Créé pour vous présenter mon dernier livre,je vous présente 4500 articles sur le thème de mon livre :les Templiers,des sujets ésotériques,des textes rosicrusiens,les mérovingiens, saint-Graal,Nostradamus,Mary Magdalene.Le Baphomet et le Tau, Château de Saumur,la femme dans l'histoire templière. Trésor templier.Histoires, légendes de Belgique,de France et d'Europe et Celtiques. La spiritualité. Développement personnel.
mercredi 31 octobre 2012
Fête celtique de Samhain
La France pittoresque
Nuit du 31 octobre ou quand dansent fées et trépassés
Lors de la fête celtique de Samhain, adoptée par les Gaulois et appelée plus tard Halloween, les morts recouvrent une liberté sans entrave. Le premier texte irlandais faisant mention précise d’un fantôme est un morceau intitulé « l’expédition de Néra »...
> La suite sur http://bit.ly/VQwRYO
Les méthodes de justice et médicales des Francs.
Paulo Cattani Diaceto
Un chroniqueur arabe qui observe les méthodes de justice et médicales des Francs écrit :
"On avait installé une grande barrique remplie d’eau. Le jeune homme qui était l’objet des suspicions fut garrotté, suspendu par ses omoplates à une corde et précipité dans la barrique. S’il était innocent, disaient-ils, il s’enfoncerait dans l’eau, et on l’en retirerait au moyen de cette corde. S’il était coupable, il lui serait impossible de plonger dans l’eau. Le malheureux, quand on le jeta dans la barrique, fit des efforts pour aller jusqu’au fond, mais il n’y réussit pas, et dut se soumettre aux rigueurs de leur loi, que Dieu les maudisse ! On lui passa alors sur les yeux un poinçon d’argent rougi au feu et on l’aveugla (…).
Un jour, le gouverneur franc de Mouneitra, dans le mont Liban, écrivit à mon oncle Soultan, émir de Chayzar, pour le prier de lui envoyer un médecin pour soigner quelques cas urgents. Mon oncle choisit un médecin de chez nous nommé Thabet. Celui-ci ne s’absenta que quelques jours, puis il revint vers nous. Nous étions tous très curieux de savoir comment il avait pu obtenir aussi vite la guérison des malades, et nous le pressâmes de questions. Thabet répondit : « On a fait venir devant moi un chevalier qui avait un abcès à la jambe et une femme atteinte de consomption [Tuberculose pulmonaire ou amaigrissement]. Je mis un emplâtre au chevalier ; la tumeur s’ouvrit et s’améliora. A la femme, je prescrivis une diète pour lui rafraîchir le tempérament ».
Mais un médecin franc arriva alors et dit : « Cet homme ne sait pas les soigner ! ». Et s’adressant au chevalier, il lui demanda : « Que préfères-tu, vivre avec une seule jambe ou mourir avec les deux ? ». Le patient ayant répondu qu’il aimait mieux vivre avec une seule jambe, le médecin ordonna : « Amenez-moi un chevalier solide avec une hache bien aiguisée. » Je vis bientôt arriver le chevalier et la hache. Le médecin franc plaça la jambe sur un billot de bois en disant au nouveau venu : « Donne un bon coup de hache pour la couper net ! ». Sous mes yeux, l’homme assena à la jambe un premier coup, puis comme elle était toujours attachée, il la frappa une seconde fois. La moelle de la jambe gicla et le blessé mourut à l’instant même.
Quant à la femme, le médecin franc l’examina et dit : « Elle a dans la tête un démon qui est amoureux d’elle. Coupez-lui les cheveux ! ». On les lui coupa. La femme recommença alors à manger leur nourriture avec de l’ail et de la moutarde, ce qui aggrava la consomption. « C’est donc que le diable est entré dans la tête » affirma leur médecin. Et, saisissant un rasoir, il lui fit une incision en forme de croix, fit apparaître l’os de la tête et le frotta avec du sel. La femme mourut sur le champ. Je demandai alors : « Vous n’avez plus besoin de moi ? » Ils me dirent que non, et je m’en revins après avoir appris sur la médecine des Franj bien des choses que j’ignorais."
Extrait de: Usama Ibn Munqidh (1095-1188), Kitab al-Itibar [Le livre de l’enseignement par l’exemple], 97-98, texte cité par Amin Maalouf, Les croisades vues par les Arabes, Livre de poche, 1988, p. 156-157.
Teutonic order.
Teutonic Order
If you would like to become an Marian Associate Knight of the Teutonic Order of Saint Marys Hospital In Jerusalem - Deutscher Orden - A candidate may apply for membership of the Teutonic Order - Deutscher Orden by forwarding a Petition which should include documentation of their curriculum vitae, whereas a candidates possible eligibility for nomination as a Marian Associate Knight - Ritter of the
German Brother Order - Deutscher Bruderorden, will be submitted to the Council of Induction of the Hochmeister of the Teutonic Order, who will then advise the candidate of the Orders decision concerning the candidates admission request thereon, all correspondence should be sent to Hochmeisters Private Office by emailing all enquires and requests to: hoch-und-deutschmeister@deutscherorden.info or amt-des-hochmeisters@deutscherorden.info whereas indivduals may also become a Friend of the Teutonic Order.
Le 31 octobre 1855 Victor Hugo était expulsé de l'Ile de Jersey.
La France pittoresque
31 octobre 1855 : Victor Hugo est expulsé de l’île anglaise de Jersey
Il doit s’embarquer pour Guernesey, autre île britannique, pour y chercher refuge. De son lieu d’exil, le poète attaquait tant Badinguet qui trônait aux Tuileries, que sir Robert Peel s’était dressé, en 1854...
> La suite sur http://bit.ly/TM1Fmc
Un peu de chaleur.
Lerouge Jean-pierre a partagé une photo de L'incanto d'amore dei poeti estinti.
Un peu de chaleur.
Il l’a attendue mais elle n’est pas venue.
Dans le froid et la brume il l’espérait, la devinait.
Frêle silhouette elle se serait près de lui assise et se serait tue.
Ému aux larmes il n’aurait pu lui tendre son modeste b...ouquet.
C’est qu’elle était si belle son inconnue.
Comment l’aborder, lui parler, d’elle il était tellement différent.
Lui aurait-elle au moins répondu ?
Les bancs étaient près l’un de l’autre mais leur chemin n’étaient pas frères pour autant.
Toutefois il en savait des choses, il aurait pu en raconter…
Bien sûr qu’au-dessus de sa tête un jour il eut un toit.
N’en déplaise à certains lui aussi avait eu l’estime de soi.
Mais les erreurs, les dérapages sans rattrapage l’avaient dépassé.
Et dans la rue depuis il errait…
Oh combien il aurait aimé de manteau changer !
Oh combien il aurait voulu sentir bon le frais !
Les choses auraient été si belles si sa vie ne s’était pas compliquée.
