La Cure et la
colline de Vézelay
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Les amateurs de l’art roman peuvent trouver plusieurs autres monuments romans dans la très belle ville ancienne de Vézelay : d’abord deux anciennes églises paroissiales désaffectées. Saint-Etienne, en bas de la ville, était du type des églises à deux étages voûtés d'arêtes, et conserve encore sa nef intéressante transformée en magasin. Saint-Pierre, église romane probablement du même type, est encore plus martelée: il n'en subsiste que la tour de l’horloge du 17e siècle. Dans les rues, et surtout dans les quartiers entourant l’abbaye, vous pouvez admirer encore plusieurs façades romanes avec grandes arcades et baies géminées, ainsi qu'un grand nombre de caves voûtées du 12e siècle conservées sous les maisons, qui font de Vézelay un monument roman dans son entier. Enfin, en dehors de la ville en direction d’Asquins, on trouve la délicieuse chapelle de la Cordelle avec ses arcatures et chapiteaux du milieu du 12e siècle.
L'histoire de l'abbaye et de la ville de Vézelay est longue et importante. Les origines se trouvent dans la vallée de la Cure au pied de la colline, à l'emplacement du vieux village de Saint-Père, où l'existence d'un temple païen et d'un oratoire Saint-Jean-Baptiste est connue depuis longtemps. L'abbaye de Vézelay trouve son origine avec la fondation vers l'an 858 d'un monastère de moniales dans la vallée, par le comte Girard de Roussillon et sa femme Berthe. Le couvent de femmes obtient la protection directe du pape en 863. Quelques années après, le couvent est détruit par les Normands et on décide de le déplacer sur la haute colline voisine, plus facile à défendre. Ici est alors créé un nouveau monastère bénédictin d’hommes, dirigé par l'abbé Eudes, avec des moines venus probablement d’Autun. Le monastère est entouré d'une enceinte et est dédié à Saint-Pierre, Saint-Paul et Sainte-Marie. Une première église carolingienne est consacrée en 878 par le pa
Dessin des ruines
de la façade au 19e siècle par Viollet le Duc
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Je vous propose ici une visite approfondie de la basilique merveilleuse et des vestiges de l'abbaye. En arrivant, on voit de loin la magnifique colline de Vézelay, couronnée par la basilique Sainte-Madeleine. Après avoir monté les jolies rues de la cité fortifiée, on se retrouve sur la place devant la façade de l'église. Cette façade apparaît mutilée et restaurée, cachant une grande église du 12e siècle qui est un chef-d'oeuvre incontesté de l'art roman, pour son architecture savante, pour ses multiples trésors abondants de sculpture, pour la lumière grandiose du sanctuaire. Sur le plan ci-dessous on voit que la basilique se compose de trois parties bien distinctes qui composent cet ensemble merveilleux : un narthex de trois travées à l'ouest, une grande nef romane de dix travées, et à l'est, un partie gothique comprenant le transept et le choeur à déambulatoire. Du côté sud, on voit l'unique bâtiment conservé de l'abbaye. Je ferai la description en commençant à l'ouest par la façade, et en continuant vers le choeur, en soulignant que l'ordre de description n'est alors pas chronologique.
Plan de la basilique
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Le narthex et les portails romans
La façade
restaurée
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La
tour Saint-Michel
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Entrons par l'un des portails. On se trouve dans le grand narthex, aussi dit Galilée ou avant-nef, ajouté vers 1140-1150 comme espace d'accueil pour les pèlerins, lieu de rassemblement et de préparation. C'est un haut espace de trois travées d'une architecture romane savante, où domine déjà l'arc brisé, voûté d'arêtes. C'est un des espaces d'accueil avec étage, dont on trouve de nombreux exemplaires dans la Bourgogne Romane: Tournus en est un spécimen ancien, et celui de Perrecy-les-Forges préfigure Vézelay. Comme dans ce dernier, les trois nefs sont surmontées à l'étage par des tribunes en forme de U. Les tribunes surmontent les bas-côtés et s'ouvrent sur la partie centrale par des séries d'arcatures sur chapiteaux. Ils sont reliés par la tribune au-dessus de la troisième travée, où se trouve une petite chapelle dédiée à l'archange Saint Michel, portée par des pilastres à chapiteaux. C'est une chapelle haute qui s'ouvre sur la nef par deux arcatures en plein cintre, d'où la vue est formidable. Ici se trouvent deux voûtes d'ogives qui sont parmi les plus anciennes de France. Reste à remarquer que les parties hautes des tribunes et les voûtes sont en grande partie reconstruites pendant la restauration du 19e siècle et que tous les chapiteaux des tribunes sont remplacés par des copies (à l'exception de celui de Tobie, côté sud).
