de l'Ordre et notamment de sa richesse. Il en vint à adresser une requête au roi Louis IX afin d'interdire aux Templiers d'acheter des biens sans autorisation du comte. Ce qui fut accepté. Lors de l'arrestation des Templiers en octobre 1307, il n'y avait plus que quatre frères dans la commanderie. Parmi eux, Jacques le Verjus de Rebais en Brie, âgé de 70 ans, Lambert de Cormelles, âgé de 45 ans et le frère sergent Rémi qui était le précepteur. La commanderie fut cédée aux Hospitaliers sur ordre du pape. Ils y entreprirent de nombreux travaux de rénovation au XVIe siècle. La première mention d'une présence de frères du Temple à Coulommiers remonte à 1147 mais il est probable que la commanderie en elle-même fut fondée quelques années plus tard. Elle existait en 1173, puisqu'on trouve des documents attestant de don à son profit. Cette commanderie, devint rapidement une des plus importante de la région. Les donations était si nombreuses pour la construire que le roi Louis IX devra limiter les donations. La commanderie, très bien restaurée, véritable bijou médiéval, dite Ferme-de-l'Hôpital, a conservé pigeonnier, corps de logis, salle capitulaire. La chapelle, incendiée en 1196, fut rebâtie en 1205 de forme rectangulaire, à chevet plat, elle est ornée de sculptures et de fresques hospitalières. La salle capitulaire, dépourvue d'ouvertures, est austère. Il y a un souterrain qui, selon la légende, s'ouvre le jour de la Passion, relie les bâtiments entre eux. Des templiers furent emprisonnés à Coulommiers. Classé monument historique, c'est le dernier exemple complet de l'organisation agricole et monastique de l'Ordre du Temple pour le nord de la France...

Bataille Romain.

Quand le soleil se lève derrière les montagnes fait naître dans nos coeurs un grand sentiment de liberté qui nous accompagne tout au long de la journée. Quand les gorges profondes des montagnes le vent siffle Elle inspire un sentiment de libération qui nous fait rêver les rives éloignées. Lorsque Brooks l'eau se précipite après les grandes pluies il redirige le chemin de la vie et les nuages blancs dans le ciel sont nos espoirs qui se déplacent vers l'avenir. Quand l'homme comprendra alors toutes ces choses auront atteint bonheur. « Bataille de romain » Sources Domeneco Palermo.

LA GARDIENNE DE LA 9e PORTE: BONJOUR A TOUS, JE VOUS PRESENTE LA COUVERTURE DE ...

LA GARDIENNE DE LA 9e PORTE: BONJOUR A TOUS, JE VOUS PRESENTE LA COUVERTURE DE ...

BONJOUR A TOUS, JE VOUS PRESENTE LA COUVERTURE DE MON DERNIER LIVRE. AIDEZ-MOI A LE DIFFUSER EN PARTAGEANT CE LIEN. JE VOUS SOUHAITE DE MERVEILLEUSES FETES. AMOUR, PAIX ET FELICITE ET JE VOUS EMBRASSE TOUS BIEN FORT.

I'll tell you a secret...

I’ll tell you a secret.... Something they don’t teach you in your temple. The Gods envy us... They envy us because we’re mortal, because any moment might be our last.... Everything is more beautiful because we’re doomed. You will never be lovelier than you are now. We will never be here again Like the generations of leaves, the lives of mortal men... Now the wind scatters the old leaves across the earth, now the living timber bursts with the new buds and spring comes round again And so with men~ as one generation comes to life, another dies away... ~Homer Sources : Minoo Sedehi

mardi 18 décembre 2012

La condamnation des templiers.