Il avait pourtant bien prié, aide demandée…
Mais rien n’avait bougé, pauvre et esseulé était resté.
Peut-être n’avait-il pas fait ce qu’il fallait ?
C’est que l’on perd la notion lorsqu’on est en dehors de tout ou en retrait.
La famille n’est plus, les amis disparaissent,
Les heures s’égrènent mais plus rien ne presse.
Pas de travail, pas de maison, les regards se détournent.
Il faut dire que la différence gêne quoi qu’en pensent les personnes .
Alors depuis il s’asseyait et regardait les gens vivre.
Il était de froid rouge et non ivre.
Les enfants du doigt le montraient.
Les parents soucieux d’éviter cette scène le pas pressaient.
C’est dérangeant la misère, il faut qu’elle reste de l’autre côté de la terre…
Hélas, le vide n’est pas que dans l’assiette.
Certains dans le cœur, la chaleur n’ont pas une miette.
Et ils passent éternellement leur chemin sans tendre la main.
Sait-on jamais dès fois que ce soit contagieux…
Il ne faudrait pas se réveiller pauvre le lendemain.
L’indifférence tue en vérité bien plus qu’un ventre creux.
Changeons de regard faute de pouvoir changer le monde.
…Il attendait sur le banc et elle est venue…
Leurs mots ont dansé comme une folle ronde.
Certaines consciences sont bonté et ça il l’avait toujours su.
FDA.
Tu non credere se qualcuno ti dirà che non sono più lo stesso ormai Pioggia e sole abbaiano e mordono ma lasciano, lasciano il tempo che trovano E il vero amore può nascondersi, confondersi ma non può perdersi mai Sempre e per sempre dalla stessa parte mi troverai — Francesco De Gregori - Sempre e per sempre...
Tu non credere
se qualcuno ti dirà
che non sono più lo stesso ormai
Pioggia e sole abbaiano e mordono
ma lasciano,
...
A DIFFUSER. MERCI.
COMMUNIQUE DE PRESSE
Vendus à plus d'un million d'exemplaires, les travaux de traduction des centuries d'Yves de Lessines, dérobées par Nostradamus m'ont tout de suite beaucoup intriguées. En philologue, spécialiste du moyen âge, les écrits de Rudy Cambier sont ardus et accessibles à une minorité. Ma première interview de Rudy fut une rencontre qui se transforma pratiquement tout de suite en une belle amitié, c'est alors que l'idée de faire de lui, l'un des héros de mon roman, la gardienne de la 9e porte commença à poindre dans mon esprit. Initiée par un Rose Croix d'Or, il me paru comme une évidence de plonger ce roman dans l'historique et l'ésotérique. Et bien que le petit abri blanc se situe actuellement dans la région des Collines, en Belgique, il s'agit d'une tranche de l'histoire des templiers d'Ypres dont le territoire était en grande partie celui de la Picardie, la langue des centuries est par ailleurs la langue picarde.
http://youtu.be/3jLY0vHtSN0
A regarder après quelques minutes, on y parle des centuries et de Nostradamus.
http://www.lagardiennedela9eporte.blogspot.com
Vous y trouverez la présentation de mon livre, la dédicace de Rudy Cambier, un article de presse, des commentaires de lecteurs, l’interview donnée à ma maison d’édition, quelques extraits, une interview de Rudy Cambier…
Si ce livre vous intéresse, sur simple demande écrite de votre part auprès de mon éditeur edilivre@edilivre.com , vous recevrez un exemplaire de La Gardienne de la 9e porte.
Annik Couppez Véronèse d’Olrac
Communiqué de presse. MERCI DE DIFFUSER.
COMMUNIQUE DE PRESSE
Vendus à plus d'un million d'exemplaires, les travaux de traduction des centuries d'Yves de Lessines, dérobées par Nostradamus m'ont tout de suite beaucoup intriguées. En philologue, spécialiste du moyen âge, les écrits de Rudy Cambier sont ardus et accessibles à une minorité. Ma première interview de Rudy fut une rencontre qui se transforma pratiquement tout de suite en une belle amitié, c'est alors que l'idée de faire de lui, l'un des héros de mon roman, la gardienne de la 9e porte commença à poindre dans mon esprit. Initiée par un Rose Croix d'Or, il me paru comme une évidence de plonger ce roman dans l'historique et l'ésotérique. Et bien que le petit abri blanc se situe actuellement dans la région des Collines, en Belgique, il s'agit d'une tranche de l'histoire des templiers d'Ypres dont le territoire était en grande partie celui de la Picardie, la langue des centuries est par ailleurs la langue picarde.
http://youtu.be/3jLY0vHtSN0
A regarder après quelques minutes, on y parle des centuries et de Nostradamus.
http://www.lagardiennedela9eporte.blogspot.com
Vous y trouverez la présentation de mon livre, la dédicace de Rudy Cambier, un article de presse, des commentaires de lecteurs, l’interview donnée à ma maison d’édition, quelques extraits, une interview de Rudy Cambier…
Si ce livre vous intéresse, sur simple demande écrite de votre part auprès de mon éditeur edilivre@edilivre.com , vous recevrez un exemplaire de La Gardienne de la 9e porte.
Annik Couppez Véronèse d’Olrac
Connaissez-vous l'origine du mot bandit ?
Jerome Dutrieux
Connaissez-vous l’origine du mot bandit ? Il nous vient d’Italie « Bandito » qui est le participe passé de « bandire » qui signifie bannir ! Le bandit est donc avant tout un « banni », un hors la loi ! C’est comme le mot canaille on le comp
rend mieux quand on connait son origine italienne « canaglia » qui signifie bande de chiens ! Les mots peuvent être violents !
Intéressant !
Faites circuler et si vous aimez les mots venez nous aimer : J’aime Cultimots
L'ile de Oak Island au Canada.
http://www.youtube.com/watch?v=3jLY0vHtSN0&feature=share
Julien Souchet
Trés intéressant ce documentaire, des choses que je savais mais d'autres non, comme l'ile de Oak Island au Canada.
The templars.
Maureen Paschal Mikec
Message to all those who offend, Church of the Truly Love our Lord Jesus Christ and Mary Magdalene, their path of Light and Love .... We are burning at the stake, were tortured, persecuted, murdered, but nothing and no one us did not stop and never will, because our Church is the Church of Love and Light in our hearts, because we preserve true Holy Grail!!!!!!!!!!
We are here again strong and powerful after seven hundred years, because Laurel is blooming again.... Hail Ichthys... nnMMnn
http://vimeo.com/32794608
mardi 30 octobre 2012
Dernière ligne droit pour le concours de tweeter, les votes se terminent demain à minuit.
J'AI BESOIN DE VOTRE AIDE.
Bonjour à tous, J'ai besoin de votre aide pour la diffusion de mon livre. Il suffit de faire un cliqué droit sur ce lien et de tweeter. MERCI. http://www.edilivre.com/la-gardienne-de-la-9e-porte-annik-couppez-veronese-d-olrac.html
Le changement climatique serait-il une bénédiction déguisée ?