Le narthex
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Parties hautes
du narthex
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Le portail central
du narthex
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Le portail nord
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Chapiteaux du
portail sud
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Les deux portails latéraux du narthex, de la même période, s'ouvrent sur les collatéraux de la nef. Le portail sud est un petit trésor par ses sculptures parfaites qui rappellent celles du Brionnais. Le tympan, un peu mutilé, représente l'Enfance du Christ. Sur le registre inférieur, on admire l'Annonciation, la Visitation, l'Annonce aux Bergers et la Nativité. Le registre supérieur montre l'Adoration des Mages avec la Vierge à l'enfant. Ce sont des sculptures d'une excellente facture, pleines de mouvement. Les voussures possèdent de belles feuilles de vigne et des rosaces. Quatre chapiteaux historiés montrent Ulysse et la sirène, l'Ange de la Nativité à l’olifant, l'ange du Jugement Dernier et un Faune visant un démon. Le portail nord montre les derniers épisodes de la vie du Christ ressuscité. Le registre supérieur du tympan montre l'Ascension, avec le Christ entre les Apôtres. Le registre inférieur représente trois scènes : l'Apparition du Christ à deux disciples d'Emmaüs, le Christ rompant le pain, et les disciples retournant à Jérusalem. Comme sur le portail sud, on admire les belles voussures et quatre chapiteaux historiés : un oiseau avec corps de serpent, deux anges vainqueurs de démons, et deux tons du plein-chant.
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Tympan
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Voussures
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Partie du linteau
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Chapiteaux
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Portail sud
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Tympan sud
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Tympan nord
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Chapiteaux nord
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Enfin, le narthex est remarquable pour les chapiteaux de l'étage inférieur. Ils sont un peu postérieurs aux chapiteaux de la nef, qu'on va découvrir ci-dessous, certains en reprennent les thèmes. Les sujets sont variés. Certains représentent des feuillages et des décors végétaux, d'autres sont historiés. Voila la liste complète de la dernière catégorie: Saint Benoît ressuscite un enfant, les Reproches de Nathan à David, l'Histoire de Saint Jean-Baptiste, l’Apparition de Sainte-Marie-Madeleine à la Princesse de Provence (moderne), Samson terrassant un lion (mutilé), deux hommes mangeant du raisin, Joseph et la femme de Putiphar, Bénédiction de Jacob par Isaac (mutilé), Saint Pierre et Saint Paul en prière, la Décollation de Saint Jean-Baptiste, le Repas de Saint Antoine et Saint Paul ermites, la Tentation de Saint Benoît et la Mort de Caïn.