Chevalier du Temple La condamnation des Templiers. Le 18 mars 1314, sur le parvis de Notre-Dame de Paris, se joue le dernier acte: Hugues de Pairaud, le visiteur de France, et les deux précepteurs de Normandie et du Poitou, Geoffroy de Charnay et Geoffroy de Gonneville. Les trois cardinaux, assistés par Philippe de Marigny, prononcent la condamnation à la prison à vie des Templiers. Alors se lèvent Jacques de Molay et Geoffroy de Charnay. Solennellement, devant la foule stupéfaite, ils protestent de leur innocence: "l'Ordre est saint, la règle du Temple est sainte, juste et catholique; ils n'ont commis ni les fautes ni les hérésies qu'on leur attribue; leur seul crime a été de se livrer à de faux aveux pour sauver leur vie"... L'un des sergents frappe sur la bouche du maître pour le faire taire. Lui et son compagnon sont aussitôt déclarés (relaps) et condamnés à mourir sur le bûcher dressé le même jour, sur l'Ile-aux-Joncs (à la hauteur du Pont-Neuf). Ils demandent à tourner leurs visage vers Notre-Dame, selon la coutume des Templiers de dire toujours à la fin de leurs prières du soir "les complies de Notre-Dame, pour ce que Notre-Dame fut au commencement de notre religion (notre ordre) et en elle et en son honneur sera, si Dieu plaît, la fin de nos vies et la fin de notre religion, quand il plaira à Dieu que ce soit"... Le bûcher fut allumé avec une extrême lenteur calculée, afin qu'ils souffrissent le plus qu'il était possible, Environnés de flammes, nos frères ne cessèrent de clamer leur foi en Dieu et l'innocence de l'Ordre... ..."Que l'âmes de nos frères reposent en paix"...

Le templier est un loup.

Templier Veritas Le Templier est loup. Le loup solitaire n’est pas un tueur. Il ne se nourrit que pour apaiser sa faim. Il n’attaque pas ses semblables. Le loup solitaire fuit la société des siens, car il en connaît la bêtise et la férocité. Il fuit les prêtres et les pasteurs, et méprise les troupeaux qui les suivent, bêlants et béats, un sourire haineux sur les lèvres. Il entend, au loin, les aboyeurs à théories et à programmes, acclamés par des foules sans tête, des plèbes sans visage, prêtes à brûler un jour ce qu’elles ont adoré un autre, et se tourne d’un autre côté. Le loup solitaire n’aime pas les chiens qui montrent les dents ou se couchent au signal, pantins pavloviens qui n’ont pas même la fierté de ne pas quémander leur pain, qui n’ont pas même la dignité de remercier celui qui le leur donne. Le loup solitaire n’ignore pas ses faiblesses, mais il ne compte que sur ses forces. Sans mépriser l’adversité, il n’en exagère pas le poids : il sait qu’aucun destin ne l’appelle et que l’histoire n’a pas plus d’envers que d’endroit. Le loup solitaire n’a pas besoin de bible, de coran, de missel ou de manifeste. Il méprise les mots d’ordre, les arguments, les prêches – tous ces crachats souillant la gratuité du monde. Le loup solitaire a de l’amitié pour lui-même, il ne s’adore pas. Il n’est au centre de rien, pas même de lui-même. Le loup solitaire ne connaît pas la foi ni le ressentiment. Il sait que le bien n’est pas séparé du mal, ni l’amour de la haine. Il se méfie des professeurs de vertu, des verseuses de bons sentiments et des éducateurs du peuple. Il croit que deux et deux font quatre, et que quatre et quatre font huit. Le vide des espaces infinis ne l’effraie pas. Il aime le sommeil et la veille, le jour et la nuit, le poème du temps, l’immobilité de la vie qui passe. Le sang baignant son âme est son vrai nom. Il garde le cœur ouvert et sage.

Bugarach, capitale d'un grand délire...