Le changement climatique, une « bénédiction
déguisée » ? Une révolution métaphysique
est un processus douloureux, difficile et extrêmement
lent. Dans ce contexte, une petite pression
externe destinée à vaincre la résistance sociale est
donc des plus opportunes. Le changement climatique
avec toutes les menaces qu’il fait peser - le
drame de notre temps - peut jouer ici un rôle clé et
se révéler une bénédiction déguisée. Son caractère
omniprésent et inéluctable nécessite un revirement
radical des idées et des comportements. Manifestement,
nous apprenons avec beaucoup de difficultés
à respecter la nature, ainsi d’ailleurs que tous les
domaines extérieurs et intérieurs qui ont été mis
à notre disposition. Gageons que le changement
climatique donnera « un coup de main » brutal à
l’histoire, et propulsera l’humanité plus avant dans
le processus complexe mais intéressant qui consiste
à devenir adulte, à s’épanouir totalement !
Déjà, en 1992, Al Gore écrit dans Earth in the Balance
: « Plus je cherche profondément les racines
de la crise globale de l’environnement, plus je suis
convaincu qu’il s’agit de la manifestation extérieure
d’une crise intérieure qui, à défaut d’un mot
meilleur, est spirituelle » μ
Annick de Witt agit dans le cadre de la fondation wAarde, une
cellule de réflexion sur la nature et l’environnement. Elle a fait de
vastes recherches sur les relations entre l’orientation spirituelle et la
responsabilité de l’environnement.
Sources Roses Croix d'Or.
Toutes les réponses sont en soi.
Les Éditions Ariane
TOUTES LES RÉPONSES SONT EN SOI
« Un enseignant ne peut pas vous donner la vérité. La vérité est déjà en vous. Il vous suffit de vous ouvrir – le corps, l'esprit et le cœur – de sorte que ses enseignements puissent fertiliser vos propres semences de compréhension et d'illumination. Si vous laissez ses paroles entrer en vous, le sol et les semences feront le reste du travail. »
Les mystères de l'Egypte.
Franck A. Maximoff.
Each planet has its own breathing tempo, its distinctive frequency which determines the bio-energy rhythms of all that exists on its surface. This tempo depends on the planet’s orbit and its period of evolution around its sun. The present-day figure for the Earth’s “breathing rate”, worked out empirically by geophysicists, is around 40 minutes according to some sources, while others have it fluctu
ating as high as 58 minutes.
The true figure for the planet’s respiration is different and is calculated using a
formula based on the main 12-year cosmo-social cycle. Don’t be put off: you don’t need to remember it, but it may come in handy for someone.
Where Σmin - is the number of minutes in the 12-year cycle;
and 365 – is the number of days in a year, and π id pi, - the ratio of the diameter of a circle (orbit) to its circumference.
So, a simple calculation gives us a low-frequency “breathing rate” for the planet of once in 54 minutes. Incidentally, NaMiEst and their partners recording the sounds of the Earth at the Showa Antarctic base discovered stable oscillations with a period of 54 minutes. Now look! It turns out that for our beautiful blue planet there are ONLY TWO ORBITS in the Solar System that keep its “breathing rate” within limits beyond which catastrophic changes for all things living on the planet would take place! They are orbits with a 360- and 365-day length of year.
Les millions de verrous du monde.
Marianic Parra Painting 2012 "Entered" Mixed media 50-50 cm
Entré
face aux milliers de verrous du monde
dans la vie sans bords
rester
rempli de stupeur éperdue
devant la demeure des cœurs
par Jean-Pierre Parra (Polyptyques VI en préparation)
Henri VII
Henri VII : "le "moi-je" sans limites peut entraîner la destruction identitaire d'un pays"
Par la-couronne-
Dans Paroles de princes
destruction-identitaire.jpgNous ne dirons jamais assez combien les mythologies, les textes sacrés, les contes de fées nous enseignent sur l'évolution ou l'involution des mentalités au fil des siècles. Que ce soit Prométhée, celui qui vola le feu des dieux, ou Pandore qui ouvre le coffret permettant aux catastrophes de se répandre sur terre, tous en payent les conséquences. Plus proche de nous, dans les contes de Perrault, Barbe Bleu épouse successivement plusieurs femmes, il leur accorde toutes libertés, à condition de ne pas chercher à ouvrir une unique porte dans ce magnifique château. Sous peine de mort.
Tous nous parlent de transgression d'un ordre que leur orgueil, épris d'impunité, pensent pouvoir, de nos jours, enfreindre. Alors cela devient sans discernement une habitude, une nécessité galopante, comme l'addiction à une drogue. L' évolution nécessaire se transforme en involution, car l'écoute des autres, cette politesse nécessaire au maintien des liens -comme le respect de soi-même- n'existe plus. Certes si l'on veut être accompagné par une société qui doit être en constante évolution, il faut savoir pouvoir enfreindre les codes. Le Dalaï-Lama disait :"Il faut apprendre minutieusement les codes pour pouvoir consciemment les transgresser". Un bernard-l'hermite en grandissant change de coquille. Mais dans toute transgression, dans toute mutation il faut savoir "raison garder". Lorsque vous êtes sur une échelle, vous pouvez vous accrocher à votre échelon et n'y plus bouger, vous ne mécontenterez personne et vous vous scléroserez. Ou alors enfreindre l'inertie et progresser au risque de déplaire ou même de ne pas réussir à monter plus haut. Pour notre humanité l'évolution est écrite en lettres d'or au fond de son coeur et de sa responsabilité. Tout naît dans la rigueur de la Loi et dans l'exigence que l'on s'impose à soi-même.
La mission du Pouvoir devrait être de comprendre, de savoir contrôler cette formidable "faim" qui pousse les peuples à vouloir accéder à toujours plus. Les Révolutions se sont inscrites dans l'Histoire lorsque le Pouvoir en place n'a pas su transgresser les codes du moment, ni su contraindre, obliger les privilèges devenus archaïques à s'effacer. Tous nous continuons de le payer très cher. Aujourd'hui cette "faim" insatiable d'obtenir toujours plus et toujours plus loin a fait perdre à certains le sens même de la réussite de leur propre existence. On ne décrète pas le bonheur en l'achetant par quelque moyen que ce soit. Un vieil adage français dit: "Gouverner c'est prévoir". La gouvernance de chacun sur lui même et ses prévisions sur l'avenir devraient faire comprendre qu'il y a des transgressions potentiellement lourdes de terrifiants malheurs. A tous j'aimerai rappeler que le "moi-je" sans réflexion en profondeur, sans repères ni limites pourrait entraîner une destruction identitaire d'un pays qui ne vivrait que dans le libertaire sous toutes ses formes.
523px-coat-of-arms-of-the-bourbon-restoration-1815-30-svg.png
Paroles d'Henri VII, Comte de Paris et Duc de France.
www.maisonroyaledefrance.fr
La Otra Historia.