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Mort de Caïn
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Samson terassant
le lion
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St-Benoit ressuscite
l'enfant
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St-Pierre et
St-Paul en prière
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Joseph et la
femme de Puthipar
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Histoire de
St-Jean-Baptsite
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Reproches de
Nathan à David
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Feuillage
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La grande nef et les chapiteaux
Façade
latérale de l'église
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L'intérieur
de la nef
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Coupe du narthex
et de la nef
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Bas-côté
de la nef
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Chapiteau de
la nef : le Moulin Mystique
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Plus encore que le narthex, la nef est remarquable pour ses chapiteaux romans. Les sculptures abondantes, datées de 1125-1140, montrent pl
Les chapiteaux surmontent les colonnes engagées des piliers de la nef et celles des murs goutteraux. Voici la liste complète des chapiteaux historiés du bas-côté sud : la Luxure et le Désespoir, le célèbre chapiteau du Moulin mystique, Saint Martin et l’arbre sacré des païens, le Duel, le combat fabuleux, l'enlèvement de Ganymède, la Conversion de Saint Eustache, l’Education d’Achille, la balance et les gémeaux, le Conseil, la Mort de Lazare et du Mauvais Riche, la Mort de Caïn (repris au narthex), David terrassant le lion, les Maîtres et les Ecoliers, la Musique Profane, le Combat de Jacob avec l'ange, la Bénédiction de Jacob par Isaac (repris au narthex), la légende de Saint Benoît, les 4 fleuves du Paradis, les 4 vents, Daniel entre les lions, Daniel dans la fosse aux lions (réemploi du chœur roman), le Compagnon de Judas, le Sacrifice de l’ancienne loi (moderne) et lions affrontés.
Chapiteau
du bas-côté sud : la luxure et le
désespoir
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Mort
de Lazare et du mauvais riche
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Enlèvement
de Ganymède
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St-Martin et l'arbre
des païens
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Combat fabuleux
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Conversion de
St-Eustache
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Conseil
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Balance et Gemeaux
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Mort de Caïn
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David terassant
le lion
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Musique profane
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Combat de Jacob
et l'ange
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Bénédiction
de Jacob par Isaac
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Légende
de St-Benoît
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Fleuves du paradis
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les vents
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Daniel entre
les lions
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Voici la liste complète des chapiteaux historiés du bas-côté nord : le Festin du Mauvais Riche, la Délivrance de Saint Pierre, Adam et Eve dans le paradis (réemploi du chœur roman), la lutte du bien et du Mal (moderne), la Tentation de Saint Antoine (moderne), la Vision de Saint Antoine, le repas de Saint Antoine et Saint Paul ermites (repris au narthex), l'Exécution du meurtrier de Saül, la légende de Sainte Eugénie, le basilic et la sauterelle, les funérailles de Saint Paul ermite (moderne), le Fils de Pharaon tué par l'Ange exterminateur (inachevée), Moïse et le Veau d'or (rappelant Autun), combat de deux démons, les éléphants affrontés (mutilé), la Mort d'Absalon, la lutte de David et Goliath, meurtre de l’Egyptien par Moïse, l'Hiver et l'été, lions affrontés, les oiseaux, Judith et Holopherne (moderne), le Châtiment de l’Avare et du Calomniateur, les Jeux Frivoles (mutilé), la Sagesse et l’Imprudence.
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Festin du mauvais
riche
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Delivrance de
St-Pierre
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Adam et Eve
dans le paradis
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Vision de St-Antoine
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Repas de St-Antoine
et St-Paul
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Exécution
du meurtrier de Saül
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Légende
de Ste-Eugénie
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Basilic et sauterelle
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Moise et le veau
d'or
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Combat de démons
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Mort d'Absalon
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Lutte de David
et Goliath
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Meurtre de l'Egyptien
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Lions affrontés
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Châtiment
de l'avare et du calomniateur
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Sagesse et imprudence
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A la naissance des doubleaux de la voûte se trouvent les derniers chapiteaux, moins visibles mais intéressants. Ils sont flanqués de pilastres cannelés avec petits chapiteaux souvent sculptés de décors végétaux. Voici la liste complète des chapiteaux historiés des parties hautes de la nef: la Lutte de Dragon et Guerrier, le Sacrifice de Caïn et Abel (voir aussi à Chalon), Adam et Eve chassés du paradis, Hériodade et Hérode, deux Pélicans au bord de l’eau (pilastre: le Sacrifice d’Isaac par Abraham), Samson et Dalila, l’Abbé de Vézelay rendant Justice, Joseph et la femme de Putiphar (repris au narthex), Abdemelech obtient la grâce de Sediacus de Jérémie, le Martyre de Saint Andoche , la Construction de l’Arche de Noé (pilastre: lion et atlante), le Meurtre d’Amnon, la Pendaison de Judas (fameux sujet d'Autun et de Saulieu. Pilastre: atlantes), Ours et personnage caché dans les feuillages. Restent à mentionner le chapiteau du Combat de lions du côté ouest de la nef sous la chapelle Saint-Michel et un médaillon d'une femme assise avec l’église de Vézelay dans une arcade du côté sud de la nef.
