"Le Graal ou le Trésor de Rennes-le-Château"
Florence Taveau
«Les
abbés Henri Boudet et Bérenger Saunière ont découvert le graal tant
recherché durant des siècles. Ils ont exprimé dans un voile pudique et
transcendé ce graal autant par le cryptage de l’ouvrage : « La vraie
langue celtique » que la décoration de l’église de Rennes-le-Château et
divers tableaux célèbres. Si pour certains chercheurs, ce trésor reste
une énigme inclassable, celle-ci m’est devenue transparente de par le
cheminement de ma propre réflexion mais, également, de par ma médiumité
et les diverses confidences de témoins clés dans cette affaire.
Découverte personnelle également de certains vestiges archéologiques. Le
trésor de Rennes-le-Château va porter la voix des templiers de Laval
Dieu et des cathares de Montségur loin dans le chuchotement du mystère
audacieux de l’abbaye de Lagrasse et des veloutes de la prophétie
d’Enoch sur la résurrection. En somme : le GRAAL ! Ce Graal que Boudet
annonce aussi de par la prophétie à peine dévoilée de MELKISEDECK. Le V
ou Vase, Graal qu’une terre affectionnée par Boudet et Saunière en porte
l’empreinte dans le cœur de ses entrailles. (Florence Taveau)
En
2008, on se souvient qu'elle avait publié un roman : "La Rose des
vents", suite à un coup de colère provoqué par le "Da Vinci Code", de
Dan Brown :"Contrairement à ce qu'il affirme, Marie-Madeleine n'a jamais
été la maîtresse du Christ !", lançait-elle alors.
Mais aujourd'hui, le mystère du trésor prend une nouvelle tournure : "L'un des codes laissés par Boudet, et que j'ai pu déchiffrer, me permet d'établir des corrélations avec la grande fresque de l'église de Rennes peinte par l'abbé Saunière et sur laquelle on aperçoit une pierre de meule (300 kg) qui existe réellement puisqu'elle se trouve au bord de la Salz,à Couiza".
Mais aujourd'hui, le mystère du trésor prend une nouvelle tournure : "L'un des codes laissés par Boudet, et que j'ai pu déchiffrer, me permet d'établir des corrélations avec la grande fresque de l'église de Rennes peinte par l'abbé Saunière et sur laquelle on aperçoit une pierre de meule (300 kg) qui existe réellement puisqu'elle se trouve au bord de la Salz,à Couiza".
Selon ses observations effectuées sur le terrain, cette pierre se situe dans "l'alignement de la tombe celtique d'un archidruide, tombe qui est peinte également sur la fresque, comme la pierre de meule. Et à côté de la tombe, Saunière a peint un coffre ce qui, bien sûr, a provoqué en moi un déclic. S'il l'a peint, c'est qu'il existe, lui aussi !".
Soit, mais que pourrait-il contenir ? Le fameux trésor ? Se référant toujours à la fresque, Mme Taveau pense plutôt à des documents relatifs à la résurrection du Christ : "Saunière a dessiné un lièvre qui, on le sait, symbolise la résurrection du Christ". Troublant...
Mais le lieu même où repose la pierre de meule semble appuyer le propos : des monuments religieux y sont érigés en forme de croix située dans un cercle, une figure qui symbolise la victoire du christianisme sur le paganisme.
Ce triomphe spirituel, les abbés Saunière et Boudet y font eux-mêmes allusion dans diversécrits. Doit-on pour autant en conclure que le fameux trésor serait d'ordre uniquement spirituel ? Florence Taveau nuance : "Cela n'exclut en rien la présence d'un trésor monétaire. Il faut savoir que Boudet fait allusion, dans son livre, à des écrits datant d'une période antérieure au concile de Nicée, liés aux Patriarches de la Genèse et dont le message se résume à ceci : on peut se passer des trois religions. Mais les patriarches annoncent aussi la venue du Christ. Or ces écrits ont été ramenés de Terre Sainte jusqu'à Rennes par les Templiers. Et ces moines-soldats possédaient un trésor matériel". (Source Midi Libre)
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