LA OTRA HISTORIA
La Rueda de Konark . El Templo del Sol en Konark, Orissa (India) construido en el siglo XIII, es uno de los monumentos más famosos de la escultura en piedra del mundo – avec Moises Orozco Jaquez.
La nouvelle chevalerie par Saint-Bernard.
Chevalier du Temple.
( Eloge de la nouvelle chevalerie », par saint Bernard )
« Le chevalier du Christ tue en conscience et meurt tranquille; en mourant il travaille pour lui-même, en tuant il travaille pour le Christ. Quand il tue un malfaiteur, il n'est pas homicide mais, si j'ose dire, malicide. Quand ils vont à l'ennemi, ces hommes plus doux que des agneaux deviennent plus féroces que des lions, et je ne sais pas si je dois les appeler des moines ou des chevaliers; peut-être faut-il leur donner les deux noms à la fois, car il est manifeste qu'ils joignent à la douceur du moine le courage du chevalier. Tels sont les servants que Dieu s'est choisis pour monter la garde autour du Saint-Sépulcre... »
lundi 29 octobre 2012
La plus importante aventure archéologique du XXè siècle.
Templier Veritas
A l’hiver 1947, recherchant une bête, un Bédouin découvre dans une grotte de Qumrân, plateau déserté depuis l’Antiquité et dominant les rives de la mer Morte, à 20 km au sud-est de Jérusalem, des rouleaux de cuir en hébreu.
« La plus importante aventure archéologique du XXe siècle »
Ces rouleaux manuscrits parviennent à un savant juif, Éléazar Sukenik, vivant en Palestine sous mandat britannique et qui en saisit l’importance. « Bouleversé, ce dernier pressent qu’ils sont écrits en caractères hébreux très anciens et se rend compte qu’il s’agit de textes bibliques et d’autres textes totalement inconnus ».
Inattendues « trouvailles clandestines, brocanteur-cordonnier, intermédiaire « intéressé », expert masqué, négociations de sommes faramineuses : le décor est planté pour une incroyable saga ».
Des fouilles archéologiques sont entreprises dans les grottes et le site environnant.
De 1947 à 1956, Bédouins et archéologues découvrent « onze grottes contenant des centaines de manuscrits de livres bibliques vieux de plus de 2 000 ans, écrits en hébreu, en araméen et en grec ». Parmi eux, se trouvent des « documents anciens témoignant de l’existence d’une communauté dont les membres respectaient des règles strictes de pureté. Conduits par un énigmatique « Maître de Justice », ils vivaient dans l’attente du Messie et se préparaient pour la fin des temps ».
De 1953 à 1960, sont déchiffrés des rouleaux « presque intacts et reconstituer un puzzle gigantesque de centaines de milliers de fragments, en hébreu, en araméen, en grec ».
Cette découverte a suscité des questions, dont un grand nombre resté sans réponse. « Qui étaient les habitants de Qumrân ? Les manuscrits ont-ils été écrits par eux ? Pourquoi l’accès aux manuscrits découverts à Qumrân fut-il limité ? Qui a copié les manuscrits de la mer Morte ? La Règle de la Communauté régit-elle la vie des occupants du site de Qumrân ? S’agit-il de la secte des esséniens mentionnée par les sources antiques ? »
A ces interrogations des scientifiques, a fait écho l’engouement du grand public s’enquérant du temps mis à divulguer le contenu des rouleaux.
Aujourd’hui encore, d’intenses polémiques demeurent.
Plus de 130 pièces – photographies d’époque, chronologie, glossaire, monnaies, cartes sur la Judée antique - sont exposées, pour la plupart issues des collections de la BnF, mais également un fragment majeur du Rouleau du Temple montré pour la première fois en France, conservé au Musée d’Israël de Jérusalem, des objets archéologiques découverts à Qumrân provenant du Louvre et du musée de la Bible et de la Terre Sainte. Ces documents témoignent de la « longue et complexe élaboration et fixation du texte biblique : fragments de la genizah du Caire, exemplaire unique de la Septante, Bibles hébraïques et samaritaines médiévales, version éthiopienne du livre d’Hénoch ». Ce Livre qu’Ernest Renan appelait « le grand livre consolateur de l’humanité ».
Qumrân, une bibliothèque connue depuis des siècles
A l’Est de Jérusalem, à 417 mètres au-dessous du niveau de la mer, la mer Morte s’étend sur plus de 1 000 m² et recueille les eaux du Jourdain. Sa grande quantité de sel interdit à tout organisme autre que des bactéries d’y vivre.
La Bible la qualifie de « mer de sel » et y situe Sodome et Gomorrhe, villes maudites sur lesquelles Dieu fait se déverser un déluge de feu et de soufre. Quant aux historiens grecs et romains de l’Antiquité, ils la dénommaient la « mer d’Asphalte ».
Les rives de la mer Morte étaient appréciées en raison de leurs sources chaudes ou de leurs palmeraies. Cette mer était « exploitée pour son sel ou son bitume naturel. Des navires reliaient ses différents fortins et comptoirs. Parmi eux, les ruines connues sous le nom de Qumrân étaient habitées depuis l’âge de fer. Dans les innombrables grottes situées à proximité, des hommes ont déposé il y a 2 000 ans des centaines de manuscrits religieux ». Là, les plus vieux manuscrits de la Bible ont été découverts par un, puis deux Bédouins, en 1947.
La « découverte des premiers manuscrits suscita un regain d’intérêt pour les témoignages de l’Antiquité et du Moyen Âge qui mentionnaient déjà l’existence de manuscrits hébreux découverts dans des grottes, près de Jéricho ».
Selon le « témoignage de l’évêque de Césarée, Eusèbe, remontant au IVe siècle, des manuscrits hébreux de la Bible conservés dans des jarres auraient été découverts et utilisés pour corriger les erreurs de traduction de la Septante (traduction en grec de la Bible hébraïque pour les juifs d’Alexandrie). Selon un autre témoignage, celui de l’évêque syriaque Timothée, datant du Xe siècle, des manuscrits auraient été découverts par hasard dans une grotte par un berger lancé à la poursuite de son chien ».
Aucune de ces sources ne localise le lieu où se trouvaient ces manuscrits et aucun de ces auteurs ne cite explicitement Qumrân.
L’histoire des manuscrits de la mer morte correspond à une saga romanesque, fertile en rebondissements rocambolesques : de la découverte des premiers rouleaux en 1947 jusqu’en 1955, des milliers de fragments, de taille diverse, sont découverts dans les 11 grottes du site de Qumrân.
Les scientifiques des Ecoles archéologiques française, anglaise et américaine de Jérusalem « se livrent à une véritable compétition contre les Bédouins dans les falaises du site ».
