Petrus Romanus
Chronique d’humeur sur l’actualité religieuse
Grande nouvelle de ROME :
JORGE MARIO BERGOGLIO, alias François 1, pape nouveau prophétisé par MALACHIE !
Saint Malachie
C’est la superbe question du moment : le pape nouvellement élu, à la suite de la démission de Benoît XVI est-il Petrus Romanus, alias Pierre II, prophétisé par Malachie comme étant le 112e
pape d’une longue série de saints pères monarques de droit divin
absolu (Tous cités et commentés par Malachie à coup de sentences
respectives, en général troublantes, car semblant exactes), avant l’aube
d’un bouleversement historique ?
Voyons, PETRUS ROMANUS (Pierre le Romain) alias François 1, pape ?
Pierre le Romain alias PIERRE II, idem alias Jorge Mario Bergoglio, pape ?
On peut la prendre en n’importe quel bout, l’énigme est là.
Nul n’en a fini d’en prophétiser, et je pense que monsieur Dan Brown devrait benoîtement sourire
le matin en se rasant, songeant à la prochaine manne de dollars qui
devrait inonder son compte en banque, car le sujet romancé ne
manquerait pas d’être une fois de plus, judicieusement juteux !
Hé bien, je propose que, pour une fois, nous lui donnions des idées, à ce bon monsieur.
Bon
sang… !… que nous servions enfin à quelque chose, nous les pauvres en
deniers ! Au moins sachons enrichir un peu plus les riches, et qu’enfin
nous complaisions aux modes privilégiés du marché de l’édition ! Un
petit effort ! A moins qu’au contraire, nous tâchions de lui couper
malignement l’herbe sous le pied en lui court-circuitant les bonnes
idées, toutes supposées par moi, transmutables en or !?
Première bonne idée, donc, déjà court-circuitée par un internaute journaliste :
Benoît XIV se retira le jour même de la saint ROMAIN ! Voici que déjà nous constatons que le mot ROMAIN s’intègre dans l’histoire ! Bon début.
Mais
où l’affaire s’emballe, c’est quand il faut bien admettre toute une
série de coïncidences, toutes fortuites, bien entendu ! Il est notable,
n’est-ce pas, que les gens d’église sont des étourdis inconscients et
sans cesse improvisant actes et pensées complaisamment livrés au pur
hasard en planant très haut dans le ciel et respirant les effluves de
l’encens… Pensez bien qu’ils ont les moyens de leurs fantaisies,
puisque c’est Dieu le maître absolu de leurs esprits qui les empêche,
grâce à ses escadrons d’anges, de tomber de haut ou de naufrager comme
des mousses évaporés ! (Voilà, voilà, hum, hum… bon… !)
Seconde
bonne idée, qui n’en est pas une… Comme la première, c’est un fait, et
qu’il faudrait peut-être prendre au sérieux (surtout quand on a le
sens des affaires…)
Le successeur de Benoît XIV, au terme d’un conclave singulièrement expédié, est Jorge Mario Bergoglio.
Et cela se passe précisément le 13 Mars, date de la fête du bienheureux PIERRE II.
Il n’y a qu’un saint nommé Pierre II. Et cela ne s’invente pas !
Qui était Pierre II de la Cava ?
Vous verrez en tapotant sur le Net, comme quelques internautes inspirés l’ont fait, que c’était un grand monial Italien du 13e siècle, un bénédictin de choc, donc un disciple de Benoît (tiens, tiens) qui créa toute une chaîne de monastères bénédictins des Pouilles jusqu’en Lombardie, Rome,
et Piedmont, un homme de caractère qui en profita pour régler tous les
conflits existant entre frères… Tiens ? Comme c’est drôle, nous
attendons un rôle analogue assumé dans l’avenir par le pape nouveau !
Paix dans les églises, mes frères !
Et voici comment Pierre II fait son entrée sous les acclamations des fidèles…
Relisons Malachie : 112e pape cité, et ultime. Sa sentence est « Pierre le Romain » qui deviendra secrètement Pierre II. Que fera-t-il ?