Bugarach, capitale d'un grand délire... Le village de Bugarach. En décortiquant la Bible, le bon pasteur Charles Taze Russel (1852-1916) a prédit quatre fois la fin du monde. C'était plié, croix de bois et croix de fer, on allait voir ce qu'était l'Enfer ! Il a tout d'abord annoncé la cata pour 1874, puis 1878, puis 1881, et finalement 1914. Mais la Bible a dû jouer des tours au bon pasteur, parce que le monde est toujours là, têtu et solide. Les Témoins de Jéhovah, qui sont des gens perspicaces, ont, eux, prévu la «fureur de Dieu» pour 1945, 1975, puis avant 1994. On est un tantinet en retard. L'association «Énergie humaine universelle» prévoyait le passage dans la quatrième dimension, dû à l'inversion du courant de l'énergie, pour le tout début de l'année 1999. L'inverseur a dû tomber en carafe. Et ces dernières années, toute une série de sectes, de gourous, de chapelles ont prévu tantôt l'apocalypse nucléaire ou le «Big Crunch» ou le passage d'un trou noir glouton qui nous avalerait. Pour l'instant, on n'a rien vu qui ressemble à une catastrophe mondiale. Le film «2012» créé l'événement Autant dire que prévoir l'apocalypse est un vieux truc qui trouve toujours preneurs. Alors, quand le cinéaste Roland Emmerlich signe, voici trois ans, un film catastrophe à grand spectacle intitulé «2012», certains ont pris très au sérieux les prophéties des Mayas, l'une des plus fascinantes civilisations que la Terre ait portées. Pour ceux-là, le calendrier maya prend fin en 2012, et notre monde aussi. Depuis, des astrologues, des numérologues, des géophysiciens ont considéré que l'affaire était plausible, et même des experts scientifiques gouvernementaux ont fini par y croire! Et tout ce beau monde joue à se faire peur. La date précise, selon le calendrier maya, serait donc le 21 décembre, vendredi prochain (lire en page 3). Mais les prophètes qui ont relayé cette terrifiante information expliquent aussi que Bugarach, belle curiosité géologique de l'Aude, avec un pic spectaculaire de 1 200 mètres d'altitude, serait sauvé! Cet endroit abriterait en fait une base extraterrestre secrète. C'est là qu'il «faut» donc être en ce jour de grande catastrophe. Bienheureux Bugarachois! Internet en folie Sous le pic de Bugarach se trouverait en effet un repaire farci d'instruments bizarres, et même des soucoupes volantes prêtes à décoller, et qui nous permettraient d'échapper au désastre planétaire. Ainsi, depuis deux bonnes années, la folie souffle sur Internet, qui relaye sans relâche l'effrayante prédiction venue du Mexique. Aux Etats-Unis des «survivalistes» ont déjà préparé leur bunker rempli de victuailles. La petite commune au sud-ouest des Corbières, à 37,8 kilomètres à vol d'oiseau de Carcassonne, a vu débarquer des personnages étranges, illuminés, convaincus ou terrorisés. On y trouve aussi bon nombre de curieux et quelques amateurs de bonnes blagues, sans compter des journalistes venus du monde entier pour observer les phénomènes - reste à définir quels phénomènes… Mais pourquoi Bugarach sera «sauvé» ? Pour quelles raisons le petit village audois de Bugarach, avec son pic éponyme, serait-il donc le dernier lieu sur terre épargné par l'apocalypse ? On se perd en conjectures et les hypothèses, même les plus «abracadabrantesques», abondent. En ces lieux isolés de la haute vallée de l'Aude, les légendes, colportées notamment par les réseaux sociaux, sont légion. Et tenaces. Le Pic est proche de Rennes-le-Château, où, dit-on, l'abbé Saunière aurait retrouvé le trésor des templiers si ce n'est celui des derniers Cathares brûlés vifs en 1244 à Montségur, à quelques encablures. Il est dit aussi, chez les mystiques, que le corps du Christ reposerait sous la montagne où serait également enfermée l'Arche d'Alliance, le coffre qui, dans la Bible, contiendrait les Tables de la Loi! D'autres rumeurs, tout aussi persistantes, et toutes aussi farfelues, font état d'une sorte de garage