Chapiteau
des parties hautes : Adam et Eve
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Sacrifice
de Caïn et Abel
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Hériodade
et Hérode
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L'abbé
de Vézelay rendant justice
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Joseph et la
femme de Puthipar
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Construction
de l'arche de Noé
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Lutte de guerrier
et dragon
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Meurtre d'Amnon
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Combat de lions
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Le chœur et la crypte
Le chœur et le transept sont construits à la fin du 12e siècle dans le nouveau style gothique primitif après l'incendie en 1165 qui détruisit le choeur roman des années 1100. Cette partie de l'église est très lumineuse et s'oppose à la nef romane par son style très différent. Cependant, l'ensemble est d'un équilibre parfait et étonnant. C'est l'un des premiers exemples de l'art gothique qui deviendra la gloire de l'Ile-de-France, connu de Sens et de Saint-Denis. On y trouve les caractères du gothique naissant : voûtes d'ogives, épanouissement vertical, arcs de profil brisé, tribunes avec arcatures légères, déambulatoire avec hautes colonnes, grandes baies et chapelles rayonnantes carrées et semi-circulaires. Un tympan trilobé du 13e siècle est déposé dans le croisillon nord. A côté du croisillon sud est construit le deuxième clocher de la basilique : la tour Saint-Antoine. Cette dernière est construite vers 1160 et possède des grandes ouvertures sur deux étages, tandis que sa flèche octogonale avec lanternons est détruite.
Chevet
gothique de la basilique
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Le
choeur lumineux
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La
tour Saint-Antoine
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Sous le choeur se trouve la crypte où sont conservés depuis longtemps les reliques de Sainte Madeleine. Elle conserve les vestiges d'une première crypte de l'abbatiale carolingienne du 9e siècle. Le petit espace voûté en berceau du côté ouest de la crypte, où est conservée la châsse de reliques, serait un confession de cette époque. La crypte actuelle a été construite après l'incendie de 1165 dans un style mi-roman, mi-gothique. Les voûtes d'arêtes des 7 travées sont portées par des colonnes monolithes aux chapiteaux lisses. Quelques fresques du 13e siècle y sont conservées, dont un Christ en majesté.
La
crypte sous le choeur
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Les bâtiments de l'ancienne abbaye
Ayant complété la visite de l'église abbatiale, on continue avec les vestiges des bâtiments de l'abbaye. Autrefois, un ensemble important de bâtiments monastiques se trouvait au flanc sud de l'église autour d'un cloître central. Ces constructions ont été en grande partie détruites après la Révolution. Aujourd'hui ne subsiste que le bâtiment des moines contre le transept de l'église. Le rez-de-chaussée de ce bâtiment date de la seconde moitié du 12e siècle et se compose de deux salles d'un bel art roman tardif. La plus importante est la Salle capitulaire, aujourd'hui chapelle du Saint-Sacrement. Restaurée par Viollet le Duc, cette salle est voûtée d'ogives sur deux colonnes centrales séparant six compartiments. La sculpture des chapiteaux est évoluée et les voûtes sont dotées de médaillons sculptés avec scènes variées : Agneau Pascal, animaux fantastiques, Samson terrassant le lion, Saint Michel combattant le dragon. Les arcades du côté ouest s'ouvraient sur une galerie du cloître et ses chapiteaux et archivoltes sont décorés. La petite salle suivante de deux travées est également voûtée d'ogives, elle ne se visite pas. Le premier étage du bâtiment était le Dortoir des Moines. Divisé en deux salles, il est occupé par le Musée de l’Oeuvre (voir ci-dessous). Restaurée en 1967-1969, la plus grande salle se compose de trois travées gothiques voûtées d'arêtes. Ce bâtiment était à l'origine flanqué