« … Lors de la dernière persécution que subira la Sainte Eglise Romaine, siègera Pierre le Romain. Il paîtra les brebis au milieu de nombreuses tribulations… etc. »
Tout
le monde (même dan Brown) a vu la croix du nouveau Saint-Père. Le
cardinal ne portait pas de crucifix ! Ce grand original portait et
porte encore, sans doute, une croix en métal blanc montrant une colombe
volant en plongée piquée (Vous connaissez ce symbole, je suppose ?),
et en dessous, nous trouvons le « bon pasteur » paissant ses brebis, faisant précisément le signe dit du bon pasteur,
bras repliés sur la poitrine (Vous connaissez ce signe, ce geste
rituel, n’est-ce pas ?), et transportant une brebis égarée sur les
épaules.
Le
destin du nouveau pape, annoncé par Malachie, est donc scellé sur son
emblème et nous savons (au moins les malins, et aubaine sur la croix),
quels sont ses pairs.
Bien, cela commence à venir…
Mais, où se cache le cryptage numérique, confirmant son ordre d’arrivée, le numéro 112 ? A vos calculettes :
J O R G E M A R I O B E R G O L I O
François 1.
Soit :
1 + 6 + 9 + 7 + 5 + 4 + 1 + 9 + 9 + 6 + 2 + 5 + 9 + 7 + 6 + 7 + 3 + 9 + 6 plus le 1 qui manquait et qu’il s’est accordé in extremis en se nommant François n° 1 = 112.
(Comptez en ordre alphabétique des lettres, en réduisant les nombres : exemple : J = 10 fait 1 ou bien G = 7 fait 7).
Il y a aussi cela :
P E T R U S R O M A N U S (13 lettres)
Sans réductions:
16 + 5 + 20 + 18 + 21 + 19 + 18 + 15 + 13 + 1 + 14 + 21 + 19 = 200.
Avec réductions : 7 + 5 + 2 + 9 + 3 + 10 + 9 + 6 + 4 + 1 + 5 + 3 + 10 = 74.
200 – 74 = 126.
126 – 13 = 113.
113 – 1 = 112.
Nous avons utilisé tous nos chiffres honnêtement disponibles !
(Pour
ceux qui s’intéressent aux mystères des deux Rennes... en référence à
un travail antérieur (Léo Bourbon), je ne saurais trop leur conseiller
de s’intéresser de très près à la page 112 du Boudet
où existe de manière occultée, mais forte, une relation avec le thème
de cette chronique, et de tenter d’y comprendre quelque chose ! Et pour
les très curieux, de se reporter en fin du chapitre n° 1 des chroniques de Léo Bourbon, où l’on découvre cette rarissime image, Jean Cocteau exécutant le rituel du Bon Pasteur, photo rajoutée à l’époque par J.P. Garcia.)
Je passe sous silence une foule de très intéressants et révélateurs détails.
Original de la VLC
Si
monsieur Dan Brown désire en savoir plus, qu’il me contacte et sache
que nous sommes à sa disposition … (lol !)… mais à partir de là, ce ne
sera plus gratuit… ??? (relol !)
Preuves donc, que l’affaire Malachie ne serait :
1) Qu’une stratégie de clercs visionnaires, datant du 16e
siècle, préparant les esprits à un changement inéluctable et
pragmatique au sein de l’Eglise catholique apostolique et romaine.
2) A moins que Dieu existe, auquel cas c’est lui qui serait l’auteur de la stratégie ?
(Rayer les mentions inutiles)
(Rayer les mentions inutiles)
Note
personnelle : je me garderais bien, en bon élève de Pascal, de
biffer quoique ce soit… et, comme J. Cocteau, je répéterai : « Puisque ces mystères nous dépassent, feignons d’en être les organisateurs ».
Merci, ô précieux lecteurs.
19 mars 2013, Jean-Marie Villette, alias Léo Bourbon et Atanocle ©
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