à soucoupe volante dans les galeries du Pic de Bugarach, une sorte de base pour des extraterrestres originaires de la constellation d'Orion prêts à secourir le genre humain. Ce mythe serait né dans les années soixante, sous la plume de Jean d'Argoun, un écrivain fasciné par l'ésotérisme. Il y a aussi cette rumeur née de la particularité géologique des lieux, où, les couches géologiques supérieures seraient plus anciennes que les couches inférieures. Ce phénomène de «montagne inversée», qui se serait produit lors de la poussée des Pyrénées à l'époque de l'ère tertiaire, aurait pour conséquence une inversion des pôles magnétiques et l'on raconte que les avions seraient interdits de survol en raison de cette «anomalie géologique». Les géologues ont beau marteler qu'il ne s'agit que d'un anticlinal, à savoir «un pli dont le centre est occupé par les couches géologiques les plus anciennes» et que de telles montagnes, en France, se comptent par dizaines, rien n'y fait. La rumeur galope toujours alimentée par l'irrationnel. Loin de cette agitation, les habitants conservent les pieds sur terre et, s'ils ne s'expliquent toujours pas ce délire collectif, sont plutôt satisfaits qu'on parle du village et entendent bien, tout au moins pour certains, en retirer quelques bénéfices. Chronique de Bugarach le regard de l'historien «Le monde n'en finit pas de finir» Les récits sur la fin du monde sont universels et remontent aussi loin que la mémoire humaine, écrivez-vous. à quel besoin répondent-ils ? Le premier texte de fiction que l'on connaisse parle déjà d'une fin du monde : c'est le déluge dans Gilgamesh, poème écrit 2000 ans avant notre ère. Depuis, le monde n'en finit pas de finir, il y a eu des fins du monde à toutes les époques et cela nous renseigne aussi sur l'état d'esprit d'une civilisation, la façon dont elle se voit et dont elle envisage sa propre fin. Mais il est difficile de faire une généralité pour dire à quel besoin cela répond car il varie selon le temps, les cultures. Au Moyen Âge, par exemple, la fin du monde répond clairement à un besoin de réparation. L'Apocalypse de Jean est ainsi un moyen de punir les méchants et de récompenser les gentils. Et aujourd'hui ? Cela répond, me semble-t-il, à l'envie de voir changer un monde qui nous déplaît. On se dit qu'il y a des choses qui ne peuvent plus durer. économie, écologie : on attend la catastrophe qui nous montrera qu'il faut tout changer. La différence, cependant, entre nos sociétés et celles du passé, c'est qu'aujourd'hui, l'homme peut détruire lui-même la planète. Autrefois, les dieux punissaient les hommes en provoquant la fin du monde. Mais depuis Hiroshima, précisément, on trouve beaucoup de récits, notamment dans la bande dessinée, où nous sommes la cause directe de l'apocalypse, soit par la guerre atomique, soit par notre inconséquence écologique et ces représentations sont plus angoissantes, car elles reposent sur des peurs rationnelles. La grande différence avec le haut Moyen âge chrétien, lorsque l'espérance de vie était d'à peine 30 ans et les conditions de vie terribles pour la majorité, c'est qu'à cette époque, la fin du monde était une source d'espoir avec la résurrection. Alors qu'aujourd'hui, si on lit La Route de McCarthy, il n'y a plus d'espoir. Quel regard portez-vous sur le phénomène Bugarach ? J'évoque les Mayas dans mon livre, mais dans mes recherches, je n'ai jamais trouvé trace de Bugarach. Cependant, régulièrement, on trouve un endroit qui va être épargné par l'apocalypse. Là, c'est Bugarach. Mes parents sont dans le Gers, et je me souviens qu'il y a quelques années, une autre prédiction disait que seul le Gers serait épargné par la destruction du monde... Les Fins du Monde de l'Antiquité à nos Jours, de Jean-Noël Lafargue, 45€, François Bourin éditeur. Que nous disent les représentations picturales, cinématographiques et scientifiques de la fin du monde ? De la Mésopotamie à