à l'ouest du cloître, reconstruit au 13e siècle puis détruit à la fin du 18e siècle. Une seule galerie a été reconstituée par Viollet-le-Duc en 1854 et fait communiquer l'église et la Salle capitulaire. L'emplacement du préau du cloître est clairement visible et un puits y est encore conservé. Des sarcophages et pavements ont été trouvés par des fouilles en 2012. Ici se trouve sous terre une Citerne d’eau romane, importante mais inaccessible, à deux nefs en berceau porté par neuf colonnes. Contre le mur latéral de la basilique sont déposées ici, depuis 1851, les grandes pierres de l'ancien tympan du grand portail de la façade. La sculpture abîmée est très difficile à reconnaître, compte tenu des mutilations de la Révolution. On voit encore les vestiges du Christ en Majesté et d'un ange, peut-être de la main de Gislebertus, célèbre maître sculpteur de la cathédrale d'Autun. Le grand linteau du portail est déposé devant : les figures des Apôtres sont très mutilées. Plus loin, vers la terrasse de l'ancien Château abbatial détruit à la Révolution, les vestiges d'un autre bâtiment de l'abbaye sont conservés. Il s'agit d'un mur aux larges ouvertures de l'ancien Réfectoire du 12e siècle, dans un enclos privé. Jetant un coup d'oeil sur les constructions du 18e siècle, comme l'ancien doyenné et les Maisons canoniales du chapitre flanquant la basilique au côté nord, on a visité tous les vestiges des bâtiments de l'abbaye. Prenez le temps d'admirer la vue sur les environs depuis la terrasse derrière la basilique.
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Arcatures
de la salle capitulaire
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Intérieur
de la salle capitulaire
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Ancien Réfectoire
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Dortoir avec
musée lapidaire
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Pierres déposées
de l'ancien tympan du grand portail
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Le Musée de l'œuvre
On pourra ensuite compléter la visite de l'abbaye de Vézelay par le Musée de l'œuvre qui se trouve dans l'ancien Dortoir des moines à côté de la basilique. C'est un musée lapidaire très intéressant qui regroupe de nombreuses sculptures romanes déposées au milieu du 19e siècle par Viollet-le-Duc pendant la grande restauration. A cette époque, le restaurate
Chapiteaux du
Musée
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Chapiteau du cloître
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Médaillons
de la Salle capitulaire
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Combat des
anges et des démons
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Sujet inconnue
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Tentation de St-Antoine
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Le Festin de
Balthazar
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Pharaon et
les sages femmes
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Chapiteau du
trumeau
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La basilique se visite toute l'année de l’aube au crépuscule. En été, la CASA propose des visites guidées de la basilique. Le Musée de l'Oeuvre se visite en Juillet et Aout de 14h à 18 h.
Pour en savoir plus sur Vézelay, vous pouvez visiter les sites internet suivants :
Site de la basilique: http://vezelay.cef.fr/.
Site anglais avec autre description (belles photos des chapiteaux):
http://vrcoll.fa.pitt.edu/medart/menufrance/vezelay/vezintro.html.
Site de l’Office de Tourisme: http://www.vezelaytourisme.com/.
Site informatif de la ville: http://www.ville-vezelay.com/.
Maison du Visiteur : http://www.vezelay-visiteur.com/.
Vézelay photo : http://www.vezelay-photo.com/.
Site non officiel de la ville: http://membres.lycos.fr/vezelay/Francais/Menufr.html.
La basilique sur art-roman.net: http://www.art-roman.net/vezelay/vezelay.htm.
Vézelay sur Architecture religieuse: http://architecture.relig.free.fr/vezelay.htm.
Page en anglais: http://titan.iwu.edu/%7Ecallahan/vezelay-panorama-e.html.
Série de photos sur romanes.com: http://www.romanes.com/Vezelay/.