Dès 1949, le père Roland de Vaux, directeur de l'École biblique et archéologique française de Jérusalem, entreprit les fouilles de Qumrân. Il « dégagea un site aux dimensions modestes (140 x 80 mètres) composé d’une dizaine de constructions rudimentaires dont deux grandes salles et quelques ateliers. Il dégagea également une grande quantité d’objets, mais pas un seul fragment de manuscrit. Il mit au jour le réseau de canaux qui distribuaient l’eau vers seize bassins, citernes et piscines ».
Cette « course aux fragments » se poursuivit aussi sur le marché des antiquités.
Avec pour cadre historique les tensions liées à la recréation de l’Etat juif, cette aventure conjuguant « enjeux scientifiques et politiques, met en scène de nombreux protagonistes : des Bédouins chasseurs de trésors, des intermédiaires plus ou moins scrupuleux, des hommes de main, des chercheurs-épigraphistes de génie, des acheteurs anonymes, des archéologues de terrain... »
La « Bibliothèque des manuscrits de la mer Morte »
A Qumrân, des dizaines de milliers de fragments provenant de quelque 900 manuscrits différents ont été extraits de 11 grottes.
De ce nombre élevé de documents, certains chercheurs en ont induit que ces manuscrits constituaient une bibliothèque. Pour le père Roland de Vaux, c’était la bibliothèque d’une communauté religieuse vivant le site. Pour Sukenik, épigraphiste (expert en étude des inscriptions) génial, il s’agirait d’une genizah (lieu recevant des livres sacrés) similaire à celle fameuse du Caire (Egypte). Les avis demeurent partagés sur l’origine de ces manuscrits, presque tous en hébreu ou en araméen, rarement en grec, que l’on peut classer ainsi :
- près « de 250 exemplaires des livres qui composent aujourd’hui la Bible,
- des livres exclus par la suite de la Bible par les juifs et les chrétiens,
- des œuvres inédites tels des commentaires des livres de la Bible ainsi que des textes contenant les règles de vie d’une communauté religieuse comme le Rouleau du Temple et la Règle de la communauté ».
Le judaïsme et le christianisme « fondent leur message sur la Bible dont le contenu a été définitivement fixé il y a environ 1500 ans. Les juifs reconnaissent l’autorité du texte massorétique établi vers le VIe siècle de notre ère. Les chrétiens emploient différentes traductions grecque et latine pendant l’Antiquité et au Moyen Âge ; allemande, anglaise et française ».
La Bible a été élaborée à différentes époques. Les premières rédactions du Pentateuque - cinq premiers livres de la Bible (Genèse, Exode, Lévitique, Nombres, Deutéronome) ou Torah – datent du début du premier millénaire avant l’ère commune.
Quelques siècles plus tard, les juifs d’Alexandrie traduisent la Bible hébraïque en grec.
Au « début de l’ère commune, le choix des livres qui la composent est définitivement fixé ».
Avant « la découverte de Qumrân, le plus ancien manuscrit de la Bible connu datait du Moyen Âge. Les plus de 200 manuscrits de la Bible retrouvés dans les grottes datent du IIIe siècle avant notre ère au Ier siècle de notre ère ». Cet événement majeur a éclairé sous une lumière nouvelle le texte biblique.
A Qumrân, ont également été trouvés des manuscrits « mettant en scène des personnages et thèmes proches de ceux des textes de la Bible. Certains étaient totalement inconnus, d’autres, rejetés par la tradition juive mais inclus dans la Bible chrétienne. On les nomme « apocryphes » par opposition aux livres « canoniques ». Lorsque la rédaction d’un apocryphe est attribuée à un personnage biblique, on parle d’œuvre « pseudépigraphe », c’est-à-dire « dont le nom de l’auteur est faux ».
Certaines églises chrétiennes ont intégré « dans leur canon des écrits considérés comme apocryphes pour la tradition juive. Ont par exemple été retrouvés à Qumrân les originaux hébreux de trois ouvrages considérés comme canoniques par l’Eglise catholique : Tobit, Ben Sira et l’Epitre de Jérémie. Le très célèbre livre d’Hénoch avait été canonisé par l’Eglise d’Ethiopie. Seule la traduction éthiopienne était connue dans son intégralité, or une version en araméen composée plusieurs siècles avant notre ère a été retrouvée ».
La « liste des apocryphes découverts à Qumrân est bien plus longue : Apocryphe de la Genèse, de Josué, de Samuel–Rois, etc. Les écrits qui formeront les premiers livres de la Bible étaient déjà fixés à Qumrân. Cependant, la présence d’un aussi grand nombre d’apocryphes dans les grottes » permet de penser que le choix définitif des textes n’était pas encore fixé.
Avant la découverte des manuscrits de la mer Morte, les seul témoignages de la langue et de l’écriture pratiquées en Judée 200 ans avant l’ère commune étaient constitués d’inscriptions sur des sceaux, des monnaies et des tessons de poterie.
La « majorité des manuscrits datant de cette époque découverts à Qumrân sont en hébreu. Certains textes sont composés dans un dialecte araméen parlé à l’époque de Jésus de Nazareth ».
Le « choix de l’hébreu, langue sacrée, dans la composition des textes de Qumrân pouvait être interprété comme un choix idéologique ». On a longtemps considéré que l’hébreu avait été remplacé par l’araméen en Judée à cette époque. Or, il y était encore largement utilisé à l’époque de Qumrân.
Deux alphabets, très proches, coexistaient aussi à Qumrân et dans Eretz Israël. L’un, « paléo-hébreu », était « apparenté à l’alphabet phénicien et resté en usage parmi les habitants de Judée qui n’avaient pas été déportés à Babylone en 587 » avant l’ère commune. L’autre, « judéen », était « à l’origine utilisé pour transcrire l’araméen. Il avait été ramené par les exilés de Babylone revenus à Jérusalem. Certains manuscrits de Qumrân sont en caractères paléo-hébreux, d’autres en écriture judéenne ». Certains scientifiques estiment que les scribes connaissaient les deux écritures. L’écriture paléo-hébraïque fut abandonnée au début du deuxième siècle de l’ère commune au profit de l’écriture hébraïque judéenne.
Un tiers environ de la bibliothèque de Qumrân est constitué de manuscrits ni bibliques, ni apparentés à la Bible. Ils se distinguent des autres documents, bibliques ou apocryphes, car ils « n’ont de parents nulle part ailleurs ». Ils ont été dénommés par les scientifiques une « littérature communautaire » car ils paraissent provenir d’un groupe religieux dont ils révèlent des rituels et de la liturgie, expriment « les préoccupations spirituelles, les attentes messianiques ». Ils relatent aussi les « nombreux codes disciplinaires » régissant la vie de la communauté.
Deux documents permettent d’éclairer la vie de la communauté :
• L’Ecrit de Damas « relate la fondation de la communauté, la persécution et l’exil de son fondateur « au pays de Damas » où la communauté séjourna un temps ».