Fukushima, Jean-Noël Lafargue interroge à travers elles les religions, la fiction, la cosmologie pour dresser un panorama des peurs de disparition qui hantent l'humanité depuis la nuit des temps. La Dépêche à Bugarach A compter de mardi, et jusqu'à la «Fin du Monde», le 21 décembre prochain, La Dépêche du Midi va publier, chaque jour, une page spéciale sur Bugarach. Sur place, notre envoyé spécial racontera la vie du village et le quotidien de ses habitants, évoquera les bouleversements de ce paisible village de 200 âmes confronté notamment au déferlement médiatique. De même nous suivrons l'événement vu du Mexique avec notre orrespondante Barbette Stern. Outre ces chroniques, La Dépêche du Midi a cherché à comprendre comment était né ce phénomène irrationnel et, pour tenter de le décrypter, a sollicité plusieurs scientifiques. Nous publierons des interviews d'Hubert Reeves, le célèbre astrophysicien, d'Odon Vallet, spécialiste des religions, de l'essayiste et humaniste Albert Jacquart, ou du poète Serge Pey. Lettre du Mexique El Tortuguero, la stèle de tous les fantasmes Encore cinq k'in (jours) et le 13e Bak'tun s'achèvera. Tout se jouera le 4 Ahau 3 Kank'in exactement - soit le 21 décembre 2012 de notre calendrier grégorien. Cette date fatidique figure sur une stèle remontant à 669 après Jésus-Christ, et découverte en 1958 sur le site archéologique de Tortuguero, dans le sud-est du Mexique (Etat de Tabasco). Quelques hiéroglyphes gravés à la fin du long récit de la vie du gouvernant de la cité, Balam Ajaw, le seigneur Jaguar. Nulle allusion à une quelconque fin du monde. Nulle prophétie. Juste un fait. Les descendants des Mayas multiplient les «purifications» Selon la cosmogonie maya, c'est le 4 Ahau 8 Kumk'u (14 août 3114 avant J-C) que les dieux ont mis pour la première fois de l'ordre dans l'univers. La date mythique de la création du monde, en quelque sorte. Et le point de départ de la «cuenta larga» - le compte long -, divisé en périodes de durées différentes: 360 jours (tun), 7200 jours (ka'tun), 144.000 jours (Bak'tun). Les Mayas ont une vision cyclique du temps qu'ils mesurent en jours. Ainsi, tous les 400 ans environ, un Bak'tun se termine, un autre commence. Au cours de cérémonies rituelles, les prêtres implorent la clémence des dieux pour cette nouvelle étape. Le 21 décembre, 1 872 000 jours (13 Bak'tun) se seront écoulés depuis l'année zéro des Mayas. La fin d'une ère de 5 125 ans que les quelque 5 millions de descendants de cette civilisation (dont l'apogée se situe entre 250 et 900 après J-C), présents du sud-est du Mexique au Guatemala en passant par le Belize et un petit bout du Honduras et du Salvador, ont commencé à célébrer en multipliant les «purifications» à l'encens. Lors de la découverte de la stèle de Tortuguero, personne ne prêta attention à cette date, simple anticipation du déroulement de la «cuenta larga». Ce n'est que dans les années 1980 et l'émergence aux Etats-Unis du mouvement spirituel «New Age», patchwork de croyances revisitées et hétéroclites, qu'elle embrasa l'esprit de quelques adeptes de cette mouvance millénariste, donnant naissance à des interprétations apocalyptiques, ancrées dans la tradition judéo-chrétienne qui veut que le monde ait un commencement et une fin. Cette vision ésotérique, alimentée par nos propres peurs, mêlant prophéties et pseudo-calculs scientifiques de convergences galactiques, a provoqué un sursaut d'intérêt international pour la culture maya que les prestataires de service mexicains de tous poils ont vite mis à profit! Une immense horloge numérique Au Mexique, la presse s'est emparée du sujet sur un ton sérieux ou pour moquer la prétendue fin du monde. Les caricatures et les petites blagues se multiplient à l'approche de la date fatidique. Le sujet envahit les ondes. Le catastrophisme se vend bien. La fin du 13e Bak'tun approche! A Tapachula (Chiapas), à la frontière du Mexique et du