Vous pouvez également consulter l'un des nombreux livres écrits sur Vézelay :
- Adhémar J., Vézelay, 1959.
- Alban E., Les caves de Vézelay, Paris, Université de Paris IV, 1954.
- Angheben M., Les Chapiteaux Romans de la Bourgogne.
- Angheben M., Le combat du guerrier contre un animal fantastique: á propos de trois chapiteaux de Vézelay, Bulletin monumental, 1994.
- Arms J.T., Basilica of the Madeleine, Vézelay, 1929.
- Bataille A. et al., Vézelay, Haut lieu de Lumières, Dijon, 1998.
- Baussan C., La Basilique de Vézelay, Paris.
- Bécet M., Vézelay.
- Calmette J. et david H., Les grandes heures de Vézelay, Paris, 1951.
- Claudel P., Vézelay, Paris, 1950.
- Druon M., Vézelay, colline éternelle.
- Erlande-Brandenburg A., Vézelay, Paris, 2002.
- Feldman J.S., The Narthex portal of Vézelay: Art and the monastic self image, Texas, 1988.
- Forsyth I., The Ganymede capital at Vézelay, 1976.
- Frizot J., Vézelay, 2002.
- Gréal J., La basilique de Vézelay, Guide et plans.
- Haasé P., Actes de la Journée d’Etude des Sous-Sols batis, Les Amis de Vézelay, 1988.
- Haasé P. et Tollard P., Vézelay et ses environs, Guide, Promenade, 1984.
- Huys-Clavel V., La Madeleine de Vézelay, cohérence du décor sculpté de la nef, 1996.
- Janet le Caisne, E.-M., Vézelay. Paris, 1963.
- Jean-Nesmy C., Vézelay, Zodiaque, 1970.
- Katzenellenbogen A., The central tympanum at Vézelay, Its encyclopedic meaning and its relation to the first crusade, 1944.
- Martin N.L., Précis historique et anecdotique sur l’ancienne abbaye de Vézelay et les alentours, Auxerre, 1832.
- Miehoff F., La sculpture oubliée de Vézelay, Zeitschrift für Kunstgeschichte, 1989.
- Moreau A., Vézelay, Nouvelles Editions Latines.
- Morel M., Vézelay, Paris, 1946.
- Murphey K., Memory and Modernity: Viollet-le-Duc at Vézelay, The Pennsylvania State University Press, 2000.
- Oursel R., Bourgogne Romane, Zodiaque, 1968.
- Oursel R., Lumières de Vézelay, Zodiaque, 1993.
- Porée C., L’Abbaye de Vézelay, Paris, 1920.
- Poulene J. et B., Le tympan de Vézelay.
- Pujo B., Histoire de Vézelay.
- Rouchon-Mouilleron V., Vézelay, Livre de Pierre, Paris, 1997.
- Roy J., Vézelay ou l’Amour Fou, 1990.
- Roy J., Vézelay, a sentimental guide.
- Salet F., Cluny et Vézelay, l'oeuvre des sculpteurs, Paris, Société Française d'Archéologie, 1995.
- Salet F., La Madeleine de Vézelay, Melun, 1948.
- Saulnier L. et Stratford N., La sculpture oubliée de Vézelay, Catalogue du Musée Lapidaire, Genéve, 1984.
- Taylor M., The Pentecost at Vézelay, 1980.
- Turgot A., Histoire de la Ville et de l'Abbaye de Vézelay, 1826.
- Vogade F., Vézelay.
- Vorreux D., Vézelay, 1992.
- Editions Flohic, Le Patrimoine de la Basilique de Vézelay, 1999.
Ce texte est créé par Eduard van Boxtel. Toute discussion sur le contenu du texte est possible par le mail. Si vous pensez que certaines dates ou faits historiques sont faux, si vous voulez corriger mon français assez pauvre, ou si vous doutez de quelques datations, hypothèses ou conclusions, n’hésitez pas à me contacter. Je vous répondrai rapidement et si vous avez des arguments convaincants, le texte sera corrigé de suite.
http://boutic.annik.1tpe.fr
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