• Le Rouleau du Temple : « l’un des manuscrits les plus impressionnants et les mieux conservés, consigne les interprétations que les sages de la communauté faisaient des commandements de la Torah ».
Les scientifiques sont partagés sur l’identification de cette communauté. Comme celle-ci se trouvait près du site de Qumrân, il est possible qu’elle y ait vécu. Mais les écrits de cette communauté se caractérisent par l’absence de nom de personnage historique, de date permettant d’affirmer que les anciens habitants de Qumrân sont les membres de la communauté.
En 1952, un rouleau de cuivre a été extrait d’une grotte. Il est « gravé de l’unique exemplaire d’un texte en hébreu. Un texte écrit dans une écriture, langue et style différents des autres manuscrits découverts à Qumrân. Le rouleau de cuivre ressemble à une carte aux trésors recensant 60 lieux disséminés dans toute la Judée. Certains des sites mentionnés sont précédés de lettres grecques ». Le « trésor pourrait être celui de la communauté de Qumrân, constitué à partir de la fortune personnelle des postulants à la vie communautaire. Peut-être s’agit-il du trésor du premier Temple de Jérusalem, détruit par Nabuchodonosor, le roi de Babylone, en 587 avant notre ère, ou encore de celui du second Temple. A moins que cette idée d’un trésor antique caché en Terre Sainte ne soit qu’un conte merveilleux... »
« Khirbet Qumrân », un site essénien, une exploitation agricole ou la villa d’une riche famille judéenne ?
L’historien de l’Antiquité Flavius Josèphe (env. 37-env. 100) évoque dans ses écrits les Esséniens.
Se fondant sur la proximité entre les manuscrits et le site de Qumrân ainsi que sur le déchiffrement des premiers écrits communautaires, le père de Vaux a conclu que les habitants de Qumrân étaient ces Esséniens. Il « identifia trois périodes d’occupation des lieux. Les premiers habitants de la communauté s’étaient établis entre 130 et 100 avant notre ère, puis Qumrân fut abandonné après un terrible séisme en 31 avant notre ère. D’autres esséniens s’y installent en 4 avant notre ère avant d’en être chassés par les armées de Pompée en 68. De Vaux mourut en 1971 sans avoir pu publier le résultat des fouilles de Khirbet Qumrân ».
Dans les années 1990, deux archéologues belges ont émis des doutes sur ses hypothèses. Ils ont avancé que le site de Qumrân était une exploitation agricole, une « villa rustica ». Leur théorie « a été reprise et étayée par l’archéologue Yizhar Hirschfeld qui affirme que Qumrân était la demeure d’une riche famille judéenne ».
Les fouilles archéologiques ont permis d’exhumer un nombre très élevé d’objets divers : céramiques, ustensiles et objets de la vie quotidienne, encriers, vestiges d’une table, monnaies, ossements d’animaux. Le « cimetière situé à proximité comprenait 1200 tombes toutes orientées nord-sud ».
La céramique occupe une place cruciale dans ce débat sur Qumrân. Les archéologues « ont découvert des bols, des assiettes et plats, des coupes, des vases et des lampes à huile que les habitants fabriquaient sur place comme en témoignent les restes de deux ateliers de potier et un four. Pour les partisans de la thèse essénienne, cela s’explique par la rigueur avec laquelle les hommes de la communauté respectaient les notions de pureté et d’impureté et l’usage très fréquent qu’ils faisaient de la céramique que l’on brisait quand celle-ci était devenue impure ».
Les « manuscrits de Qumrân dévoilent une communauté dont les pratiques sont différentes de celle des Pharisiens et des Sadducéens, les deux plus importants groupes du judaïsme de l’époque du second Temple. Elles présentent aussi des analogies avec le christianisme » qui ont conduit les experts à s’interroger sur des rapports entre le christianisme primitif et la communauté de Qumrân.
Les « écrits de la communauté sont contemporains de l’entrée en scène du christianisme. La personnalité mystérieuse du Maître de Justice, dont personne n’est parvenu à dévoiler l’identité, offre certaines analogies avec celle de Jésus. Il se présente également comme un serviteur souffrant (livre d’Isaïe, chapitre 53). Mais la comparaison s’arrête là. Le Maître de Justice est un prêtre du Temple vivant replié avec sa communauté. Intransigeant, légaliste, son enseignement ésotérique et gnostique est destiné à des initiés. On a voulu voir aussi des analogies entre certains dogmes et certains rituels de la communauté de Qumrân : la foi en une Nouvelle Alliance, le baptême. Ce dernier est unique et définitif alors que les membres de la communauté pratiquent des immersions destinées à les purifier. De chaque côté, on pratique un repas sacré communautaire, comprenant du pain et du vin, auquel seuls les « invités » peuvent participer. On pourrait encore évoquer l’atmosphère apocalyptique commune aux deux groupes ».
La scénographie
Une vidéo permet d'apprécier l'exposition. Une maquette du site archéologique de Qumrân et des grottes voisines réalisée par le sculpteur Jean-Paul Reti est présentée dans l’allée Julien Cain, près de l’entrée de la galerie de l’exposition.
Réalisée par l’agence [MAW] et l’agence «Robaglia design», la scénographie joue sur « le contraste entre extérieur et intérieur, caché/montré, ombre/lumière ».
La première et la troisième partie de l’exposition, au graphisme coloré, sont matérialisées par des « jarres ». Une idée jouant sur l’idée de « paysage (canyon), sur l’objet emblématique de Qumrân (la jarre) et sur le lieu de découverte des manuscrits (la grotte) ».
Au centre de la galerie, la deuxième partie, dédiée aux manuscrits, s’ordonne autour d’une longue vitrine centrale présentant le fragment du Rouleau du Temple et rappelant un manuscrit déplié. Les couleurs sobres reprennent des « tons de pierre, de terre, de mer et d’indigo évoquant les paysages de la mer Morte ».
Des extraits de films d’actualité de l’Institut national de l’audiovisuel (INA) et de documentaires, notamment d’EDF sur la restauration du rouleau de cuivre, sont visibles, ainsi qu’une création graphique de l’artiste israélien Ariel Malka .
Jalonnée par des bornes multimédias et de grands kakémonos aux images de paysages du site de Qumrân, l’exposition s’achève par les interviews filmées d’André Paul, d’Ernest-Marie Laperrousaz, d’Eliette Abécassis, d’Estelle Villeneuve et de Michael Langlois.
Pour le jeune public, ont été conçus un parcours et un livret de bord.
« Calligraphe spécialisé dans les lettres hébraïques, plasticien de la lettre et auteur » depuis 25 ans, Frank Lalou a réalisé dans le cadre de l’exposition un manuscrit du texte du Rouleau des Hymnes (1QH) découvert dans les grottes de Qumrân. Cette œuvre rejoindra la collection prestigieuse des manuscrits hébraïques du département des Manuscrits de la BnF.