Guatemala, une immense horloge numérique égraine les heures, les minutes et les secondes qui restent avant… Avant quoi? Seuls les Indiens mayas dorment tranquilles. Ce pays où la vérité est ailleurs... Bugarach, c'est au bout de la route qui monte longtemps. Une «marche» en pays cathare, comme on disait autrefois des territoires frontaliers du royaume - lorsque, de l'autre côté de la montagne dominant ce village des Corbières aux confins de l'Aude, régnait encore le roi d'Aragon. Bien avant l'invention de l'exode rural qui fit enfin rentrer Bugarach dans la liste de ces lieux où il ne se passe habituellement rien. Mais pendant longtemps. Comme disent les citadins. «Grâce à quoi, ici, on a fait l'Europe en attirant des Allemands, des Hollandais, des Finlandais, des Irlandais, des Espagnols et des Anglais en quête de calme», rappelle, pince-sans-rire, Jean-Pierre Delord, maire de la commune depuis 36 ans, et dessinateur industriel de formation. Il a fait partie des premiers à ressusciter le village, au tout début des années soixante-dix, en venant s'y installer comme éleveur «parce qu'ici, les terres n'étaient pas chères». Twin Peaks Depuis ? Le touriste a appris à visiter les vaches aussi. Et les migrations saisonnières de randonneurs ont donc entraîné la création d'une centaine de lits pour héberger ceux qui viennent gravir les 1 231 mètres du fameux Pech de Bugarach, aujourd'hui déguisé en «Twin Peaks» brumeux - du nom de cette ville imaginaire d'un feuilleton américain où il se passe bien des choses bizarres. Façon sans doute de faire frissonner d'invisibles curieux. .. Ainsi que le note, dépité, un Alpin isolé venu voir ce qu'il croyait être les frontières du réel et qui repart, déçu de n'avoir croisé que le vent. Preuve qu'à Bugarach, la vérité est ailleurs. Dans la salle du conseil municipal, pour commencer. Voyage dans le temps en soi, sous le regard de son étonnante Marianne peinte, «qui porte les traits de l'impératrice Eugénie», pointe le maire. Et là ? Ah, là… «C'est la carte du réseau des grottes sous le Pech. J'en avais tellement marre d'entendre n'importe quoi sur la soi-disant base extra-terrestre souterraine que j'ai visité les six kilomètres de galeries avec les spéléos de l'Aude», poursuit Jean-Pierre Delord. Se mordant encore la langue d'avoir rapporté il y a deux ans au conseil municipal qu'un délire était en cours sur Internet concernant Bugarach érigé en «arche de Noé» pour cette officielle 183e fin du monde du 21 décembre 2012. «Il y a eu une fuite et ça a fait la une de la presse, puis Internet n'a fait qu'amplifier ce qui autrefois serait resté confiné entre quelques illuminés». Eschatologie : discours sur la fin des temps. Millénarisme : croyance en l'avènement d'un nouveau royaume… Depuis, Bugarach s'est familiarisé avec le vocabulaire des gens compliqués. Et les réservations hors saison. «Nous avons vacances», prévient ainsi l'ardoise sur la porte de l'ancien presbytère où le propriétaire hollandais achève les travaux pour pouvoir accueillir les journalistes. Tandis qu'un Mirage cercle dans le ciel. «Car même pour l'Armée de l'Air, le Pech est devenu une curiosité» lâche le maire. Et les autorités préfectorales veillent au grain. Cette semaine, elles contrôleront les abords du site. «Allo ? La station Mir ?» Le téléphone sonne. Jean-Pierre Delord décroche. «Allo ? La station Mir ?», dit la voix à l'autre bout. Rien de grave : un copain qui se moque.... «Bonjour, c'est NBC News…», commence l'appel suivant… «Pfff», lâche le maire en raccrochant. «Car moi, j'aimerais bien qu'on parle de ce qui est vraiment important, ici, où on a réussi à maintenir l'école maternelle et 10 exploitations pour une commune de 198 habitants et où l'on protège nos terres agricoles, car il faudra peut-être un jour renourrir les gens avec la production locale.» La faim d'un monde qui produit et se nourrit mal : le vrai sujet pour l'élu paysan. LA DEPÊCHE DU MIDI