Le 19 octobre 2010, le département israélien des Antiquités et Google ont annoncé leur projet commun visant à publier gratuitement sur Internet les rouleaux de la mer Morte ainsi que leurs traductions. Le coût de ce projet est estimé à 3,5 millions de dollars, soit 2,5 millions d’euros. Grâce à une technologie d’imagerie multispectrale de la NASA, agence spatiale américaine, ces rouleaux seront numérisés, ce qui pourrait permettre de découvrir des lettres ou mots nouveaux aujourd’hui indécelables.
Le 26 septembre 2011, cinq manuscrits, dont le livre d'Isaïe, ont été mis en ligne dans le cadre d'une coopération entre le musée national d'Israël et Google. Le lecteur peut chercher un passage particulier et le traduire en anglais. A terme, tous ces précieux manuscrits seront numérisés et consultables sur Internet. Ce qui réduira la fréquence de leur sorties des archives et les préservera davantage.
Par qui fut fondée la commanderie de Qumràav ?
Templier Veritas.
Par qui fut fondé la Commanderie de Qumran en 1142 ...
Chevalier du Temple Il y a aucun Grand Maître de l'Ordre ?...
Templier Veritas La commanderie de Qumran était établie en un endroit nommé Kirbet Qumràv,fut fondée en 1142 par trois Templiers :Raimbaud de Simiane,Balthazar de Blacas et Pons des Beaux.Cette Commanderie fut construite sur un fort romain,issu de la restauration d'une ancienne forteresse essénienne.Cette Commanderie avait pour but de rassembler manuscrits et trésors à la demande des abbés bénédictins et cisterciens ...
dimanche 28 octobre 2012
George III
British History
George III
George William Frederick (4 June 1738 – 29 January 1820) was King of Great Britain and King of Ireland from 25 October 1760 until the union of these two countries on 1 January 1801, after which he was King of the United Kingdom of Great Britain and Ireland until his death. He was concurrently Duke and prince-elector of Brunswick-Lüneburg ("Hanover") in the Holy Roman Empire until his
promotion to King of Hanover on 12 October 1814. He was the third British monarch of the House of Hanover, but unlike his two Hanoverian predecessors he was born in Britain, spoke English as his first language, and never visited Hanover.
His life and reign, which were longer than those of any previous British monarch, were marked by a series of military conflicts involving his kingdoms, much of the rest of Europe, and places farther afield in Africa, the Americas and Asia. Early in his reign, Great Britain defeated France in the Seven Years' War, becoming the dominant European power in North America and India. However, many of its American colonies were soon lost in the American War of Independence. Further wars against revolutionary and Napoleonic France from 1793 concluded in the defeat of Napoleon at the Battle of Waterloo in 1815.
In the later part of his life, George III suffered from recurrent, and eventually permanent, mental illness. Medical practitioners were baffled by this at the time, although it has since been suggested that he suffered from the blood disease porphyria. After a final relapse in 1810, a regency was established, and George III's eldest son, George, Prince of Wales, ruled as Prince Regent. On George III's death, the Prince Regent succeeded his father as George IV.
Historical analysis of George III's life has gone through a "kaleidoscope of changing views" that have depended heavily on the prejudices of his biographers and the sources available to them. Until re-assessment in the later half of the twentieth century, his reputation in America was one of a tyrant and in Britain he became "the scapegoat for the failure of imperialism". He is often remembered as "The Mad King" and "The King Who Lost America".
George III by Allan Ramsay
Les moines rouges.
André Douzet.
Les moines rouges... Les rares fois où il est question d’eux, ils sont présentés sous des aspects négatifs, démoniaques et sinistres, sans pour autant que ces étranges remontées d’événements puissent vraiment justifier une telle réputation. A dire vrai, on a surtout la sensation qu’il semble impératif de les affubler de tous les maux et surtout des pires afin que nul ne tente de chercher plus loin dans ces traditions. Mais en ce cas, que cherche-t-on à dissimuler en souillant une mémoire collective de la sorte ???
La dame à la licorne.
André Douzet
A la suite de notre travail sur la Creuse nous proposons cet article, hors du commun, de Daniel Réju. Il nous invite ici à le suivre en quête des origines des tapisseries de ‘la Dame à la Licorne’. Qui en était vraiment le véritable commanditaire? Etait-ce même la demande d’une personne ou d’un groupe ou société fermée ? Nous suivrons ici la piste de Zizim et d’épisodes moins connus dans lesquels
intervient… Guy de Blanchefort ! Mais également D. Réju, comme à son habitude, nous conduit également sur les traces des templiers et de détails impliquant la continuité de leur savoir dans les milieux de Bourganeuf et Lavaufranche. Rappelons pour information que le blason d’aubusson est le m^me que celui gravé sur une clé de voûte retrouvée dans les vestiges d’une cave de la chartreuse de Ste-Croix-en-Jarez… Une étude des tapisseries de La Dame à la Licorne sera proposée à la suite de ce texte
La légende de Merlin.
Photo De Brocéliande à Avalon.
Personnage-clé de la mythologie arthurienne, Merlin (aussi appelé Myrddin) est l'enchanteur.
Sans lui, les aventures de la Table Ronde n'auraient pas eu la même tournure car il va introduire un côté magique et fantastique aux récits des chevaliers de la tables ronde.
Merlin a pour père le Diable en personne qui avait décidé de s'amouracher d'une mortelle. Pour cela, ayant pris forme humaine, il vint sur Terre et parvint à se faire aimer d'une fille aussi naïve que belle. Puis il disparut sans laisser de trace.
Quel ne fut pas l'effroi de la pauvrette quand elle découvrit qu'elle était enceinte. Elle ne pouvait révéler le nom du père de l'enfant, car elle l'ignorait elle-même: elle fut donc condamnée à mort, comme l'exigeaient la loi en ce temps là.
En attendant son accouchement car les juges avaient décidé de sauver l'enfant qui était innocent, la jeune fille fut jetée en prison. Enfin le bébé vint au monde. Le garçon vigoureux fut prénommé Merlin. Mais il était velu à faire peur, si bien qu'aucune nourrice ne voulut l'allaiter. On le laissa quelque temps à son infortunée mère, puis vint le sinistre jour où le bourreau voulut exécuter la sentence.
Ce fut alors que se produisit le premier prodige: Merlin, qui n'avait jusque-là émis que de vagues vagissements tout à fait normaux pour son âge, prit la parole et, devant l'assistance et le bourreau stupéfait, défendit sa mère avec grande éloquence. A tel point qu'ils quittèrent tous les deux la prison quelques temps plus tard.
Durant sept années, Merlin grandit auprès de sa mère, où il révéla chaque jour, de nouveaux talents prodigieux tels que le don de lire dans la pensée d'autrui ou celui de prédire l'avenir. Mais son jeu préféré consistait à se métamorphoser en un clin d'œil sous les yeux ébahis de ses camarades de jeux.
Merlin et Viviane
Tout ceci se passait en Bretagne la Bleue, aujourd'hui appelée Grande-Bretagne, où régnait Vortigern, un ancien sénéchal qui avait usurpé le pouvoir à la mort du roi Constant. Pour cela, il avait dû se débarrasser des deux héritiers légitimes du trône, Constans et Uther Pendragon. Il avait bien réussi à tuer l'aîné, Moine, mais le cadet lui avait échappé pour se réfugier sur le continent.
Vortigern l'usurpateur vécut alors dans la hantise du retour d'Uther Pendragon et décida de faire construire une tour imprenable pour s'y réfugier en cas d'alerte. Mais, par curieux sortilège, le chantier ne progressait pas, car la tour s'écroulait dès qu'elle atteignait une certaine hauteur. Consultés, les devins du royaume ordonnèrent de mêler au mortier le sang d'un enfant né sans père et âgé de sept ans. Aussitôt, des valets d'armes partirent à la recherche d'un tel enfant.
En traversant un village, ils entendirent deux garçon se quereller avec violence, et l'un criait à l'autre: "Né sans père, tu n'es qu'un né sans père!" C'était, bien sûr, Merlin qui, ayant deviné les intentions de Votigern, s'était arrangé pour se faire insulter de la sorte devant ses émissaires.
Mais, pour ne pas être tué sur-le-champ, il demanda à être conduit au palais pour faire d'importantes révélations au roi. Il apprit en effet à Vortigern que deux dragons logeaient sous terre à l'emplacement de la future tour et que celle-ci s'écroulait à chacun de leurs mouvements.
Dragon rouge
Beaucoup, et les devins les premiers, ricanèrent en écoutant cet enfant qui prétendait en savoir si long sur le mystère de la tour. Mais le roi ordonna de creuser le sol, et, à la surprise générale, on y découvrit deux dragons endormis, l'un rouge et l'autre blanc, qui, aussitôt réveillés, se jetèrent férocement l'un sur l'autre en crachant des flammes. Pour finir le dragon brûla mortellement le rouge, avant de succomber à son tour à ses blessures.
Alors, Merlin expliqua au roi le sens de ce combat symbolique, qui préfigurait un affrontement prochain entre Vortigern et Uther Pendragon. Effectivement, ce dernier arriva quelques jours plus tard, obtint le ralliement de la population et incendia une forteresse où Vortigern s'était retranché: l'usurpateur, comme le dragon rouge, périt dans les flammes.
Arthur et Merlin l'enchanteur d'après Walt Disney
Merlin devint le conseiller dur roi Uther Pendragon et il l'aida par des enchantements à repousser les invasions ennemies.
Le caractère enjoué, Merlin aimait à se présenter à ses amis sous les apparences les plus diverses, bûcherons, vieux musicien aveugle, jeune garçon téméraire, et s'amusait de leur surprise. Par ses enchantements, il favorisa des mariages et des naissances, comme celle du célèbre chevalier Lancelot.
A deux reprises il accepta d'enseigner quelques-uns de ses secrets, et bien mal lui en prit! Morgane, l'une des sœurs d'Arthur, devint une méchante fée jalouse de sa belle-sœur, la reine Guenièvre.
Sa deuxième élève fut Viviane. Merlin aimait voyager et de temps en temps il disparaissait sans explication. En général il allait se réfugier au creux des forêts, fréquentées en ces temps-là par des ondines qui avaient élu domicile auprès des sources.
Sources mythologica.fr
The Egyptian Horus god and the Hindou God Ganesa.
Kate De Zarne Pernod.
The Egyptian Horus God and the Hindu God Ganesa. Gold, non-perishable and Wise beings. Nature works with mercury through purification and attraction, for climb and descent, elevating terrestrial nature to celestial dignity, so that the fixed is not dominated by volatile or volatile by the fixed and, thus, this harmony is born a perfect blend that is live gold of the sages and their mercury.
Grande duchesse Maria Alexandrovna de Russie.
Susanne Tadic-Bialucha.
Grand Duchess Maria Alexandrovna of Russia (later Duchess of Edinburgh and Duchess of Saxe-Coburg and Gotha; 17 October 1853 – 24 October 1920) was a daughter of Alexander II of Russia and Empress Maria Alexandrovna. Maria became the wife of Prince Alfred, Duke of Edinburgh, the second son of Queen Victoria and Prince Albert.
From 1893 until her death, she had the distinction of being a Russian grand duchess (by birth), a British princess and royal duchess (by marriage), and the consort (and later widow) of a German sovereign duke
Imératrice Anna.
Susanne Tadic-Bialucha
Anna was the daughter of Ivan V of Russia, as well as the niece of Peter the Great. The latter married her to Frederick William, Duke of Courland in November 1710, but on the return trip from Saint Petersburg in January 1711, her husband died. Anna proceeded to rule Courland (now western Latvia) from 1711 to 1730, with the Russian resident, Peter Bestuzhev, as her adviser (and sometimes lover). She never remarried after the death of her husband, but her enemies said she conducted a love affair with Ernst Johann von Biron for many years.
On the death of Peter II, Emperor of Russia, the Russian Supreme Privy Council under Prince Dmitri Galitzine made Anna Empress in 1730. They had hoped that she would feel indebted to the nobles for her unexpected fortune and remain a figurehead at best, and malleable at worst. In the hope of establishing a constitutional monarchy in Russia, they convinced her to sign laws that limited her power. However, these proved a minor inconvenience to her. She soon established herself as an autocratic ruler, using her popularity with the imperial guards and lesser nobility
Basilique Sainte-Marie-Madeleine de Vézelay (Indiens d'Amérique).
Osvaldo Carigi
Basilique Sainte-Marie-Madeleine de Vézelay-Indiens d'Amérique?
Nel timpano centrale del narcete della Basilica di Santa Maria Maddalena a Vézelay (1150) sono raffigurati, tra altri strani esseri che popolerebbero la terra, due figure dalle lunghe orecchie. Secondo alcuni studiosi sarebbero indiani d'america e la cosa viene naturalmente rifiutata dall'ufficialità poichè nel suddetto anno il 'Nuovo Continente' non era stato ancora raggiunto. O no?
samedi 27 octobre 2012
Mythologica creatures.
Fairies, dragons and other mythological creatures
Never stop smiling and look forward to each new day
Never stop shining in your own special way
Never forget that all storms will clear
Remember brighter tomorrows are always near
Dernière forteresse Cathare
Alice Bernhard.
Sur la montagne de Montségur, la dernière forteresse cathare, Templiers devraient avoir pour la première fois par le Graal en contact. Un jour avant la chute du château, qui a été assiégé pendant des mois en 1244, quatre cathares s'est enfuie avec un Trésor. Il est dit que c'est cela aurait dû être le « Saint Graal » et que les Cathares sous peu par la suite remis ces Templiers, qui les a amenés dans un endroit sûr. Où il est toujours protégé jusqu'à aujourd'hui
Inscription à :
Articles (Atom)